• votre commentaire
  • Une immigration de déshérités non qualifiés tire la France vers le bas ..

     
    Publié le 6 août 2015 - par Jacques Guillemain pour ripostelaique
     
    Migrantsgrouillants

    Face à la déferlante des migrants, le désarroi de la classe politique est flagrant.

    Les autorités ont littéralement perdu le contrôle de la situation et n’ont plus aucune solution pour assurer l’ordre public, perturbé par des milliers de nouveaux arrivants attirés par l’Eldorado européen.
     Les bidonvilles fleurissent un peu partout dans Paris, qui se transforme au fil des jours en capitale du tiers monde.
    Tel est le résultat des politiques irresponsables menées par nos apprentis sorciers de droite comme de gauche, qui n’ont strictement rien compris aux réalités de ce monde.
    Au nom de la démocratie, ils ont d’abord applaudi aux printemps arabes, sans comprendre que les despotes du Moyen-Orient étaient des remparts contre les islamistes.
     Le résultat est à la hauteur de leur naïveté et de leur incompétence : un chaos généralisé aux portes de l’Europe et une alarmante montée du terrorisme à l’intérieur de nos frontières.
    Au nom d’une idéologie tiers-mondiste suicidaire, ils ont favorisé une immigration de masse sans se soucier de l’échec de l’intégration, pourtant flagrant, au risque de désintégrer la société.
    Pratiquant une inique préférence étrangère, ils ont attiré tous les déshérités de la planète, parfaitement instruits des largesses de la république.
     Si cinq millions de Français n’ont pas de mutuelle et si des petits Français n’ont pas accès aux soins dentaires, ce n’est pas le cas des 300000 sans papiers que l’on soigne chaque année sans limitation de dépenses.

    Si de nombreux paysans ne parviennent pas à s’octroyer un salaire, chaque migrant a droit à 11 euros par jour.
     Et si on voit de plus en plus de vieillards faire les poubelles, un étranger n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France a droit à 780 euros de retraite par mois.
     On pourrait ainsi aligner sans fin les largesses dont bénéficient les étrangers, sans papiers et demandeurs d’asile compris.
    La France ruinée emprunte pour finir ses fins de mois mais accueille, loge, éduque et soigne toute la misère du monde.

     Du fin fond de l’Afrique, de l’Asie ou de l’Amérique du Sud, tout le monde sait cela.
     On en voit le résultat !
    Sangatte n’est que la partie la plus visible du problème.
     Mais des Sangatte, il y en aura d’autres.
    Et tout cela ne fera qu’empirer puisque la pensée dominante est d’imposer aux Français une société multiculturelle qu’ils ne veulent plus.
     Pour la première fois, l’immigration vient de passer en tête des préoccupations des citoyens, devant le chômage.
     Mais chez nos élus, qui se soucie de ce que pense le peuple  ?

    La France va se paupériser à grands pas, croulant sous le poids d’une immigration non qualifiée totalement incapable de s’intégrer dans une économie moderne et performante.

     Depuis trois ans, le PIB augmente moins vite que la population.

    On voit mal comment une immigration qui coûte en social bien davantage que sa contribution au PIB, pourrait être une  richesse pour la France.

    Une immigration de déshérités non qualifiés ne peut que niveler le pays par le bas.

     Et ceux qui défilent pour les droits des sans papiers, défilent sans le savoir contre l’avenir de leurs enfants.

     Il est grand temps d’ouvrir les yeux sur la crise identitaire.

    La société multiculturelle harmonieuse que nous vantent nos élites n’est qu’un leurre.

    Jacques Guillemain

    votre commentaire
  • par France Bleu 107.1, Martine Bréson

    Rodéo de deux-roues dans les quartiers : la police ne peut pas faire grand-chose

    Avec l’été et le retour des beaux jours, dans des quartiers de banlieues, certains conducteurs de motos et de scooters s’amusent à rouler n’importe comment dans les rues et sur les trottoirs, parfois jusqu’à 03h00 du matin. Face à ces "rodéo", les riverains et les élus sont démunis. Une note interdit à la police de tenter des pourchasser ces chauffards.

    Rodéo de motos et quads (illustration)   © Maxppp Claire Guédon

    Il y a quelques jours, Michel Vialay, maire UMP de Mantes-la-Jolie dans les Yvelines, a piqué un coup de colère après un énième rodéo. L’élu a mis en cause le ministère de l’Intérieur. Il évoque une "note" qui interdit aux policiers de "poursuivre ces voyous".

    La préfecture des Hauts-de-Seine confirme qu’il y a une consigne et qu’il n’est pas question que des policiers pourchassent des deux-roues. "Nous appelons nos policiers à ne pas créer des incidents dont le trouble pourrait être supérieur au trouble initial", explique Jean-Paul Pecquet, le directeur territorial de la sécurité dans les 92. Mais contrairement aux reproches qui sont faits, pour lui, il n’y pas d’inactions. "Après identification nous procédons à des verbalisations et des convocations dans les services de police".

    La mairie de Bagneux réagit. Elle estime que depuis le renforcement du dispositif Vigipirate la police est moins présente qu’avant. Elle demande un renforcement des moyens.

    "Ça ne sert à rien d’appeler la police" : un habitant de Bagneux  

    Les habitants des quartiers où ont lieu ces rodéos se sentent totalement démunis. Hosman Ba et sa femme habitent à Bagneux depuis 20 ans. Ils sont retraités. Ils vivent au rez-de-chaussée dans une cité de la ville et l’été, leurs nuits tournent vite au cauchemar avec des rodéos quotidiens. "Ça fait beaucoup de bruit même en pleine nuit. Ça nous empêche de dormir même quand on ferme les fenêtres".

    Pour les riverains, faire intervenir la police semble une mission impossible. Taissa Kitousse n’y croit plus "Ça ne sert à rien d’appeler la police". Elle l’a quand même fait. Des dizaines de fois. Sans succès. "Ils disent oui, on va vous envoyer une voiture, mais voilà, on ne peut pas, on n’a plus de voiture. Plein de gens font le 17 et on s’aperçoit que les policiers ne viennent pas puisque les rodéos n’arrêtent pas".

    Les rodéos empoisonnent la vie des habitants de Bagneux et la police semble impuissante : le reportage de Mariam El Kurdi de France Bleu 107.1.  (01'18'')
     

    "On se sent seuls et impuissants" : une habitante de Bagneux

    "Disons que les rodéos viennent en plus de tout le reste" explique Taissa Kitousse, une habitant du quartier qui fait partie d’un collectif qui dénonce les rodéos. "Entre les dégradations des appartements, le manque d’entretien, tous les encombrants qui ne sont pas ramassés, ces halls qui sont délabrés, ces taches d’essence, on se sent pas respecté ni pris en compte alors que nous payons tous les loyers et des charges. Et en plus il y a un certain nombre de gens qui nous font la misère quotidienne par leurs incivilités. On appelle la police puisque les rodéos de motos il y en a tout le temps. Il y en a jusqu’à deux trois heures du matin, en plus des gens qui sont assis sur les bancs qui se disputent qui s’alpaguent, des entrées qui sont squattées, on se sent vraiment abandonnés. On se sent seuls et impuissants à changer notre condition de vie".

    "On se sent abandonnés" avoue Taissa Kitousse membre du collectif d'habitants qui dénonce les rodéos.   (00'54'')
     


    votre commentaire
  • Esclaves sexuelles : l’Etat islamique a bien une liste de tarifs..

      Videos

      Un document a été trouvé en Irak par une responsable des Nations unies. 

      "165 dollars pour une fille entre 1 et 9 ans, 124 pour une jeune fille entre 10 et 20 ans". Un tract glaçant édité par le groupe Etat islamique et fixant les sommes à débourser pour acheter une esclave sexuelle vient d'être authentifié par les Nations unies.

      D’où provient ce document ? Lors d’un voyage en Irak en avril dernier, Zainab Bangura, une responsable des Nations unies s’est vue remettre une copie de ce tract. Dans une récente déclaration, la représentante de l’ONU s’est indignée que des femmes soient "vendues comme des barils de pétrole" : "une fille peut être vendue et achetée par cinq ou six hommes différents. Parfois, les combattants de Daech les rendent à leur famille contre le paiement de plusieurs centaines de dollars", s’est-elle émue.

      Un tract inédit. Cela fait des mois que la presse relaie des témoignages faisant état de la vente d’esclaves sexuelles par le groupe Etat islamique. Mais c’est la première fois qu’un document estampillé du sceau de l’Etat islamique et attestant d’une liste de prix est authentifié. Du document, il ressort que plus les filles sont jeunes, plus elles se monnayent cher : 165 dollars pour une fille entre 1 et 9 ans et 41 dollars pour une femme de plus de 40 ans.

      Les Yazidies, premières cibles. Les Yazidies, minorité kurdophone considérée comme hérétique par le groupe extrémiste sunnite, sont les premières victimes de ce sinistre marché. Amnesty international avait relayé fin 2014 des témoignages de jeunes femmes yazidies réduites à l'état d'esclaves sexuelles par l'organisation Etat islamique. L’ONG estime que les meurtres, tortures, viols et enlèvements commis par le groupe Etat islamique sur les Yazidis relèvent du "nettoyage ethnique".

      http://www.europe1.fr/international/esclaves-sexuelles-letat-islamique-a-bien-une-liste-de-tarifs-2500311


      votre commentaire
    • Maréchal Pétain : soixante-quatre ans après sa mort, des fans continuent de lui rendre hommage

      Maréchal Pétain : soixante-quatre ans après sa mort ...

      MARÉCHAL, NOUS REVOILÀ — Depuis sa mort, le 23 juillet 1951, les fidèles du maréchal Pétain vont se recueillir chaque année sur sa tombe, à l'île d'Yeu. C'est toujours le cas en 2015 : mouvance d'extrême droite et nostalgiques du Maréchal se sont passé le mot.

       
      64 ans après sa mort, des fans du maréchal Pétain lui rendent encore hommage

      Tous les ans, les amoureux du maréchal Pétain se recueillent sur sa tombe, sur l'île d'Yeu. 


      votre commentaire