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    L'avocat du FLN Ali BOUMENDJEL était loin d'être un Saint .
    Emmanuel MACRON et son camarade, l'historien trotskyste Benjamin STORA nous ont bien caché le côté criminel de l'Avocat BOUMENDJEL .
    Ces deux inséparables ont pris pour argent comptant les écrits du général Paul AUSSARESSES qui avouait dans ses mémoires que la mort du militant nationaliste avait été maquillée en suicide....
    "Au coeur de la Bataille d'Alger, il fut arrêté par l'armée française, placé au secret, torturé, puis assassiné le 23 mars 1957", a détaillé l'Élysée dans un communiqué".
    Sauf que le Président de la République a passé sous silence le début du récit des mémoires d'AUSSARESSES. (Merci à mon ami Raoul Garah de nous le rappeler) :
    Voici le texte, dont l'Elysée et l'Historien trotskyste STORA n'en ont fait mention nulle part :
    ((Le 2e RPC commandé par Fossey François fût informé du meurtre de 3 Français. UN JEUNE COUPLE ET LEUR BÉBÉ avaient été abattus au sud d'Alger alors qu'ils se déplaçaient sur un deux-roues. Les meurtriers, des voyous musulmans....
    Avant d'être exécutés, les tueurs à gages avouèrent que cet assassinant avait été ordonné et financé par un très brillant avocat, Ali Boudmenjel. qui voulait par cette action spectaculaire substituer une légende de terroriste à l'image d'un dandy mondain qui lui collait à la peau
    Comme d'autres leaders du FLN et notamment Yacef Saadi Boumendjel était exaspéré par la popularité du truand Ali la pointe qui commençait à passer pour le Robin des bois algérien et échappait régulièrement à nos patrouilles en s'habillant en femme....
    Après avoir feint de se suicider, ce qui avait valu un séjour à l'hôpital, Boumendjel avait révélé sans difficulté et sans qu'il soit nécessaire de le soumettre au moindre sévice son rôle dans l'attentat qui lui été reproché et pour lequel il avait même fourni une ARME PERSONNELLE, un pistolet 7,65. Il avait également précisé qu'il jouait un rôle effectif et important au FLN.
    Comme Boumendjel était un notable, aucune décision n'avait été prise à son sujet. .. Compte tenu de sa notoriété la solution la moins risquée était de transférer le prisonnier à la justice, ce qui lui garantissait l'impunité. Nous ne pouvions guère retenir contre lui que le minimum: le fait d'avoir fourni une arme. Il y avait bien une complicité avouée d'assassinat, mais il ne faisait guère de doute que, sitôt présenté à un juge d'instruction, il se rétracterait et serait remis en liberté après que son frère (aussi avocat célèbre) aurait passé quelques appels téléphoniques.
    Il fallait prendre un engagement décision. Le 23 mars 1957, nous avons délibéré avec Fossey-Francois, T'inquiète et Massu pour savoir ce que nous allions faire d'Ali Boumendjel...))
     
    Groupe de NON A Benjamin STORA

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