• Un problème de retraite ? Non, un problème d’emploi, de fraude, et de démographie !

    Cette réforme devient le serpent de mer d’Emmanuel Macron, marqueur de courage politique selon les uns, fossoyeur de notre système social selon les autres. On martèle qu’il ne reste qu’un cotisant par retraité, que le régime explose. La seule solution proposée ? Réduire le montant des pensions, allonger le temps de cotisation, retarder l’âge de la retraite. Une fatalité ! Autrement dit, courbez l’échine et travaillez !

    En réalité, la situation est toute autre. Si notre régime devient déficitaire, c’est parce que le montant des cotisations perçues chute avec la baisse du nombre de cotisants. Or, paradoxe, la population de la France augmente chaque année et atteint aujourd’hui 67 millions.

    Et pourtant la situation se dégrade encore ! Les chiffres sont effrayants : six millions de chômeurs avec les catégories A, B et C, auxquels s’ajoutent deux millions de foyers au RSA, soit 8 millions sans emploi pourtant en âge de travailler.

    L’absence d’emploi signifie absence de cotisation, et la faillite à terme de notre système de retraite. Or, la solution n’est pas la casse du régime de retraite par répartition, diminuer les prestations ou y ajouter une retraite par capitalisation au bonheur des financiers ! La solution est simple, évidente.

    Il faut créer des emplois.
    Avec un million d’emplois supplémentaires, par relocalisation, par création, en aidant nos entreprises, en protégeant notre marché intérieur, nous aurions au minimum 13 milliards par an de cotisation sociales, dont 4 spécifiquement pour notre régime de retraite. Avec deux millions, ce serait 26 milliards d’euros de cotisation, dont 8 milliards pour le régime vieillesse.
    On le voit, plus d’emploi comblerait le déficit retraite annoncé, réduirait les dépenses de solidarité, d’allocation chômage, d’aides mises en œuvre pour ces personnes inactives. A condition que ces emplois ne soient pas occupés par des travailleurs détachés versant leurs cotisations, notamment de retraite, dans leur pays d’origine, pratique tolérée, encouragée par l’Union européenne.

    Il faut combattre les fraudes sociales.
    Nombre de travailleurs étrangers repartent légitimement au pays, en Afrique, au Maghreb et y perçoivent indéfiniment leurs pensions de retraite. Les études évaluent à 15 % à 30 % de fraude. En contrôlant ces fameux retraités « centenaires », on économiserait presque 1 milliard d’euros !

    Il faut développer la démographie.
    Les gouvernements successifs ont mis fin à la politique nataliste voulue par De Gaulle, notamment en mettant sous conditions de ressources les allocations familiales. La natalité française est en net recul depuis 2015. Avec 1,84 %, on ne renouvellera pas la population ! Les européistes privilégient l’entrée d’une main d’œuvre étrangère adulte plutôt que d’encourager notre natalité. Or, le travailleur immigré, avec un emploi de faible qualification, générant peu de cotisation, ira dépenser sa retraite dans son propre pays au détriment du nôtre. C’est la double peine !

    Aucun politique n’ose remettre en cause cette politique suicidaire suivie depuis 30 ans. Le mythe du nouvel Eden, de la mondialisation rêvée, d’une immigration sans contrainte, prime sur l’intérêt national ! Ces quelques mesures de bon sens peuvent sauver notre système de retraite et redonner confiance aux Français. Oui c’est possible !

    Gerbert Rambaud

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • La Pravda


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  • Maddie de Garay, 12 ans, en fauteuil roulant à cause du vaccin Pfizer

    On dit souvent que ça n’arrive qu’aux autres jusqu’au moment où cela nous arrive. 

    C’est ce qui s’est passé pour Stéphanie de Garay, la mère de Maddie. 

    Le sénateur Ron Johnson a recueilli le lundi 28 juin dans le Milwaukee, les témoignages de vaccinés qui subissent de graves effets secondaires. Celui de Maddie est particulièrement émouvant, à douze ans elle se retrouve dans un fauteuil roulant et sa maman est totalement désemparée « Pourquoi n’est-elle pas revenue à la normale ? Elle allait parfaitement bien avant cela… », a déclaré Stéphanie de Garay.

    En larmes, la mère de Maddie a déclaré que sa fille était allée aux urgences neuf fois et qu’elle avait été hospitalisée trois fois. « Tout ce que nous voulons, c’est que Maddie soit vue, entendue et crue, parce qu’elle ne l’a pas été. Et nous voulons qu’elle reçoive les soins dont elle a désespérément besoin, afin qu’elle puisse revenir à la normale. »

    Maddie de Garay était ravie de faire partie de l’essai du vaccin Covid. Ses parents sont en médecine et en ingénierie et voulaient que leurs enfants aident à mettre fin à la pandémie. Mais maintenant, Maddie est en fauteuil roulant et a besoin d’une sonde d’alimentation. Ils veulent qu’on la croie.

    D’autres témoignages ont également été entendus par le sénateur Johnson — républicain — pour faire part de leurs histoires après avoir reçu un vaccin Covid-19. Comme Kristi Dobbs, une hygiéniste dentaire du Missouri : « C’est comme si vous aviez un petit choc électronique qui parcourait votre corps, comme si vous étiez coincé dans une chaise vibrante, comme collé dedans, et ça ne s’arrête jamais. J’ai des tremblements dans les mains qui m’ont fait douter de pouvoir à nouveau exercer mon métier d’hygiéniste. Et je crains tellement d’avoir un problème neurologique après cela, comme la maladie de Parkinson. »

    Brianne Dressen,  une enseignante du préscolaire de l’Utah, qui s’est portée volontaire pour l’essai du vaccin AstraZeneca : « Nous sommes les dommages collatéraux de la pandémie. Comme vous pouvez le voir, je me rétablis. Je peux marcher, le contact de la main de mon petit fils ne me donne plus l’impression de brûlure. »

    L’ancien joueur des Green Bay Packers, Ken Ruetggers, a déclaré que sa femme Sheryl Ruetggers souffrait toujours de réactions neurologiques graves, notamment des douleurs musculaires, des engourdissements, de la faiblesse et des paresthésies.

    En tenant cette séance de témoignages, le sénateur Ron Johnson a été vivement critiqué par le commissaire à la santé de Milwaukee, Kirsten Johnson, qui l’a accusé d’utiliser sa plateforme pour soulever des inquiétudes trompeuses concernant le vaccin Covid-19. Ce à quoi le sénateur Johnson répond : 

    « Je n’ai jamais peur de transmettre la vérité, de fournir des informations aux gens. Je pense que le public américain devrait pouvoir avoir un consentement éclairé lorsqu’il décide de prendre ou non un vaccin expérimental, d’une manière ou d’une autre. Je pense qu’il est important de reconnaître qu’il y a des personnes qui ont été atteintes par le vaccin. Et si nous ne reconnaissons pas ce fait, comment traitez-vous les gens dont vous ne reconnaissez pas la cause première de leur problème ? »

    Vous pouvez voir les témoignages et activer la traduction automatique sur Youtube :

     – Source : Senator Johnson, families speak: COVID vaccine adverse reactions (28 juin 2021)
    – Traduction  lemediaen4-4-2


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  • Würzburg : un « féminicide » si discret

    Élections en France, distance, accoutumance… les trois à la fois ? On ne peut pas dire que l’égorgement de Würzburg, vendredi (l’Allemagne, à, l’instar de la France, découvre le syndrome afghan : ce jour de la semaine est à risque), ait suscité un grand intérêt dans notre pays. Pourtant, tout est si semblable à ce que vous vivons… 

    Libération s’en est fait l’écho, dans ce qui ressemble à un morceau d’anthologie : « Selon un témoin, il aurait crié lors de son acte Allah Akbar », mais « on ignore encore les motivations précises de l’agresseur » (sic). C’est vrai qu’on se gratte la tête avec perplexité, on se perd en conjectures… Pour la défense de Libération, les autorités allemandes ont elles-mêmes fait montre de pudeurs de rosière : était-ce le fait d’un déséquilibré – l’homme était connu pour faits de violences et avait été interné pour troubles psychiatriques – ou d’un islamiste ? Le ministre bavarois de l’Intérieur, Joachim Herrmann, s’interrogeait quelques heures après les faits, reconnaissant que l’un n’était pas forcément exclusif de l’autre. On pourrait même dire, soyons fous à notre tour, que les deux vont de paire. Quelle sorte de de braves gens sains d’esprit et bien dans leur peau se lèvent le matin avec l’idée irrépressible d’aller assassiner leur prochain ? 

    Quoiqu’il en soit, dimanche soir, ledit ministre admettait finalement (Bild) “qu’à la lumière de ce [qu’ils] avaient retrouvé, beaucoup d’éléments [indiquaient] qu’il pourrait s’agir d’un acte islamiste.” Le Monde parle de « retenue politique » dans les réactions. Préférant sans doute laisser passer la vague de l’émotion et de la colère avant de lâcher tout le morceau, les gouvernants allemands, gênés aux entournures, se hâtent aussi lentement que leurs homologues français. 

    Würzburg est le chef lieu de Basse-Franconie, en Bavière, et compte 130.000 habitants. La ville est le point de départ septentrional, sur le Main, de la Route romantique. Son château est un chef-d’œuvre baroque, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, digne, dit-on, du château de Schönbrunn à Vienne ou de celui de Versailles. Une description à la fois singulière et banale de tant de villes d’Europe… toutes frappées par les mêmes maux. En 2016, Würzburg avait d’ailleurs déjà connu une attaque à la hache dans un train, par un Afghan, qui avait fait cinq blessés. Cette fois c’est un Somalien, Abdirahman J., arrivé avec la vague migratoire de 2015, qui est passé à l’acte. Pour l’heure, les habitants de Würzburg, impuissants, déposent sur les lieux du crime – un centre commercial – des bougies et des fleurs. Tout pareil qu’en France, on vous dit !

    Que faisait sur le sol allemand ce fou dangereux arrivé clandestinement ? Il « avait droit », entend-on, au statut de réfugié. Pas de dysfonctionnement, paraît-il. Itou chez nous. 

    Les officines féministes, de ce côté-ci du Rhin comme du nôtre, pourtant habituellement si promptes à s’offusquer d’une peccadille, n’ont pas bronché : elle n’ont pas souligné que ce carnage était au sens littéral du mot (qu’elles affectionnent) un féminicide : selon le journal Bild am Sonntag « Abdirahman J. (24 ans) à Würzburg (Bavière) a tué trois femmes (24 ans, 49 ans, 82 ans) avec un couteau et en a blessé six autres – deux sont toujours en danger de mort. L’agresseur a ciblé les femmes ! ». La plus jeune d’entre elles, Steffi W., choisissait dans le magasin sa robe de demoiselle d’honneur pour le mariage d’une amie. 

    Si friandes d’exemples de courage au féminin, elles n’ont même pas rendu hommage à Christiane H.,  professeur de son état, qui a donné sa vie pour protéger sa fille de 11 ans (Bild)

    « L’Europe n’est pas un supermarché. L’Europe est un destin commun » avait lâché Emmanuel Macron à des journalistes suisses peu de temps après son élection. 

    De fait l’Europe n’est pas un supermarché, car ce que l’on nous impose, nous ne l’aurions jamais choisi. Quant au destin commun, nous l’entrevoyons aujourd’hui : fait de larmes, de sidération, de pusillanimité et de déni. 

    Gabrielle Cluzel

    Source : http://bvoltaire.fr


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