• 14 août 1480 : les Turcs massacrent 800 chrétiens d’Otrante qui refusent de se convertir à l’islam

    Publié le 15 août 2015 par Dominique CHALARD..

    Il est bon ton de dire que l’Islamisme n’est pas l’Islam et que l’islamisme que nous connaissons aujourd’hui n’a rien à voir à ce qu’a été de tout temps l’Islam, une religion de paix et d’amour…Il y a un peu plus d’un demi-siècle, les Turcs ne firent pas différemment que les musulmans de l’Etat Islamique aujourd’hui, en massacrant 800 habitants d’Otrante qui refusaient de se faire musulmans. Otrante est en Italie, les européens semblent avoir oublié aujourd’hui les horreurs commises par l’Islam sur nos terres.

    Source : levangileauquotidien.org

    Les Saints Martyrs d’Otrante (province de Lecce dans les Pouilles, en Italie) sont les 800 habitants de cette ville du Salento tués le 14 août 1480 par les Turcs conduits par Gedik Ahmed Pacha pour avoir refusé de se convertir à l’islam après la chute de leur ville.
    Le 28 juillet 1480, une armée turque, venant de Valona (ville portuaire d’Albanie), forte de 90 galères, 40 galiotes et 20 autres navires (18.000 soldats au total) se présenta sous les murs d’Otrante.
    La ville résista de toutes ses forces aux attaques, mais sa population composée seulement de 6.000 habitants ne put s’opposer longtemps au bombardement de l’artillerie turque. En définitive, le 29 juillet la garnison et tous les habitants abandonnèrent le bourg aux mains des Turcs en se retirant dans la citadelle tandis que ceux-ci commencèrent leur razzia, même dans les habitations avoisinantes.

    Quand Gedik Ahmed Pacha demanda aux défenseurs de se rendre, ceux-ci refusèrent, et l’artillerie turque reprit le bombardement. Le 11 août, après 15 jours de siège, Gedik Ahmed Pacha donna l’ordre de l’attaque finale et réussit à enfoncer les défenses et à prendre le château.
    Un terrible massacre s’ensuivit. Tous les hommes de plus de quinze ans furent tués et les femmes et les enfants réduits en esclavage. Selon certains rapports historiques, les tués furent 12.000 et les personnes réduites en esclavage 5.000, mais la taille de la ville ne semble pas confirmer ces estimations.
    Les rescapés et le clergé s’étaient réfugiés à l’intérieur de la cathédrale afin de prier avec l’archevêque Stefano Agricoli. Gedik Ahmed Pacha leur ordonna de renier leur foi chrétienne, recevant un refus net, il pénétra avec ses hommes dans la cathédrale et les fit prisonniers. Ils furent tous tués et l’église fut transformée en étable à chevaux.

    L’assassinat du vieil archevêque Stefano Agricoli fut particulièrement barbare, alors qu’il incitait les mourants à s’en remettre à Dieu, il fut décapité, dépecé à coups de cimeterres, sa tête fut embrochée sur une pique et portée par les rues de la ville. Le commandant de la garnison Francesco Largo fut scié vivant. L’un des premiers à être exécuté fut le tailleur Antonio Pezzulla, dit le Primaldo qui, à la tête des Otrantins, le 12 août 1480, avait refusé la conversion à l’Islam. Le 14 août Ahmed fit attacher le reste des survivants et les fit traîner au col de la Minerva. Là il en fit décapiter au moins 800 en obligeant leurs proches à assister à l’exécution.

    Les chroniques rapportent que, pendant le massacre, un Turc nommé Bersabei, impressionné par la façon dont les Otrantins mouraient pour leur foi, se convertit à la religion chrétienne et il fut empalé par ses compagnons d’armes.
    Toutes les personnes massacrées furent reconnues martyrs de l’Église et vénérés comme bienheureux martyrs d’Otrante. La plus grande partie de leurs ossements se trouve dans sept grandes armoires en bois dans la chapelle des Martyrs bâtie dans l’abside droite de la cathédrale d’Otrante. Sur le col de la Minerve fut construite une petite église qui leur fut dédiée, Sainte Marie des Martyrs.

    Treize mois après, Otrante fut reconquise par les Aragonais.
    Le 13 octobre 1481, les corps des Otrantins massacrés furent trouvés indemnes par Alphonse d’Aragon et furent transférés à la Cathédrale des Bienheureux Martyrs d’Otrante.
    À partir de 1485, une partie des restes des martyrs fut transférée à Naples et reposa dans l’église de Sainte-Catherine à Formiello. Ils furent déposés sous l’autel de la Madone du Rosaire (qui commémore la victoire définitive des troupes chrétiennes sur les Ottomans lors de la bataille de Lepante en 1571). Par la suite les restes furent déposés dans la chapelle des reliques, consacrée par le pape Benoît XIII, depuis 1901, ils se trouvaient sous l’autel.
    Une reconnaissance canonique effectuée entre 2002 et 2003, en a confirmé l’authenticité.
    Les reliques des martyrs sont vénérées dans de nombreux lieux des Pouilles, à Venise et en Espagne.

    Un procès en canonisation commencé en 1539 se termina le 14 décembre 1771, quand le pape Clément XIV déclara bienheureux les 800 victimes du col de la Minerve et en autorisa le culte. Depuis ils sont les protecteurs d’Otrante.

    source Médias-Presse-Info


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  •  Par :Pieds Noirs 9A.. 

    Article N°2064 du Samedi 15 Août 2015..

    Les Algériens regrettent le départ des  pieds Noirs dont la France a enrichi l'Algérie ,le FLN a appauvri les Algériens  et Hollande mine de rien en fait repentance de continuer à trahir son pays" LA FRANCE" 

    Abderrhamane FARES

    «S'il est, en Algérie, un domaine où l'effort de la France ne se discute pas, c'est bien celui de l'enseignement. On doit dire que l'école a été un succès certain.

    Les vieux maîtres, les premiers instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique, sans arrière-pensée, et leur influence a été extrêmement heureuse.»

    Belkacem IBAZIZEN

    «La scolarisation française en Algérie a fait faire aux Arabes un bond de mille ans.»

    Boualem SANSAL

    «Trente ans après l'indépendance, nous voilà ruinés, avec plus de nostalgiques que le pays comptait d'habitants et plus de rapetoux qu'il n'abritait de colons. Beaucoup d'Algériens regrettent le départ des Pieds Noirs, s'ils étaient restés, nous aurions, peut-être, évité cette tragédie.»

    Boualem SANSAL

    «En un siècle, à force de bras, les colons ont, d'un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux.

    Seul, l'amour pouvait oser pareil défi... Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants.»

    Homme d'état syrien
    (propos rapportés par Ferhat Abbas)

    «L'oeuvre de la France est admirable ! Si la France était restée vingt ans de plus, elle aurait fait de l'Algérie l'équivalent d'un pays européen.»

    Ferhat ABBAS
    (ex-leader du FLN)

    «La France a commis un crime : elle a livré le peuple Algérien aux TUEURS et aux ASSASSINS !»

    Malika BOUSSOUF
    (journaliste)

    «Si les Pieds Noirs n'étaient pas partis en masse, l''Algérie ne serait peut-être pas dans l'état désastreux dans lequel elle se trouve...»

    Bachir BEN YAMED
    (directeur de «Jeune Afrique»)

    «A son indépendance, nul pays extérieur au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne disposait d'une infrastructure aussi développée que celle de l'Algérie.»


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  • Jean-Marie Le Pen: "En quatre ans, il faut bien dire la vérité, Marine ne s'est pas améliorée!"

    Jean-Marie Le Pen annonce dans le Journal du Dimanche qu'il ira bien le 20 août devant le bureau exécutif du Front national (FN) réuni en formation disciplinaire. Le parti d'extrême droite doit se prononcer sur l'éventuelle exclusion de son fondateur.
    "Je ne vais pas faire le cadeau aux membres du bureau exécutif désignés par Marine Le Pen de pouvoir s'exprimer sans me regarder dans les yeux", déclare le père de la présidente actuelle du parti. Il avait pourtant refusé de se rendre à une première convocation.
    Jean-Marie Le Pen et sa fille sont en guerre ouverte depuis des mois. Dans la convocation qu'elle a adressée au début de la semaine passée à son père, Marine Le Pen énumère 15 griefs, dont ses propos qualifiant les chambres à gaz nazies de "détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale".
    L'ex-président du FN, âgé de 87 ans, admet que "l'attitude à l'égard de la Deuxième Guerre mondiale, qu'il a connue alors qu'elle n'a fait qu'en entendre parler", est un des éléments qui le distinguent de celle dont il a fait son successeur. "J'ai choisi Marine Le Pen au bénéfice de l'âge et de la santé. En quatre ans, il faut bien dire la vérité, elle ne s'est pas améliorée", dit-il.
    Il qualifie de "leurre" la politique de "dédiabolisation" du FN conduite par sa fille, qu'il juge sous influence du vice-président du parti, Florian Philippot, "son mauvais génie".
    Cette ligne politique, estime-t-il, favorise la tentative de reconquête du pouvoir de Nicolas Sarkozy. Ce dernier a notamment lancé dans une interview à Valeurs Actuelles un appel aux électeurs du FN pour qu'ils se détournent de ce parti.
    L'ancien chef de l'Etat, battu en 2012 par le socialiste François Hollande et aujourd'hui président du parti Les Républicains (ex-UMP) "entre dans la brèche", souligne Jean-Marie Le Pen. "On connaît ses qualités de manoeuvrier."
    Prié de dire s'il pense que Florian Philippot "roule" pour Nicolas Sarkozy, il répond: "c'est une des hypothèses."
    Marine Le Pen ne cache pas son ambition d'être présente au second tour de l'élection présidentielle de 2017, voire de la remporter. Mais si elle "suit la même ligne qu'aujourd'hui, avec les mêmes procédés", déclare Jean-Marie Le Pen, "je ne la soutiendrai pas."

    JeanMarcMorandini.Com


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  • Banania a encore frappé !

    Quand une société baigne à ce point dans la connerie, c’est, hélas, sans espoir.

    Quand une société baigne à ce point dans la connerie, c’est, hélas, sans espoir.

    Nous sommes injustes. Vous, moi, nous tous… Nous ne prenons pas assez la mesure des charges qui incombent, dans ce pays, aux forces de police. Nous n’imaginons pas le stress qui saisit ces hommes et ces femmes quand il leur faut déjouer les pièges de dangereux criminels, passer des heures à écouter, des nuits à planquer… quand il faut éplucher l’intimité des suspects pour mieux rechercher dans leur passé les signes avant-coureurs qui ont conduit au crime.

    Tenez, prenons cette enquête qui échoit aujourd’hui à la police judiciaire et concerne l’un des siens : Philippe Lavergne, le directeur de la protection judiciaire de la jeunesse de Paris soi-même. Quelle charge alors, quelle angoisse sans doute pour eux, ses subordonnés, qui doivent enquêter sur des faits gravissimes mettant en cause leur hiérarchie !

    Leur directeur aurait en effet évoqué le « Banania » en s’adressant à un éducateur noir, qui plus est représentant syndical de la profession. Pas le Nesquik ni le chocolat Poulain ou la maison Menier, non, vous avez bien lu : le Banania.

    On a peine à s’expliquer comment un tel crime a pu être commis. Que de jeunes étudiants défoncés aient massacré une copine à coups de poing américain puis aient tenté de la dissoudre dans l’acide, passe encore. On peut comprendre. Que des jeunes partis de leur banlieue pour la Syrie y soient aujourd’hui décapiteurs en chef, on peut aussi l’admettre. Mais évoquer le Banania devant un représentant des minorités, alors là…

    Les témoignages confirment, hélas, les faits : c’était au cours d’une réunion qui s’est tenue le 31 juillet, « tendue » à ce qu’il paraît, « pour évoquer la perspective de nouveaux recrutements », nous dit Le Parisien. On imagine : les cadences infernales, les RTT qui sautent et le reste avec. À la victime – « un élu syndical de l’UNSa Justice d’origine africaine » – qui lui demandait s’il avait sollicité la hiérarchie, monsieur Lavergne a répondu : « Moi, je n’ai pas été élevé au Banania. »

    Sommé de s’excuser, monsieur le directeur Lavergne s’exécute, reconnaît « une réaction totalement déplacée d’agacement » mais qui relevait de l’« autodérision »et « sans aucun rapport avec des propos racistes ». Le 4 août, il renouvelle ses excuses par courrier, assurant que cette phrase, s’adressant à la cantonade, était destinée à souligner son impuissance. Qu’importe, ça n’est pas suffisant. La victime porte plainte. La plainte est reçue, confiée à la PJ (pas comme celle de ma voisine cambriolée dans son sommeil par un escaladeur de façade).

    Joint par Le Parisien, le dangereux criminel explique : « Dans les années 90, il y avait une pub qui disait “Zorro a été élevé au Banania, Superman a été élevé au Banania”. C’est en référence à cette pub que j’ai prononcé cette phrase. C’était une façon de dire que je ne suis pas un surhomme. »

    Monsieur Lavergne dit vrai. En 1988 exactement, Banania lance une campagne pour tenter de rajeunir la marque et met en scène des personnalités : Zorro, Ramsès, etc., avec pour slogan « Élevé au Banania ».

    Remplacer Y’a Bon par Einstein n’a pas pu sauver la marque Banania. Il est à craindre que ça ne sauve pas non plus la peau de Philippe Lavergne.

    Quand une société baigne à ce point dans la connerie, c’est, hélas, sans espoir.

    Marie Delarue

    source Boulevard Voltaire


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  •  Par :Pieds Noirs 9A..

    Comme nous voyons les "chances pour la France"

    Français vous l'avez voulu . 

    Des vendeurs à la sauvette agressent des policiers à Paris .

    Un site d’information russe d’une vidéo amateur qui a ensuite été relayée sur Twitter.

    Français vous l'avez voulu .Ceux qui prédisaient que cela allait arriver demain se faisaient traiter de pessimistes. Hélas non, ce n’est pas demain, nous y sommes dès maintenant. Dans certaines villes, dans certains quartiers, la chasse aux Français est ouverte.

    Malheureusement, les Français sont encore trop nombreux à pratiquer la politique de l’autruche. Il faut dire que les médias font tout pour leur cacher ce qui se passe vraiment. Ce n’est pas la première fois que nous pouvons constater ce phénomène que nous voyons sur la vidéo et cela ce passe chez nous en France  agressé par des étrangers qui ne seront jamais Français .. Certains journalistes laissent passer ce genre d’information, mais il se font vite rappeler à l’ordre par les patrons de la rédaction. Que voulez-vous : des victimes Françaises, ce n’est pas intéressant.


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