• Jacques Bompard : les propos de Marine justifient la candidature Zemmour

    L'auteur

    Nous sommes chaque jour dévastés par les positions et les déclarations de madame Le Pen sur l’islam.

    J’ai toujours dit que j’ai, à chaque fois, voté le plus souvent contraint par les réalités politiques, et au vu des candidats, pour le RN et in fine, pour madame Le Pen, y compris en 2017.

    Je ferai de même pour les régionales et les départementales de 2021. Ce sera pour les candidats du Rassemblement National et rien d’autre, tant qu’il n’y aura pas de candidats ayant la même vision d’union des Droites nationales dans mon département du Loir-et-Cher, et de ma région du Centre. C’était déjà comme ça quand j’étais dans les Hauts-de- Seine.

    Il faut avouer qu’il nous en faut bien, du courage et de l’abnégation, pour continuer à voter pour un parti présidé par madame Le Pen.

    Ce n’est pas sa dernière sortie infamante qui me fera penser le contraire. Sa déclaration sur Éric Zemmour est absolument dégueulasse.

    Oser affirmer qu’Éric Zemmour serait un radical, et que ses propos ouvertement opposés à l’immigration et à l’islam pourraient peut-être l’assimiler à son discours, est tout simplement ridicule.

    Alors oui, en effet, Éric Zemmour ne dit pas qu’il y a un “islam modéré”. Pas plus qu’il ne fait de différence entre islam et islamisme. Pas plus que l’islam est compatible avec la République. Tout simplement parce qu’il a lu le Coran, s’est informé de sa nocivité intrinsèque. Ce qui n’est pas le cas de madame Le Pen qui, en tant que femme, devrait en être effarée. 

    Rappelons cette citation de Ferhat Mehnni “L’islam, c’est l’islamisme au repos et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire.”

    Que dit-elle au sujet d’Éric Zemmour lors d’une interview à la Réunion ?

    Sur le plan électoral je ne le crains pas car je ne crois pas du tout qu’Éric Zemmour soit susceptible d’attirer des électeurs qui voteraient pour moi”.  “La seule crainte que je peux avoir c’est que les propos qui sont souvent très radicaux, et que je ne partage pas avec Éric Zemmour, puissent être assimilés aux miens, c’est-à-dire que mon projet soit victime d’une caricature au regard des propositions qui ne seraient pas les miennes. Je veux être la présidente de la paix civile et la présidente de l’union nationale. 

    La Présidente de la paix civile ? Qui veut la guerre civile ? Ce n’est pas Zemmour, que je sache !

    Quelles sont les propositions de madame Le Pen ? Est-ce la continuité de ce qu’ont fait les Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron ?  Le “pasdamalgame”, le “pasdevague” ? Nous avons déjà donné, me semble-t-il !

    Il semble bien qu’elle veut tellement ratisser large, vers la gauche, vers les électeurs musulmans, que désormais il n’y a plus de dents à son râteau politique !

    Elle en a perdu le sens de son combat premier : la France souveraine, ses racines judéo-chrétiennes, son indépendance, sa réalité dans le monde et ce sont pourtant les objectifs de ses électeurs. Eux ne veulent pas de guerre civile, mais ils refusent cependant de mourir pour l’Union européenne, pour l’OTAN, pour une France dhimmisée, diluée, impuissante, et d’attendre qu’il soit trop tard pour la France, notre Patrie, comme l’ont fait les pacifistes d’avant-guerre.

    Écoutez ce qu’en pense Jacques Bompard 

    Je cite un extrait de l’article de Martin Moisan, l’un de nos contributeurs

    Une victoire de Zemmour nous accorderait un répit de 5 ans pour nous préparer à faire face.

    • En renforçant très sérieusement le régalien : intérieur, police, armée justice ;
    • En renforçant d’urgence les budgets militaires ;
    • En rapatriant l’armée sur le territoire national ;
    • En créant une garde  nationale de volontaires civils dûment triés et formés ;
    • En rétablissant les libertés publiques et en desserrant le lacet de la censure et des poursuites judiciaires qui nous étranglent. Nous avons gagné la bataille des idées, la gauche est en lambeaux, son idéologie s’est fracassée sur la réalité. Plus ils s’enferrent et se radicalisent, plus ils convainquent l’opinion de nous rejoindre. Maintenant, nous devons avoir les mains libres pour la préparer au chaos et à faire face à l’affrontement qui vient ;
    • En arrêtant immédiatement le flux migratoire, en établissant la déchéance de nationalité et en expulsant immédiatement tous les illégaux, délinquants, trafiquants, condamnés, activistes et autres personnes suspectes de djihadisme. Bref tous ceux qui sont susceptibles d’encadrer la 5e colonne ;
    • En appliquant le regroupement familial à la sortie. Quand on en expulse un, on expulse toute sa famille au titre du regroupement familial ;
    • Et surtout, surtout, en purgeant à blanc la haute administration, la Justice, l’Éducation nationale, la police, le secteur associatif, celui des médias et tous les corps intermédiaires pourris par les collabos, les islamo-gauchistes, les trotskistes, les marxistes, les soixante-huitards, les mondialistes, et d’une manière générale tous les adversaires de la France. Qu’ils soient visibles ou occultes, la traque devra être impitoyable.

    Gérard Brazon


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  • Merkel : "Nous n'avons pas l'intention de suivre la voie que la France vient d'imposer"

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    L’Allemagne n’a pas « l’intention » de rendre la vaccination anti-Covid obligatoire, y compris des soignants, a déclaré mardi Angela Merkel, misant encore sur la « volonté » de la population et la « publicité » en faveur des vaccins.

    « Je ne pense pas qu’on puisse gagner la confiance en changeant ce que nous avons dit, c’est-à-dire pas de vaccination obligatoire », a déclaré la chancelière allemande lors d’une conférence de presse à l’institut de veille sanitaire Robert Koch.

    « Mais je pense que nous pouvons gagner la confiance en faisant de la publicité pour la vaccination et aussi en laissant autant de personnes que possible dans la population (...) devenir des ambassadeurs du vaccin à partir de leur propre expérience », a-t-elle ajouté.

    « Plus nous serons vaccinés, plus nous serons libres, plus nous pourrons vivre à nouveau », a martelé Mme Merkel.

    « Je peux faire de la publicité en tant que chancelière, avec une conviction profonde, pour une vaccination », a-t-elle fait valoir.

    « Mais je sais aussi que parfois, cela aide davantage si c’est peut-être le propre fils qui lève les doutes, si c’est une collègue qui rapporte sa propre expérience de vaccination quand dans l’association ou dans la municipalité, on parle du pour et du contre des vaccinations », a ajouté Mme Merkel.

    La dirigeante allemande a conseillé, pour convaincre les récalcitrants à la vaccination, de « discuter tous ensemble, en famille, au travail, dans le club de football, partout où les êtres se connaissent et se font confiance ».

    Interrogée sur l’obligation vaccinale qui va être imposée en France aux personnels soignants, Mme Merkel s’est montrée catégorique : « Nous n’avons pas l’intention de suivre la voie que la France vient de proposer ».

    L’obligation vaccinale contre le Covid-19 gagne du terrain en Europe, comme en France où elle a été décidée lundi pour les personnels soignants dans le but d’endiguer le variant Delta. La Grèce l’a aussi annoncée pour les soignants à partir du 1er septembre.

    Quelque 35,4 millions de personnes (42,6 %) ont été entièrement vaccinées en Allemagne, et 48,6 millions (58,5 %) ont reçu une dose, a détaillé le ministre de la Santé, Jens Spahn, regrettant que la tendance soit au « ralentissement » du rythme d’injections.

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