• Nathalie, ma puce, sans ces ordures d’islamistes, tu aurais eu 35 ans ce jour…

     
        
    Bon anniversaire, ma puce. 

    Tu aurais eu 35 ans aujourd’hui. Peut-être serais-tu mariée. Peut-être aurais-tu des enfants. 

    En tous cas, sans ces ordures d’islamistes, tu SERAIS LÀ et moi je pourrais te fêter ton anniversaire, comme je l’ai toujours fait (même celui de tes 20 ans où pourtant ta maman nous avait quittés tout juste un mois auparavant, et nous n’avions vraiment pas la tête à ça). 
    Tu aurais reçu un cadeau de ton choix. 
    Nous aurions fait un bon repas avec un gâteau. 
    Nous aurions arrosé le tout au champagne. 
    Bref nous aurions pu vivre cet anniversaire comme tout un chacun.
    Au lieu de ça, je suis seul. 
    Je pense, entre mes larmes, à toi, à nous et à ta maman. 
    Je suis très malheureux car tu me manques de plus en plus. 
    Bientôt 4 ans sans t’entendre rire, sans te voir, sans te toucher, sans t’embrasser, sans te serrer dans mes bras. 
    Personne ne peut savoir ce que je ressens. 
    Personne ne peux se mettre à ma place. 
    Ma douleur, je suis seul à la supporter et ce sera comme ça jusqu’au moment où moi aussi j’irai te rejoindre. 
    La vie ne m’a pas fait de cadeau avec le décès de ta maman, celui de ton parrain et le pire : le tien. C’est pour cela qu’elle ne m’intéresse plus et que je n’y tiens plus. 
    Je survis pour ton frère, pour ne pas le laisser lui aussi seul, mais j’en ai un peu marre. 
    Je me souviens, il y a 35 ans, de ce merveilleux bébé dans son couffin, puis de tes anniversaires. Nous n’en avons manqué qu’un seul, quand tu étais en Australie. 
    C’était des pures moments de fête, alors que désormais c’est d’une tristesse à faire pleurer.
    Mais quand même, je ne peux me résoudre à ne pas te les souhaiter, tes 35 ans, là où tu es. 
    Et le moment de tristesse passé, cela me redonne de la force pour lutter contre cette islamisation et ces djihadistes afin que plus jamais d’autres parents n’aient à vivre ce que je vis. 
    C’est tellement dur ! 
    J’essaie d’ouvrir les yeux des Français et je te jure que ce n’est pas facile, car la plupart n’ayant heureusement pas été touchés sont dans la bien-pensance. 
    Cette fameuse bien-pensance inculquée par ces gouvernements félons qui trahissent le peuple français depuis 45 ans, toutes tendances politiques confondues, en cirant les babouches des meurtriers de nos enfants. 
    Cela en devient INACCEPTABLE ! 
    Tu le sais, nous n’étions absolument pas racistes, mais malheureusement je le deviens petit à petit, car je m’aperçois que même les musulmans qui n’avaient pas d’idées intégristes le deviennent petit à petit. 
    Peut-être par peur, mais ils le deviennent, et surtout TRÈS PEU osent dénoncer et s’opposer aux idées intégristes que ces salopards essaient de répandre, aux provocations que sont la burka, le burqini et les djellabas, ces accoutrements ridicules d’un autre âge.
    À leurs mariages où ils commettent les pires délits, bloquant la circulation, leurs trafics de drogue et d’armes servant à financer leurs mosquées, à leurs prières de rue, bref à tous leurs méfaits (incendies de voitures, pillages de magasins, incendies de magasins, vols en tous genre lors des matchs de foot). Et le tout avec la bénédiction de nos gouvernants qui n’ont pas ce qu’il faut dans leur pantalon pour intervenir. 
    Alors dans un avenir très proche, la France ne sera plus la France. 
    Nous risquons, si personne n’ose s’y opposer, de vivre sous la charia, comme c’est déjà le cas à Roubaix, Tourcoing, Saint-Denis et dans beaucoup d’autres zones de non-droit où la police n’ose même plus aller (de toutes façons, s’ils y vont et qu’ils arrêtent des gens, la justice également pourrie les relâche pratiquement systématiquement). 
    Et ça, pour ton frère et ses enfants, je le refuse totalement. 
    S’il doit n’y en avoir qu’un seul pour s’y opposer, eh bien je serai celui-là, et ce n’est pas un journaleux comme cet abruti de Ahmed Oul, (qui a fait un article sur moi par ce que j’ai déclaré que si les exactions de ses congénères algériens continuaient en cas de victoire de leur équipe de foot, il fallait tirer dans le tas), qui va m’en empêcher.
    https://www.observalgerie.com/international/france/france-mouvement-extremiste-appelle-a-tirer-sur-algeriens/

    De toutes façons, depuis que tu es partie rejoindre ta maman, je n’ai plus rien à perdre ; ma vie est foutue. 
    Je te souhaite, ma puce, un bon anniversaire. 
    Sache que JAMAIS je ne cesserai de t’aimer et tu resteras toujours ma puce.
    Je t’aime, Nathalie.

    Patrick Jardin

    ripostelaique

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  •  NI OUBLI ,NI PARDON 

    Le 5 juillet 1962, à Oran, l’armée française s’est déshonorée

    Chaque année nous nous faisons un devoir de rappeler à la France ce qui s’est passé le 5 juillet 1962 à Oran (Algérie).

    Nous rappelons à l’armée française comment elle s’est déshonorée ce 5 juillet 1962 lorsqu’elle a obéi aux ordres du général Katz « de rester l’arme au pied » alors que des civils innocents y compris des enfants et des femmes, européens, se faisaient enlever et égorger.

    Plus tard, lors d’une biographie, Katz tentera d’expliquer sa lâcheté par obéissance aux ordres du chef de l’État, de Gaulle.

    Un officier, un soldat, quel que soit son grade, n’a pas pour devoir l’obéissance à un gouvernement ou à un chef d’État quand il doit perdre son honneur.

    La « petite histoire » nous révèle uniquement la décision du lieutenant Rabah Kheliff, du 30eBPC, qui, refusant justement de « rester l’arme au pied », selon les ordres de sa hiérarchie, s’était précipité, avec ses soldats, jusqu’à la préfecture d’Oran, ce 5 juillet, et avait obligé les responsables du FLN à libérer plus d’une centaine de civils européens promis à une mort certaine.

    Fort heureusement le lieutenant Kheliff ne fut pas le seul à enfreindre les ordres.

    Quelques rares officiers, considérant que leur honneur passait avant l’obéissance, ont eu le courage de se porter au secours de la population, livrée aux assassins.

    Capitaine Croguennec, commandant la 2e compagnie du 2e zouaves, à Oran, s’est dirigé avec ses hommes vers le commissariat central et a fait libérer environ 400 civils retenus par l’ALN, les sauvant du massacre organisé.

    Sous-lieutenant Doly-Linaudière, de la 12e compagnie du 43e RI. Malgré les ordres reçus, est intervenu pour sauver quelques Européens, capturés par le FLN en centre-ville d’Oran.

    Capitaine Bernard Gilles, à la tête des blindés du 5e RI est intervenu Boulevard Clemenceau, à Oran, pour sauver quelques dizaines d’Européens qui allaient être enlevés et dirigés vers le « Petit lac » pour être assassinés.

    C’est vrai qu’ils ne furent pas nombreux à se montrer dignes, bien plus nombreux furent les couards.

    Un entretien dans le magazine « Le Point » en février 2002, de Jean-Pierre Chevènement, en apporte témoignage : « À l’époque sous-lieutenant en Algérie, j’ai vécu un drame affreux en mars 1962. Plusieurs de mes moghaznis (supplétifs musulmans) ainsi que le chef du village de Saint-Denis-du-Sig, ont été tués dans des conditions atroces par un commando du FLN. J’ai retrouvé Miloud, mon aide de camp, égorgé.

    J’ai appris que près de 20 000 personnes ont été torturées et égorgées dans le village Nègre (Quartier d’Otan).

    Par la suite il rectifiera à environ 3 000 morts et 800 disparus.        

    3 000 Européens massacrés sous les yeux du général Katz et sur ordre du chef de l’État français de l’époque, de Gaulle.        

    Ce chiffre de plus de 3 000 morts et disparus a été enregistré par Mme Sallaberry, militaire de carrière en poste au bureau des exactions.

    Le colonel Fourcade a témoigné sous la foi du serment, déclarant avoir assisté en début de matinée, ce 5 juillet 1962, à l’entretien téléphonique entre le général Katz et de Gaulle. Katz  informait le chef de l’État que dans toute la ville se perpétrait un massacre au « faciès blanc » et de Gaulle lui a donné l’ordre criminel le plus formel : « Surtout ne bougez pas ! »

    Le général Katz a décidé dans la matinée de survoler la ville en hélicoptère. Voici le témoignage du pilote : « Nous survolons la ville, partout des gens qui fuyaient et des cortèges de bras en l’air, escortés par des ATO (auxiliaires de l’Armée Nationale populaire) ou des civils en armes. Nous avons survolé le Petit Lac, là aussi une foule compacte bras en l’air, des gens qu’on faisait entrer dans l’eau et qu’on abattait froidement. J’ai hurlé : Mon général, on abat des gens, je vois l’eau qui devient rouge de sang ».

    Le général m’a répondu : « Retour à la base ».

    Je ne sais pas qui est le plus à mépriser, celui qui donne les ordres ou celui qui les exécute sans état d’âme ? Mais les deux sont à honnir !

    Et ce n’est malheureusement pas uniquement ce 5 juillet 62 que la France et son gouvernement, et son armée, se sont déshonorés. Nous ne vous avions pas tout révélé ! Il est vrai qu’il y a tellement de raisons non avouables pour ne pas « ouvrir » les archives de la « Guerre d’Algérie » ! De repousser cette date toujours un peu plus loin. En voici une :

    Des enfants français, orphelins, ont été abandonnés sur place, dans une Algérie indépendante, parce que personne n’a songé à eux, personne n’a songé à les ramener en France métropolitaine.

    Ils ont été abandonnés dans un pays étranger.

    Combien étaient-ils ? Que sont-ils devenus ?

    Nous venons de parcourir le témoignage bouleversant de l’un d’eux, Robert Palmade.

    Abandonné par sa mère (Oui, des mères abandonnaient leurs enfants en Algérie également !), abandonné par la France, devenu algérien et rebaptisé d’un nom algérien, il est revenu vers sa patrie des années plus tard.

    Dans son récit il cite d’autres noms d’orphelins « oubliés » tout comme lui : Paulette Lignette, Julien Ruffet, René Tanguy, et combien d’autres ? Nous le saurons très certainement un jour prochain, patience !

    Il y a pire, est-ce possible ? Oui, c’est possible.

    Il y a les milliers de morts, il y a les « abandonnés », et il y a pire : des dizaines de femmes, parce qu’elles étaient jeunes, parce qu’elles étaient mignonnes, ont été livrées, dans des bordels militaires, à la bestialité des combattants de l’ALN, à subir l’horreur chaque jour, chaque nuit, durant des années, abandonnées par tous, dans leur pourriture de vie.

    Parmi ces malheureuses femmes, certaines sont-elles encore en vie ? On peut espérer que non, ce serait trop horrible !

    Parmi ces jeunes femmes, certaines ont-elles eu des enfants ? On peut espérer que non car que sont-ils devenus ?

    Il y a pire encore ! Oui, c’est possible.

    Des centaines d’hommes, jeunes vigoureux, ont été acheminés vers des hôpitaux militaires du FLN et on leur a « tiré » leur sang, jusqu’à la dernière goutte, pour l’offrir à l’ennemi, aux criminels. Ils sont morts « desséchés », la peau sur les os ! Peut-on imaginer pire ?

    Et la France dans tout ces « pires » ? Et les gouvernements successifs de la France ? Et l’armée française ? Et de Gaulle ?

    Je préfère m’abstenir de dire ce que j’en pense !

    Manuel Gomez


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  • Macron en Serbie apprend que pour recevoir, il faut donner



     En début de semaine, le Président Macron s’est rendu en Serbie.
    Les relations entre Belgrade et Paris sont pour le moins « distendues », en ce moment, et on est loin, très loin, des années de gloire où la France avait un allié de poids dans les Balkans et Belgrade pouvait compter sur le soutien indéfectible de Paris.

    Il faut dire, aussi, que le Président français a des choses à se faire pardonner des Serbes : il reconnaît l’indépendance du Kosovo ; le 11 novembre dernier, il a placé le président serbe sur une estrade de second rang alors que la Serbie a été un allié majeur de la France pendant la Première Guerre mondiale, puis il a annulé sa dernière visite prévue à Belgrade, en décembre, en pleine tempête des gilets jaunes.
    Attendu sur ce grand retour dans les Balkans, le Président français a proposé de faire table rase du passé et de regarder vers l’avenir. 
    Il l’a dit lors d’une cérémonie devant le monument en l’honneur de la France, au centre de Belgrade, sur lequel est gravé « Aimons la France comme elle nous a aimés », qui vient d’être rénové suite à des dégradations.
    Macron n’est pas venu seul à Belgrade. 
    S’il a laissé son épouse à la maison, il n’a pas oublié d’embarquer plusieurs capitaines d’industrie, désireux de participer au développement économique du partenaire historique français.
    Une vingtaine de contrats ont été signés. 
    Tout en enjoignant les Serbes à faire la paix avec les Albanais du Kosovo, il n’a pas manqué l’occasion de vendre des armes à Belgrade. Business is business.
    Macron a déclaré qu’il voulait être plus présent en Serbie et a fait allusion à la présence grandissante de la Russie et de la Chine. 
    Mais le Président français se réveille peut-être un peu trop tard.
    Depuis plusieurs années, Russes et Chinois sont devenus des partenaires économiques privilégiés dans des domaines que la France aurait pu briguer sans problème (défense, construction, chemin de fer…). 
    Faut-il s’étonner que les Serbes aient plutôt envie de laisser les Chinois construire les ponts du pays plutôt que les Français, alors que Pékin soutient la Serbie sur le Kosovo et lui octroie des prêts à taux préférentiels ? 
    Faut-il s’étonner que la Russie reconstruise les chemins de fer serbes plutôt que la France, qui a bombardé la Serbie, tué des Serbes et n’a même pas présenté ses excuses ?
    M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place. 
    En revanche, l’amitié est une histoire de réciprocité.

    Si M. Macron veut vraiment que la France joue un rôle important en Serbie, alors il doit se couper de Washington et développer une nouvelle politique balkanique qui valorise les intérêts de la France tout en défendant ceux des Serbes. 

    C’est le prix à payer pour renouer une vieille amitié et s’ouvrir de nouveaux marchés. 


    Nikola Mirkovic

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  • Un navire de croisière géant sème la panique à Venise


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  • au potable : ils nous font payer de plus en plus cher ce qu'ils nous ont volé !


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