Comme nous le savons tous, la dette de la France a dépassé les 2 000 milliards d’euros, soit 90% du PIB. Et chaque matin en se réveillant, le gastéropode de l’Elysée signe une demande de financement aux marchés bancaire de 300 millions. Il a de la chance de pouvoir signer cette demande avec la tranquillité d’esprit de celui qui inverse les courbes. Si la France était une entreprise, les créanciers exigeraient une garantie matérielle. Mais quel est le patrimoine que la France pourrait donner en garantie ?

 L’état français a un patrimoine d’environ 2 300 milliards, qui a beaucoup augmenté ces dernières années du fait de l’appréciation de la valeur de la pierre. Ce patrimoine est constitué pour l’essentiel de terrains, de biens immobiliers, d’ouvrages et d’infrastructures de transport et de participation dans des sociétés. Mais l’état a également une dette vis-à-vis de tiers (régions, collectivités locales, régimes de retraite, entre autres) de 1 500 milliards. La valeur nette de son patrimoine est ainsi de 800 milliards. C’est bien maigre au regard du montant de la dette.

L’état peut également ponctionner les français car la France reste un pays riche (pour combien de temps ?). Le patrimoine des français peut ainsi également être considéré comme une garantie potentielle. Ce patrimoine est évalué à environ 12 000 milliards. Il est constitué de pierre pour les deux tiers et il a doublé en valeur depuis 5 ans. Cette valeur a ainsi une composante spéculative et ce patrimoine collectif n’est pas à l’abri d’une baisse en cas d’éclatement de la bulle immobilière.

La France bénéficie aujourd’hui de taux d’intérêt historiquement bas ce qui rend l’immensité de sa dette assez indolore et en tout cas supportable. Mais un jour, – demain, après-demain ? -, les taux d’intérêt remonteront sous l’impulsion des banques centrales. La confiance en la signature de la France s’effondrera et la France prendre des mesures drastiques.

Dans le patrimoine de l’état, 160 milliards environ sont assez liquides et peuvent être vendus à court terme. Une vente panique risque néanmoins de provoquer un effondrement de la valeur de ce patrimoine. Si les taux français montent à seulement 5% – certains pays européens ont vu leurs taux dépasser durablement les 10% et la Russie est aujourd’hui au-delà de 15% – le service de la dette atteindra progressivement 100 milliards d’euros par an et la France sera incapable de financer ce montant sur les marchés.

Si la tendance perdure, la dette de la France dépassera le patrimoine cumulé de l’état et des français, si bien que le pays ne vaudra plus rien… La France aura alors deux solutions.

Soit elle se met en faillite comme l’Argentine et devient pour très longtemps un paria de la communauté mondiale.

Soit elle ponctionne massivement les français à travers un impôt exceptionnel correspondant au sixième de la valeur patrimoniale actuelle de l’ensemble des français. Mais en cas de vente forcée la valeur du patrimoine s’effondrera et la ponction sera in fine beaucoup plus importante allant probablement jusqu’à la moitié du patrimoine réel des français. En d’autres termes, si la France est acculée et doit rembourser sa dette, chaque français donnera à l’état la moitié de ce qu’il a !

Evidemment tout cela ne se passera pas du jour au lendemain et sera étalé dans le temps mais le résultat global sera le même : un appauvrissement massif des français.

Les socialistes avaient poussé de hauts cris lorsque Sarkozy avait augmenté la dette du pays de 600 milliards. Mais Sarkozy l’a fait pour sauver le système bancaire européen dans le contexte de la crise de 2009, la plus grave depuis 1929. A l’issue de son quinquennat, le Gastéropode aura augmenté la dette du même montant mais sans aucune crise et uniquement pour financer les dépenses courantes de l’état ! Les socialistes ne parlent du reste plus vraiment de l’accroissement de la dette…

La conscience tranquille notre gastéropode, qui bave sur tous les micros et que plus aucun français n’écoute, va continuer à signer une reconnaissance de dette de 300 millions tous les matins. Il assassine le pays en toute tranquillité et en toute impunité.

HOLLANDE DEGAGE, ET VITE !!!

CLUB DANTON          Resistance 2017

Depuis Mai 68, il est interdit d’interdire et c’est donc ce qui fait plaisir qui est prioritaire. C’est sur cette base que les héritiers de Mai 68 ont construit une religion et une morale laïques. Le mariage, qui est censé être un engagement permanent associé à des interdits – il est vrai plus ou moins respectés – est considéré comme obsolète par ces héritiers. Ils le défendent pour les homosexuels dans le seul but de le dévaloriser un peu plus et de le vider de sa fonction première : la procréation et la constitution d’une famille.

 Pour les soixanthuitards, par nature (adieu théorie du genre) le profiteur masculin peut utiliser l’objet féminin suivant ses désirs. Moi Président donne l’exemple à tous et DSK, loin d’être une caricature ou une exception comme veulent nous le faire croire les médias, est particulièrement représentatif de la caste des mâles de pouvoir.

Deux effets se propagent dans notre société.

Tout d’abord la croissance fulgurante de familles monoparentales, dans leur grande majorité composées d’une femme seule et d’un enfant. L’homme s’est tout simplement débiné dès la venue de l’enfant. Comme le mariage ou même le Pacs sont devenus l’exception, l’absence de tout lien légal laisse souvent la femme démunie et l’homme s’en tire sans rien verser à son ex-compagne. Quand un lien existe, la mère est désignée par le tribunal pour garder l’enfant avec versement d’une pension alimentaire par le père. Celle-ci est en moyenne de 200 euros/mois. Lorsque le père est au chômage, cas de plus en plus fréquent, la mère ne reçoit rien. Elle vit alors des subsides de l’état qui compense ainsi le machisme qu’il promeut par ailleurs.

Dans un deuxième temps, la femme seule avec son (ou ses) enfant(s) est contrainte de trouver un nouveau compagnon alimentaire par le biais de la sexualité. Le nouveau Viagra féminin va aider ! Ainsi naissent les familles recomposées (ou plutôt décomposées) dans lesquelles des enfants issus de deux, trois – parfois plus -, unions différentes coexistent tant bien que mal. Les notaires connaissent bien les batailles de succession auxquelles ces unions alimentaires successives peuvent donner lieu. Et l’éducation nationale a publié récemment un rapport – resté peu visible car dérangeant – qui montre que les enfants de ces familles chahutées réussissent moins bien que ceux des familles stables.

Dans ce nouveau modèle de société issu de Mai 68, c’est in fine toujours la femme qui trinque. La dévalorisation du mariage par le mariage homosexuel, qui remplace la valeur procréation par le plaisir personnel, ne va certainement pas améliorer la situation des femmes.

Evidemment, beaucoup nous feront remarquer que la pilule, le préservatif, l’IVG ont largement contribué à libérer la femme. Mais c’est aussi une vision très machiste car cette libération n’est que sexuelle : la femme peut ainsi devenir facilement le jouet sexuel des hommes. La femme est faite biologiquement pour procréer et elle ne s’épanouit pleinement et durablement que par l’enfantement. L’homme de 68 ne fait que tirer un coup de quelques minutes alors que la femme s’engage pour la vie. La possibilité de limiter les grossesses à celles qu’elle souhaite est certes bénéfique pour la femme mais ne change rien à son besoin biologique d’enfanter.

In fine, les conséquences de ce nouveau modèle sont dramatiques pour les femmes : dépression, incapacité à élever un enfant, misère, abandon, désespoir, sont devenus le lot de millions de femmes en France.

Pendant ce temps-là, l’homme perpétue avec insouciance l’acte sexuel ludique, sachant qu’il s’en tirera presque toujours à bon compte.

Vous avez peut-être vu, comme exemple récent de nos propos, l’interview de Lio dans l’émission « Un soir à la Tour Eiffel ». Lio a déballé son désespoir et ses problèmes psychologiques avec ses 6 enfants issus de 4 pères différents. Evidemment, elle n’arrive pas à s’en tirer seule mais qui essaiera de l’accompagner dans cette solitude à 7 ? Et évidemment, nos médias gauchistes et machistes, malgré leur vernis brillant de défenseurs du genre (quelle foutaise !), l’ont immédiatement trainée dans la boue. Lio n’a rien compris à la liberté (fraternité, égalité, t’es niquée…) de ne pas enfanter donnée par la loi. Elle n’a qu’à se démerder toute seule.

Mais rassurons-nous, Moi Président et DSK peuvent baiser tranquilles. Dormez-bien, braves citoyens !

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