• Le plus grand déplacement de population du vingtième siècle.

    Petite remise en mémoire concernant un des plus grand déplacement de population du vingtième siècle.

    Français d'Algérie : une histoire occultée« Il y a cinquante deux ans, la tragédie de l'Algérie française prenait fin par l'exode massif des pieds-noirs vers la métropole. Concentrant sur eux l'opprobre attachée, désormais, au passé colonial de la France, ils virent leur histoire caricaturée, niée ou inversée.

    3 juillet 1962 : le général de Gaulle reconnaît officiellement l'indépendance de l'Algérie. Deux jours plus tard, à Oran, environ quinze cents Européens seront massacrés ou enlevés, dans l'indifférence générale de la métropole. Pour elle, la page de l'Algérie est tournée. Trois mois auparavant, le 8 avril, 17,5 millions d'électeurs métropolitains (les Européens d'Algérie n'ont pas été consultés), soit 90,7 % des suffrages exprimés, ont approuvé par référendum les accords d'Évian, signés le 18 mars, cédant l'Algérie au FLN. 7,7 millions se sont abstenus. Seuls 1,8 million d'électeurs ont voté « non ».

    En cet été 1962, les Français ne songent qu’à partir en vacances. Ils n'ont que faire du drame d'Oran. De même, n'ont-ils que faire, à de rares exceptions près, du sort de leurs compatriotes d'outre Méditerranée qui, ayant dû abandonner précipitamment leurs foyers, leurs biens, leurs morts, leurs souvenirs, débarquent, hagards, apeurés, démunis de tout. Pas le moindre regard de compassion. Au mieux, une indifférence glaciale.
    En cet été 1962, les Français ne songeaient qu'à partir en vacances...

    Froideur, également, des autorités. N'ayant envisagé, contre tout réalisme, que l'arrivée de deux cent mille réfugiés - sur une population d'un peu plus d'un million -, échelonnée sur plusieurs années, celles-ci n'ont prévu que des structures d'accueil réduites au minimum. Or, en quelques semaines, c'est un demi million de personnes qui ont fui l'Algérie dans les pires conditions. Elles sont hébergées à la hâte dans des casernes, des écoles, voire de simples camps de toile.
    Cette imprévoyance matérielle, à laquelle s'ajoute, bien souvent, la malveillance de certains fonctionnaires, ne sera compensée par aucun geste, aucune parole officielle susceptible de répondre à la détresse morale de ces malheureux.
    L'exemple est donné par le chef de l'État. Jamais, il n'exprima le moindre mot de sympathie pour les Français d'Algérie. Alain Peyrefitte rapporte dans le deuxième volume de ses conversations avec le général de Gaulle, " C'était de Gaulle " (Fayard/De Fallois, 1996), qu'ayant préparé à son intention un projet de discours aux « rapatriés » disant, en substance, que « la mère patrie leur ouvre tout grands les bras », il s'entendit répondre : « Vous n'avez qu'à leur dire ça à la télévision ! » Protestant que cela n'aurait pas « le millième de l'impact» que si cette allocution était prononcée par lui, Peyrefitte se fit ainsi rembarrer :
    « C'est votre travail. Vous avez été mis à ce poste pour ça ! »

    Silence, aussi, des « intellectuels » qui donnent le ton à Saint-Germain-des-Prés. La plupart d'entre eux ont soutenu la cause du FLN. « Aucune grande voix ne s'est élevée en leur (celle des "rapatriés") faveur, soulignait, alors, l'historien Philippe Ariès dans l'hebdomadaire La Nation française (n° du 4 avril 1962) : pas de Michelet ni de Lamennais, ni de Proudhon. Peut-être Camus, s'il avait vécu ? ».
    Silence, enfin, des Églises. Cela valait mieux car lorsqu'elles le rompaient, c'était généralement pour condamner moralement les victimes et les inciter au repentir.
    Les Français d'Algérie découvraient ainsi, brutalement, que la « mère patrie », que beaucoup ne connaissaient pas, dont ils s'étaient fait une représentation idéale et pour laquelle ils avaient éprouvé, depuis des générations, un amour ardent (qu'ils prouvèrent, notamment, à l'occasion des deux guerres mondiales) était devenue pour eux une marâtre.
    Aux blessures de l'exil s'ajoutaient celles, plus profondes encore, causées par l'opprobre dont ils étaient maintenant l'objet.
    En effet, aux yeux d'une majorité de Français de métropole, les pieds-noirs n'étaient, grosso modo, que des « colons » qui s'étaient enrichis en faisant « suer le burnous ».
    Forgée, peu à peu, tout au long des huit années du conflit algérien, cette image a fini par s'imposer à eux comme une vérité. «
    A lire une certaine presse, remarquait déjà Albert Camus en 1955, il semblerait vraiment que l'Algérie soit peuplée d'un million de colons à cravache et à cigare, montés sur Cadillac.
     » François Mauriac s'illustra particulièrement dans ce registre, dans son Bloc-notes de l'Express, puis du Figaro Littéraire.

    En dépit d'un vif sentiment d'injustice face à cet opprobre, nombre de « rapatriés » resteront longtemps silencieux, mettant toute leur énergie à rebâtir une existence nouvelle (un rapport de la Documentation française de mars 1976 soulignera, à ce propos, la réussite exemplaire, dans l'ensemble, de leur intégration économique). Tant et si bien que le portrait péjoratif qui a été brossé d'eux entre 1954 et 1962 s'est perpétué dans l'imaginaire collectif. Au point de brouiller totalement leur véritable histoire, leur singularité.

    « Une histoire qui est niée, caricaturée ou inversée », écrit Jeannine Verdès- Leroux, directeur de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques, dans une récente étude intitulée Les Français d'Algérie de 1830 à aujourd'hui. Une page d'histoire déchirée (Fayard, 2001).
    Pour restituer cette histoire et cette singularité dans leur réalité vécue, elle a complété son appareil documentaire de cent soixante-dix témoignages de « rapatriés », recueillis sur plusieurs années, de tous âges, de toutes origines et de toutes conditions.
    Ceux-ci soulignent tous le désarroi dans lequel les a plongés la culpabilisation dont ils ont fait l'objet. Désarroi d'autant plus profond que, résultat d'un brusque renversement à 180 degrés, cette culpabilisation a succédé à une longue période où la République n'eut de cesse de chanter leurs mérites. »

    Régis Constant « la nouvelle revue de l'histoire » N°1 juillet-août 2002 ( Extrait)

    http://exode1962.fr/?fbclid=IwAR2-I1FlBY8GebfQsQpOqkaI6OF7pg38Eay9UifptCD1y31Do6mfNGFfrNg


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  • L'avocat du FLN Ali BOUMENDJEL était loin d'être un Saint .
    Emmanuel MACRON et son camarade, l'historien trotskyste Benjamin STORA nous ont bien caché le côté criminel de l'Avocat BOUMENDJEL .
    Ces deux inséparables ont pris pour argent comptant les écrits du général Paul AUSSARESSES qui avouait dans ses mémoires que la mort du militant nationaliste avait été maquillée en suicide....
    "Au coeur de la Bataille d'Alger, il fut arrêté par l'armée française, placé au secret, torturé, puis assassiné le 23 mars 1957", a détaillé l'Élysée dans un communiqué".
    Sauf que le Président de la République a passé sous silence le début du récit des mémoires d'AUSSARESSES. (Merci à mon ami Raoul Garah de nous le rappeler) :
    Voici le texte, dont l'Elysée et l'Historien trotskyste STORA n'en ont fait mention nulle part :
    ((Le 2e RPC commandé par Fossey François fût informé du meurtre de 3 Français. UN JEUNE COUPLE ET LEUR BÉBÉ avaient été abattus au sud d'Alger alors qu'ils se déplaçaient sur un deux-roues. Les meurtriers, des voyous musulmans....
    Avant d'être exécutés, les tueurs à gages avouèrent que cet assassinant avait été ordonné et financé par un très brillant avocat, Ali Boudmenjel. qui voulait par cette action spectaculaire substituer une légende de terroriste à l'image d'un dandy mondain qui lui collait à la peau
    Comme d'autres leaders du FLN et notamment Yacef Saadi Boumendjel était exaspéré par la popularité du truand Ali la pointe qui commençait à passer pour le Robin des bois algérien et échappait régulièrement à nos patrouilles en s'habillant en femme....
    Après avoir feint de se suicider, ce qui avait valu un séjour à l'hôpital, Boumendjel avait révélé sans difficulté et sans qu'il soit nécessaire de le soumettre au moindre sévice son rôle dans l'attentat qui lui été reproché et pour lequel il avait même fourni une ARME PERSONNELLE, un pistolet 7,65. Il avait également précisé qu'il jouait un rôle effectif et important au FLN.
    Comme Boumendjel était un notable, aucune décision n'avait été prise à son sujet. .. Compte tenu de sa notoriété la solution la moins risquée était de transférer le prisonnier à la justice, ce qui lui garantissait l'impunité. Nous ne pouvions guère retenir contre lui que le minimum: le fait d'avoir fourni une arme. Il y avait bien une complicité avouée d'assassinat, mais il ne faisait guère de doute que, sitôt présenté à un juge d'instruction, il se rétracterait et serait remis en liberté après que son frère (aussi avocat célèbre) aurait passé quelques appels téléphoniques.
    Il fallait prendre un engagement décision. Le 23 mars 1957, nous avons délibéré avec Fossey-Francois, T'inquiète et Massu pour savoir ce que nous allions faire d'Ali Boumendjel...))
     
    Groupe de NON A Benjamin STORA

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  • LA MAIRIE DE STRASBOURG FINANCE UNE MOSQUÉE TURQUE AVEC L'ARGENT DU CONTRIBUABLE

    QUE DIT DARMANIN ?

    RIEN PARCE QU'IL EST ARABO-MUSULMAN ! cela va de soi !

    Il y a 5 ans, nous avions le même problème avec la musulmane ministre de l'Éducation Belkacem comme aujourd'hui nous l'avons avec le ministre de l'Intérieur Moussa Darmanin, que des "présidents" pro islamiques ont nommés à des postes-clés que nous, Européens respectueux des lois, ne pouvons accepter.

    Depuis décembre 1905, une loi a été votée, séparant les églises de l'État et dit, précisément, dans son article 2 :

    ""La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l'État, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l'exercice des cultes.""

    Ce n'est quand même pas compliqué !

    Avouez que, pour tout Français sachant lire, il n'y a aucun lézard dans cet article ni dans la Loi dans son entier.

    Alors, quel est ce grain de sable qui fait coincer le bon déroulement des Lois de notre République ?

    C'EST L'ISLAM ET LES ISLAMIQUES

    Il y a cinq ans j'avais lu un article très intéressant publié sur Riposte Laïque que je vous propose de lire, ici.

    Rien n'a changé en France depuis le temps que nous dénonçons ces dérives. Je dirai même que tout s'est aggravé considérablement avec un "patron de la police et du culte"qui est lui même arabo-musulman.

    ARTICLE DE RIPOSTE LAÏQUE

    Belkacem a confirmé qu’elle est d’abord musulmane, puis arabe et, enfin , à moitié française

    Voilà une « grosse » affaire d’Etat, provoquée par des musulmans, qui divise la caste politique française et, franchement, on s’en contrefout.

    Le peuple français, lui, est presque unanimement d’accord sur le fait que les musulmans commencent sérieusement à nous gonfler avec leur religion.

    Depuis deux ou trois jours, les media et les réseaux sociaux tweeter ou facebook nous ont envahis d’images montrant des policiers niçois verbalisant une musulmane en djellaba de baignade et l’obligeant à se dévêtir.

    Ce qui est absolument faux. Mais c’est bien le but de cette propagande.

    Ces images provenant d’une agence de presse anglaise ont déclenché une « indignation générale » qui frise l’hystérie en France et à l’étranger et s’est immédiatement transformée en appel au meurtre et à l’égorgement desdits policiers.

    Leurs photos non floutées sont publiées et il est conseillé, dans un post, aux futurs assassins : « En plus des photos, on peut mettre directement l’adresse des policiers, pour un égorgement plus rapide ».

    Mais « l’appel à égorger » les policiers français qui se permettent d’appliquer la loi, circule très vite et prend une véritable tournure de guérilla. Une guérilla initiée par… toujours les mêmes !

    Une plainte contre X pour menaces écrites et outrage à des personnes détentrices de l’autorité publique a été déposée par la Mairie de Nice.

    Guérilla ou guerre de religion ?

    A l’origine de l’affaire, des musulmans s’étant appropriés, illégalement, une plage publique, ont été furieux d’y voir une européenne se baigner les seins nus. Non pas parce qu’elle était laide mais parce que leur religion interdit à une femme de montrer son corps. D’ailleurs, au même moment, une femme de leur groupe se baignait avec burkini ou voile, bref, elle se baignait habillée.

    Nous savons, tous, comment ça a fini à Sisco, petit village tranquille et sympathique du Cap Corse.

    Résumons :

    1/ Si un Français porte une tenue, en contradiction avec les diktats du Coran, qui donc, blesse leurs croyances, ils sont en droit de punir voire, d’attaquer physiquement, le contrevenant à leur dogme islamique.

    2/ Si les Français voient un musulman portant une tenue religieuse contraire à l’esprit laïque qui régit la République Française, ils ont tort. Ils sont racistes. Ils sont islamophobes.

    C’est, à peu de chose près, le « dilemme » sur lequel le Conseil d’Etat décidera cet après-midi après avoir entendu, hier, en présence d’une nombreuse assistance, les défendeurs pro islamistes du burkini. Nous nous doutons bien que la « nombreuse assistance » comptait plus de musulmans que de non musulmans.

    A force de vouloir nous imposer leur religion, les musulmans nous forcent à détester tout ce qui la représente. A commencer par les musulmans eux-mêmes.

    Depuis trop longtemps, déjà, les problèmes qu’ils nous occasionnent obligent la Loi française à se manifester. Malheureusement, nous l’avons vu, celle-ci préfère concéder par faiblesse à leurs revendications, toujours plus contraignantes en matière religieuse.

    On a eu le foulard. On a eu le hijab. On a eu le tchador. On a le burkini et ce n’est pas fini ! (NDLR : Maintenant on a les constructions de mosquées à nos frais)

    Mais pourquoi et de quelle manière ce morceau de tissu est-il devenu une affaire d’État ?

    Plusieurs maires ont décrété que ces « burkinis » seraient dorénavant interdits sur les plages de leur commune. Ce qui est leur droit puisqu’ils ont le devoir de faire régner l’ordre chez eux.

    Valls leur donne raison.

    Belkacem, la musulmane marocaine, leur donne tort.

    Hollande, toujours égal à lui-même, répond ni oui ni non.

    Voici quelques échanges entre les « artistes » qui dirigent la France.

    Belkacem : « Les arrêtés anti-burkini libèrent la parole raciste, il y a là une dérive politique grave […] Jusqu’où va-t-on pour vérifier qu’une tenue est conforme aux bonnes mœurs ?»

    Valls : « Ces arrêtés ne sont pas une dérive (…) Ces arrêtés ont été pris au nom même de l’ordre public. »

    Hollande : « la vie en commun [en France] est un grand enjeu et suppose que chacun se conforme aux règles et qu’il n’y ait ni provocation ni stigmatisation ».

    Ha ! Ce vivre-ensemble si cher aux politiques qui vivent, eux, bien loin de cette mixité.

    Sauf que cette mixité est devenue impossible du fait même des Arabes et non de la faute des Français européens. Les Européens aimeraient bien continuer à vivre à l’européenne, non ? Les Arabes, eux, veulent continuer à vivre comme des Arabes. Mais ils n’habitent pas en pays musulman, ils habitent en Europe. Et c’est là, la pierre d’achoppement.

    Que ce soit la Belkacem qui ait trouvé à redire sur la position de Valls est tout à fait dans la droite ligne des problèmes que les Français vivent aujourd’hui.

    (NDLR : Comme aujourd'hui, avec Darmanin qui charge le CSA de verrouiller CNews pour interdire Zermmour)

    Parce que la Belkacem est d’abord musulmane, ensuite elle est arabe et, pour finir, elle n’est qu’à moitié française......

    Je vous laisse le soin de lire la suite en suivant le lien en fin d'article.

    Tant que nos gouvernants n'auront pas compris qu'un musulman ne peut pas être compatible avec la loi de la République et qu'ils continueront de les nommer à des postes de responsabilité, ils favorisent l'arabisation-islamisation de la France qui arrive à grands pas.

    Belkacem a confirmé qu'elle est d'abord arabe, puis musulmane et enfin française - Riposte Laïque
     
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    Belkacem a confirmé qu'elle est d'abord arabe, puis musulmane et enfin française - Riposte Laïque

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