• Acte Isolé ou déséquilibré . Posté par Pieds Noirs 9A.. 


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  •  Danemark  : les bars demandent protection contre les « patrouilles de la sharia »



    Publié par Jean-Patrick Grumberg le 15 mai 2016

    Un groupe de propriétaires de bars d’une banlieue de Copenhague a demandé au gouvernement de les protéger contre les patrouilles de la sharia, des jeunes musulmans de seconde génération qui veulent imposer une « sharia zone ».
     
    Des jeunes vandalisent nos commerces, nous jettent des pierres, veulent interdire l’alcool, les jeux d’argent qui sont contraires aux lois de la sharia, se plaignent les propriétaires des bars et cafés de Nørrebro, en banlieue de Copenhague.
     
    Mais le plus étonnant est la réaction de la ministre danoise à l’intégration.

    Café Heimdal - Copenhague
     
     Café Heimdal – Copenhague
     
    «Récemment, des jeunes sont arrivés dans le café, et ils ont crié aux clients de partir, » a déclaré Heidi Dyrnesli, propriétaire du Café Heimdal à Radio24syv, sans qui l’affaire aurait été étouffée par les grands médias.
    « Ils ont crié que Nørrebro leur appartient, que c’est une sharia zone, et qu’il est interdit d’y boire de l’alcool. »
     
    Birgitte Fischer et Mohammed Ahmed, les propriétaires du Mucki Bar, ont déclaré à la radio qu’une patrouille de la sharia a lancé des pierres pour casser les fenêtres, puis ils ont lancé des pétards à l’intérieur du café dans le but de terroriser et faire fuir les clients, et ensuite ils ont réclamé aux deux associés 60.000 couronnes (environ 9,000 Euros) pour “leur protection”.
     
    « Un jour ils arrivent et vous disent qu’ils nous surveillent, et d’autres fois, ils jettent des vélos contre notre vitrine. Des fois ils sont masqués, poltrons et lâches… et nous, on a peur. Surtout nos clients, qui sont très mal à l’aise de la situation. Récemment ils ont jeté un pavé par la fenêtre alors que des clients étaient assis à la table juste à coté. Ils auraient pu être blessés, et on a eu des débris de verre partout, au milieu des clients » a déclaré Birgitte Fischer à la radio.

     
    Les cafetiers se plaignent que malgré plusieurs plaintes, la police n’a rien pu faire, et c’est pourquoi ils font maintenant appel au gouvernement.
    Birgitte Fischer explique que par le 5 mai dernier, la police n’est arrivée que 20 minutes après qu’elle ait appuyé sur son bouton d’alarme, bien trop tard.
     
    La ministre de l'intégration Inger Stoejberg (à droite sur la photo) a rendu visite aux patrons de bars harcelés par les patrouilles de la sharia (photo d'illustration)
    La ministre de l’intégration Inger Stoejberg (à droite sur la photo) a rendu visite aux patrons de bars harcelés par les patrouilles de la sharia (photo d’illustration)
    En réaction, la ministre de l’intégration Inger Stoejberg s’est rendue dans le quartier mercredi dernier.
    Les médias locaux rapportent qu’elle a parlé avec les « jeunes » [musulmans] qui l’ont accusée d’exagérer la gravité du problème et qu’elle cherchait à plaire à ceux qui soutiennent les lois anti-immigration.
    Stoejberg leur répondit : « il y a des jeunes ici qui ne se conduisent pas convenablement, et des patrons de bars victimes impuissantes. Si vous avez des solutions à proposer, je suggère que vous nous aidiez à régler le problème afin que les habitants de Nørrebro puissent vivre normalement. Les jeunes ne manquent pas d’option ici. Tout ce dont ils ont besoin c’est de s’éduquer et de prendre un travail. 
    Sur le trottoir d’en face, deux jeunes filles ont lancé à la ministre « fasciste ! Nazie ! », qui a traversé la route et les a affronté : « qu’est ce que vous dites ?… »
    « Fasciste ! » ont répété les jeunes filles en descendant le ton tout en reculant puis s’enfuyant.
     La police les a suivies, et les a arrêté : la loi danoise interdit d’insulter un serviteur de l’Etat.
     
    Devant le Mucki Bar
    Devant le Mucki Bar
    Le problème est délicat : en Allemagne, des municipalités ont demandé aux parents de faire faire des détours à leurs filles pour ne pas passer dans les rues où trainent les réfugiés.
     A Cologne, il a été demandé aux femmes de rester à bonne distance des musulmans, et en Suède, de se vêtir modestement.
    En France, des commerçants qui vendaient de la charcuterie sur les marchés ont été forcés de plier bagage, et dans certaines villes comme St Denis, mes contacts m’ont indiqué qu’il était difficile d’y trouver une boucherie non halal.
     
    Le Danemark semble réagir.
    Je dis semble, car tout le monde se souvient d’Angela Merkel déclarant il y a quelques années que « l’intégration a été un échec », et je n’ai pas besoin de vous rappeler sa façon de régler le problème : accueillir des millions de musulmans supplémentaires.
    Et puis le négationnisme a de beaux jours devant lui…
    La mairie de Copenhague, par exemple, a déclaré dans un communiqué :
     
    « contenir la partie de la jeunesse mal ajustée est un problème complexe. Mais concernant les jeunes qui veulent faire appliquer la loi de la sharia tout en commettant des actes de vandalisme, cela est loin de signifier que leurs actes ont un motif religieux. »
     
    Cela ne fait aucun doute.
    Tout comme mon arrière grand oncle a fondé Microsoft en 1914.
    Le journal Bt.dk rapporte que la ministre Inger Støjberg fit plus tard le commentaire suivant :

    Ils doivent comprendre que c’est au Danemark qu’ils vivent

    « La seule chose qui peut les aider, c’est qu’ils fassent partie de la société danoise. On ne [fait pas sa vie] en trainant dans le quartier en ennuyant les [patrons et clients des] cafés. Ils doivent mieux se conduire. Il doit y avoir des règles. La police suit ces affaires. Certaines fois, ça peut prendre du temps, quand vous appelez la police, vous le savez bien. Mais il n’est pas acceptable que vous soyez menacé quand vous aller travailler. J’ai aussi entendu qu’ils ont jeté des pétards par les fenêtres. C’est totalement inacceptable.
      
    Le problème de base, c’est que nous avons attendu trop longtemps avant d’oser faire quoi que ce soit avec ce problème. Nous devons avoir des exigences vis à vis de la seconde génération de migrants. Ils doivent comprendre que c’est au Danemark qu’ils vivent. Je comprends qu’ils ont dit que c’est une sharia zone. Je peux leur assurer que non. Et ils devraient en être heureux. Au Danemark, les gens ont des procès équitables. Ce ne serait pas le cas, s’ils vivaient dans une zone où l’on applique la sharia »
     
    La ministre a également publié ceci sur sa page Facebook :
     
    « Vous vivez dans le plus beau pays du monde [JPG : les Danois sont dans la liste des peuples les plus heureux au monde]. Vous avez d’immenses opportunités juste à portée de main [JPG : le chômage est faible, 6.3%]. Alors arrêtez de saccager, de menacer et de hurler !
    Je peux vous garantir que [Nørrebro] n’est pas une zone de sharia et qu’elle ne le sera jamais ! Et vous avez plutôt de la chance que ce ne soit pas une zone de sharia, car ici vous avez un procès équitable lorsque la police vous arrête. »
     
    Le Danemark, comme le reste de l’Europe, a été débordé.

    La banlieue de Nørrebro a une importante communauté musulmane qui refuse, comme ailleurs, de s’intégrer et d’abandonner ses coutumes, incompatibles avec la démocratie.
     
    En février 2015, un islamiste coupable d’une attaque terroriste dans la capitale a été tué par la police dans cette banlieue.
     
    Lors des dernières élections, le parti hostile à l’invasion musulmane est devenu le second parti du pays.
    Décrit comme fasciste et xénophobe par les médias, la population n’a pas gobé leur baratin.
    Le Parti du Peuple Danois a fait voter un certain nombre de lois contre l’immigration.
    Stoejberg, en revanche, est membre du parti Venstre de centre droit, majoritaire.
     
    A ma grande surprise, les journalistes français, qui vantent tant les sublimes avantages d’un peuple européen uni, n’ont pas jugé utile que les Français apprennent ce qui préocupe leurs voisins.
     
    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info

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  • #VerdunSansBlackM ; l'édito de l'Union-l'Ardennais

     
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    Lahire

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  • Verdun : «Bande de sales bougnoules», les gérants ont écrit les lettres de menaces et incendié leur snack

    Dans la nuit du 23 au 24 janvier 2015, un incendie suspect ravageait la sandwicherie Sucré Salé, rue Chaussée.  [...]

    Souvenez-vous. Dans la nuit du 23 au 24 janvier 2015, un incendie suspect ravageait la sandwicherie Sucré Salé, rue Chaussée. « Au secours ! Au secours ! Au feu ! », entendait un voisin, vers 4 h du matin. C’était la voix d’un des deux gérants de la boutique, qui dormait à l’intérieur avec un de ses amis. Les deux hommes toussaient, dans la rue, et une épaisse fumée sortait du local. » Intoxiqués par les fumées, ils avaient été transportés par les pompiers de Verdun à l’hôpital. L’après-midi, ils étaient revenus sur les lieux. Le gérant expliquait alors dans nos colonnes : « Je suis rentré vers 2 h au local. Exceptionnellement je dormais à l’étage du dessus, avec un ami. Je remplaçais mon associé le lendemain. […] J’ai alors senti la fumée, je ne pouvais plus respirer. » Les deux hommes disent alors avoir pu sortir de l’immeuble…

    De gros moyens mobilisés

    L’incendie avait mobilisé des moyens importants, la sandwicherie se trouvant se trouvant mitoyennes de deux autres immeubles, dans une rue étroite : des dizaines de pompiers étaient sur les lieux. Un poste de commandement avait même été installé… L’enquête de police, ensuite, s’avérait compliquée. Les gérants disaient avoir reçu une lettre de menace avant l’incendie (Lire par ailleurs). Mais les constatations scientifiques et l’enquête menée depuis n’ont pas emmené les policiers vers cette voie-là… A priori, il y aurait eu deux départs de feu dont un dans la pièce où se trouvaient les deux hommes… Il y avait aussi des traces d’effraction, certes. « Mais plutôt de l’intérieur vers l’extérieur, pas l’inverse », souligne Bertrand Dubuc, commandant de police.

    Arnaque à l'assurance

    Les trois individus ont été placés en garde à vue ce mardi, au commissariat de Verdun. « Ils ont avoué qu’il s’agissait d’un coup monté. »

    L’établissement affichait visiblement un déficit financier et les gérants ne savaient plus comment s’en sortir. Ils auraient donc décidé de mettre volontairement le feu à la sandwicherie pour toucher l’argent de l’assurance.

    Les trois hommes, âgés de 30 ans, 25 ans et 29 ans, tous originaires de Moselle, répondront de leurs actes prochainement devant le tribunal correctionnel de Verdun. Sachant que l’un des gérants avait déjà une condamnation pour incendie volontaire à son casier judiciaire.

    Des lettres de menaces inventées

    Après l’incendie, les gérants avaient confié aux policiers une lettre de menace qu’ils auraient reçue, quelques jours auparavant. Quatre autres commerçants avaient reçu la même : « bande de sales bougnoules, allez faire du commerce dans votre pays sinon… » La missive était signée « Je suis Charlie. » En garde à vue, les gérants de la sandwicherie auraient avoué avoir écrit eux-mêmes ces lettres de menaces, en vue de dissiper les soupçons. Une initiative de très mauvais goût : l’incendie en lui-même aurait pu être dangereux pour la population verdunoise et les lettres… répugnantes quelques jours seulement après les attentats meurtriers de Charlie Hebdo et de l’hyper cacher de la porte de Vincennes.

    Emilie FIEROBE

    http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2016/05/12/incendie-du-sucre-sale-a-verdun-en-2015-le-coup-monte-des-gerants


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  • Rennes: Scènes de guérilla urbaine

    Depuis deux mois, Rennes a été le théâtre de manifestations parfois violentes contre la loi travail, un jeune manifestant ayant perdu l’usage d’un œil le 28 avril suite à un jet de projectile. Certains manifestants ont imputé cette blessure à un tir de Lanceur de balles de défense (LBD40) de la police. Une enquête, ouverte par le parquet et confiée à l’IGPN (inspection générale de la police nationale) est en cours pour déterminer l’origine exacte du projectile.

     
    Rennes : le rassemblement de vendredi a dégénéré

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