• Au lendemain d’Orly, comment Le Roux peut-il tolérer une manif anti-flics ?

    Publié  par 

    Résultat de recherche d'images pour "Image de Le roux"

    Comment un ministre de l’Intérieur qui, paraît-il, se nomme Bruno Le Roux, peut-il autoriser, au moment même où un attentat aurait pu provoquer un massacre à l’aéroport d’Orly, une manifestation « contre les violences policières », place de la République en plein Paris, organisée par des associations antiracistes, syndicales et des droits de l’homme, où un millier de « racailles », cagoulés, faisant partie des manifestants, attaque les forces l’ordre, blessant deux gendarmes.

    Je dis bien « massacre à Orly » car Ziyed Ben Belgacem, ce « Français » qui a désarmé « une » militaire et lui a pris son arme, le fameux «Famas », aurait pu parfaitement mitrailler la foule présente et tuer une douzaine de personnes.

    Au passage, si  cet « islamiste radicalisé » et sous contrôle judiciaire pouvait circuler en toute liberté, bien que condamné à 9 reprises et encore tout récemment, c’est grâce à l’ex garde des sceaux, Christiane Taubira qui ne souhaitait pas que ce genre d’individus « croupisse » en prison, alors qu’il ne présentait aucune dangerosité et n’était même pas « Fiché S » alors qu’il affichait pourtant « des signaux de radicalisation », selon M. Molins, procureur de la République.

    Je ne voudrais en aucun cas incriminer la police nationale mais tout de même, elle a intercepté cet individu quelques heures auparavant, et ce « Français » leur a tiré dessus, plusieurs impacts de balles sur la voiture des policiers en témoignent, et ils n’ont pas riposté, comme c’était leur droit et leur devoir au nom de la légitime défense, et cela uniquement par peur des représailles de leur hiérarchie.

    Quelle aurait été leur responsabilité si ce délinquant avait réussi à commettre un massacre quelques heures plus tard à Orly ?

    Et pendant ce temps-là, Bruno Le Roux, le ministre de l’Intérieur, commémorait les victimes de Mohamed Mérah à Toulouse.

    Ce dernier abattu sans aucun doute, à l’époque, par des « violences policières » !

    Manuel Gomez


    votre commentaire
  • Un Billet de Pieds Noirs 9A..

    "Je n'aime pas les riches" F-Hollande  

    Mais 35 800 € de retraite par mois…

     Mais n'a rien fait pour les pauvres et SDF  ,mais plutôt pour les migrants envahisseurs ... 

    "Je n'aime pas les riches" F-Hollande

    Pour lâcher une pareille horreur dans une émission de télévision, sous le coup visiblement de l'énervement (face à MAM qui est une vraie combattante) il faut vraiment le penser profondément.

    Dans ces partis de gauche il y a une culture de la pauvreté inavouée et cachée derrière une fausse couverture de générosité.

    En fait, ce qui sous-tend tout cela est l'idée profondément choquante de lutte des classes, aussi choquante que l'idée de racisme. Le PS est tombé vraiment très très très bas. voir à ne plus penser a son peuple dont l'argent les rend injuste

    N'aime pas les riches .

    La somme de 35 800 €/mois est d’autant plus scandaleuse quand on est de ceux qui subissent au quotidien les effets néfastes des décisions prisent et imposées par cet homme, ennemi auto-proclamé des riches, de la finance, des j’en passe et des meilleurs.

    Les riches et le Pingoin !

    La différence entre les "politiciens et fonctionnaires " et les riches est que les riches ont travaillé toute une partie de leur vie pour arriver à être riches et les politiciens, beaucoup trop nombreux, ne travaillent pas. Ils pérorent à longueur de temps pour diffuser des promesses non tenues , à critiquer les riches. Quelqu'un qui a une idée pour monter un commerce rend service au pays. Il permet ainsi à d' autres de travailler . Tout le contraire de nos politiciens, surtout "actuels" qui font tout pour décourager de travailler. Nous avons atteins pour la France  le niveau de suicides, de désespoir des Grecs qui ne méritent, malgré tout, pas ce destin . Les gouvernements appliquent des lois, inventées par eux, pour réduire le pauvre peuple à plus de contraintes fiscales encore et encore, et eux s'enrichissent honteusement. Où va-t-on ! Droit dans le mur ! Après la guerre de 40, les Allemands ont vite remonté la pente par leur travail , et surtout leur désir d'évoluer. Ce qui est normal pour un être humain . Voyez les Russes où ils en étaient ! Et maintenant, c'est pire avec les richissimes et les très pauvres...

    Il n'a rien fait de ses 5 années de son quinquennat , un inutile à la société Française ... Pieds Noirs 9A ..


    1 commentaire
  • Une ex-élue Front National de Perpignan dénonce le fonctionnement du parti soupçonné d'être illégal par la justice

    Reportage de Marc Tamon et Jean-François Puakavase 

    Clotilde Font a témoigné dans le magazine d'investigation "Envoyé spécial". Elue en 2014 conseillère municipale sur la liste de Louis Aliot, elle a démissionné il y a 1 an. Reportage de Marc Tamon et Jean-François Puakavase - F3 Pays catalan
     
    Source : france3-regions.francetvinfo

    votre commentaire
  • Un débat présidentiel rasoir au possible

    Fillon raide comme la justice, Macron en costard impeccable, Mélenchon passionné, Hamon se demandant ce qu’il fait là et Le Pen très à l’aise : le premier débat présidentiel est révélateur du paysage politique. Le ton est plutôt courtois, les adversaires joutent à fleurets mouchetés et ne s’engueulent qu’au bout d’une heure. Les premiers thèmes évoqués marquent instantanément les clivages : l’école donne lieu à l’affrontement traditionnel entre la gauche et la droite. Côté gauche, toujours plus de professeurs, de moyens, le maintien du statu quo. Côté droit, le retour aux fondamentaux : apprentissage du français ou uniforme à l’école, en oubliant l’histoire-géo. Au centre, c’est le vide…

    Viennent la sécurité et la justice : faut-il durcir la loi pénale ? À ma gauche, c’est non – la vieille idéologie du père Hugo qui fait du criminel une victime de la société. À ma droite, sans surprise, une volonté de revenir aux peines plancher – créées par le gouvernement Fillon. Macron parle pour ne rien dire.

    Les journalistes abordent le premier sujet qui fâche, avec l’immigration. Hamon ayant déjà utilisé l’adjectif « nauséabond » envers Marine Le Pen ne peut plus, au risque de se répéter, replacer son bon mot. Là encore, le clivage est manifeste. Hamon et Mélenchon nient la réalité, le premier osant dire que, pour 200.000 entrées annuelles, on compte 150.000 départs. Il faudrait penser à lui dire que ce ne sont pas les mêmes… Méluche nous la joue larmoyante : descendant d’immigrés poussés par la misère, il veut accueillir tout le monde. Fillon se veut sérieux, mais ne convainc guère. Égale à elle-même, Le Pen joue sur du velours parce qu’elle sait que les Français n’en peuvent plus. C’est la seule de la bande à rappeler que des islamistes se glissent dans les flux de réfugiés. Et Macron ? Il veut confier à l’Europe la gestion du problème. Toujours le vide…

    Pour les calmer, passons à la laïcité. Raté ! Hormis Fillon, le bon catho qui semble très modéré sur le sujet, les autres se déchaînent.

    Farouches partisans de cette laïcité à la française que le monde entier nous envie, pas un seul n’évoque le fait que ce mot ne signifie rien pour les musulmans. Macron, interpellé sur le burkini, saute sur Le Pen et l’accuse de diviser la société. Pour un peu, il lui tirerait les cheveux. À vrai dire, il s’en moque complètement : qui croit encore que les chrétiens menacent les institutions ? Et stigmatiser les musulmans, c’est mauvais pour l’économie… Avantage Fillon, qui propose de dissoudre les mouvements intégristes avec la plus grande fermeté. Il n’a pas parlé de dissoudre les liens qui attachent certains de ses amis au Qatar ou à l’Arabie saoudite, ces modèles de laïcité vertueuse.

    Les Français ne sont pas passionnés pas les questions institutionnelles. L’ami Jean-Luc ne rêve qu’à sa VIe République : le vieux démon de la gauche extrême qui n’a toujours pas assumé d’avoir fait couper la tête du roi. Les autres parlent de référendum d’initiative populaire, du « 49-3 citoyen » auquel personne ne comprend rien. Macron ? Le vide. En bon conservateur, Fillon ne veut toucher à rien et Le Pen, la seule, veut insérer dans notre Constitution quelques principes qu’elle ne développe presque pas. Elle a tort : aucune réforme n’est possible sans toucher au Conseil constitutionnel, sans s’affranchir de la Convention européenne des droits de l’homme. Mais cela lasse les Français. Dommage.

    Alors les journalistes, avec le talent qu’on leur connaît, leur lancent un os à ronger : la moralisation de la vie publique. Hamon l’ahuri s’était déjà animé en évoquant les conflits d’intérêts, juste histoire de réveiller Macron qui s’ennuie dans son costard. Le banquier nous avait déjà sorti un grand pathos dégoulinant de sincérité sur le montant moyen des dons à son mouvement En Marche ! : 50 €… Et le voilà au centre du débat, attaqué par tous sauf… Fillon ! Mais lorsque le petit Hamon ose lui demander si, parmi ses donateurs personnes physiques, ne se trouveraient pas, par hasard, des cadres des industries pharmaceutiques, pétrolières ou financières, le jeune premier refuse de répondre. Dommage : on aurait bien aimé l’entendre sur le sujet.

    Ouf, voici la coupure de pub. S’ils continuent comme ça, je retourne à mon roman. Dire qu’il reste encore 90 minutes à tenir. Décidément, cette campagne est rasoir au possible.

    François Teutsch

    Source : http://www.bvoltaire.fr


    votre commentaire
  • Menotté et roué de coups dans son lycée par deux autres élèves...

    Deux lycéens d'un établissement d’Échirolles (Isère), près de Grenoble, étaient en garde vue lundi soir, soupçonnés d'avoir menotté et roué de coups un autre élève dans les vestiaires du gymnase, a-t-on appris de source policière.

    Deux lycéens d'un établissement d’Échirolles (Isère), près de Grenoble, étaient en garde vue lundi soir, soupçonnés d'avoir menotté et roué de coups un autre élève dans les vestiaires du gymnase, a-t-on appris de source policière. Les policiers ont été prévenus par le proviseur, qui leur a expliqué qu'un élève, âgé de 15 ans, venait d'être violenté par deux camarades.

    La victime a été étranglée à l'aide d'une chasuble par un adolescent pendant que l'autre lui plaçait des menottes aux poignets. Les deux, âgés de 15 et 16 ans, l'auraient aussi roué de coups de pied dans les vestiaires après une séance de sport en fin de matinée.

    La victime, qui porte des marques aux poignets et des traces de strangulation au cou, a indiqué aux policiers que ses agresseurs étaient dans sa classe.

    Ils seront interpellés dans l'enceinte du lycée, après avoir eu le temps de se débarrasser des menottes. La mère de la victime va porter plainte, selon la même source.


    votre commentaire