• Les propres documents de Pfizer prouvent qu’ils savaient que leurs vaccins covid n’étaient pas «sûrs et efficaces»… et ils savaient que les nanoparticules d’ARNm circulaient dans tout le corps

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    Les ingrédients du vaccin ont migré principalement vers :

    les ovaires,

    le foie,

    la rate,

    les glandes surrénales,

    la vessie,

    les os,

    la moelle osseuse,

    les yeux,

    le gros intestin,

    les ganglions lymphatiques,

    le pancréas,

    les glandes salivaires,

    la peau,

    l’intestin grêle,

    les testicules,

    le thymus,

    la thyroïde

    et l’utérus...

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  • Les accointances du nazisme avec l'écologie : Mein Grünen Kampf [5/5]

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    FEUILLETON {5/5] - De nos jours, Hitler changerait peut-être le titre de son livre le plus célèbre en Mein Grünen Kampf. Car à lire ou à relire le livre le plus célèbre de l’ère nazie, Mein Kampf, on pourrait avoir l’impression que Hitler lui-même est un dévot de la déesse Nature.

    D’abord, remarque-t-il, l’erreur de base commise à cause de l’injonction biblique, reprise par Descartes, doit être corrigée : « L’homme ne doit jamais tomber dans l’erreur de croire qu’il est véritablement parvenu à la dignité de seigneur et maître de la nature (erreur que peut permettre très facilement la présomption à laquelle conduit une demi-instruction). Il doit, au contraire, comprendre la nécessité fondamentale du règne de la nature et saisir combien son existence reste soumise aux lois de l’éternel combat et de l’éternel effort, nécessaires pour s’élever. »

    Au passage est visée la « demi-instruction » des lecteurs de la Bible, qu’ils soient juifs ou chrétiens. Tout chrétien lecteur de la Bible aurait dû se sentir visé. Malheureusement, ce ne fut que très rarement le cas, à cause d’un antisémitisme remontant à l’origine même de l’Église. Passons.

    Et Hitler de poursuivre : « Des millions d’hommes ressassent sans réfléchir cette absurdité d’origine juive et finissent par s’imaginer qu’ils incarnent une sorte de victoire sur la nature ; mais ils n’apportent comme argument qu’une idée vaine et, en outre, si absurde qu’on n’en peut pas tirer, à vrai dire, une conception du monde. En réalité l’homme n’a encore vaincu la nature sur aucun point ; il a tout au plus saisi et cherché à soulever quelque petit coin de l’énorme, du gigantesque voile dont elle recouvre ses mystères et secrets éternels ; il n’a jamais rien inventé, mais seulement découvert tout ce qu’il sait ; il ne domine pas la nature, il est seulement parvenu, grâce à la connaissance de quelques lois et mystères naturels isolés, à devenir le maître des êtres vivants auxquels manque cette connaissance. »

    Hitler ne se trompe pas d’objectif. L’homme doit être détrôné au profit d’une nouvelle divinité : la nature. Et il vaut mieux se soumettre à ses ordres. Car, ne craint-il pas d’écrire « La nature éternelle se venge impitoyablement quand on transgresse ses commandements. » C’est une « impitoyable reine de toute sagesse! »

    Par exemple, l’homme cherche à limiter sa progéniture  et en même tempos se trouve instaurée « cette manie de «sauver» à tout prix les plus malingres, les plus maladifs; noyau d’une descendance qui sera de plus en plus pitoyable ». La « volonté de la nature » est ainsi bafouée. L’aboutissement, c’est qu’un jour l’existence sera ravie à un tel peuple. « Une race plus forte chassera les races faibles […]  La nature anéantit les faibles pour donner leur place aux forts. »

    Il y a donc des races supérieures et des races inférieures. Mais la nature ne veut pas « qu’une race supérieure se mélange avec une inférieure, car, dans ce cas, la tâche qu’elle a entreprise depuis des milliers de siècles pour faire progresser l’humanité serait rendue vaine d’un seul coup ». De fait, « l’histoire établit avec une effroyable évidence que, lorsque l’Aryen a mélangé son sang avec celui de peuples inférieurs, le résultat de ce métissage a été la ruine du peuple civilisateur. » Etc., etc.

    « En résumé, écrit Hitler, le résultat de tout croisement de races est toujours le suivant:

    « a) Abaissement du niveau de la race supérieure.

    « b) Régression physique et intellectuelle et, par suite, apparition d’une sorte de consomption dont les progrès sont lents mais inévitables.

    « Amener un tel processus n’est pas autre chose que pécher contre la volonté de l’Éternel, notre Créateur. Mais cet acte reçoit la sanction méritée par le péché.

    « En tentant de se révolter contre la logique inflexible de la nature, l’homme entre en conflit avec les principes auxquels il doit d’exister en tant qu’homme. C’est ainsi qu’en agissant contre le vœu de la nature il prépare sa propre ruine. Ici intervient, il est vrai, l’objection spécifiquement judaïque aussi comique que niaise, du pacifiste moderne : "L’homme doit précisément vaincre la nature !" »

    Dans Mein Kampf, écrit en 1924-25, il n’est fait mention que des « lois » supposées de la nature, et non de sa protection. Une fois au pouvoir, Hitler manifesta évidemment un vif intérêt pour toute la législation écologique mise en place dès le début de son règne. L’Allemagne manquant d’un pétrole de plus en plus vital pour son effort de guerre, le dictateur nazi était même tout à fait au courant des différentes sources d’énergie renouvelables, comme on dit aujourd'hui, y compris des sources non nuisibles à l’environnement comme les barrages hydro-électriques et le gaz naturel produit par méthanisation de la biomasse.

    Un Adolf vert au secours de l’Allemagne d’aujourd'hui

    Dans le milieu des années 1980, il s’est trouvé au  moins un écologiste allemand pour évoquer la mémoire d’Hitler. Rudolf Bahro (1935-1997)[1] s’est en effet posé la question : « y a-t-il quelque chose de plus répréhensible aujourd’hui que de penser à un nouveau 1933 ? ». Et de répondre : « Mais c’est justement ce qui peut nous sauver ! Le mouvement écologique et pacifique actuel est le premier mouvement allemand populaire depuis le mouvement nazi […] De fait, le mouvement nazi était parmi d’autres choses une première mouture du mouvement écologique […] Les Allemands doivent rechercher ce qu’il y a de positif dans le mouvement nazi et s’en réclamer, parce que, si nous ne le faisons pas, nous resterons coupés de nos propres racines d’où poussera ce qui nous sauvera. Aujourd'hui nous devons libérer les « parties brunes » du caractère allemand". Le fait est, ajoute Bahro, « qu’il y a un appel dans les profondeurs du peuple allemand pour un Adolf Vert – un Adolf qui serait, bien sûr très différent de celui que nous avons connu". Bahro évoquait le mythe germanique de l’« empereur dormant »,  Barberousse assoupi dans la Montagne de Kyffhaüser, et destiné à revenir comme Führer  et sauver la nation allemande du naufrage – une image, qui, rappelons-le, fut l’une des fondations du Führerprinzip nazi.

    Cet Adolf vert serait un leader tout spirituel, comme aurait pu l’être son modèle historique, s’il n’avait pas, selon Bahro, été poussé à la « véhémence » par le matérialisme éhonté de la République de Weimar. Ce même matérialisme est la cause de la crise écologique actuelle, et les Allemands n’ont pas d’autre choix que d’invoquer les forces spirituellement profondes du mouvement nazi pour « être présents avec tout notre potentiel ».

    Fantasmagorie allemande ? Peut-être. Mais c’est tout de même notre deep culture qui est mise en cause par l’écologie profonde triomphante, et sa probable druidesse, Greta Thunberg, notre nouvelle Sainte Vierge.

    Les chrétiens sont - étaient- baptisés au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Dans son tout dernier roman[2], Philippe Sollers rectifie : "Au Nom du Père, du Fils et de la Nature". (p. 111). A la page précédente, il nous dit qu'il n'y a "Plus de Père, plus de Nom, plus de Fils".  Ne reste donc que la Nature dans le benedicite. La déesse célébrée par Hitler a bel et bien triomphé du dieu trinitaire et de ses complications infinies, du "vieux Dieu mort", comme dit le même Sollers. Et ce dernier de nous avertir : "la planète sera invivable pour l'humanité dans trente ans".

     C'était bien la peine !

    [1] La traduction de son ouvrage en français L’Alternative  (Stock) en 1979 avait été saluée en grande pompe par Le Monde diplomatique (n° de mai 1979, p. 18). A l’époque, citoyen de la RDA, Bahro était un marxiste convaincu. Passé à l’Ouest, il adhéra au parti de Verts, pour en devenir un des leaders.

    [2] Légende, Gallimard, 2021

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  •  Avec les communistes nous avons que des guerres ...Par :Pieds Noirs 9A..
     
    Billet N°6484 du vendredi 11 mars 2022..
     
    Avec les communistes nous avons que des guerres . 
     
    Les médias ont choisi la collaboration avec les égorgeurs du FLN, soit disant victimes de l' OAS. Leur façon d'écrire l Histoire. De Gaulle a du sang sur les mains, les partis politiques de gauche comme de droite rouvrent les dossiers concernant les Harkis et les Français d Algérie toujours avant les élections c'est la pêche aux voix. Soyons fiers de ce que nous sommes, les derniers descendants nés sur notre terre natale quand l'Algérie était Française.
     
    Avec les communistes nous avons que des guerres ,une horreur ses gauchos collabos.
     
    Ils on attendu 130 pour nous faire la Guerre nous les civils européens nous étions pour rien de notre côté il y avez aussi des pauvres en raconte toujours cette guerre dans le même sens.

    Avec un tant soit peu de recul , disons sans à priori , TOUT LE MONDE doit voir la vérité , sinon c'est salir et mentir par idéologie dégueulasse ! la FRANCE a crée l'Algérie et a été trahie par l' idole de son peuple De Gaulle , et tout le problème est là : le manque de culture et de volonté de savoir d'un peuple de sujets asservis qui n'écoute que ce qui lui évite d'avoir à agir ou réfléchir : C'EST LA FRANCE et depuis plus de 70 ans !!
    "Tout le monde, absolument tout le monde aurait le droit d’avoir des racines, d’être attaché, d’aimer le pays de naissance, tout le monde sauf nous.
     
    Nous, pour la plupart, dont la famille était implantée en Algérie depuis 1830, nous, nous n’aurions que le droit de nous taire, de disparaître dans les poubelles de l’histoire. Nous serions le mal et nous aurions fait le mal en Algérie. Je dis NON, ça suffit ! Assez de présenter toujours le même point de vue comme sur le documentaire d’Arte. Assez de la repentance. Cette guerre fût une horreur et les Français d’Algérie n’avaient rien demandé.
     
    Parlons plutôt aussi des mensonges de De Gaulle, parlons plutôt aussi des massacres du FLN, parlons plutôt aussi de ce qu’ils ont fait de l’Algérie depuis 1962. Cette présentation de l’histoire est scandaleuse. En droite ligne de l’analyse communiste de l’époque comme si le communisme n’avait pas fait « ses preuves » depuis…"
     
    La région s'appelait Numidie voir la carte jointe de 1814...ainsi la France ne peut pas avoir colonisé un pays qui n'avait pas d'existence...Ce n'est qu'en 1838 par décret du JO de la République Française que la région a été nommé Algérie...En 1830 l'armée française a mis fin aux activités de piraterie et d'esclavagisme de la régence Ottomane...il n'y avait ni gaz, ni pétrole ni phosphate...etc, ...mais le paludisme, le choléra, le typhus..etc...La région était ravagée par les guerres tribales et même l'honorable Émir Abdel Kader c'est allié à l'armée française pour stabiliser la région....etc., etc...Hélas ceux qui parlent de l'Algérie aujourd'hui sont soit des ignorants soit des Menteurs. 
     
    Peut être une image de carte et texte

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  • Nous vous avons bien compris Benjamin STORA !

    Benjamin Stora, l’historien (paraît-il) officiel, reconnu par Emmanuel Macron, a confirmé sur un quotidien algérien ce qu’il pense réellement de la « colonisation criminelle » pratiquée durant 132 années par la France sur ce territoire qui n’était pas encore l’Algérie :

    Entretien de Benjamin Stora dans le quotidien algérien, El Watan, à propos des questions mémorielles entre la France et l’Algérie. Propos recueillis par Nadjia Bouzeghrane le 5 Mars 2022

    El Watan : A l’appui du soixantième anniversaire des Accords d’Evian, on assiste, en France, à un flux inédit d’ouvrages, de colloques, de conférences, de documentaires audiovisuels programmés par les grandes chaînes de télévision, de films, de pièces de théâtre… Comment expliquez-vous cette effervescence académique, littéraire, artistique et médiatique ?

    Benjamin Stora : Effectivement, à l’approche du soixantième anniversaire de l’indépendance algérienne, se multiplient en France toutes sortes d’initiatives. En particulier, la diffusion, en mars 2022, de deux grands documentaires sur l’histoire de cette guerre, sur ARTE et France 2.

    (Merci Stora, nous eussions préférés qu’ARTE s’abstienne et réserve « les deux grands documentaires » pour une diffusion en Algérie, où ils auraient, très certainement, été mieux appréciés !)

    El Watan : Egalement, de nombreux ouvrages seront publiés, des témoignages d’acteurs de l’époque, ou des récits d’histoire.

    Stora : Ces ouvrages, colloques, conférences, documentaires tentent de faire le lien entre la colonisation et la guerre d’indépendance algérienne, alors que trop souvent la guerre est traitée avec une forme d’exceptionnalité. La tendance à ne parler « que » de la guerre d’Algérie est encore forte, mais on ne peut que se réjouir des voix qui dénoncent le système colonial dans son ensemble qui a produit beaucoup de violences.

    A droite, la position du général De Gaulle a été vivement contestée. A gauche, le vote des « pouvoirs spéciaux » en mars 1956, voté par un gouvernement socialiste, a précipité l’entrée de la France dans une guerre totale contre les nationalistes algériens, par l’envoi des appelés du contingent.

    El Watan : Vous avez remis en janvier 2021 au président Macron un rapport sur "Les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d'Algérie" qui a soulevé beaucoup de vagues de part et d’autre de la Méditerranée pour des raisons différentes. Avec un an de recul qu’est-ce qui, selon vous, est dans votre rapport à l’origine de toutes ces réactions ?

    Stora : La guerre d’Algérie continue de provoquer, en France, des passions, à construire des références et des symboles. Et les images des documentaires ou du cinéma, les actes de commémoration et les livres d’histoire n’arrivent pas, encore, à réconcilier, à résoudre le conflit des mémoires, cicatriser les ruptures anciennes, créer du positif. Les effets des traumatismes liés à la guerre d’Algérie ont été longtemps sous-estimés. On peut distinguer les symptômes liés au traumatisme lui-même, à la nature et au degré de la violence perpétrée (ou subie) en particulier la torture ou les liquidations extra-judiciaires (les « corvées de bois ») ; et les ruptures que la situation de guerre a entrainé : le déplacement hors de sa vie familiale et professionnelle, la perte d’un proche.

    El Watan : Ne faudrait-pas commencer par une reconnaissance officielle et solennelle du passé colonial de la France à l’adresse de l’Algérie ?

    Stora : Différents discours ont été prononcés comme celui de l’ambassadeur de France en 2005 sur les massacres de Sétif, ou celui de François Hollande à Alger en 2012 contre la brutalité du système colonial. J’ai dit dans mon rapport qu’il fallait un discours, mais cela ne suffira pas. J’ai ainsi donné l’exemple du Japon qui a présenté des excuses à l’égard de la Chine et de la Corée, pour les massacres commis. Pour l’Algérie, un seul discours de condamnation du système colonial ne pourra pas éteindre instantanément un incendie mémoriel d’une telle ampleur. C'est une illusion confortable de penser cela. Il faut tout un travail de pédagogie en direction des jeunes générations, en particulier par le biais de l'éducation, avec la volonté politique de le mener à bien. Cela prend du temps, mais il y a un début de mise en œuvre des préconisations de mon rapport qui vont dans ce sens.

    El Watan : Avez-vous la conviction que votre rapport a produit ses effets ? Alors qu’une « Commission Mémoire » a été installée à l’Elysée pour assurer le suivi de vos préconisations ?

    Stora : Oui, ce rapport a produit des effets. Pour citer quelques réalisations : la reconnaissance par la France de l’assassinat de maitre Boumendjel (à la suite de la reconnaissance de l’assassinat de Maurice Audin) ; l’ouverture plus large des archives françaises ; l’hommage rendu par le Président français aux militants algériens tués à Paris le 17 octobre 1961 ; la relance du projet de mise en œuvre d’un Musée d’histoire de la France et de l’Algérie à Montpellier ; la tenue d’un grand colloque à la BNF et à l’IMA consacré à des figures qui se sont opposés à la colonisation, et qui a rassemblé près de 500 participants, avec les contributions de 30 universitaires ; la reconnaissance de l’assassinat des neuf militants français tués au métro Charonne dans une manifestation anti-OAS ; le discours de pardon aux harkis, abandonnés par le gouvernement français en 1962 ; l’inauguration d’une stèle à Amboise en hommage à l’Emir Abdelkader ; la pose d’une plaque devant le camp de Thol dans l’Ain, où étaient emprisonnés, sans jugements, les militants Algériens entre 1957 et 1962… Les reproches n’ont pas manqué sur tel ou tel discours ou des actes accomplis en France, mais il a été réalisé en un an, plus de geste qu’en 60 ans de présidence française pour dénoncer la colonisation… C’est un travail de pédagogie essentiel, autour de lieux, de personnages, d’événements, qui commence, je l’espère, en dépit des discours très violents de l’extrême-droite contre mon rapport.

    Je me situe plutôt dans la lignée des historiens-citoyens-engagés, comme le furent Pierre Vidal-Naquet, André Mandouze ou André Nouschi. Parmi les préconisations proposées dans mon rapport, et réalisées, il y a eu la mise en place d’une « bourse André Mandouze » pour favoriser la recherche en France de chercheurs algériens, accéder plus facilement aux archives françaises. J’espère que la production algérienne (dans le domaine académique, mais aussi cinématographique ou littéraire) sera plus importante dans l’avenir.

    * « Nous vous avons compris », Benjamin Stora, les Algériens peuvent vous remercier « pas nous ! »


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