• Un homme courageux qui a parlé le 4 mars au nom du Peuple Québécois


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  • Le produit devrait être commercialisé au printemps 2018. 

    La patineuse Zahra Lari porte un hijab de la marque Nike, dans un dossier de presse communiqué le 6 mars 2017.  La patineuse Zahra Lari porte un hijab de la marque Nike, dans un dossier de presse communiqué le 6 mars 2017.   (VIVIENNE BALLA / AP / SIPA)

    Nike va faciliter la vie des athlètes musulmanes. Lundi 6 mars, la firme américaine a annoncé son ambition de commercialiser à partir du début de 2018 un hijab destiné aux sportives qui portent le voile, rapporte le site Al Arabiya English (lien en anglais). "Le Nike Pro Hijab a été imaginé pour répondre aux demandes de nos athlètes qui nous disaient qu’elles avaient besoin de ce produit pour réaliser de meilleures performances, et nous espérons que cela pourra aider les athlètes du monde entier", a déclaré au site d'information une porte-parole de la marque. 

    En lançant ce produit, Nike deviendrait alors l'acteur le plus important de ce petit marché en expansion, explique le site Quartz (en anglais). Un atout pour la marque, qui compte beaucoup sur son implantation au Moyen-Orient. Elle y a récemment lancé une campagne de publicité à l'intention des femmes, les encourageant à pratiquer des sports.  

    Un hijab développé avec des athlètes

    "Cela fait plus d'un an que nous travaillons sur le Nike Pro Hijab", a ajouté la marque, évoquant une "prise de conscience" en découvrant la coureuse saoudienne Sarah Attar, les cheveux couverts d'un hijab, pendant les Jeux olympiques de Londres, en 2012. "Ces nouveaux équipements ont été testés par l'élite des athlètes Nike, telle que la patineuse émiratie Zahra Lari et l'entraîneuse [égyptienne] Manal Rostom. Tous les jours, des athlètes du Moyen-Orient ont évalué le produit", poursuit le communiqué. 

    Pour Nike, il s'agit de répondre à un besoin exprimé par les sportives musulmanes qui, dans de nombreux pays, pratiquent leur sport en portant un hijab traditionnel, non adapté à l'effort physique, en particulier au Moyen-Orient, où les températures sont les plus élevées. Ainsi, la marque a utilisé un tissu flexible et aéré, explique Al Arabiya.

     

    Source : francetvinfo


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  • Ces immigrés qui haïssent la France : l'insurrection ethnico-islamique de Saint-Denis

    Les faits (Source : France info)

    Cinquante-cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, ce mardi 7 mars pour « attroupement armé et jets de projectiles » dans et devant le lycée Suger de Saint-Denis (et aussi dans et devant les lycées Bartholdi et Paul Eluard) ... 

    Les faits se sont produits vers 10 heures ce matin, au moment de la récréation. Professeurs et élèves ont entendu une grosse explosion dans le hall du lycée. L'air est devenu irrespirable, à cause de la fumée. Les élèves ont donc été conduits dans la cour de l'établissement. Au même moment, un groupe de jeunes s'est introduit dans le lycée et a tenté d'allumer un incendie dans trois endroits distincts de l'établissement. Ils sont ensuite entrés dans l'un des bâtiments et y ont répandu de l'essence. Les départs de feu ont été rapidement maîtrisés...

    Après l'évacuation des élèves, des fonctionnaires de police ont été pris à partie par plusieurs individus armés de pierres, de mortier, d'explosifs et de cocktails Molotov...  

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    Le roi du Maroc, Hassan II, père de l'actuel roi Mohammed VI, avait raison, et savait de quoi il parlait, lui qui est descendant du Prophète et « Amir al-Mu’minin » (c'est-à-dire « Commandeur des Croyants ») lorsqu'il parlait à une Anne Sinclair, visiblement déstabilisée, de l'immigration en France.

    Avec lucidité, il disait : Vous faites une grande violence à tous ces musulmans marocains [il ne voulait pas parler des Algériens, Tunisiens ou autre Africains, s'en tenant, à juste titre, à son rôle de roi du Maroc], en leur demandant de s'intégrer ou de s'assimiler à votre culture. Ils sont marocains et musulmans et ils le resteront ; ils ne seront jamais français à cent pour cent ; vous arriverez peut-être à maîtriser la première et la deuxième génération, mais la troisième ou la quatrième vous exploseront au visage...

    Nous y sommes.

    Il ne faut pas se leurrer : à l'heure où un apprenti sorcier nommé Macron envisage sérieusement d'ouvrir encore plus les portes à une immigration africaine encore plus importante, l'immigration déjà installée en France règne en maîtresse dans plus de 1.500 quartiers ou cités (et peut-être 2.000, et peut être plus). Dans ces zones de non-droit, dont tout le monde sait l'existence mais que personne ne veut nommer dans le Pays légal, qui brade la France, cette immigration est déjà, de fait, maîtresse du terrain. Dès qu'elle se sentira prête, assez sûre d'elle, elle déclarera « zone islamique » telle ou telle cité, tel ou tel quartier.

    Que fera-t-on, alors ?

    Parmi la cinquantaine de « jeunes » interpellés, quasiment tous sont mineurs. Légalement, quasiment tous sont français. Mais « Français de plastique » seulement, et « sans avoir l'esprit ni le cœur français », comme le disait Charles de Foucaud.

    Fortement islamisés, ces « jeunes » croient au dogme fondamental du Medhi, expliqué par le père de Foucaud : « tout musulman, (je ne parle pas des libres penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve ; «l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération», disent-ils ; ...mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France. »

    Ce jour-là, n'en doutons pas, est proche. Une grande insurrection se profile, dont nous ne savons ni le jour, ni l'heure, ni le lieu (ou les lieux). Mais elle arrive, c'est évident, elle est même déjà là, de fait, attendant son heure et rongeant son frein, d'une façon de moins en moins cachée.

    Et si, d'aventure, cette insurrection triomphait - et là où elle triompherait... - nous n'aurions le choix qu'entre deux solutions : nous convertir sous la contrainte ; ou partir loin de chez nous.

    Alors, sans hésiter, nous en choisirions une troisième : nous battre pour la Libération nationale.

     

    Source : lafautearousseau


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  • Salle de shoot parisienne : insécurité, prostitution et trafics gagnent tout le quartier !

    Comme nos ministres et grandes figures du monde politique, les élus de la mairie de Paris (Mme Hidalgo en tête) ne sortent pas de leur bunker, sinon en voiture blindée avec motards et chauffeurs. Qu’ils aillent au musée (vu à Beaubourg), on bloque la circulation, éloigne les passants et déroule le tapis rouge devant les visiteurs médusés. Pas question de côtoyer la valetaille et pas question, surtout, de goûter au quotidien des Français.

    C’est ainsi que nos élus socialistes ont théorisé, sur le papier, tous les bienfaits qui résulteraient de l’ouverture des salles de shoot. Pardon, des « salles de consommation à moindre risque ». La première salle parisienne a, ainsi, ouvert rue Ambroise-Paré, dans le Xe arrondissement, annexe tout à la fois de la gare du Nord et de l’hôpital Lariboisière. Les riverains n’en voulaient pas mais qu’importe, le socialisme sait ce qui est bien pour nous et l’Histoire a prouvé qu’il ne recule devant rien pour l’imposer, fût-ce contre notre gré.

    Cette salle a ouvert en octobre dernier. En trois mois de temps, 500 personnes s’y sont inscrites et 180 à 200 y passent chaque jour pour se défoncer. Stéphane Bribard, responsable de la sécurité à la mairie du Xe, se réjouit ainsi que « plus de 15.000 injections [aient été effectuées] à l’intérieur ». Toutefois – illustration de la schizophrénie des élus -, il reconnaît que les « difficultés » vécues par les riverains sont liées « non pas à la salle en tant que telle, mais à la présence d’usagers de drogue dans le quartier ».

    Ben oui, figurez-vous que la salle de shoot est fréquentée par des drogués et pas par des retraités retour du marché Saint-Quentin. C’est bête, hein ?

    Quant aux « difficultés » en question, il s’agit ni plus ni moins de batailles rangées, rixes entre consommateurs et dealers, à quoi il faut ajouter la saleté épouvantable du quartier et maintenant, de surcroît, la prostitution. Loin d’avoir amélioré un état de fait, l’ouverture de cette salle n’a fait qu’aggraver les choses : en effet, « comme avant, effectivement, les toxicomanes continuent à fréquenter les toilettes Decaux, la gare, les parkings », explique une élue au Figaro.

    Mais le 26 février dernier, un cran a encore été franchi, poussant un collectif de riverains à dénoncer, dans une lettre ouverte à la mairie, tous les désagréments qu’ils subissent. Ce jour-là a éclaté « une bataille rangée d’une extrême violence entre deux bandes rivales de toxicomanes et de dealers », mettant le quartier à feu et à sang. Et monsieur Bribard d’expliquer, là encore, qu’il n’y a rien d’inquiétant : « C’est un affrontement entre deux drogués qui a commencé dans la salle d’attente et s’est terminé dehors en vraie bagarre, comme malheureusement on peut en retrouver à la sortie de lycées ou du métro La Chapelle », explique-t-il au Figaro. Ce qui est, au passage, un bel aveu de l’impuissance publique face à l’insécurité quotidienne dans notre pays, en état d’urgence rappelons-le !

    Mais attention, à la mairie, on sait être ferme : « La direction de Gaïa a fermé la salle immédiatement : c’est un acte fort pour montrer qu’il y a des limites. » Et puis, l’arme brandie par l’un des assaillants « était en fait factice ». Nous voilà rassurés. Enfin, dit l’élu : « Quant aux deux personnes, elles n’étaient pas spécialement abîmées (sic) puisqu’elles sont revenues le lendemain… pour se voir interdire la fréquentation de la salle pendant quelques semaines. »

    Punis. Au coin, les drogués. Non mais !

    Les habitants du quartier assurent, eux, que la situation empire de jour en jour. Alors, si c’est un argument que Mme Hidalgo peut entendre, rappelons-lui que la gare du Nord est la plus grande gare et la plus fréquentée d’Europe, déversant chaque année dans Paris des millions de touristes. Les camés au crack et leur guérilla leur font un joli comité d’accueil !

    Marie Delarue

    Source : http://www.bvoltaire.


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