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  • Le Havre  (agression d'un prof )LES CHANCES POUR LA FRANCE 

    Un homme de 33 ans a été condamné vendredi 13 novembre au Havre à trois mois de prison avec sursis après avoir menacé «d'égorger» un enseignant dans l'école de son fils, selon le parquet. «Je vais t'exploser, je vais t'égorger», a dit mardi cet homme à un instituteur après s'être introduit dans l'école de son fils, précise le parquet.

    Le Havre. Une agression au couteau permet de découvrir une bande armée


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  • TÉMOIGNAGES
    de Marie-Paule TARDY

    Mais De Gaulle a toujours été un traître, sauf envers sa personne.
     
    Les paroles de De Gaulle à propos de son intervention sur le Forum d'Alger en juin 1958 confortent les propos tenus par ma mère ce même jour.

    Aux personnes qui lui disaient Mme XXX vous avez entendu ce que De Gaulle nous a dit ? Elle a froidement répondu :

    "Ce n'est pas je vous ai compris" qu'il faut entendre mais "Je vous l'ai mis".

    Malheureusement pour nous, elle avait vu juste.

    Quand aux remarques de De Gaulle vis à vis de Salan, elles ne sont pas étonnantes, la grande Zhora ne pouvait supporter Raoul Salan, si vous regardez des photos d'époque, vous verrez rarement charlot en tenue de militaire face au Général Salan, pour une raison bien simple, les deux étoiles de Zhora étaient obligées de rendre honneur aux cinq étoiles de Salan.

    Le meilleur de la revanche que pût prendre indirectement Salan, c'est lors des évènements de Mai 1968, quand De Gaulle disparut brutalement pendant une journée. Il était allée tout simplement demander à l'armée cantonnée en Allemagne, si cette dernière soutiendrait la France face aux événements qui tournaient mal à ce moment là.

    L'accord fût donné après que De Gaulle se soit engagé à libérer le Général Salan emprisonné à Tulle.

    Pour parler de la duplicité et de la fourberie de De Gaulle des giga octets seraient nécessaires et encore.

    Je voudrai dire un mot à propos du référendum sur l'autodétermination qui eu lieu en janvier 1961 (le 5 si mes souvenirs sont exacts), ce fût le plus grand magouillage qui ait jamais existé.

    A la mairie d'Alger, où l'on trouvait des scrutateurs tant métropolitains (acquis à la cause de De Gaulle) qu'Algérois de souche, les urnes remplies de bulletins "OUI" étaient prêtes dans un local, ce fût l'un des membres du bureau de vote un algérois qui s'en aperçu, soupçonnant quelque coup fourré, il fit une marque au stylo sur l'urne qui servait à voter, vers la fermeture des bureaux de vote, il fût éloigné du sien pour une raison lambda, son absence ne dura pas plus de 5mn, au retour, l'urne qui était sur la table ne portait plus aucun signe. Prévenant ses collègues de la mairie qui se trouvaient dans les lieux, il y eu une belle empoignade, une fouille des locaux et l'on finit par retrouver des urnes dans un local, certaines n'avaient pas été encore substituées, et naturellement elle ne comprenaient que des "OUI".

    Autre annecdote toujours à propos de ce fameux référendum, ma famille étant d'Orléansville, la soeur aînée de ma mère tenait toujours le bureau de vote chez le Bachaga BOUALAM, ce dernier avait ordonné à ses partisans l'abstention, qui fût totale, pas un bulletin dans l'urne. A la fermeture du bureau de vote l'armée comme partout ailleurs en Algérie est venue chercher l'urne pour procéder au dépouillement du scrutin hors les murs du bureau de vote.

    Oh surprise ! Chez le Bachaga tout le monde avait voté "OUI" et il y avait même 13 bulletins de plus que le nombre d'inscrits ! Etonnant non ?

    A Alger les urnes furent ouvertes sur le vaisseau amiral de la marine, et là aussi, il y eut 99,99 % de "OUI". De Gaulle sachant que ni les musulmans dans une grande proportion, ni les européens ne voteraient "OUI" utilisa la triche pour parvenir à ses fins.

    1947 Assassinat de Leclerc par De Gaulle c'est la vérité.
     
    Un membre de ma famille faisant partie des renseignements militaires l'a toujours affirmé, il a été sur les lieux de "l'accident", il n'était pas le seul à avoir fait le même constat.
     
    L'avion s'est écrasé au Sud de ColomBéchar soit disant pris dans un vent de sable, pourquoi alors la carlingue avait un trou dont les bords de métal étaient tournés vers l'extérieur ?
    Ce n'est pas le simoun qui fait cela, quand un avion se crash, vous ne trouverez jamais ce genre d'indice, sauf s'il y avait une bombe à bord !

    A propos du Marechal Leclerc, je vais voir si je trouve quelque chose dans les papiers que j'ai chez-moi, de ma famille nous ne sommes guère nombreux 8 ont été assassinés par les fellagahs, les autres étant tous plus âgés que moi, sont allés demander des comptes à Charlot.

    A propos de ce que dit Antoine Martinez sur le passager supplémentaire, on en a effectivement parlé, mais je n'en sais pas plus.

    La personne de ma famille qui était dans le renseignement militaire et qui nous a toujours affirmé que l'avion du Maréchal était tombé non pas à cause du vent de sable, mais d'une bombe est décédée il y a trois ans.

    D'après elle qui était on ne peut mieux renseignée, De Gaulle ne pouvait supporter le Maréchal, ce dernier ayant combattu comme un vrai militaire et non pas comme le poltron qu'était Charlot.

    Vraisemblablement Leclerc détenait sur De Gaulle et son entourage des informations qui étaient sensibles.

    28 juin 2001.

    Quelle émotion en lisant votre message de retrouver le nom du Brigadier de CRS Litchlé, je l'ai bien connu, son père était l'ordonnance de mon père quand ceux-ci était dans l'armée, d'ailleurs le jour où il fut assassiné, son père et le mien se sont rendus à la morgue de l'hôpital Mustapha pour identifier le corps.

    Il a été assassiné, non pas par le FLN, mais par la police politique de De Gaulle,

    il était très anti décolonisation et avait des activités avec l'OAS, c'est cette raison qui l'a fait mourir, mais pour continuer dans l'abject, il faut savoir que le jour de ses obsèques religieuses à l'Eglise d'Hussein-Dey, le curé Scotto a tenté de s'opposer à la cérémonie prétextant qu'un "suicidé" n'avait pas le droit d'entrer dans une église.

    Comme la famille et les amis répondirent au curé qu'il n'était pas suicidé mais assassiné, le curé Scotto nous a répondu : "il a voulu rester ici (en Algérie) c'est parcequ'il voulait mourir", donc c'est un suicide.

    Un de ses demi-frères a manqué d'étrangler le curé, et la cérémonie funèbre s'est déroulée. je me souviens d'autant mieux de ces faits, qu'à l'époque j'avais 14 ans et à la suite de cela j'ai abjurer le catholicisme.

    Il faut savoir également que le Curé SCOTTO, avait abrité dans le presbytère Raymonde PECHARD, qui posa des bombes tant à Alger qu'à Hussein-Dey et qui fût tuée dans la forêt de Baïnem, lors d'un accrochage avec l'armée.

    Lorsque nous eûmes connaissance de ce fait, je puis vous dire qu'une partie de la population d'Hussein-Dey se précipita vers la cure, mais SCOTTO avait pris le large.

    j'ai appris il y a quelques années qu'il avait été assassiné à Bab El Oued par le GIA. Pour lui aussi la roue a tourné, c'est également un suicide tout comme le fils Litchlè.

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    Pour mieux saisir la signification de ce message officiel, il suffit de savoir que le 26 mars 1962, rue d'Isly à Alger, l'armée française ouvrit le feu sur une foule sans arme manifestant pacifiquement.

    Bilan: plus de 80 morts et deux cents blessés. Vous pouvez lire dans le Site les détails de cette douloureuse affaire due à la haute stratégie du grand De Gaulle et à ses incapables sous-fifres !

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    Je peux d'autant mieux en parler qu'avec mon père, je me trouvai rue d'Isly quand la fusillade s'est déclenchée.

    Ce sont les gens de la Willaya 4 qui ont tiré sur les manifestants qui apportaient leur soutien aux habitants de Bab El Oued victimes d'un ghetto.

    Nos seules armes étaient des sifflets et des drapeaux français.

    Mon père en tant qu'ancien militaire, à cette époque il avait quitté l'armée depuis une dizaine d'années, mais ayant conservé des amis non inféodés à la Grande Zhora, avait été prévenu par ces derniers que la manifestation risquait de mal tourner.

    A l'époque âgée de 15 ans, j'ai voulu absolument m'y rendre, il m'a accompagnée et c'est à lui et à ses réflexes que je lui dois d'être en vie.

    Nous avons su après, qu'un individu (vraisemblablement un gars de la willaya) installé sur le toit de la BNCI à coté de la Grande Poste a tiré un coup de feu

    C'est à partir de ce moment que les membres de la willaya 4 se sont mis à tirer.

    Les soldats français qui étaient présents sont restés en retrait arme au pied.
    Nous ne nous étions pas rendu compte mais les troupes nous avaient encerclés. Nous étions bloqués entre la rue d'Isly, le plateau des Glières, le monument aux morts. La souricière s'était refermée et nous n'avions plus qu'à subir.

    Quand le gros de la fusillade a cessé, avec mon père nous nous sommes dirigés ver la rue d'Isly, il avait un ami médecin, nous voulions aller chez lui pour prévenir la famille que nous étions sains et saufs. Presque arrivés devant l'immeuble où ce médecin exerçait, mon père le voit dans la rue en train de donner les premiers soins aux blessés.

    Un djounoud est arrivé et à bout touchant lui a tiré une balle dans la tête.

    Le même sort a été réservé à un curé qui lui aussi s'était porté auprès des blessés.

    Il faut savoir que ceux de la willaya 4 ont poursuivi jusque dans les entrées d'immeubles les gens qui s'étaient réfugiés, pour leur tirer dessus.

    J'ai mis 38 ans pour reparler de ces évènements.

    Un autre ami de mes parents qui étaient chirurgien de garde à l'hôpital Mustapha, refuse toujours d'en parler, il a compté les morts et soigné les blessés, il a aujourd'hui 90 ans et s'oppose à toute évocation de ce sujet.

    Voilà une image de la Grande Zhora et de ses sbires.

    Très courageux devant des gens désarmés et tout cela pour servir une politique de m...e qui a conduit la France dans l'état où elle est aujourd’hui.


    L'art de préparer les massacres que l'on sait, l'abandon d'un pays qui était déjà programmé, De Gaulle avait dès 1956 pris contact en Suisse (Berne et Lausanne avec des membres dirigeants du FLN.

    A propos de la fameuse arrestation de Ben Bella, certains membres pour ne pas dire tous les membres de ma famille disaient c'est le "hijo de puta" de la Grande Zhora, c'est son homme de paille, celui qui prendra le pouvoir à l'indépendance.

    En effet, Ben Bella avait été transféré de la prison où il croupissait dans un domaine appartenant à l'état où on lui inculquait un tantinet de bonnes manières pour qu'il puisse représenter son pays.

    Dans la réalité, c'est Yvon Bourges ministre De Gaulle qui gouverna l'Algérie de 62 à 64 date de l'avènement au pouvoir de Boumédienne formé à l'école des cadres du parti à Moscou.

    Dès le départ les dés étaient pippés, les militaires qui s'étaient faits avoir en Indochine, ont revécu la même chose, en pire pour les plus clairvoyants d'entre eux.
    Cette fois-ci la France n'était qu'à 900km et le trajet Paris-Alger n'était que de 4 heures

    Marie-Paule TARDY

    https://www.de-gaulle.info/traitre.shtml


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  • Montreuil : comment la municipalité communiste contourne le droit au bénéfice des associations musulmanes pour aider à la construction d’une mosquée

    Depuis quatorze ans, la municipalité communiste tente de préempter à bas prix un terrain de 2 000 m2 pour le rétrocéder aux associations musulmanes de la ville.

    Le maire communiste de Montreuil, Patrice Bessac, a-t-il préempté, en violation de la loi et au nom de la commune, un terrain de 2 000 mètres carrés afin de le rétrocéder à la Fédération cultuelle des associations musulmanes de Montreuil (la FCAMM), qui souhaite agrandir la mosquée, son parking, créer des salles de cours et de conférence et une bibliothèque destinée à l’enseignement religieux ? Tout le laisse penser, selon des décisions de justice consultées par Le Point et auxquelles la municipalité refuse de se conformer. […]

    Le Point via fdesouche


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  • Face aux prétentions algériennes, les associations de rapatriés se mobilisent...

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    Le Collectif des Français rapatriés d'Algérie et leurs amis contre la repentance vient de publier une lettre à l'attention du Président de la République au sujet des exigences algériennes de réparations. Cette heureuse initiative est soutenue, entre autres, par le CDHA, entendez Centre de documentation historique sur l'Algérie. Voici le texte de la lettre que vous pouvez reproduire et diffuser autour de vous.

    S.N.

    Monsieur le Président de la République,

    À l’approche du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, le président de ce pays, M. TEBBOUNE, demande à la France de faire acte de contrition concernant sa présence de 1830 à 1962. Cette repentance pour des fautes présumées est inacceptable.

    Nous, Français d’Algérie, sommes las de la vision à charge portée sur notre présence de 132 ans sur le sol de ce pays. Nous avons été contraints de le quitter en 1962 dans le sang et les larmes, sans aucune protection de notre armée, cantonnée dans ses quartiers sur ordre du gouvernement français. Les accords d’Evian devant garantir la sécurité de nos biens et de nos personnes et l’illusoire cessez-le feu qui s’en suivit n’ont jamais été appliqués. 12.000 européens assassinés ou blessés entre 1954 et 1962 et après le fictif cessez-le feu du 19 mars 1962, les 49 morts de la rue d’Isly le 26 mars, les 3.018 civils européens enlevés portés disparus dont 1.700 jamais retrouvés, les tueries du 5 juillet 1962 à Oran causant 700 morts en une journée, la profanation de nos cimetières, sans oublier les militaires et le massacre des harkis, le bilan est lourd.

    La spoliation de nos biens par l’Algérie s’est accompagnée d’un rapatriement et d’une réinstallation improvisée dans une métropole souvent hostile. Nos Anciens étaient pourtant venus au secours de la mère patrie lors des deux guerres mondiales. Souvenons-nous de la glorieuse armée d’Afrique dont les 300.000 combattants étaient composés paritairement d’européens et de musulmans.

    Juger des évènements anciens avec des critères éthiques contemporains est une erreur au regard de la raison, ne pas intégrer dans la vision de notre histoire la temporalité est une malhonnêteté intellectuelle. La mission confiée récemment à un seul historien sur la mémoire, l’histoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie suscite beaucoup de méfiance.

    Il nous semble dérisoire d’extraire du passé des éléments qualifiés improprement « d’oppression coloniale » caractérisant à eux seuls l’état donné d’une société dans laquelle la violence était omniprésente. Par exemple, lors de la conquête de l’Algérie, le Maréchal SOULT écrasait dans le sang la révolte des canuts lyonnais. Si les Algériens de confession musulmane n’obtinrent que tardivement le droit de vote après avoir refusé la citoyenneté française proposée dès 1865 à condition qu’ils acceptent les lois civiles de la République, les femmes françaises en ont été également privées jusqu’en 1944. Nous sommes conscients des violences de cette guerre civile que fut la guerre d’Algérie, mais le terrorisme FLN en représente le paroxysme de l’horreur. Il a actuellement de sinistres prolongements en France avec l’Islam radical.

    Fiers de l’oeuvre de nos parents, nous refusons que nos enfants et petits-enfants portent l‘iniquité de ce procès. Les 15 départements français d’Algérie, par leur ouverture sur la modernité, avaient des atouts pour devenir un ensemble euro-maghrébin prospère et fraternel : agriculture, matières premières, médecine....

    La mémoire des Français d’Algérie ne saurait être traitée d’une façon inégale parce que concernant une cause perdue par définition. En 1976 les Mahorais et en 2020 les Néo-calédoniens ont choisi le maintien dans la France et le progrès en votant non à l’indépendance.

    Mais réconciliation n’est pas soumission aux demandes algériennes. Les rapatriés constatent que les efforts multiples du côté français, en particulier l’ouverture des archives concernant les victimes algériennes de la bataille d’Alger, n’ont pas été suivis de contreparties outre-méditerranée. Leur accumulation a ouvert les vannes de la surenchère en Algérie et déchaîné chez nous les tenants d’un « séparatisme » inacceptable.

    Les Français d’Algérie sont attentifs à votre démarche tournée vers l’avenir, sachant qu’elle n’est possible que dans le respect de leur mémoire et le refus catégorique de toute repentance.

    Une intervention forte de votre part le 5 décembre 2020, journée nationale aux morts pour la France et aux victimes de la guerre d’Algérie pourrait être de nature à les rassurer.

    Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de notre plus haute considération.

    Texte de cet appel cliquez ici


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