• «RIP Samuel, mort en saignant»: la photo d'Assa Traoré indigne sur les réseaux sociaux

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    Assa Traoré du mouvement «Justice pour Adama», place de la République ce dimanche à Paris. Photo du compte Twitter @laveritepradama

    Par Le Figaro

     
    La députée Aurore Bergé dénonce une photo «écœurante», tandis que Florian Philippot appelle à la «dissolution» du comité «La vérité pour Adama».
     
    C'est une image qui fait polémique. Assa Traoré, sœur d'Adama Traoré et porte-parole du comité «Justice pour Adama», y apparaît au côté d'une pancarte «RIP Samuel, mort en saignant» lors du rassemblement d'hommage à Samuel Paty ce dimanche à Paris.

    Plusieurs politiques ont dénoncé la mise en scène : «Écœurant», a écrit Aurore Bergé, députée des Yvelines et présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée nationale.

     Florian Philippot dénonce un jeu de mots «épouvantable et gravement irrespectueux». Le conseiller régional du Grand Est demande à ce qu'on «enquête» sur les réseaux qui gravitent autour du comité Adama, dont il demande la «dissolution».

     


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  • Fontenay-sous-Bois (94) : Le petit Jihad, 10 ans, mord et frappe sa maîtresse. Elle était en sang. Une cellule psychologique ouverte

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    La scène choquante s’est produite mardi dernier, le 13 octobre, dans l’école élémentaire Jules Ferry située à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Un élève âgé de 10 ans s’en est violemment pris à sa maîtresse, en classe, sous les yeux de ses camarades selon une source policière, confirmant une information du Parisien. L’enfant a soudainement mordu sa maîtresse au bras. Cette dernière aurait aussi reçu un coup au visage.

    Les sapeurs-pompiers ont été appelés pour prendre en charge la victime qui était sous le choc, qui saignait du nez selon des témoignages

    L’enfant, prénommé Jihad, qui a agressé sa maîtresse, est connu pour être un élève « en grande difficulté ». En outre, il est « largement suivi » par les services éducatifs.

    « Même si l’enfant a fait du mal, on ne peut pas l’incriminer », affirme de son côté une représentante du syndicat Snuipp de Fontenay, au Parisien. Cette dernière affirme ne pas avoir été surpris par cette agression. « Ce sont des élèves qui ne sont pas adaptés au système scolaire tel qu’il est. Les enseignants n’ont pas les moyens de les gérer », a-t-elle détaillé.


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  • Par :Kamel Kouini fils de Harkis ..
     
    Ni Oubli Ni Pardon c est la Devise des Français d Algérie .
     
    Maintenant on pose la question aux Français de la Métropole .Il vous faut quoi comme preuve pour vous convaincre , ce que vous subissez en 2020.Il date de la Guerre d Algérie .
    Je partage cette vérité historique .
     
    Rappelle a certains qui ont la mémoire courte .
     
    L'innocent Henri Wolf .
    5 Août 1962 :
    Henri Wolf, pied noir dont les ancêtres ont quitté l'Alsace en 1870 pour venir en Algérie est directeur d'une école modèle à Oued Fodda, dans la région d'Orleansville. Cette école a 2500 élèves, presque tous musulmans, il distribue chaque jours 700 repas à 25 centimes (anciens) par repas grâce aux subventions qu'il a su réunir, il a fait construire une piscine, il est considéré comme un ami de tous, une sorte de saint Vincent de Paul. Ni lui ni sa famille n'ont même envisagés de quitter l'algérie. Or il est enlevé au volant de sa voiture. Sa voiture est vue en possession des soldats de la willaya. Son corps sera retrouvé en Octobre. Le F.L.N. aime les voitures et pratique la récupération individuelle.
    Tous les européens d'Oued Fodda quittent le village, d'autres qui n'ont pas entendu parler de l'affaire restent jusqu'à ce qu'une affaire semblable leur ouvre les yeux sur le racisme du F.L.N. et la prise au premier degré du slogan "prenons aux pieds noirs ce qu'ils nous ont pris".
    La famille Lefevre (mari militaire, épouse, deux enfants) disparait à jamais.
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  • L'auteur

      Ecrivain

    Une première fois, le 14 juillet 1865, sous Napoléon III, l’article premier du « Senatus-consulte » proposait à TOUS LES ALGÉRIENS d’obtenir la nationalité française « à la seule condition qu’ils acceptent les lois françaises ».

    Ainsi 3 millions d’indigènes de religion musulmane, 250 000 « étrangers » et 30 000 indigènes de religion israélite peuvent demander « à jouir des droits et de la qualité de citoyen français ».

    264 indigènes d’Algérie et 113 Algériens musulmans se présenteront devant les administrateurs, ainsi que 151 israélites sur une population de 33 952 et 1 402 étrangers.

    Cela explique le décret-loi Crémieux qui, plus tard, le 24 octobre 1870, accordera la citoyenneté française « À TOUS LES HABITANTS DE L’ALGÉRIE », toujours à la seule condition « qu’ils acceptent d’être régis par les lois civiles et politiques de la France et qu’ils renoncent à CINQ pratiques incompatibles avec le Code civil français :

    *La polygamie

    *Le droit de « djebr » (qui permet à un père de marier son enfant jusqu’à un certain âge)

    *Le droit de rompre le lien conjugal à la discrétion du mari

    *La théorie de « l’enfant endormi », qui permet de reconnaître la filiation légitime d’un enfant né à plus de 10 mois, et jusqu’à 5 ans, après la dissolution d’un mariage

    *Le privilège des mâles en matière de succession

    Seuls quelques milliers d’Algériens deviennent français. Notamment les quelques centaines de musulmans convertis au catholicisme, ainsi que des militaires et des fonctionnaires : qui doivent apporter « preuve sans équivoque de leur attachement à la France ».

    Une très large majorité préfère conserver le statut personnel dicté par le Coran.

    Les « imams » leur font croire qu’ils doivent abandonner leur religion musulmane pour obtenir la nationalité française, alors que la totalité des juifs ont adhéré sans pour autant perdre leur religion, tous comme, bien entendu, les « étrangers » de religion chrétienne.

    Après l’indépendance offerte au peuple algérien, et le départ d’un million de « Français d’Algérie », choisissant « la valise plutôt que le cercueil » et qui laisse ce pays dans un état moribond et livré à la corruption, et contrairement à ce que pensait de Gaulle « qui souhaitait éviter à la France l’arrivée massive de musulmans », des centaines de milliers fuyaient leur pays et cela devenait des millions, après « le regroupement familial » offert sous la présidence de Giscard d’Estaing.

    Depuis quelques décennies les directives de certains « imams » (eux-mêmes « sous les ordres » d’organisations et d’associations rémunérées par des fonds de pays étrangers, notamment la Turquie, pour ne citer qu’elle !) ont évolué : ils demandent à leurs sujets d’obtenir la nationalité française « à la condition qu’ils imposent la religion musulmane au-dessus des lois et des valeurs de la République française » et, selon une très récente statistique, plus de 40 % des musulmans de France, (surtout les jeunes de moins de 25 ans) sont en accord total avec cette décision.

    Un professeur qui espérait enseigner les valeurs de la République française a payé de sa vie son engagement professionnel.

    La France est choquée et lui rend un hommage national… tout comme elle avait été choquée, et rassemblée momentanément, après le drame du Bataclan et bien d’autres.

    Espérons que l’assassinat islamiste (décapitation) de Samuel Paty ne deviendra pas « qu’un révoltant, triste et douloureux souvenir » !

    Manuel Gomez


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