• Réchauffisme : ils osent vraiment tout !

      

     Avec la canicule, la machine médiatique s’est emballée et frôle… la surchauffe !
    Bien sûr, on n’a plus le droit de s’interroger sur la réalité du réchauffement climatique ni, le cas échéant, sur son origine anthropique. 

    Toute communication en ce sens est automatiquement taxée de « fake news ».
    Aymeric Caron, porte-étendard des végans, a récemment sévi en quittant le plateau de Sud Radiosous prétexte qu’il était inadmissible qu’une radio puisse oser mettre en question l’existence de ce réchauffement, qualifiant même l’émission de « débat complètement arriéré »
    Il ne fait que suivre la trace de Claire Nouvian qui, à la suite d’un débat télévisé où elle avait été copieusement ridiculisée, avait déclaré : « À ces gens-là, je vais leur répondre que oui, je suis folle de rage, qu’ils aient une tribune médiatique rétrograde, révisionniste, que ce soient des négationnistes qui aient accès à la télé pour transformer les cerveaux de nos concitoyens. » »
    Révisionniste ? Négationniste ? Diantre, elle n’y va pas avec le dos de la cuiller, la petite dame…

    Le fait que 31.000 scientifiques, et non des moindres, aient signé une pétition (Global Warming Petition Project) dénonçant la fable du réchauffement climatique est de nulle conséquence. 

    Que le GIEC ait été pris la main dans le sac pour avoir trafiqué des données accréditant la thèse du réchauffement global est oublié (cf. « Le réchauffement climatique anthropique : un mensonge qui arrange ! » d’Antoine Calandra, publié le 10 janvier 2016 sur Mediapart).
    Non, toute la presse s’acharne à vous expliquer que toute remise en cause de la religion réchauffiste ne peut être qu’une hérésie.
    Bien au-delà, le catastrophisme est de mise : le réchauffement va provoquer des migrations sans précédent ! 
    Entre nous, je ne vois pas vraiment où est le problème, car les écolos-gauchos sont en faveur d’une immigration massive. 
    Il est vrai qu’ils n’en sont pas à une contradiction près…
    La dernière trouvaille absolument géniale : le réchauffement va provoquer un chômage mondial !
    Accrochez vos ceintures, car la démonstration vaut son pesant de carbone, diffusée ces jours-ci dans toute la presse. 
    Ainsi, dans Le Figaro : « Le réchauffement climatique pourrait coûter 80 millions d’emplois d’ici 2030, selon l’ONU. » 
    L’auteur du rapport pour l’Organisation internationale du travail en apporte une démonstration limpide : « Comment avez-vous calculé ?
    – Pour tous les travailleurs, on connaît le secteur d’activité, mais aussi le niveau de température de la localité du travailleur. […] On peut donc agréger les pertes de productivité pour tous les travailleurs. Par exemple, pour un travailleur agricole, la productivité baisse de 50 % vers une température de 35 °C. Il perd donc une demi-heure de travail toutes les heures. C’est comme cela qu’on arrive à cette estimation mondiale de 2,2 % d’heures travaillées en moins en 2030. »


    Donc, si je comprends bien, si la productivité du travailleur baisse de 50 %, ça crée du chômage ? Naïvement, j’aurais cru qu’il aurait fallu, au contraire, deux fois plus de travailleurs pour effectuer la même tâche.

    S’il fallait en apporter la preuve, ce n’est désormais plus nécessaire : nous sommes en permanence manipulés et les diseurs de bobards ne sont pas ceux que l’on croit. 

    Jean-Marc Perrin

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  • L’islam dans les cuisines de nos restaurants

    La place publique, l’abattage, l’école, les transports en commun, l’islam progresse un peu partout mais il lui manquait un angle d’attaque : la cuisine française. Un article paru dans le Télégramme Quimper-Cornouaillede ce dimanche 30 juin en témoigne. Avec le titre accrocheur « Alerte dans l’hôtellerie- restauration » le lecteur sait déjà qu’il y a un problème et que donc, il faut trouver une solution.

    Dans un pays qui compte ses chômeurs en millions, Karim Khan et Hubert Jan, directeurs généraux de l’UMIH Bretagne, vont recruter leur main d’œuvre en Tunisie. D’après ces messieurs, en France on ne trouve personne pour travailler en cuisine tandis qu’en Tunisie, le déclin du tourisme a réduit le marché du travail. Faire venir ces musulmans en quête d’un avenir professionnel apparaît alors comme une nécessité. L’auteur de l’article nous expose la détresse des restaurateurs sur quatre colonnes pour ensuite nous balancer l’indigeste sous-titre « La solution c’est la Tunisie ».

    Après tout, si le Français est trop exigeant, il suffit de le remplacer. Un autre sous-titre, « un CDI proposé d’emblée », est renseigné comme une manière d’attirer les candidats et leurs familles. Plus on est de fous… Il y aurait cent mille postes à pourvoir. Le projet n’en est qu’à ses débuts et on peut parier que s’il se poursuit, les revendications tomberont vite. Quand les nouveaux cuisiniers exigeront que la viande qu’ils touchent soit exclusivement halal ou que le porc soit banni, la gastronomie française en prendra un sacré coup.

    Nicolas Olivier

    Source : http://ripostelaique.com


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  • Un Espagnol pète les plombs suite à la libération des 6 migrants marocains qui ont violé sa nièce

    La « justice » espagnole semble aussi bienveillante avec la racaille étrangère que la « justice » française. Le message aux Européens est clair : laissez-vous violer, remplacer, massacrer ; et sans broncher.

     
    Vidéo intégrée
    Suavelos@Suavelos_eu
     
     

    
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  • Le Rassemblement National n’est plus opposé aux parodies de mariages homosexuels

    Du moins selon son vice-président, Jordan Bardella (qui était la tête de liste aux élections européennes), mais c’est probablement Marine Le Pen qui a fixé cette nouvelle orientation. Interrogé dimanche sur RTL, il a expliqué : « Je considère, comme une majorité de Français, que le mariage pour tous est désormais un acquis. Nous mettrons en œuvre le référendum d’initiative citoyenne. Si certains souhaitent s’en saisir, ils pourront l’utiliser. Mais je considère qu’il y a d’autres urgences à gérer ».

    C’est encore un point important de la doctrine du parti qui change, pour s’aligner sur la pensée dominante gaucho-cosmopolite.

    Le passage en vidéo (1m21s) :

    Dans le même entretien (à 1m), Jordan Bardella affirme son opposition à la PMA. Mais si celle-ci passe, la considèrera-t-il aussi désormais comme « un acquis » ? Cette sémantique de l’« acquis » n’est qu’un slogan creux utilisé par la gauche pour impressionner et présenter comme irréversible ses réformes subversives ; c’est de l’esbroufe, cela ne veut rien dire : acquis pour qui ?! Et l’immigration de remplacement, n’est-ce pas « un acquis » (pour certains) ? Et la réduction de la France à l’état de province de l’UE, n’est-ce pas « un acquis » ? Etc.

    Source : http://contre-info.com


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  • Alxandre Langlois, syndicaliste policier suspendu pour avoir offensé sa hiérarchie

    Par Benoist Fechner,  

    Les attaques répétées d'Alexandre Langlois, patron du syndicat Vigi, contre son ministre et la haute hiérarchie policière lui valent ce mercredi son exclusion temporaire.

    Des "accusations impertinentes", des "articles indignes", des "critiques outrancières", des "remises en cause injurieuses" ou "offensantes" et des "sous-entendus infamants"... 

    Entre le patron du syndicat minoritaire Vigi Alexandre Langlois et le directeur général de la police nationale Eric Morvan (DGPN), la coupe est pleine depuis un bon moment. 
    Le second reproche au premier, depuis au moins le début de l'année 2018, des attaques répétées à l'égard de l'institution et de la haute hiérarchie policière, à grand renfort de tracts syndicaux et de déclarations fracassantes sur les plateaux télé. 

    Au point qu'Alexandre Langlois avait été convoqué en conseil de discipline le 20 février dernier pour répondre de ses méthodes de communication, jugée plus que cavalières place Beauvau. 
    La réunion s'était alors achevée sans qu'aucune proposition ne recueille la majorité des voix des participants. 
    Mais la sanction est tombée ce mercredi sous la plume de la directrice adjointe des ressources et des compétences de la police nationale pour le compte du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner. 
    Le syndicaliste écope de douze mois d'exclusion temporaire, dont six mois avec sursis.

    Un référé, en attendant une plainte au pénal ?

    Contacté par L'Express, le principal intéressé qui exerce, à côté de ses mandats syndicaux, en tant que gardien de la paix affecté au Renseignement territorial des Yvelines dénonce "une décision illégale" et indique son intention d'exercer un référé dans l'espoir de faire annuler la sanction - effective mercredi 3 juillet à minuit - qui le priverait de tout solde durant la période. 

    Un plan de bataille confirmé à L'Express par son avocat Rémy Demaret pour qui, "sous couvert d'une action contre mon client, c'est bien son action syndicale qu'on vise ici", en contradiction avec la loi. "Ses collègues des syndicats policiers concurrents n'ont d'ailleurs pas dit autre chose devant le conseil de discipline", souligne la robe noire. 
    Toujours aussi combatif, Alexandre Langlois assure en outre se réserver le droit d'attaquer ultérieurement cette décision au pénal.
    Dans les faits, sa hiérarchie lui reproche d'avoir manqué à de multiples reprises "à ses devoirs de réserve, de loyauté et d'exemplarité", notamment en attaquant ad hominem plusieurs hiérarques de la police nationale à commencer par Christophe Castaner et Eric Morvan. 
    Au point d'avoir, selon le document que L'Express a pu consulter, "porté atteinte au crédit et au renom de l'institution". 

    Tout commence vraiment le 10 janvier 2018, tandis qu'Alexandre Langlois diffuse un tract intitulé "Magouilles sur les statistiques de la délinquance dans la police nationale". 

    En guise d'illustration, un photomontage représentant le DGPN et le patron de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône, accompagné de la mention "Criminels ?". 
    Langlois et son syndicat accusent alors les deux hommes de falsification sur fond de politique du chiffre et de distribution de primes dans la police nationale. 
    En parallèle et pour ne rien gâcher, le communiqué était accompagné d'un signalement en bonne et due forme sur la plateforme de l'inspection générale de la police nationale (IGPN). 
    Un mois plus tard, nouveau tract et nouvelle polémique. 
    En pleine vague de suicides dans les rangs policiers, Alexandre Langlois pointe du doigt la responsabilité du DGPN en personne. 
    "Provocation au suicide", "complicité de meurtre de fonctionnaires"... 
    Les mots sont particulièrement forts et ne passent pas du tout au sommet de la place Beauvau. 

    Un activisme de tous les instants
    A l'automne 2018, Alexandre Langlois adresse encore une lettre au nouveau ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, qui vient de prendre la suite de Gérard Collomb. 
    Cette fois il attaque le management du directeur départemental de la sécurité publique du Haut-Rhin et dénonce les agissements supposés du médecin inspecteur régional. 
    Ce dernier a d'ailleurs été condamné le 18 juin dernier à un an de prison avec sursis ainsi qu'à une interdiction définitive d'exercer suite aux accusations d'agressions sexuelles au cours de leur examen d'aptitudes, portées par dix jeunes recrues de la police nationale. 
    Neuf mois plus tôt, le syndicaliste avait contribué à révéler l'affaire et, dans sa missive au ministre, il réclamait non sans impertinence que l'homme et ses supérieurs fassent l'objet d'une expertise psychiatrique afin de déterminer s'ils pouvaient être atteints de "perversité narcissique" ou s'ils agissaient "en conscience et de façon préméditée". 
    Pour ne rien arranger, dans un nouveau tract, Vigi représentait les mis en cause sous les traits de personnages de la célèbre série Game of Thrones, les affublant de sobriquets jugés infamants par la direction de la police ("le traître", "le seigneur des sangsues", "l'enfant-roi capricieux"). 

    Bons états de service

    En février dernier, devant son conseil de discipline, et selon les termes de la direction de la police nationale, Alexandre Langlois aurait aggravé son cas en confirmant "la nécessité d'user le cas échéant de propos 'désobligeants blessants et grossiers' pour servir ses intérêts syndicaux".
     "En outrepassant délibérément et publiquement les limites de sa liberté d'expression syndicale (...) [Alexandre Langlois] a gravement manqué aux obligations statutaires et déontologiques qui s'imposent aux fonctionnaires de police", considère aujourd'hui l'institution.
    A la décharge toutefois de celui dont l'activisme et l'opiniâtreté ont également contribué aux suites judiciaires de l'affaire Benalla - son syndicat Vigi s'est constitué partie civile dans ce dossier -, sa direction relève ses bons états de service et éventuellement ses "regrets". 
    "Monsieur Langlois s'est engagé à modifier la ligne éditoriale de son site syndical en supprimant les propos infamants y figurant", note ainsi le signataire de la décision. 
    Reste à voir si ce constat survivra au prochain communiqué du trublion Langlois en cours de rédaction au moment où nous bouclons ces lignes. 
    Celui-ci porte sur le recours en référé qu'est bien décidé à exercer le policier. 
    Attention danger.  

    lexpress

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