• La biographie du prince Charles par Catherine Mayer embarrasse la monarchie : selon l'auteure du livre qui sort jeudi 5 février au Royaume-Uni, le fils d'Elisabeth II a été pris d'un doute la veille de son mariage avec la future princesse DianaCharles aurait confié à l'un de ses proches être « désespéré » et « ne pas pouvoir » l'épouser.

    Reine des princesses tristes au destin tragiqueLady Di n'était pas « la fille de la campagne joviale » qu'il espérait, mais une femme compliquée et vulnérable, souffrant de troubles de l'alimentation.

    Des doutes émis par le prince qui trouvent écho dans ceux de la princesse de Galles, rapportés par son biographe Andrew Morton : « Je ne peux pas me marier à lui. Je ne peux pas le faire, c'est absolument incroyable », a confié Diana Spencer à ses sœurs avant le mariage de 1981. « Elle ne savait que son futur mari avait dû, lui aussi, être conforté avant d'arriver devant l'autel », écrit Catherine Mayer dans Charles : Heart of a KingDiana et Charles divorcent quinze ans plus tard, en 1996.

    Buckingham Palace, qui a tenté d'empêcher la sortie du livre, a expliqué que la biographe a extrapolé les propos du prince, tirant d'un entretien de 9 minutes avec Charles une biographie complète. L'auteure s'attarde aussi sur la confiance accordée à Jimmy Saville, présentateur vedette anglais, très proche de Charles, dont la réputation a été sévèrement entachée à sa mort à cause d'un scandale pédophile de grande ampleur.

    https://www.vanityfair.fr/actualites/articles/lady-di-autel-prince-charles/23881


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  • La Fnaca et le rapport Stora : traître un jour, traître toujours

    L'auteur

    « Les événements font plus de traîtres que les opinions. » (François-René de Chateaubriand).

    À la suite de mon article sur le « rapport Stora », un de mes lecteurs me déclare qu’il ne comprend pas ma position sachant, je cite, « que la plus grosse association d’anciens d’Algérie, la FNACA, est très favorable à l’idée d’échanges apaisés entre l’Algérie et la France ».
    Autour de moi, beaucoup de gens ne comprennent pas pourquoi je m’insurge contre la commémoration du 19 mars 1962. Alors que, depuis François Hollande, le 19 mars serait « la date officielle de la fin de la guerre d’Algérie ». Les mêmes me font sottement remarquer que cette date a été « légalisée » par le Parlement ; elle serait donc aussi importante pour les Français que le 8 mai, le 11 novembre ou le 14 juillet. C’est une ineptie, doublée d’une félonie !

    Combien de fois faudra-t-il que je répète qu’un citoyen est d’abord et avant tout un homme libre ? Ce n’est pas un « béni-oui-oui » : il doit avoir conscience de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas. Il doit aussi faire la distinction entre le Bien et le Mal. Or, ce qui est « légal » (ou officiel) n’est pas forcément normal ou encore moins moral. Dans notre histoire, les exemples ne manquent pas.
    Le plus monstrueux est, pour moi, la « loi Veil » de 1975, légalisant l’interruption volontaire de grossesse (IVG). On s’est arrogé le droit de tuer l’« infans conceptus », cet « enfant à naître » qui a des droits depuis la plus haute antiquité. Mais que les féministes, au cri de « notre ventre nous appartient ! », ont condamné à mort. Depuis la « loi Veil », à raison de 230 000 IVG par an (chiffre officiel), la France a tué plus de 9 millions de petits Français ; 50 % de victimes de plus que… la Shoah (1), c’est tout simplement monstrueux !

    La France actuelle s’émeut du sort des ours pyrénéens, des porcs ou des volailles élevés en batterie et de la « souffrance animale », mais pas du massacre légalisé de SES enfants.
    En 1981, les socialistes ont aboli la peine de mort et nous sommes arrivés à cette aberration : en France, on n’a plus le droit de tuer que… des innocents.
    Les économistes vous diront que « la natalité française n’a pas eu à en souffrir »: vaste foutaise !!! Nous sommes, en fait, devant un phénomène de « remplacement de population ». Car, au sein de la « diversité » – celle qui voudrait nous imposer la charia – on n’avorte pas ; on se reproduit comme des lapins. J’ajoute – tant pis si ça déplaît ! – que les 9 millions de petits Français que nous avons tués légalement auraient pu nous être bien utiles lors d’une éventuelle « Reconquista » (2).

    Faut-il rappeler aussi que la « légalité républicaine » est souvent à géométrie variable ?
    Les juridictions d’exception qui ont fait fusiller Bastien-Thiry, Degueldre, Piegt et Dovecar étaient totalement illégales (puisqu’elles interdisaient tout appel ou pourvoi en cassation) (3).
    Je pourrais citer aussi l’article 35 de la Constitution de 1793 qui stipule que :
    « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
    Ce qui n’a pas empêché la Convention de faire massacrer 300 000 Vendéens qui voulaient seulement défendre leur fief, leur foi et leur roi. Souvenons-nous que le gouvernement de Jacques Chirac, par la loi du 29 janvier 2001, a fait reconnaître par la France le génocide… arménien de 1915. J’attends encore que mon pays, si prompt à donner des leçons au monde entier et à faire acte de « repentance », reconnaisse le « populicide » vendéen.

    Un citoyen normal n’est pas obligé d’adhérer bêtement aux tendances « sociétales » votées par nos députés par pur clientélisme : ce n’est pas parce qu’un gouvernement socialiste a fait voter la « loi Taubira » autorisant les invertis à se marier entre eux que j’aspire aux derniers outrages, ni même à m’afficher au bras d’un giron.
    Sur l’Algérie française, j’ai déjà écrit quatre livres (4). Aussi, au risque de me répéter, je rappelle :

    a)- Que la date de la fin de la guerre d’Algérie (proclamation d’indépendance) est le 5 juillet 1962. Le 18 mars (et non le 19) est celle de la signature des « Accords d’Évian ».

    b)- Entre ces deux dates, 670 soldats français seront (encore) tués par l’ALN qui ne respectera jamais la trêve décrétée par les Accords d’Évian. Seule l’armée française déposera les armes.
    c)- APRÈS les accords d’Évian, 3 000 pieds-noirs seront enlevés par le FLN. Des femmes finiront dans les bordels de l’ALN, des hommes termineront leur vie de forçats dans des mines.
    La plupart d’entre eux seront « portés disparus » et le sont encore aujourd’hui.
    d)- 120 à 150 000 harkis, fidèles à la France, seront livrés désarmés aux égorgeurs du FLN.
    Ils seront torturés, émasculés, brûlés vifs, massacrés ainsi que leurs familles, avec la neutralité bienveillante, voire la complicité du gouvernement français. Ce chiffre de 150 000, que certains historiens engagés mettent en doute, émane d’Ahmed Ben Bella lui-même.
    e)- Lors de l’indépendance de l’Algérie, un million de pieds-noirs devront quitter le pays « une main devant, une main derrière », en abandonnant tout, car on leur laissait le choix entre « la valise ou le cercueil ». Les Accords d’Évian garantissaient pourtant leur vie et leurs biens…

    Donc, les gens qui, pour complaire à Macron, acceptent de collaborer avec l’ancien trotskiste Benjamin Stora sont soit d’une ignorance crasse, soit des traîtres, soit des salauds, soit des pleutres, soit des imbéciles. Et dans tous les cas, conscients ou non, ils insultent nos morts !
    Parlons maintenant de la FNACA, car cette association vaut son pesant de moutarde (ou de « Ketchup » pour rester dans le rouge !) : La « Fédération Nationale des Anciens Combattants en Algérie, Maroc et Tunisie » (FNACA) est, comme son nom l’indique, une association d’anciens combattants d’Afrique du Nord. Mais quelle est, en fait, sa genèse ?
    En 1958, trois associations d’appelés et de rappelés de la guerre d’Algérie se réunissent pour former la « Fédération Nationale des Anciens d’Algérie » (FNAA): le « Groupement des Rappelés et Maintenus » (GRM) créé en novembre 1956, d’obédience socialiste ; l’ « Association des Anciens d’Algérie » (AAA) créée au début de l’année 1957 par Jean-Jacques Servan-Schreiber, proche du Parti Radical ; et l’ « Association Nationale des Anciens d’Algérie » (ANAA) créée en février 1958, qui est un sous-marin du Parti communiste français.

    Jean-Jacques Servan-Schreiber en est le premier président-potiche mais, en fait, le PCF tire les ficelles en coulisse. Citons cette phrase de « JJSS » qui résume bien les buts de l’association :
    « Nous défendons les droits légitimes de tous nos camarades, mais pour faire triompher ce que le général Pâris de Bollardière a appelé « les valeurs morales qui ont fait la grandeur de notre civilisation »… et pour la Paix. »(5). En réalité, dès 1958, le PCF veut profiter de cette structure nouvelle pour nuire aux intérêts français en Algérie, au profit de l’URSS.
    En mars 1963, au 4e congrès à Noisy-le-Sec, on ajoute le « C » de combattant dans le sigle de la FNACA. La FNACA modifie ses statuts pour mieux marquer sa volonté de faire reconnaître le titre de « combattant » aux deux millions d’appelés qui ont traîné leurs guêtres en Algérie durant trois mois au moins. Même si beaucoup d’entre eux ont servi comme fourrier ou cuistot au mess de leur régiment et n’ont jamais vu un fellagha autrement qu’en photo.

    En 1965, le bellâtre « JJSS » abandonne la présidence de la FNACA : le clown, qui lui donnait une respectabilité, a terminé son tour de piste. JJSS peut continuer à distiller ses idées de gauche libérale dans l’« Express », le torchon anticolonialiste qu’il a fondé à l’âge de 29 ans.
    L’appareil de la FNACA reste aux mains des communistes qui vont faire, durant des années, des pieds et des mains pour que la France reconnaisse officiellement le 19 mars.
    Je rappelle aux gens qui ont la mémoire courte ce que disait François Mitterrand, lors d’une conférence de presse télévisée le 24 septembre 1981 : « les morts de la guerre d’Algérie seront honorés chaque année à une date qui ne pourra être le 19 mars, pour des raisons évidentes… ».
    François Mitterrand n’est pas, que je sache, un sympathisant de l’Algérie française.
    Quelques jours après cette conférence, le 29 septembre, se tenait une réunion au ministère des Anciens Combattants : 27 associations patriotiques et/ou d’anciens combattants (sur 29 consultées) se sont déclarées opposées aux célébrations du 19 mars.
    En septembre 1981, le « Quotidien de Paris », attaqué par la FNACA, écrivait :

    « Michel Sicart (secrétaire général), Serge Perronet (trésorier), Michel Sabourdy (presse), etc. qui occupent des postes importants à la FNACA sont des responsables bien connus du PCF…
    Effectivement ils ne sont pas d’« obédience communiste » puisqu’ils sont communistes ! »
    Citons encore cet article de « l’Humanité » en date du 1er juillet 1983 car il résume assez bien les intentions de la FNACA et de son allié, le PCF.

    « Hier, au siège du Comité central du PCF, une délégation de la FNACA a été reçue par Georges Marchais, secrétaire général du parti, Étienne Fajon et Henri Costa, membres du Comité central, et Roland Renard, député de l’Aisne… Au cours de la rencontre, les représentants de la FNACA – Maurice Sicart, secrétaire général, Jean Cavan, secrétaire national, et Serge Péronnet, trésorier – ont rappelé les principales revendications de leur association non encore satisfaites…
    L’entretien a mis en évidence l’accord complet du Parti Communiste avec les justes demandes de la FNACA, qui ont été fermement défendues et continueront de l’être par les élus communistes à l’Assemblée nationale et au Sénat… Les deux délégations ont constaté à nouveau la concordance de leurs vues sur la commémoration annuelle du cessez-le-feu qui a mis un terme à la guerre d’Algérie le 19 mars 1962. Elles ont souligné la nécessité de poursuivre l’action afin que le 19 mars devienne la journée officielle du souvenir… À propos des décisions prises par diverses municipalités d’opposition qui ont débaptisé des rues ou places du 19 mars. Les deux délégations ont exprimé leur indignation à l’égard de ce comportement qui est une injure à la mémoire et aux familles des 30 000 jeunes Français tombés(6) au cours de la guerre d’Algérie… »

    Est-il utile d’en rajouter ? Faut-il s’étonner que la FNACA cautionne le « rapport Stora » ?
    On me dit assez régulièrement que beaucoup d’anciens d’AFN sont à la FNACA « sans savoir  ce qu’il y a derrière ». Qu’ils y adhèrent « pour retrouver des copains ». Mais il existe en France des centaines d’associations patriotiques, régimentaires, d’armes, ou d’anciens combattants.
    On n’est pas obligé d’adhérer à celle qui a encarté dans ses rangs des « porteurs de valises » du FLN, des traîtres et des déserteurs : ne finançons pas la corde pour nous pendre !
    Personnellement, en 2018, j’ai claqué la porte d’une association d’anciens parachutistes dont j’étais adhérent depuis… 38 ans, parce que son général-président ne trouvait rien de choquant à la déclaration de Macron sur les « crimes contre l’humanité » en Algérie. Et qu’il ne s’est pas indigné quand Macron, devenu président de la République entre-temps, est allé salir l’armée française chez la veuve du traître Maurice Audin. Il y a des valeurs sur lesquelles on ne doit pas transiger.

    Quant aux naïfs et aux « Bisounours », je leur dis qu’on n’est pas obligé d’être inculte, idiot ou aveugle : la « politique de l’autruche », la tête dans le sable et le cul à l’air, n’est jamais une bonne chose ; sauf, bien sûr, pour ceux qui aiment exposer leurs arrières.

    Éric de Verdelhan

    1) Une loi portée par une rescapée de Ravensbrück, ça laisse pantois ! Au soir de sa vie, madame Veil regrettait amèrement les dérives de sa loi. Depuis, elle repose au Panthéon.
    2) N’ayant aucune envie d’être poursuivi pour « incitation à la haine raciale », je n’en dirai pas plus…
    3) Idem pour les juridictions chargées, à la Libération, de juger les « collabos » ou présumés tels.
    4) « Requiem pour l’Algérie française » (2012), « Un homme libre » (2013), « Oran le 5 juillet 1962… » Edilivre ; 2017, « Hommage à NOTRE Algérie française » Dualpha ; 2019.
    5) Le général de Bollardière, traître à ses frères d’arme, a rejoint le pacifisme-écolo-gaucho-catho-de-gauche après la guerre d’Algérie.
    6)Il en est tombé 18 500 soldats français en Algérie dont 6 500 appelés du contingent. Ce chiffre de 30 000 appelés tués au combat est une affabulation du PCF.

     


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  • Les Français ont donné raison à Messiha, face aux abrutis Booba-Hanouna .

    L'auteur

    Toute ressemblance avec un rappeur intellectuel célèbre serait purement fortuite !

    Impossible qu’un citoyen normal, c’est-à-dire aimant son pays et ses valeurs, parmi lesquelles le respect dû à autrui, ne soit pas suffoqué d’indignation avec ce qui s’est produit chez Hanouna, où le rappeur Booba, abruti intégral, a réussi à faire virer Jean Messiha du plateau de TPMP, en tapant comme un fou sur son buzzeur… sous les rires hystériques de la bande de connards, choisis par l’animateur, et payés (sans doute grassement) par la chaîne !

    La règle du jeu, si j’ai bien compris (parce que c’est un jeu, paraît-il), est que lorsque l’un des chroniqueurs (ou gros niqueurs, au choix !) n’est pas d’accord avec ce que dit un invité, il peut le faire savoir en buzzant.

    Un être normal userait du buzzeur avec modération, n’étant pas utile de casser les oreilles de tous en buzzant à toute force, dix fois de suite… Le sujet du jour étant « l’influence du rap sur les jeunes », Booba, lui, n’a trouvé que cette réponse dès les trois premiers mots prononcés par Jean Messiha, déclarant que celui-ci ne l’aimait pas, et à l’intelligente réponse de celui-ci (qui n’a pu faire mouche compte tenu du QI de moule du rappeur), « je ne vous connais pas humainement, donc je ne sais pas, mais je n’aime pas votre rap », appelant un beuglant « moi je ne vous aime pas » en réponse !

    Certains diront qu’il a des excuses… je rétorque que la connerie, ça se soigne !

    Après la suite sur le même registre, Hanouna s’est scandaleusement vautré en adhérant au caprice à la con du primate, priant son invité de sortir en lui présentant d’hypocrites excuses…

    Mais si l’unique réponse du rappeur, presque essentiellement par buzzeur, peut paraître outrageante pour l’invité et les spectateurs « normaux », il apparaît néanmoins que cette démonstration de l’intolérance de ces gauchistes dépravés apporte une réponse flagrante au thème choisi : oui, avec de tels défenseurs, le rap ne peut avoir qu’une très mauvaise influence sur les jeunes… et les moins jeunes d’ailleurs, si l’on en juge les glapissements et ricanements stupides qui émaillaient chaque intervention du rappeur, persuadé qu’il se moquait de Messiha, quand c’est l’inverse !

    Indubitablement, Booba est KO debout par les rares phrases que Jean Messiha a réussi à placer, lançant par exemple un « donc vous nous invitez uniquement pour qu’on ferme notre gueule ! », car si ces mots n’ont apparemment pas pu se trouver un passage chez les cerveaux atrophiés des névrosés du plateau, ils ont certainement fait mouche chez les téléspectateurs dotés d’intelligence et d’humanité.

    https://youtu.be/H65LB7wxtIk

    https://www.fdesouche.com/2021/03/05/invite-a-debattre-sur-linfluence-du-rap-sur-les-jeunes-jean-messiha-est-immediatement-exclu-du-plateau-de-tpmp-par-booba-sous-les-rires-de-hanouna-et-de-ses-chroniqueurs/

    Tous ces tordus se sentent forts et persuadés d’avoir raison, et parce que s’imaginant les plus nombreux, ils pavoisent.

    N’ayant aucune conscience de ce que ressent le citoyen lambda, face aux multiples agressions, verbales, physiques et mortelles, venant aussi bien des ennemis externes (Africains et Maghrébins nourris à la haine de la France dès le biberon !), que de ceux qui sont censés les protéger, tel l’abominable lâche et fou furieux, prétendu président de la France, les réactions primaires de ces abrutis sont une triste constatation de ce qu’est devenu le niveau intellectuel moyen en France.

    Nous déplorons souvent que de vrais débatteurs de talent (Pierre Cassen et Christine Tasin pour ce qui nous concerne ici) ne soient jamais invités sur les plateaux télé, mais si c’est pour être confrontés à des cris de basse-cour, hurlements hystériques, grossièretés et injures… seuls registres de ces malades, c’est presque mieux.

    En revanche, savoir que de telles émissions sont largement suivies par les jeunes décervelés ajoute à la désespérance ; ce n’est certes pas ainsi qu’ils amélioreront leur vocabulaire et leur aptitude à réfléchir, débattre, et apprendre des autres.

    Et la question se pose : doit-on envoyer nos plus courageux chevaliers servants se faire laminer par des minables, ou laisser ces derniers mijoter dans leur fange ?

    Ce n’est pas la première fois que le dégénéré Booba se fait remarquer de la plus stupide manière, et il semblerait que la promesse du champion de boxe Thaï, Patrice Quarteron, de « s’occuper de lui », à la suite d’un précédent « incident », ne lui ait toujours pas servi de leçon ; pas plus qu’à Hanouna d’ailleurs, déjà mis en difficulté il y a peu lors d’une participation du rappeur à son émission débile… puisque depuis il l’a carrément intégré à sa bande d’ahuris contents d’eux.

    https ://ripostelaique.com/defenseur-de-zineb-quarteron-va-soccuper-de-booba-et-dhanouna.html

    https ://ripostelaique.com/une-racaille-degeneree-soutenue-par-booba-menace-et-insulte-julien-odoul.html

    Bravo cher Jean Messiha pour votre courage, mais je trouve que c’était vraiment faire trop d’honneur à ces gorets beuglantsdoublés d’hystériques mouettes rieusesque de répondre à leur invitation, sachant d’une part que cette émission est juste un traquenard puant, monté par des pauvrets atteints de crétinerie aiguë envers de braves gens ne partageant pas leurs délires, et que d’autre part, ayant quasiment tous l’air ravis de leur état, il serait presque désobligeant de les en priver en tentant de les en guérir.

    En d’autres termes, tenter de dialoguer avec ces abrutis, c’est « donner de la confiture à des cochons », puisqu’ils sont à des années-lumière de la civilisation qui normalement a su au cours des siècles transformer les hommes de Néandertal en êtres évolués tant au physique qu’au mental.

    Chez Hanouna et ses hyènes rieuses, la majorité paraît s’être figée en chemin, et s’ils ont su évoluer au niveau tenue vestimentaire, il semblerait qu’au niveau mental… ça patine !

    Il eût été préférable pour Jean Messiha de suivre une des hautes pensées philosophiques du regretté Audiard… en l’occurrence sa sage décision : « J’parle pas aux cons, ça les instruit » !

    Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression


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  • Franck nous présente les rassemblements Contre la pédo-criminalité et les placements abusifs


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  • Peut être une image de texte qui dit ’Pour la vérité historique, contr la manipulation de la mémoire’

    BOUMENDJEL ? VOUS AVEZ DIT BOUMENDJEL ???

    Nous devons nous repentir d'avoir assassiné un terroriste, parce qu'il était algérien, c'est ça ?

    Remettons les choses en place MM. Stora et Macron. Nous allons parfaire votre éducation historique.

    Nous vous rappelons que Ali Boumendjel a été tué en mars 1957 PENDANT LA BATAILLE D'ALGER. Comme tous les terroristes traqués pendant cette bataille pour mettre fin à leur guerre dans Alger qui a vu tant de Français mourir sous leurs bombes.

    Yacef Saâdi le chef terroriste régnant dans la ville (toujours vivant il me semble) est arrêté en septembre de la même année. Il se met à table et avoue tout et plus encore ! Nous avons ses aveux enregistrés dans nos archives.

    Alors, Monsieur Stora, comment avez-vous pu oublier de préciser cela à votre cher président ?

    Revenons à cette époque gravissime pour les Européens d'Algérie qui ont subi les bombes massacrant des enfants et des femmes innocents.

    Qui gouverne la France en mars 1957 ?

    GUY MOLLET

    FRANÇOIS MITTERRAND est à la Justice

    CHABAN DELMAS et BOURGES MAUNOURY sont à la Défense Nationale

    Souvenez-vous, Monsieur Stora, c'est François Mitterrand qui a donné le feu vert à l'Armée pour éradiquer le terrorisme à Alger, à n'importe quel prix.

    C'est sur l'ordre de François Mitterrand que le terroriste algérien Ali Boumendjel a été tué.

    Et aujourd'hui, il faudrait l'absoudre de ses crimes parce que Stora vous le demande ?

    NON A BENJAMIN STORA NON A LA REPENTANCE DE MACRON

    JAMAIS NI OUBLI NI PARDON !!!!


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