• MANIFESTATION

    COMMUNIQUE


    votre commentaire
  • Le chauffeur de l'attentat de Nice fréquentait des islamistes depuis au moins un an

    Les éléments venant contredire la thèse de la «radicalisation éclair» soutenue par le procureur de la République s’accumulent et mettent à jour les failles des services de renseignement français.

    Contrôlé lors de son entrée en Italie à bord d’une voiture en août 2015, Mohamed Lahouaiej Bouhlel était en compagnie de trois hommes, dont l’un est aujourd’hui connu pour être impliqué dans une filière d’acheminement de djihadistes en Syrie, a révélé BFMTV.

    Dans l'année précédant son crime, Mohamed Lahouaiej Bouhlel a eu de nombreux contacts téléphoniques avec cinq personnes présentées jeudi 6 octobre à la justice.

    Il s'agit de quatre hommes et d'une femme, âgés de 21 à 40 ans, parmi lesquels figurent un couple d'Albanais, Artan et Enkeldja, deux Franco-Tunisiens, Ramzi A. et Mohamed Oualid G. et un Tunisien, Chokri C.

    L’interrogatoire de ces suspects a révélé que le terroriste de Nice se serait régulièrement rendu en Italie «avec des hommes barbus, radicalisés, afin d’apporter de la nourriture aux migrants syriens», selon BFMTV.

    Si des éléments de son téléphone étaient déjà connus, comme les photos de la promenade des Anglais prises le 14 juillet 2015, une nouvelle pièce du puzzle de l’enquête a été identifiée : un SMS qu’il a envoyé à sa femme : «Ton frère Ibrahim sont Syrie djihad». Les policiers n’ont toujours pas décrypté le sens précis de ce message, qui n'en reste pas moins inquiétant. aime

    Malgré l'adoption de la loi de renseignement et la multiplication des moyens accordés aux services de police pour la surveillance de la mouvance djihadiste depuis les attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015, l'Etat a donc failli à repérer Mohamed Lahouaiej Bouhlel avant son passage à l'acte.

    source


    votre commentaire
  • Le savez-vous ?Posté par: LA LIGUE PATRIOTIQUE 36

    Avion à basse altitude à Nice: une bagarre entre un djihadiste et le copilote ?

    Avion à basse altitude à Nice: une bagarre entre un djihadiste et le copilote ?

    Les faits se sont passés le 28 août 2016 . Le site Nice matin en a parlé, peut être en avez vous entendu parler. Dans le cas contraire, le voici.

    Le 28 août un Boeing 737 de la Turkish Airline a survolé Nice à 130m d'altitude en phase d’atterrissage créant un émoi très fort.

    Les passagers ont eu très peur et ont rapporté qu'ils ont entendu des disputes dans la cabine de pilotage.

    L'atterrissage fut problématique et pour cause. de source bien informée (direction de la sécurité aérienne de l’aéroport) il semblerait que l' on ait évité une catastrophe comparable à celle du crash de l'avion d'une compagnie allemande sur les montagnes causé par le copilote.

    En effet il y aurait eu bagarre entre le pilote un djihadiste, et le copilote. Ce dernier ayant réussi à neutraliser le pilote qui voulait lancer l'avion sur la ville de Nice, et qui a réussi tant bien que mal à atterrir.

    Bravo pour cet homme et son courage.

    Messieurs Ciotti et Estrosi ont demandé la vérité sur cet incident.

    Nous sommes le 23 septembre, avez-vous entendu les médias en parler ou avoir des précisions sur cet incident gravissime ? Mais non, c’est pas grave, attendons les attentats suivants !!!!

    Par contre on a entendu ce soir notre président dire qu'il ne changera rien à la politique sécuritaire de la France.

    Il vaut mieux avoir 250 morts sur la conscience.

    Drôle de personnage tout de même.

    Faites circuler à la place des médias à la botte.

    Daniel CHENARD

    Sous-Préfet honoraire

    226 avenue des anciens combattants
    06220 Vallauris

    Lire le témoignage d'un passager :"On aurait dit que le pilote et son co-pilote se battaient"

    http://www.lejournaldupeupledefrance.com


    votre commentaire
  • Un ancien ministre laisse une facture impayée dans un gîte d'Indre-et-Loire

    Un ancien ministre laisse une facture impayée dans un gîte d'Indre-et-Loire

    L'année dernière, onze membres de l'association présidée par Azouz Begag -dont l'ancien ministre en personne- ont passé un séjour de trois jours dans un gîte d'Indre-et-Loire. Les gestionnaires attendent toujous d'être payés.

    Un an que les gestionnaires tentent tout pour récupérer leur dû. En novembre 2015, l'ancien ministre Azouz Begag s'est offert, avec dix membres de l'association Emir Abdelkader, qu'il préside, un long week-end dans un gîte d'Indre-et-Loire. Trois jours réservés par l'association dans le grand gîte du Domaine de Clairaies à, Artannes-sur-Indre, près de Tours, à l'occasion de la journée dédiée à la mémoire du chef militaire algérien, poète, philosophe et théologien du XIXème siècle au Château d'Amboise.

    http://www.lexpress.fr


    votre commentaire
  • En attendant la prison ...Posté par: LA LIGUE PATRIOTIQUE 36


    votre commentaire