• Macron « pour la tolérance zéro »… à l’égard des policiers !

    Les deux syndicats de police qui se sont agités face aux « propos menaçants » de Marine Le Pen à l’encontre de certains fonctionnaires réagiront-ils de la même manière suite aux paroles, pour le moins déplacées, prononcées par Emmanuel Macron lors de la présentation de son programme électoral ?

    En effet, ce dernier, qui n’a manifestement aucune idée de la façon dont il combattra le terrorisme et la criminalité galopante que connaît notre pays, a choisi de s’en prendre directement aux policiers. Summum de la provocation : le chouchou des sondages a même évoqué la « tolérance zéro », non pas contre les délinquants mais contre les policiers !

    Voilà une position qui fera certainement plaisir à Mélenchon, à la CGT et au Syndicat de la magistrature. Mais qu’en sera-t-il de l’ensemble de ces fonctionnaires de police qui, depuis des mois, travaillent sans relâche pour la sécurité des Français, au préjudice de leur vie de famille ? Qu’en penseront les centaines de policiers blessés lors des attaques terroristes, des manifestations violentes ou de l’embrasement de nos quartiers ? Apprécieront-ils l’amalgame fait entre l’immense majorité des gardiens de la paix, dévoués et irréprochables, et les quelques ripoux que compte une institution qui permet cependant à notre République de tenir contre vents et marées, même lorsqu’elle est dirigée par des incapables ?

    Ces propos sont indignes d’un candidat à la magistrature suprême. Ils traduisent une méconnaissance profonde de nos administrations et de leur histoire. Ils traduisent aussi un réel parti pris en faveur du désordre, à peine dissimulé par une extraordinaire vindicte idéologique. En prenant de telles positions, Macron dévoile ce qu’il est en réalité : un laxiste et un démagogue de la pire espèce. Déjà, son programme en matière de sécurité, d’une rare indigence, dévoile son manque de connaissances en la matière, et la réalité de choix funestes à venir pour notre société, dans le cas malheureux où il serait élu.

    Sa police de proximité du quotidien, ripolinage du fiasco de la police de proximité des années 2000, démontre en effet le décalage profond qui existe entre l’ancien banquier de chez Rothschild et la réalité sécuritaire vécue par de nombreux Français. Mais la tranquillité et la sécurité publiques ne sont pas la priorité de ces gens-là. Il est plus important d’envoyer des signes d’apaisement aux voyous que de se préparer à une guerre intérieure inéluctable, mais que l’on ne veut pas mener.

    Et puis, les sondages ne disent-ils pas que de nombreux policiers seraient tentés par un vote en faveur du Front national ? Alors, pourquoi prendre des gants avec des séditieux ? Inutile de chercher à comprendre les raisons de ces intentions, si tant est qu’elles soient établies. Il faut envoyer un message fort, quitte à diviser, encore et toujours, un corps social déjà malmené.

    Ainsi, policiers (nationaux et municipaux), gendarmes, agents de la pénitentiaire, tous sont maintenant prévenus de ce qui les attend en cas de victoire du fils spirituel de François Hollande. Tous savent désormais qu’ils ne seront plus les « chasseurs » mais le « gibier ». Qu’ils seront livrés en pâture à une racaille qui n’en demandait certainement pas tant. Et que, de la même façon que l’on n’attend même plus de connaître la vérité sur les enquêtes mettant en cause des policiers, ils seront susceptibles, eux et leurs familles, à chaque instant, de se voir frappés d’infamie et condamnés sans procès. Vive la démocratie !

    Olivier Damien

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • On leur a tout donné et ils nous ont tout pris. Même la fierté !

    Eugène Delacroix

    Eugène Delacroix

    Cela ne peut plus durer, il faut se relever.

    On leur a tout donné. La France et tous les pays d’Europe leur ont donné le logement, l’école, les allocations. Ils leur ont tout accordé. En vrac : les repas halal, les lits dans les hôpitaux tournés vers La Mecque, des horaires de piscine séparés, des dérogations pour cause de ramadan en période d’examen, le port du voile (quand ce n’est pas la burqa, si peu verbalisée), des villes entières où, dans les cafés, les femmes n’ont plus droit de cité, et j’en passe. Aucune once de reconnaissance : cela ne suffit pas, cela ne leur suffira jamais. Pire : ils nous traitent comme nous n’aurions jamais osé les traiter. La preuve :

    En Allemagne, un ancien membre de la Fédération des parents d’élèves turcs de Hambourg, dans un texte écrit en turc publié sur sa page Facebook, peut qualifier les Allemands de « bande de chiens » – voire de « race de clébards », selon une autre traduction – sans que le ministère public de la Ville y voie le moindre délit d’incitation à la haine. En France, un rappeur déjà connu pour appeler en musique à « [crucifier] les laïcards comme à Golgotha » peut traiter les Françaises de « crasseuses de souche » sans qu’aucune officine antiraciste et encore moins le ministère public y trouvent rien à redire.

    En Allemagne, d’abord. Afin de justifier la non-poursuite de semblables propos – en même temps que de continuer de les autoriser -, le porte-parole du ministère n’en finit pas de se contorsionner. Selon lui, ces qualificatifs ne visent aucunement un groupe qui se distinguerait « par quelque caractéristique constante, soit intérieure, soit extérieure ».

    Autrement dit, les Allemands de souche, ça n’existe pas. Cela est confirmé par le fait que, paraît-il, on ne peut « distinguer les Allemands de l’ensemble de la population ». Ça tombe bien : pour Angela Merkel, sont allemands « tous ceux qui vivent dans ce pays ». Dans les poubelles de l’Histoire, la notion de peuple…

    On peut donc être turc ou originaire de Turquie, vivre en Allemagne et appeler la Turquie à « exercer sa puissance »</em» et Dieu à « détruire leur [des Allemands] espace vital », comme il ne s’agit pas « d’un groupe relativement restreint et reconnaissable », il n’y a là aucune manifestation de haine à l’encontre du peuple d’accueil. Mais c’est quoi, alors, des paroles haineuses ?

    En France, ensuite. Le beugleur Médine – qui sévit dans les collèges – peut faire « du son pour les cochons végétariens », fêter « les émeutes comme tu fêtes la Toussaint » et parler des Françaises comme des « crasseuses de souche », côté politiques, côté féministes, personne pour dénoncer les appels à la guerre civile. Pire : le futur ex-Premier ministre trouve même François Fillon « pas responsable » de l’évoquer…

    Au Zénith, enfin, le 30 janvier. Devant un parterre ignare, haineux ou les deux et un Drucker sénile, indigne ou les deux, le summum de la haine des Français a été atteint par un soi-disant humoriste – Ahmed Sylla – venu traiter les poilus de lâches : pendant que les Sénégalais montaient au front, les poilus se retranchaient planqués à l’arrière, dans les camps. Ricanements, gloussements imbéciles, applaudissements, le type s’en donne à cœur joie : plus un poilu vivant pour lui donner une correction morale.

    On leur a tout donné et ils nous ont tout pris. Même la fierté. Cela ne peut plus durer, il faut se relever.

    source Boulevard Voltaire (5 mars 2017)


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  •  Allemagne: Une vieille dame torturée à mort par un réfugié. Le maire de Cottbus appelle au calme.

    victime
     

    Un crime atroce choque le Brandebourg. Gerda K., une retraitée de 82 ans, a été agressée à son domicile et véritablement torturée à mort. Toujours aucune trace du coupable.

    Près de trois mois après la découverte à Cottbus du cadavre d’une retraitée, la police a identifié un suspect. Le ministère public de Cottbus et la police ont fait savoir que le jeune homme avait été arrêté mercredi dans la ville. Un mandat d’arrêt pour suspicion de meurtre a été établi à son encontre.

    Selon les enquêteurs, le suspect est « un ressortissant syrien mineur au moment des faits » qui était arrivé en 2015 en Allemagne en compagnie de son tuteur. Le ministère public n’a pas communiqué son âge exact.

    Holger Kelch (CDU), maire de Cottbus a appelé au calme dans un communiqué publié sur la page d’accueil du site de la ville. « Nous savons que l’origine du coupable présumé va susciter l’émotion », peut-on y lire. À la joie de voir l’enquête aboutir se mêle l’inquiétude « que tous les étrangers vivant à Cottbus puissent maintenant faire l’objet d’une suspicion généralisée » [...]

    (Traduction Fdesouche)

    Die Welt


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  • Italie ( Napoli ) : Au Coeur Des Quartiers Chauds De Naples -

    Reportage


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