• (((Les médias dominants se sont empressés de parler d’une personne « d’ex-Yougoslavie » qui serait – comme de juste – « déséquilibrée ». L'auteur de cette nouvelle sauvagerie s'appelle en fait Fatmir H. et c'est un islamiste kosovar ))) 

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    Attaque à la hache de Düsseldorf : le « déséquilibré yougoslave » est en fait un kosovar musulman ...

    Nos lecteurs ne seront pas surpris de retrouver la procédure standard de désinformation mise en place suite à l’attaque à la hache à la gare Düsseldorf, en Allemagne.

    Les médias dominants se sont empressés de parler d’une personne « d’ex-Yougoslavie » qui serait – comme de juste – « déséquilibrée ».

    Il est cependant très curieux de se référer à une nationalité et à un État qui n’existent plus pour désigner un ressortissant étranger. Personne ne parle de personne « originaire d’ex-URSS » pour désigner un Russe ou d’un individu provenant « d’ex-Tchécoslovaquie » pour évoquer un Slovaque ou un Tchèque.

    Sauf s’il s’agit d’un musulman du Kosovo, naturellement. L'auteur de cette nouvelle sauvagerie s'appelle Fatmir H. et c'est un islamiste kosovar.

    Curieusement donc, l’Union Européenne qui a participé à la création ex-nihilo d’un État musulman au Kosovo s’ingénie à éviter de mentionner l’existence de ses « ressortissants » dès lors que cela touche au terrorisme.

    Source : http://breizatao.com/2017/03/10/attaque-a-la-hache-de-dusseldorf-le-desequilibre-yougoslave-est-en-fait-un-kosovar-musulman/


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  • Avec 500 signatures de côté, Hollande espère encore jouer les doublures 

    C’est le journal Le Parisien qui lâche l’info ce matin : François Hollande, fidèle à sa nature profonde qui le fait constamment osciller tel le culbuto des nourrissons, s’est mis de côté un petit matelas de 500 signatures. Au cas où. Une poire pour la soif, un viatique pour les jours sombres, une lucarne sur le ciel, un billet doux dans la boîte à coucou… bref, ce quelque chose qui lui assure, encore et toujours, qu’une décision n’en est pas une et vice versa.

    Le bonhomme n’en fait pas mystère : il est obsédé par une possible victoire de Marine Le Pen en mai prochain. Terrorisé, il suppute que les chiffres la concernant sont très minorés, l’estime plutôt autour de 35 % au premier tour que des 25 % annoncés. N’a aucune confiance en Hamon-le-Traître, qui lui a balancé une motion de censure dans les jarrets, pas beaucoup plus en Macron-le-Gommeux, qui fait le joli cœur à défaut du joli programme auprès de ses ministres, avant, craint-il, de se dégonfler comme une minable baudruche.

    Alors, foin des engagements et de la parole donnée, François Hollande se rêve en ultime rempart contre la blonde Marine qui hante ses nuits tel un vaisseau fantôme fendant la cour de l’Élysée.

    Et d’où lui viennent ces subites terreurs nocturnes ? Le Président le confesse : du cinéma. Il est vrai que la période est féconde en comédies de boulevard avec ménages à trois et traîtres en embuscade ; mais non, c’est le cinéma, le vrai, celui des salles obscures et du grand écran qui l’a tout chamboulé.

    On sait que sa compagne Julie Gayet anime, avec son amie Audrey Azoulay (devenue ministre de la Culture), les soirées privées de l’Élysée. Alors le Président a vu le dernier film de Lucas Belvaux, Chez nous. Un film qu’il a trouvé « très réaliste » et qui lui a foutu les miquettes, parce que « la fiction, ça remet les choses en perspective » (sic). Surtout les fictions objectives de Lucas Belvaux, un bonhomme qui, le 2 mars dernier, a déclaré à la télévision belge être « en faveur d’un cordon sanitaire (sic) empêchant les partis politiques non libéraux et extrémistes de propager leurs idées sur les médias de large audience ».

    À l’issue de la projection, dit Le Parisien, François Hollande aurait confié à ses convives (notamment les acteurs André Dussollier, Émilie Dequenne et Anne Marivin) sa vive inquiétude, « presque sa panique », dit l’un d’eux. Idem avec l’ineffable Bernard-Henri Lévy, venu lui aussi « présenter son film La Bataille de Mossoul ». « On est en train de filer au bord de l’abîme », lui aurait dit l’ex-chef de guerre de Sarkozy, ce fin stratège.

    C’est marrant, moi, je ne trouve pas le temps d’aller au cinéma ! Mais il est vrai que je ne suis pas président de la République…

    Le résultat de tout cela ? Une image encore plus désastreuse du politique. Pas de tripes, aucun respect de la parole donnée, surtout, chacun étant prêt à renier ce à quoi il s’est engagé la veille. Sans honneur, misant sur la déconfiture des candidats issus de son parti, vainqueur ou non des primaires qu’il a lui-même réclamées, François Hollande espère encore jouer les doublures.

    Mais des doublures, on en voit partout : ce sont celles des vestes que tous ces guignols ne cessent de retourner !

    Marie Delarue

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • L’image contient peut-être : 1 personne, debout

    MONSIEUR MACRON, CET HOMME PARLE FRANÇAIS MAIS NE L'ECRIT PAS. PAR CONTRE EN 1943 IL DÉBARQUAIT EN PROVENCE POUR QU’AUJOURD’HUI VOUS SOYEZ FRANÇAIS, MAIS LA FRANCE L'A ABANDONNE AUX MAINS DES TUEURS DU FLN
    POUR L'HONNEUR DE NOS PARENTS POUR LA RECONNAISSANCE ET UNE LOI DE RÉPARATION RASSEMBLEMENT HARKIS ET LEURS AMIS
    18 MARS 1962 : LES ACCORDS D'ÉVIAN
    -DATE CHARGÉE D'HISTOIRE-
    MOBILISONS-NOUS AVANT LES ÉCHÉANCES ÉLECTORALES IMPORTANTES POUR RAPPELER À L'ÉTAT FRANÇAIS LE DÉBUT DE NOTRE MASSACRE, NOTRE ABANDON, ET NOTRE TRANSFERT DANS LES CAMPS EN FRANCE.
    RASSEMBLEMENT :
    SAMEDI 18 MARS 2017 DE 10 H À 16 H
    AU CAMP DE SAINT-MAURICE-L'ARDOISE, HAUT-LIEU DE MÉMOIRE DE LA COMMUNAUTÉ HARKI,
    POUR EXIGER UNE LOI DE RECONNAISSANCE ET DE RÉPARATION
    ITINÉRAIRE : pour se rendre au rassemblement au camp de Saint - Maurice - l'Ardoise, commune de Saint- Laurent - des Arbres, 30 :
    Par autoroute : sortie Roquemaure, Saint - Laurent - des - Arbres, route de Laudun, départementale 121, puis direction la stèle Harki du camp de Saint - Maurice (environ 3 km de Saint - Laurent - des - Arbres) ; une fois arrivé devant la stèle, se diriger sur la droite à 50 mètres, où se situe l’entrée du camp.
    HOCINE LOUANCHI
    COORDINATEUR DU RASSEMBLEMENT
    https://www.youtube.com/watch?v=bCgVbCQlT1s&t=5s


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  • La Catalogne est notre maison et nous ne voulons pas un réfugié dans notre maison !


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  • Montebourg fier que son grand-père algérien se battait avec le FLN contre la France .."

     Manuel Gomez | Journaliste, Ecrivain 
    Montebourg fier que son grand-père algérien se battait avec le FLN contre la France

    Montebourg fier que son grand-père algérien se battait avec le FLN contre la France

    A plusieurs reprises Arnaud Montebourg, alors ministre de la république, a eu l’occasion d’évoquer ses origines algériennes et s’est glorifié d’avoir un grand-père maternel algérien qui, après avoir combattu dans les rangs de l’armée française, aurait rejoint les rangs du FLN pour combattre la France mais en oubliant de dire que ce dernier descend d’une famille de wallis (gouverneurs d’une région).

    (Interviewé sur le site « Oumma.com »)

    C’est lui qui le dit mais ce n’est pas prouvé et, si cela l’était, devrait-il s’attribuer la gloire d’avoir eu un grand-père qui a combattu aux côtés des ennemis de la France et donc eu la possibilité de tuer des soldats et des civils français ?

    Là ce serait plutôt une honte qu’un honneur !

    Fils de Michel Montebourg, né en 1933 dans la région d’Autun, fonctionnaire des impôts, et marié à Leïla Ould Cadi, professeur d’espagnol née à Oran en 1939, Arnaud se garde bien de révéler que son grand-père maternel, Khermiche Ould Cadi, marié à une normande, descend d’une famille dont le père, Ahmed, Agha (seigneur) de Frendah (Oranie) de la tribu makhzen des zmela, combattit aux côtés de l’armée française lors de la conquête de l’Algérie. Fait chevalier de la Légion d’honneur en 1842, puis officier en 1852, commandeur en 1860 et grand officier en 1867 (Wikipedia).

    Son arrière-grand-père maternel n’était donc pas un simple fellah mais un puissant et riche seigneur, rallié dès la première heure à la France afin de défendre les populations placées sous son autorité contre les razzias meurtrières.

    Car, avant la conquête ce qui ne s’appelait pas encore Algérie n’était qu’un territoire livré à des luttes entre tribus rivales, pillages et enlèvements de femmes et d’enfants pour être vendus comme esclaves.

    Afin de remercier la France d’avoir éradiqué une épidémie ravageuse chez ses sujets, l’Agha de Frendah, donc l’aïeul d’Arnaud, a offert au pays colonisateur 3560 hectares sur lesquels fut construit le village de Lourmel.

    C’est de cela qu’Arnaud Montebourg doit être fier !

    **Fier que son pays, la France, grâce à la pacification qui n’a pu se réaliser qu’avec le ralliement de nombreux notables algériens, dont son aïeul, a permis plus d’un siècle de destin commun entre algériens et pieds-noirs, unis par le même amour de ce pays.

    **Fier que sa famille se soit rangée et ait combattue aux côtés de la France lors de la colonisation (qui a permis au pays de ses origines maternelles : de vastes terres arides, incultes, marécageuses, infectées de miasmes, de rats, de bêtes sauvages, de moustiques et de cent maladies meurtrières et qui ne connaissait ni droit ni loi. Un pays où mourrait beaucoup plus de monde qu’il n’en naissait) de devenir un paradis :

    **HOCINE AIT AHMED, l’un des chefs historiques du F.L.N algérien, dans le numéro de juin 2005 de la revue « Ensemble »

    « Du temps de la France l’Algérie c’était le paradis ! »

    Non Monsieur Montebourg vous n’êtes effectivement pas « Pied-Noir » mais uniquement un français d’origine algérienne de par sa mère comme beaucoup en France mais dont l’arrière-grand-père a participé à la colonisation pour le bien de son pays.

    Et si, parce que « socialiste » la colonisation vous perturbe à un tel point, méditez ce texte de Boualem Sensal (2002) : « En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi. Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants. »

    Publié dans presse nationale


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