• Lors de sa rencontre à Washington vendredi avec l'ignoble Angela Merkel, Donald Trump a volontairement refusé de lui serrer la main devant les journalistes malgré leurs demandes et celle de la chancelière allemande elle-même !

    **********************************************************************

    Donald Trump met un vent monstrueux à l'infâme Merkel devant les journalistes

    Lors de sa rencontre à Washington vendredi avec l'ignoble Angela Merkel, Donald Trump a volontairement refusé de lui serrer la main devant les journalistes malgré leurs demandes et celle de la chancelière allemande elle-même !

    Lors de la conférence de presse, le Président américain n'a pas ménagé celle qui a laissé son pays se faire envahir par des millions d'étrangers et lui a rappelé qu'elle aussi avait été mise sur écoute par l'administration Obama. A l'issue de leurs interventions, il s'est finalement fendu d'une poignée de mains protocolaire.


    1 commentaire
  • Les responsables de cette ignominie devront être enfermés en hôpital psychiatrique et subir un traitement lourd à base d'électrochocs

    **********************************************************************

    Sur une scène d’État, l’affaire Dutroux jouée par des enfants

    Il s’appelle Milo Rau et s’honore d’être « le metteur en scène le plus controversé de sa génération » (ils sont un certain nombre à s’en revendiquer). Il est suisse, très sollicité et court le monde pour y présenter ses pièces « en prise avec le réel ». Car avant d’être dramaturge, Milo Rau est sociologue de formation, passé par la case Bourdieu. Il a fait, nous dit sa fiche Wikipédia, ses premiers reportages au Chiapas et à Cuba avant de fonder l’Institut du meurtre politique (!), qu’il dirige toujours.

    Rau est aujourd’hui au théâtres des Amandiers, à Nanterre. Un centre dramatique national, je précise, c’est-à-dire une scène coiffée par l’État, donc vous et moi. Il y propose Five Easy Pieces, une œuvre pour adultes jouée par des enfants et qui, comme son titre ne l’indique pas, est consacrée à l’affaire Marc Dutroux.

    Pour les jeunes générations – mais pas seulement -, il faut rappeler ce que fut cette histoire qui s’est déroulée au milieu de la décennie 90. Marc Dutroux, avec la complicité de son épouse Michelle Martin, enlève en 1995 Julie et Mélissa, deux fillettes de 8 ans ½ et 9 ans. Il les séquestre et les viole des mois durant dans une cache sordide au fond de sa cave.

    Puis il enlève An et Eefje, 17 et 19 ans, Sabine Dardenne, 12 ans, et Laëtitia Delhez, 14 ans. Seules ces deux dernières survivront. Comble de l’horreur, Dutroux étant emprisonné une première fois, son épouse laissera les petites Julie et Mélissa mourir de faim dans la cave ; quant à An et Eefje, elles ont été enterrées vivantes !

    L’affaire a bouleversé durablement tout le pays et, bien au-delà, mis en cause la police et les institutions. Alors, oui, un dramaturge peut sans doute s’en saisir, la porter au théâtre. Mais en faire une pièce jouée par des enfants ?

    Rau explique à l’AFP qu’il s’agit d’une commande du centre CAMPO à Gand, spécialiste du travail théâtral avec des enfants, mais le thème relevait bien sûr de son choix : « Lorsque CAMPO m’a demandé de travailler dans leur série de pièces d’enfants pour un public d’adultes, je me suis dit “Belgique + enfants, je vais travailler sur Dutroux”. »

    Curieux, non, cette équation ? Pour le commun des mortels, c’est plutôt « Belgique + enfants = Tintin ou Spirou », pas Dutroux !

    Très bourdieusien, Milo Rau s’en explique ainsi : « Dans mes précédents projets sur la Belgique, j’ai souvent croisé cette affaire Dutroux, qui réunit les grands traumatismes belges : les élites qui ne marchent pas bien, la fin de l’industrie minière, la perte des colonies […]. » La colonisation comme explication des crimes du pédophile Dutroux, on ne voit pas bien le rapport ! Mais peut-être faut-il demander à Macron ce qu’il en pense…

    Quant à confier un tel sujet à des enfants, l’idée nous paraît infiniment malsaine, même si, écrit Le Parisien, « dans la pièce, on verra une seule des victimes de Dutroux, Sabine, jouée par une petite fille de 9 ans, Rachel Dedain ». Ils sont sept enfants en scène, choisis après un casting serré : « Autour d’elle (Rachel/Sabine), les acteurs-enfants incarnent le père de Marc Dutroux, les policiers chargés de la reconstitution, le roi des Belges, Patrice Lumumba… »

    Qui ça ? Patrice Lumumba. Le premier Premier ministre du Congo indépendant, responsable de la mort de dizaines de milliers de Congolais. Et pourquoi ? Parce que « le père de Dutroux est né au Congo belge et y a vécu jusqu’à l’âge de six ans ». Débrouillez-vous avec ça…

    Je n’ai pas vu la pièce, mais tout cela provoque en moi un profond malaise. C’est le but, dit Rau : « C’est un thème qui m’intéresse dans le théâtre depuis toujours, le statut du spectateur, le voyeurisme, ce qui se passe quand on regarde des enfants jouer cette affaire qui est peut-être un des derniers tabous de notre temps – la pédophilie -, la mise en scène du corps de l’enfant et de l’émotion de l’enfant. » Et puis « une fin très poétique permet de s’échapper de la noirceur du propos ».

    Les jeunes filles assassinées et leurs parents n’ont pas eu cette chance.

    Marie Delarue

    Source : http://www.bvoltaire.fr


    votre commentaire
  • Un terroriste islamiste abattu à Orly, la France en plein chaos racial

    Publié par Thomas Joly

    Un homme a été abattu samedi matin par les forces de sécurité à l'aéroport d'Orly-Sud (Val-de-Marne) après avoir dérobé une arme à un militaire de l'opération Sentinelle, alors que la France fait face à une menace terroriste sans précédent depuis deux ans.

    Vers 8h30 samedi dans le hall 1 de l'aéroport d'Orly-Sud "un homme a dérobé une arme à un militaire de Sentinelle puis s'est réfugié dans un commerce de l'aéroport à proximité avant d'être abattu par les forces de sécurité", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère de l'Intérieur Pierre-Henry Brandet. Il n'y a pas eu de blessé ni d'interpellation, a-t-on précisé de même source. Les faits se sont produits au 1er étage du terminal-Sud dans la zone publique juste avant les contrôles.

    L’auteur de l’agression s'appelait Zied B. Il n'était pas fiché S, mais connu pour des faits de droit commun et de radicalisation. Il serait déjà très défavorablement connu et ferait l’objet de 44 signalements au fichier du TAJ (traitement des antécédants judiciaires).

    Vendredi, un islamiste en djellaba égorgeait son père et son frère dans les rues de Paris en hurlant « Allah Akbar ! »

    Voilà la réalité de la République pré-musulmane en 2017...


    votre commentaire
  • Résultat de recherche d'images pour "amoco cadiz le naufrage"

    Au matin du 16 mars 1978, le pétrolier libérien Amoco Cadiz, connaît une avarie de barre au large du Finistère. Il transporte vers Rotterdam 227 000 tonnes de pétrole brut du Golfe Persique. Le navire dérive alors vers la côte bretonne dans une forte tempête. Les négociations avec un remorqueur allemand venu à son secours sont difficiles. Une première remorque est passée à 13h30. Elle casse 3 heures plus tard. Malgré les efforts des deux équipages, le navire s’échoue à 22 heures sur des brisants, devant le petit port de Portsall. Plusieurs citernes se déchirent. Très vite les premières nappes touchent la côte.

    La marée noire

    La plus grande marée noire jamais due à un échouement de pétrolier a commencé.
    En l’espace de deux semaines, la totalité de la cargaison se déverse en mer. Entraînée par les vents et les courants, elle vient souiller plus de 300 km d’un littoral parmi les plus beaux et les plus naturels d’Europe. La rage au cœur, les riverains se lancent dans une lutte désespérée contre une catastrophe cent fois prédite. Sur leurs écrans de télévision, les français découvrent avec stupéfaction les images apocalyptiques d’une grande marée noire.



    votre commentaire
  • L’image contient peut-être : 1 personne, texte


    votre commentaire