•  (TÉMOIGNAGE) 

    Dans un bus de la banlieue d'Alger, un soir du 31 décembre ..

    marocviol

    A lire, sur Huffington postmaghreb

    http://www.huffpostmaghreb.com/selma-kasmi/dans-un-bus-de-la-banlieu_b_6406364.html

    Le train qui m'emmène vers ma banlieue est à son accoutumée en retard en ce 31 décembre 2014. Un retard qui ne surprend plus les voyageurs mais non sans les irriter. Nous arrivons après le crépuscule à cet arrondissement de l'Est algérois.

    À l'horaire convenu tacitement et quasi unanimement pour que les trottoirs et les endroits publics soient vidés de toute créature humaine de sexe féminin. Je fais partie donc des retardataires soupçonnées de... Je ne comprendrais jamais quoi.

    "Si ces filles avaient une famille, elles ne seraient pas dehors à cette heure-ci", lance un drille sur notre passage. Il n'était pourtant que 18 :25!

    "Maandkoumch Lahkim" (vous n'avez pas de tuteur), vocifère un autre depuis sa voiture. Il avait l'air très jeune, pas encore la trentaine, et il se révoltait déjà de ne pas voir certaines adultes toujours sous "tutelle" à l'heure où l'Est du monde est déjà passé à 2015.

    En attendant mon 2015, je me réjouis déjà de trouver un bus qui m'emmène vers chez-moi, car ici, la desserte se fait d'une manière aléatoire après 17:30, selon les humeurs des chauffeurs de bus.

    Toisée par des regards désapprobateurs, je m'installe à deux rangées de l'arrière entourée de jeunes hommes dont quelques étudiants, comme on pouvait le déduire de leurs conversations.

    Nous sommes trois femmes au total à causer le désagrément chez les hommes de ces bourgades si proches pourtant si éloignées d'Alger.

    Le bus démarre après une surcharge de passagers. Une jeune fille assise au dernier siège demande à son voisin d'ouvrir la fenêtre, lequel refuse violemment. La demoiselle lui dit qu'elle n'arrive plus à respirer, et le monsieur lui lance méchamment: "Je ne l'ouvre pas et essaies de venir l'ouvrir!".

    "On est dans un endroit public, on ne peut pas agir à notre guise. Il y a des asthmatiques, des hypertendus, des personnes qui ont un problème de souffle, c'est l'intérêt collectif qui prime. Chez nous, on fait ce qu'on veut, pas en société", lui rétorque-t-elle d'une voix ferme.

    Se sentant humilié par une femme qui "ose élever sa voix", le trentenaire l'insulte en lui demandant de "fermer sa gueule".

    La "malédiction"

    Le jeune assis à mes côtés se lève d'un air vif et se retourne vers eux pour dire: "Eh madame, fermes ta gueule, tu as poussé un homme à t'insulter en public, tu n'as pas honte!".

    " Tu veux le confort prends un taxi" lance un autre à l'avant du bus.

    Un jeune aux allures modernes, plutôt beau gosse, qui était debout devant moi, observait la scène en murmurant des mots imperceptibles. L'ayant entendu prononcer des phrases en français auparavant, j'attendais qu'il intervienne pour "équilibrer la balance".

    Il finit par parler avec un accent algérois: "Errdjal Saktin Ou Enssa Yahadrou (les hommes se taisent et les femmes parlent)", dit-il à ma grande stupéfaction. Il ajoute: "Dieu va nous maudire".

    "Il a déjà commencé à nous maudire depuis que les femmes sont devenues juges et procureurs dans ce pays" réplique mon voisin de chaise.

    "Ce n'est que le début", rajoute un autre de loin, également d'un pur accent algérois en argumentant sa pensée: "Regardez la hausse des prix des fruits et légumes malgré toute la pluie de l'année dernière. Nous n'avons que le pétrole, et son prix a chuté aussi. N'est-ce pas là une grande malédiction?".

    On refera un nouveau Raïs!

    Un vieil homme debout à l'avant de ce bus de transport privé de marque asiatique rassure sa junte: "Bouteflika n'est pas éternel, il partira et on refera un nouveau Raïs partout en Algérie".

    "In Chalah" crient la quasi-totalité des passagers. Raïs est, pour rappel, le village tristement célèbre situé à la frontière des wilayas d'Alger et de Blida, où un terrible massacre a été perpétré un 28 août 1997.

    Le chauffeur qui ne sent pas concerné pas le lynchage d'une cliente par d'autres clients sourit au vieil homme porteur de rêve de massacre de Raïs.

    Son receveur "indifférent", fourre son nez dans sa pochette pour séparer les billets des pièces de monnaies. Consciente de mon incapacité physique à faire face au gaillard qui violentait verbalement la demoiselle, je décide lâchement de faire profil bas.

    Que faire devant cette scène surréaliste où des dizaines d'hommes se prêtent main forte pour faire taire une femme et lui rappeler sa "place" de sous-humain, voué à la servitude et l'obéissance?

    Avec un propriétaire de transport public que ne sent pas tenu de protéger ses passagères et des jeunes étudiants qui croient que cette "liberté des femmes" prétendument "accordée par Bouteflika" est à l'origine de la flambée des prix des denrée alimentaires et la chute des prix du pétrole!

    Et bien entendu, elle a été la cause des tremblements de terre, inondations, tsunamis et volcans! Et, le comble, avec des gens qui rêvent carrément de remettre leur pays à feu et à sang, des questions anachroniques me traversent l'esprit.

    À 30 km de la "Mecque des révolutionnaires"

    Nous sommes à une trentaine de kilomètre de la ville d'Alger qui fut la "Mecque des révolutionnaires", et quelques siècles auparavant, la ville où l'on venait de tout l'empire Ottoman et le sud de l'Europe pour "se civiliser".

    Je fais tout de même partie d'un pays qui se vante de son Histoire d'émancipation du colonialisme et de toute sorte de servitude et d'humiliation humaine. Le choix socialiste qui en a suivi, avec tous ses inconvénients, ne reposait pas non plus sur la minorisation d'une partie de la population, bien au contraire.

    Je me pose des questions. Ces gens-là n'ont-ils jamais bénéficié d'un plan d'intégration culturel et civilisationnel? Ou est-ce la décennie noire qui a fait de l'écrasement de la moitié de la société un idéal, même chez des gens qui vont à l'université?

    Sidérée! Mais je n'ai pas le temps de soliloquer sur la psychologie du chaos, Je m'apprête à mener mon ultime combat de la journée.

    Je presse le pas en priant Dieu, les esprits, la force surnaturelle, les étoiles, je ne sais quoi, pour rentrer chez moi sans incident. Je halète en baissant mes yeux pour qu'ils ne croisent pas les regards qui me suivent et me poursuivent de chaque coin de cette ruelle mal éclairée.

    J'arrive à quelques minutes de l'heure "très tardive" de 19h, J'ai encore quelques heures devant moi pour formuler mes meilleurs vœux pour mon pays, en cette nouvelle année. Malgré tout ..

     

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  • Lydia Guirous: «mon rêve français se transforme en cauchemar»

    « Quand ma tante d’Algérie vient en vacances à Roubaix, elle dit ‘j’ai pas pris l’avion pour me retrouver à Babel-Oued. Elle est où la France ? »

    Lydia Guirous, secrétaire nationale du Parti radical en charge de la lutte contre les discriminations, présidente de l’association Future, au féminin et auteur de l’ouvrage «Allah est grand, la République aussi», évoque la montée de l’islamisme radical en France.

    « Aujourd’hui, il y a des quartiers devenus halal, où les femmes doivent raser les murs »

    « Ce n’est pas un signe d’ouverture d’avoir des quartiers qui se communautarisent… celui des commerces exclusivement halal, des hommes en djellaba, des femmes en burqa… »

    « Les républicains et les laïcs Français doivent se réveiller et mettre fin à cette gangrène qui est en train d’envahir notre France »

    « Vous faites le jeu du FN en disant cela »


    Lydia Guirous: «mon rêve français se transforme… par rfi


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  • LE PIEGE DE LA LAICITE contre l’islamisation

    Face à l’islamisation croissante de la France dont personne ne peut honnêtement contester la réalité, il est logique que le premier réflexe de certains, pour la contrer, soit d’invoquer la laïcité. C’est d’emblée faire de l’islamisation un problème religieux et tomber dans le piège tendu par les islamistes.

    La loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat interdit aux religions de s’immiscer dans les affaires publiques et, à l’administration publique, de s’immiscer dans les affaires religieuses sauf en cas de trouble à l’ordre public ; elle relègue les religions dans la sphère privée et garantit à chacun la liberté de croire ou non. Mais cette loi — qui reprenait d’ailleurs des principes proclamés sous la Révolution — fut adoptée pour contenir le catholicisme, le protestantisme et le judaïsme qui existent en France depuis des siècles. Qu’ils soient croyants ou athées, les Français avaient les mêmes mœurs, les mêmes prénoms, le même mode vestimentaire, les mêmes traditions cultuelles ou culturelles ; rien extérieurement ne les distinguait les uns des autres, du moins au niveau régional. Les problèmes posés par les religions étaient d’ordre politique, pas sociétal. Personne n’imaginait à cette époque qu’un jour surgirait en France une religion étrangère globalisante du fait de millions d’immigrés de race et de culture étrangères et que cela poserait des problèmes particuliers face auxquels cette loi, conçue pour des Français, serait inadaptée, c’est-à-dire incomplète.

    Comme toute religion, l’islam aspire à régenter la cité. Mais il régente aussi la vie privée des individus de A à Z. Tout est soi-disant religieux dans l’islam. De plus, tout est imprégné de culture orientale et archaïque. De fervents musulmans arabes ou africains sont littéralement des extra-terrestres en France et dans tout pays européen. Non seulement ils ne sont français en rien d’un point de vue identitaire (ils n’ont ni le physique, ni le costume, ni les mœurs, ni les traditions, ni les valeurs, ni l’état d’esprit des Français) mais leur « religion » leur commande de ne rien céder. Ils seraient une poignée, leur attitude serait inacceptable sur le principe quoique, étant sans danger, elle pourrait être tolérée. Mais ils sont des millions, leur nombre augmente sans cesse, et avec lui les revendications, les provocations, les intimidations, les conquêtes territoriales. Partout où ils sont en force, la France n’est plus. Ce n’est pas d’un point de vue religieux que l’islam, tel qu’il est (mais peut-il être autre ?), est incompatible avec la République, mais d’un point de vue sociétal qu’il est incompatible avec la France. Ce ne sont pas les croyances musulmanes qui dérangent, mais des pratiques qui sont soit contraires à nos lois, sans toutefois tomber sous le coup de la loi de 1905, soit contraires à notre tradition d’assimilation à laquelle nous avons officiellement renoncé. La loi de 1905 est donc impuissante à contenir l’islam car, même si elle peut l’empêcher d’entrer dans la sphère publique par la grande porte, il passe par la fenêtre.

    S’opposer à l’islamisation de la France au nom de la laïcité, en s’appuyant sur la loi de 1905, revient à commettre six erreurs.

    La première, c’est de donner l’impression d’attaquer l’islam en tant que croyance, de bafouer le principe de laïcité lui-même et de susciter une réaction fanatique non seulement de la part des intégristes mais aussi des modérés. C’est donc doublement maladroit puisque l’on s’est mal fait comprendre et que l’on a uni contre soi des gens qui auraient pu être des alliés.

    La deuxième, c’est de faire de l’islam dans son intégralité une religion ordinaire et, dès lors, de ne pouvoir dénoncer les pratiques qui excèdent le cadre religieux d’un point de vue européen, pratiques que les islamistes auront alors beau jeu de défendre au nom de la laïcité elle-même, c’est-à-dire au nom de la liberté religieuse, une liberté religieuse qu’ils ne reconnaissent pas aux autres mais dont ils savent bien abuser aux dépens de ceux qui la leur accordent.

    La troisième, dans la même idée que la précédente, c’est de sous-entendre ipso facto que l’objet du litige est de nature religieuse et donc de rendre cet objet inattaquable au nom de la laïcité. Cette maladresse et les contorsions intellectuelles auxquelles elle oblige pour sortir du piège dans lequel on s’est mis soi-même permettent aux islamistes de se lancer dans des discours théologiques totalement hors sujet et de noyer le poisson.

    La quatrième, c’est de mettre l’islam de fraîche date sur un pied d’égalité avec les religions, les traditions et le patrimoine d’origine religieuse séculaires en France, ce qui permet aux islamistes tantôt d’exiger la suppression des « entorses » faites à la laïcité en faveur des autres « religions », donc de saper, de dénigrer et d’attaquer l’identité française, tantôt d’exiger pour l’islam des exceptions, même dans les domaines qui ne relèvent pas de la religion d’un point de vue européen, donc d’imposer progressivement une identité musulmane.

    La cinquième, conséquence de toutes les autres, c’est d’être dans l’incapacité de ramener la question à son véritable point : l’immigration galopante et l’assimilation des immigrés quelle que soit leur origine et leur religion, assimilation dont l’islam n’est qu’une cause d’échec parmi d’autres. Cette approche qui concernerait tous les immigrés, tous les Français d’origine étrangère et toutes les pratiques stigmatisantes ou illégales en France apparaîtrait comme la volonté d’intégrer réellement les intéressés et interdirait aux islamistes, traités comme les autres, de se prétendre victimes de persécution religieuse sous peine de dévoiler leur mauvaise foi.

    La sixième, c’est évidemment de délaisser les problèmes du même genre et aussi dérangeants occasionnés pour d’autres raisons par des immigrés non-musulmans, donc être contre-productif de manière particulière et à côté de la plaque de manière générale.

    En clair, dénoncer l’islamisation de la France au nom de la laïcité, c’est se mettre soi-même en porte-à-faux, c’est s’aveugler sur les contradictions et les limites de cet argument, c’est prêter le flancs aux attaques, c’est tendre le bâton pour se faire battre. Alors que les Français ont le bon droit pour eux face à l’islamisation qui participe à la défrancisation de le France, ils perdent tout l’avantage de leur position en la combattant avec une arme « idéologique » inappropriée. Ce n’est pas seulement en républicain qu’il faut penser, mais en Français. Ce n’est pas au nom de la laïcité, mais de la francité, qu’il faut combattre toutes les pratiques importées qui défigurent la France et suscitent chez les Français le rejet légitime des immigrés.

    Il est vrai que la France a officiellement renoncé à la politique d’assimilation ; mais l’assimilation reste dans la tradition française. A moins de tenir un discours démagogique, personne ne peut regarder comme un Français (ou comme un Français à part entière s’il est français sur le papier) un individu n’ayant pas un prénom français, ne parlant pas français, ne s’habillant pas comme un français, ne connaissant rien de la France, ne respectant ni les lois ni les coutumes ni l’histoire françaises, bref ayant en tout l’air d’un étranger. Beaucoup d’occidentaux sont frappés de gauchitude ; mais les immigrés sont encore plein de bon sens. Ce que les patriotes français veulent chez eux, tous les peuples du monde l’appliquent. Partout un prénom, une tenue vestimentaire, la langue parlée signalent l’appartenance à une communauté. Partout les étrangers doivent se plier aux lois locales. Partout l’hymne national et le drapeau sont sacrés. Partout on est aimé en retour quand on aime sincèrement. Partout on n’accepte les étrangers que dans des quantités raisonnables. Partout on cherche à préserver son identité. Rappelons ces évidences aux immigrés. Faisons-leur remarquer que ce qu’ils considèrent comme bon pour leur pays d’origine est aussi la bonne voie pour la France et pour eux-mêmes. Faisons-leur comprendre que ce n’est pas pour les brimer qu’ils doivent s’adapter de gré ou de force à la France mais au contraire pour que les Français les respectent en tant qu’étrangers ou les acceptent en tant que compatriotes. Alors ils comprendront sans peine que ceux qui les flattaient et les invitaient à avoir une attitude différente n’étaient pas leurs amis, qu’en les discriminant positivement, en faisant pour eux des exceptions, en leur ménageant des accommodements, en devançant même leurs exigences, ils étaient leur véritables « stigmatisateurs », que les soi-disant antiracistes les manipulaient, les trompaient et les exploitaient autant qu’ils trahissaient leur propre peuple.

    Les immigrés et leurs descendants suivraient cette ligne, la France ferait appliquer ses lois avec la dernière fermeté, la question de la laïcité ne se poserait pas. Quels sont d’ailleurs les points qui, dans l’islam, causent souci ? Ils sont de deux types : ceux qui débouchent sur une pratique illégale, et ceux qui, pour l’heure, demeurent théoriques. Beaucoup tombent déjà sous le coup de lois existantes, dont celle de 1905.

    La forme d’abattage halal, sans étourdissement des animaux, est contraire aux lois françaises et européennes en la matière.
    Les mosquées de type oriental, avec ou sans minaret, sont contraires aux lois locales sur l’architecture.

    Le voile intégral est aussi contraire aux lois que le port d’une cagoule.

    Les exigences de salles de prière dans les entreprises, de docteurs femmes pour les musulmanes, d’horaires séparés dans les piscines municipales, de l’absence de porc dans les cantines sont spécifiquement musulmanes et contraires à la loi de 1905.

    L’amputation des voleurs, la lapidation des femmes adultères, l’exécution des homosexuels sont prescrites par le coran mais n’ont pas cours en France et relèveraient du meurtre, de la torture ou de la mutilation.

    En somme, il ne manque aujourd’hui à l’arsenal juridique que quatre lois pour enrayer l’islamisation de la France sans viser spécifiquement les musulmans : une première obligeant les parents à donner à leur enfant né en France un prénom français ou francisé, comme c’était le cas jusqu’en 1981, ou imposant d’en prendre un pour pouvoir prétendre à la nationalité française ; une deuxième interdisant, pour les Français, hors périodes de fête, le port de tenues typiquement étrangères ; une troisième imposant des prêches en français dans tout lieu de culte ; une dernière punissant de bannissement perpétuel, d’une part, quiconque profère des menaces ou commet un acte de malveillance à l’encontre d’une personne sous prétexte qu’elle enfreint ou entrave une prescription ou une tradition religieuse, d’autre part, tout responsable public qui, au nom de la laïcité, suspend la célébration ou prône l’interdiction d’une fête ou tradition nationale sous prétexte qu’elle est d’origine religieuse.

    L’assimilation doit être imposée par la loi et non laissée à l’initiative des individus sous peine d’avoir peu d’effet et de manquer son but qui est l’intégration réelle et générale des immigrés et la désintégration des griefs des Français à leur égard. D’autant plus que, si la loi ne leur indique pas la bonne attitude à avoir, gauchistes et médias bobos se font fort de les pousser inconsciemment sur une mauvaise pente. Au lieu de leur expliquer comment gagner la confiance des Français, ils les encouragent à susciter leur défiance ; au lieu de leur expliquer comment réduire leurs handicaps initiaux, ils vantent ces handicaps et les incitent à les alourdir. Pour peu que l’immigration soit maîtrisée, l’assimilation est une méthode efficace d’intégration, la seule méthode efficace. C’est l’abandon de cette méthode, au moment où elle aurait été le plus utile, qui est à l’origine de la marginalisation, de la déscolarisation, de la délinquance, de la communautarisation, de l’auto-stigmatisation et, par conséquent, du rejet croissant et légitime des immigrés par les Français, lequel n’est en rien du racisme puisque nombre d’immigrés le partagent.

    Maintenant, savoir si un retour à l’assimilation est possible est un autre débat. Le fait est que l’islamo-arabisation de la France, symptôme parmi d’autres de la défrancisation, est une conséquence de l’immigration massive et continue combinée à l’absence de politique d’assimilation, elle-même résultant du dénigrement du patriotisme. S’y opposer de prime abord au nom de la laïcité se conçoit ; en venir à bout par ce moyen est une vue de l’esprit. L’islam n’est qu’une partie d’un problème global, et ce qui pose problème de son côté n’est pas réellement d’ordre religieux (sauf du point de vue de l’islam pour qui tout est religieux), mais d’ordre culturel. A l’envahissement, aux assauts des cultures étrangères, la France doit répondre en imposant ses lois, en affirmant son identité, en faisant prévaloir la francité et en mâtant les grandes gueules.

    Philippe Landeux


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  • CHUTE DU GOUVERNEMENT EN GRÈCE : UN MESSAGE DU CHEF DE L’AUBE DORÉE

    Sans réellement de surprise, la junte a échoué à faire élire son candidat hier, plongeant le pays dans la crise politique avec de nouvelles élections législatives à haut risque.

    Nikos Michaloliakos lance la campagne de l’Aube dorée pour les législatives« Je salue la fière position de défi des nationalistes de l’Aube dorée, qui, par leurs votes, ont fait tomber le gouvernement du mémorandum le plus sournois et le plus corrompu, la pitoyable coalition gouvernementale Samaras-Venizelos.

    Emprisonné à tort, j’annonce le lancement du combat pour le 25 janvier, pour une Aube dorée encore plus puissante, et la seule assurance de la résistance nationale de notre peuple contre la domination étrangère des usuriers internationaux. »

    a communiqué à ses militants Nikolaos Michaloliakos, le secrétaire général de l’Association populaire-Aube dorée.

    liberte-aube-doree-nikos michaloliakos

    La chute du gouvernement Samaras

    Le mouvement nationaliste a été l’un des artisans de la chute du gouvernement hier en ne votant pas l’élection du candidat de la junte lors de l’élection présidentielle anticipée. Cette dernière avait été provoquée par Antonio Samaras, dans le but d’asseoir son pouvoir et de contraindre les petits partis et les députés indépendants à rejoindre ou soutenir le gouvernement. Il a totalement raté son pari : les députés ont préféré la crise politique plutôt que l’élection d’un président fantoche désigné par la Banque mondiale – pour laquelle Stavros Dimas, formé aux États-Unis, a travaillé dans le passé. Il n’a recueilli que 168 voix sur les 180 nécessaires parmi les 300 élus.

    Sauf coup de force, le premier ministre est tenu de prononcer dans les dix jours la dissolution de l’assemblée ; il a déjà proposé la tenue d’élections législatives anticipées le 25 janvier. Ce sera le troisième renouvellement du parlement en moins de trois ans ; en mai 2012, les Grecs avaient voté pour une chambre instable et l’assemblée avait été dissoute peu après.

    Ce scénario pourrait se reproduire après le 25 janvier : si la Coalition de la gauche radicale (SYRIZA, Synaspismós Rhizospastikís Aristerás) recueille le plus grand nombre de suffrages, il est peu probable qu’elle dépasse les 30 % et pourrait ne pas trouver de partenaires pour former une coalition. La démocratie, après avoir plongé le pays dans la crise économique, morale et identitaire, pourrait conduire la Grèce à une longue période d’instabilité.

    Offensive de l’oligarchie contre la Grèce

    En attendant les élections, le Fonds monétaire international (FMI) a suspendu « l’aide » à la Grèce. Dans la journée, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble avait déclaré :

    « Les difficiles réformes ont porté leurs fruits [sic], elles sont sans aucune alternative. Les nouvelles élections ne changent rien aux accords passés avec le gouvernement grec »

    La veille, le même avait repris le discours du grand patronat sur la nécessité de l’invasion contre son propre pays :

    « Le monde est plus ouvert et l’immigration apporte quelque chose à tout le monde. De la même façon que nous avons utilisé des millions de réfugiés et d’expulsés après la Seconde Guerre mondiale pour reconstruire […], nous avons aujourd’hui besoin de l’immigration. Nous devons évidemment vivre avec les immigrés. Cela va changer notre vie quotidienne, non pas pour le pire, mais pour le meilleur ».

    À la bourse, l’indice principal a perdu à la clôture 3,91 % après avoir perdu plus de 10 % en journée. Un chiffre qui n’a cependant rien d’inhabituel puisque depuis son plus haut en début d’année, l’indice a chuté de 39,41 %.

    aube-dorée-drapeau


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  •  Intégration réussie 

    Angleterre envahie : Chloé Dutton, défigurée à vie après avoir croisé la route d’un Pakistanais ..

    Chloé Dutton est une étudiante britannique de 19 ans. Le soir de Noël, elle célébrait le réveillon dans un établissement de nuit de Southend (Essex) avec des amis. En sortant de la boîte de nuit, elle et deux de ses amies furent suivies par un Pakistanais. Alors qu’il se montrait agressif, elles lui ont dit d’arrêter de les suivre et de les harceler. Cela ne l’a pas empêché de continuer. Puis, alors qu’elles s’étaient arrêtées pour s’acheter à manger, il a commencé à les frapper. Après avoir fait tomber à terre les deux premières, il a très violemment frappé Chloé Dutton avec un poing américain en pleine tête.

    «Alors que nous marchions le long de la route, nous avons réalisé que nous étions suivis. Il a continué à essayer de me séparer de mes amis. Mes amis lui ont dit que je n’étais pas intéressée et qu’il devait s’en aller, mais il a commencé à les attaquer. Il les a mis à terre et leur a donné des coups de pied à plusieurs reprises, puis il m’a attaquée » a raconté la jeune femme.

    Le criminel étranger lui a fracturé l’orbite du crâne, lui occasionnant diverses autres blessures, dont une très large plaie. Plusieurs opérations seront nécessaires pour lui permettre de retrouver un visage normal, mais les médecins ont précisé qu’elle resterait marquée à vie.

    L’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’elle montre que la tiers-mondisation de l’Angleterre ne se limite pas au changement de population, mais à la destruction de tous les services publics. La police comme les services de santé ont été appelés immédiatement après les faits. Si la police a fini par arriver, l’ambulance, elle, n’est jamais venue. Après trente minutes d’attente dans le froid, les policiers ont décidé de conduire les victimes directement aux urgences.

    « La police et une ambulance ont été appelées, mais l’ambulance n’est pas venue. La police nous a emmenées à l’hôpital. Je souffrais terriblement et je sentais le vent souffler sur une énorme entaille de mon œil jusqu’à ma joue […] Le sang coulait sur mon visage ».

    Le calvaire de la jeune fille ne faisait que commencer : « J’ai dû attendre cinq heures aux urgences avant qu’ils ne m’examinent et là, ils m’ont transférée immédiatement à l’hôpital de Broomfield à Chelmsford. J’ai dû subir une chirurgie plastique et je n’ai pas pu quitter l’hôpital avant dimanche soir. Je dois y retourner pour un scanner. Ils ont dit qu’il devait avoir utilisé une sorte de poing américain pour faire tant de dégâts et que je resterai marquée à vie. Je devrais peut-être subir de nouvelles opérations pour l’orbite cassée, ce qui ferait encore plus de cicatrices. »

    Le criminel, un Pakistanais d’environ 25 ans, n’a pas été arrêté.

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