• votre commentaire
  •  Angleterre envahie : un immigré attaque plusieurs jeunes Blancs à l’acide, l’un a perdu un œil   .                                                                                                                                    

    Un groupe de jeunes Britanniques attendaient leur train à la gare d’Ockendon (Essex, Grande-Bretagne) quand ils ont été soudainement attaqué : ils ont été aspergés d’un liquide corrosif par un assaillant qui s’est ensuite enfuit.

    La police a diffusé une photo de ce dernier (ci-contre) pour tenter de le retrouver.

    L’individu a approché les cinq victimes qui attendaient sur le quai, en cachant une de ses mains derrière son dos. Après un bref dialogue avec eux, il a brandi une bouteille de derrière son dos et a ensuite aspergé d’un liquide inconnu les victimes. Puis il a rejoint son groupe d’environ neuf amis et ils sont partis.

    L’un des adolescents a perdu l’usage d’un oeil tandis que l’autre est sévèrement brûlé. Les trois autres adolescents sont aussi blessés mais plus légèrement, et ont pu quitter l’hôpital.

    Source : http://www.contre-info.com


    votre commentaire
  • USA : Muzzammil HASSAN un musulman “modéré” décapite sa femme et veut plaider la démence

    Rappelons qu’il existe de nombreux précédents, en France, aux Etats-Unis et ailleurs, où des musulmans qui ont commis des actes barbares ou des crimes en tous points similaires (crimes d’honneur, décapitation, projection d’acide, violences diverses) utilisent la démence ou les troubles mentaux comme ligne de défense, ou sont déclarés “fous” par les tribunaux.

    Les médias occidentaux et la justice camouflent souvent intentionnellement les affaires de “crimes d’honneur” ou de d...écapitations, car elles sont généralement étroitement liées aux pratiques islamiques.
    En 2004, Muzzammil HASSAN fondait Bridges TV, une chaine de télévision destinée à lutter contre la perception négative des musulmans. En 2009, il était arrêté après avoir décapité sa femme. [relire notre article de 2009]

    L’affaire a refait surface ces jours derniers dans la presse américaine : le juge doit en effet décider si l’accusé aura le droit de plaider la folie.

    Source : Buffalonews.com via Jihad Watch 

    Photo de Sylvestre Brunaud.

    votre commentaire
  • Nos vies sont en danger de mort et nous avons le droit de tirer à balles réelles

     
    648x415_incidents_en_marge_de_la_manifestation_contre_la_loi_travail_le_9_avril_2016_a_paris

    Publié par Manuel Gomez le 19 mai 2016

    Nous vivons une drôle d’époque. Les « casseurs » font la loi et les forces de l’ordre ont peur.
     
    La police, les CRS, etc., tous ont peur parce qu’ils ne peuvent pas défendre leur vie, parce qu’ils sont devant l’obligation de se laisser malmener, tabasser, blesser et, sans doute un prochain jour, tuer sans avoir le droit de tirer.
    Or la légitime défense existe.
    Elle est prévue par la loi.
    • Quand un groupe de « casseurs » se précipite sur nous, et nous frappe à coups de pieds, de battes de baseball, de barres de fer.
    • Quand une borne de circulation en métal est projetée sur notre pare-brise arrière et le brise net.
    • Quand un fumigène est lancé dans notre voiture et nous enfume.
      Quand notre voiture prend feu, sous les applaudissements des voyous, que nous sauvons nos vies de justesse et que nous ne sommes pas brûlés vifs malgré les cocktails molotov qui explosent sous nos pieds et les roues de nos véhicules, alors que les voyous crient « poulets rôtis »,
    Alors nous sommes en état de légitime défense.
      
    Nos vies sont en danger de mort et nous avons le droit de tirer à balles réelles, nous avons le droit de blesser et même de tuer, sans tomber sous le coup de la loi.
     
    C’est cela la légitime défense.
     
    Toutes les polices du monde n’hésiteraient pas à se servir de leurs armes contre des voyous cagoulés et armés.
    La France est en état d’urgence, elle est en guerre.
    C’est ce que ne cessent de nous répéter nos gouvernants.
    Or, dans une guerre, si nous pouvons être tués par nos ennemis, nous pouvons, nous devons même, pouvoir les éliminer.
     
    C’est cela la guerre.
     
    Nous avons des ennemis : « les casseurs ».
    Ils en veulent à nos vies alors nous avons le droit, et même le devoir, de nous défendre, de vous défendre.
     
    C’est cela la légitime défense.
     
    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

    votre commentaire
  • Cette gauche qui n’a rien compris à la guerre d’Algérie. 

     

    Cette gauche qui n’a rien compris à la guerre d’Algérie.

     

    C’est « un silence religieux » qui saisit la gauche face au djihadisme déclare Jean Birnbaum. Silence religieux ? Birnbaum vise les rapports tus entre la gauche et le monde religieux. Si la gauche ne comprend pas l’islam en France aujourd’hui, c’est parce qu’elle a voulu se rendre sourde depuis longtemps à toute dimension religieuse. Birnbaum pense pouvoir contribuer à la faire changer.

    Jean Birnbaum, actuel directeur du « Monde des livres », a cette faculté rare de créer de l’événement avec des idées. Son dernier livre, Un silence religieux, sous-titré La gauche face au djihadisme, est un véritable pavé dans la mare. Il fait événement, et par sa nouveauté, et par sa liberté de ton. Nouveauté ? Prêcher la religion à la gauche qui n’en a plus depuis deux siècles et lui expliquer que, sur ce point, elle doit parvenir à faire sa « révolution spirituelle », il faut bien reconnaître que c’est une tentative dont l’audace semble ab­solument inédite.
    Certains – le philosophe allemand Ernst Bloch par exemple – s’étaient déjà employés à « spiritualiser » la gau­che, en en faisant la patrie de toutes les utopies et de ce que l’on appelait dans les années 1970 « l’espérance politique ». Ce n’est pas ce que tente Birnbaum avec les djihadistes et surtout, même s’il ne l’écrit pas trop fort, avec l’islam lui-même. Il revient non seulement sur Marx mais sur l’athéisme de son inspirateur, l’Allemand Ludwig Feuerbach. Oui le spirituel existe, non ce n’est pas un fantasme ni seulement « l’opium du peuple ».
    L’efficacité politique de l’islam montre qu’il faut mettre la religion du côté du réel et pas de l’imagination. Marx, qui avait annoncé l’avènement d’une so­ciété nouvelle, une société dans laquelle on ne se poserait plus la question religieuse, ce Marx-là en tout cas avait tort, parce que la question non seulement se pose, mais elle pose d’énormes problèmes à ceux qui ne se la posent pas et d’abord à tous ces gens de gauche qui ont trop lu Karl Marx.

    Une liberté de ton, qui le mène à une véritable autocriti­que
    Jean Birnbaum somme plutôt la gauche de prendre en considération ce que Michel Foucault, à son retour d’Iran en 1978, avait appelé « la politique spirituelle ». Foucault avait en vue la puissance politique de l’ayatollah Khomeiny, juste avant la Révolution islamique en Iran. Mais il n’y a pas que les mollahs chiites aujourd’hui à jouir de cette puissance spirituelle.
    Le moindre imam sunnite de nos banlieues possè­de quelque chose de cette puissance spirituelle, quelque chose qui échappe à la gauche, qui n’est pas de son monde.
    Il faut aussi accorder à Jean Birnbaum une magnifique liberté de ton, qui le mène à une véritable autocriti­que. Le chapitre 2 de ce livre porte sur la guerre d’Algérie. Encore aujourd’hui, la gauche veut la comprendre comme une guerre de libération, comme une guerre révolutionnaire parmi beaucoup d’autres. En réalité la guerre d’Algérie était une guerre sainte, que ce soit pour les partisans de Messali Hadj ou pour les moudjahidines du FLN – ce que Patrick Buisson montre très bien dans son dernier film, Les dieux meurent en Algérie (1).
    Birnbaum cite un débat récent entre Paul Thibaud, l’ancien patron de la re­vue « Esprit », engagée à l’époque dans l’Algérie algérienne, et Pierre Vidal-Naquet, spécialiste de la shoah. Ils ont l’air de découvrir ensemble ce que re­connaissait Vidal-Naquet : « Pour moi, il ne fait guère de doute que c’est seulement après 1988, après l’octobre algérien, que l’on a commencé à voir ce qui se passait et à saisir le rôle de l’islam. »
    Pourquoi ces trente ans de retard ? Jean Birnbaum cite les témoignages de ces Français qui sont restés en Algérie, ceux que l’on a appelés les « pieds rou­ges » par opposition aux pieds noirs. Ils expliquent bonnement (c’est le témoignage de Fanny Colonna ou de Moni­que Gadant) qu’ils avaient compris, eux, dès le début, la nature religieuse de la guerre d’indépendance, mais que l’on ne pouvait pas dire la vérité sur l’Algérie et sur ce premier djihad anticolonial sous peine de donner raison à l’extrême droite, qui, seule, à l’époque, pouvait dire et ne taisait pas un certain nombre de vérités difficiles à avaler.
    Aujourd’hui, sur ce point comme sur beaucoup d’autres, le réel a eu lieu et il n’est plus possible de se taire, il n’est plus possible de minimiser le fait religieux dans les pays musulmans, y compris en Algérie. Vidal-Naquet l’a compris à l’occasion de cette révolte informelle d’octobre 1988, qui, effectivement, appuyait sa stratégie sur les mosquées.
    Beaucoup, à gauche, ne veulent toujours pas l’entendre. Ils restent sur les fausses fenêtres révolutionnaires dessinées pendant la guerre d’Algérie et qui, en réalité, n’existent pas. Ils continuent à croire en ce monde nouveau que la guerre annonçait. Aujourd’hui, ils sont le vieux monde et leur rhétorique ne passe plus.
    Quant au monde nouveau, c’est bien – hier et aujour­d’hui – celui du djihad et des djihadistes. Tant pis si les « progressistes » compulsifs n’y trouvent pas leur compte.   
    Joël Prieur

    Jean Birnbaum, Un silence religieux, La gauche face au djihadisme, éd. du Seuil, 242 pp., 17 euros.

    http://www.minute-hebdo.fr/tout-minute/actualites/905-cette-gauche-qui-na-rien-compris-a-la-guerre-dalgerie


    votre commentaire