• Cérémonie du 19 mars 1962 à Stains (93) : le maire choisit une affiche à la gloire du FLN

    Le drapeau brûle entre la mairie de Stains et les anciens combattants. En cause, l’affiche choisie par Stains pour illustrer la cérémonie de commémoration du 19 mars 1962. La date marque la signature du cessez-le-feu entre la France et l’Algérie dans le cadre des accords d’Evian. On y voit une foule en liesse brandissant le drapeau algérien. Cette photo a mis le feu aux poudres. Le comité stanois des anciens combattants d’Afrique du Nord, la Fnaca, se dit choqué par ce drapeau algérien qui pavoise. Il a décidé de boycotter la manifestation. Ce dimanche, ils organiseront une cérémonie parallèle, au monument aux morts à 15 h 30. Azzedine Taïbi, maire PCF de Stains a répondu dans un courrier qu’il s’inscrivait pourtant « dans une démarche apaisée » : « Cette affiche et son visuel ne sont en aucun cas choquants, puisqu’ils représentent la victoire du peuple face à l’oppression de l’Etat et celle des Français ayant combattu le colonialisme. »
    Le Parisien


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  • Le 19 mars 1962 : fin de la guerre d’Algérie, c’est un mensonge éhonté

    PUBLIÉ PAR MANUEL GOMEZ LE 18 MARS 2017 

    Le 19 mars 2016, le président de la République, François Hollande, avait décidé, pour la première fois, de commémorer le 19 mars 1962 et les “Accords d’Evian”.

    Il s’agissait d’une ultime tentative pour se réconcilier avec les gauchistes socialistes et les communistes.

    Osera-t-il récidiver en 2017 ? Ou, peut-être déléguera-t-il « sa création », Emmanuel Macron, afin qu’il puisse compléter sa déclaration faite en Algérie, de « crimes contre l’humanité » mais en la réservant au FLN et à l’ALN !

    Le 19 mars 1962 : fin de la guerre d’Algérie, c’est un mensonge éhonté.

    Les “Accords d’Evian” obligeaient la France à un “cessez le feu” en Algérie, mais autorisaient le FLN et l’ALN à enlever, assassiner, massacrer à volonté de jeunes soldats, des civils innocents et des harkis, alors que l’armée française avait l’obligation de rester l’arme au pied, sur ordre de de Gaulle.

    • Ce 19 mars 1962, à Eckmul (Oran), 16 personnes, dont 3 femmes, sont enfermées dans un hangar et l’ALN (Armée Nationale Populaire) y met le feu. Elles sont toutes carbonisées.
    • Ce même jour, la gendarmerie d’Oran signale que des dizaines d’européens sont séquestrés jusqu’à ce que mort s’ensuive, pour servir de donneurs de sang pour les combattants de l’ALN. On les retrouve la peau collée aux os et totalement vidés de leur sang.

    Après ce 19 mars 1962, et je cite sous le contrôle de M. Eugène-Jean Duval, inspecteur général des armées et les “archives officielles”, se produiront :

    • 91 actions de guerre de l’ALN et du FLN contre la France.
    • Le 20 mars 1962, 18 soldats tués et 3 blessés.
    • 90 soldats français disparus.
    • 239 soldats français fait prisonniers par l’ALN, qui ne sont jamais revenus.
    • 1580 civils européens disparus (dont des dizaines de femmes expédiées vers des bordels militaires de l’ALN).

    Entre le 19 mars et le 5 juillet 1962, plus de 5000 enlèvements.

    • 1165 civils assassinés.
    • 1773 disparus.
    • Plus de 60.000 harkis massacrés ainsi que leurs familles.

    Interdiction, par le gouvernement français, à la Croix Rouge Internationale de s’y intéresser : télégramme (très secret) signé Louis Joxe et daté du 2 avril 1962 :

    “Je serais, pour ma part, hostile à une intervention quelconque de la Croix Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’européens”.

    • Après le 19 mars 1962, blocus de Bab-el-Oued. L’armée, l’aviation, les tanks, tirent sur les habitants.
    • 26 mars 1962, sur ordre de de Gaulle, confirmé par Christian Fouchet, Haut-commissaire en Algérie, l’armée française tire sur une population désarmée qui manifestait devant la Grande Poste de la rue d’Isly, à Alger : plus de 46 morts et 200 blessés.

    La France a reconnu officiellement des “morts pour la france”, en Algérie, après le 19 mars 1962, c’est bien la preuve que les “Accords d’Evian” n’ont jamais marqués la fin de la guerre.

    Nous aimerions savoir comment leurs noms ont été inscrits sur les monuments aux morts ?

    Sous les ordres des généraux Ailleret et Katz, l’armée française a terminé cette guerre, gagnée totalement sur le terrain, dans le déshonneur le plus total.

    ⇒ Le (toujours) président de la République et Messieurs les maires des villes et communes de France, dans lesquelles vivaient ces jeunes soldats et leurs familles, quand vous célébrerez cette date, ce prochain 19 mars 2017, et que vous garderez une minute de silence, vous les entendrez, tous ceux qui sont morts après le 19 mars 1962, vous hurler leur mépris et leur colère.

    Le 19 mars 1962, le chef de l’état français et son gouvernement ont “signé” un crime contre l’humanité.

    Un demi-siècle plus tard ne soyez pas leurs complices !

    Source :dreuz.info

    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.


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  •  LE 19 MARS "une recouche"

    Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N°3098 du Lundi 20 mars 2017..

    LE 19 MARS "une recouche"

    ENCORE UNE FOIS ,UNE DATE D'ANNIVERSAIRE DES BOURREAUX DU FLN ...

    Je tenais par la présente à vous faire part de ma désapprobation à la suite "cessez-le-feu" du 19 mars 1962. Une honte au regard des Pieds Noirs et Harkis ...
    LE 19 mars 1962 ... Je trouve déplorable de fêter le 19 mars en respect de tous les morts après cette date, sommes nous deux sortes de Français ? , nous savons ce qu'il en coûte d'aider les populations à sortir de la misère et des épidémies ! . Ceux qui ont décidé de cette date de commémoration sont indignes des places qu’ils ont occupées ou occupent encore ! . Et les victimes des massacres ? Elles comptent pour du beurre ? C’est dégueulasse ! . Vous savez que cette date reste synonyme d’une souffrance jamais éteinte pour les Pieds-noirs, les Harkis et leurs descendants. Le 19 mars 1962 a été un déchirement avec le choix qui n’en était plus un entre « la valise ou le cercueil ». Vous savez tous aussi les conditions terribles de retour en métropole de ces milliers de Français d’outre-méditerranée qui n’avaient commis aucun crime et aspiraient à vivre une vie paisible et heureuse dans ces départements Français ,dont on leur avait dit que la France restera la France,nous voyous aussi pour la mère patrie comment que la méthode sera de même, et du même cas que pour les Français d'Algérie ...
    NON !, le 19 mars 1962 n’a jamais été la paix. Il n’a jamais été une date heureuse pour qui que ce soit. De "cessez-le-feu", il n’y en a jamais eu. Les morts se sont comptés par milliers après cette date, à Oran, Rue d’Isly et dans tant d’autres endroits de sinistre mémoire. Ce sont les mêmes qui commette des attentat sur le sol Français ,Bataclan ,Nice etc.etc ... OUI HONTE !
    Les Pieds-noirs et les Harkis aspirent à la paix et à la tranquillité après des décennies où ils ont dû se battre pour se reconstruire. Ils demandent simplement le respect de leur mémoire. Ils ont étaient encore étaient offencés en ce 19 mars 2017 par toujours les mêmes, par la voie du Gaullisme socialo communisme ... J’espère que vous entendrez cet appel encore une fois, Pieds-noirs, qui a reçu de ses parents un amour infini pour la France dont vous êtes le garant de l’unité.
    Encore une fois ou de l'autre côté ricane de la France de cette mémoration qui en sont à leurs faveurs. Pas de quoi en être fier, a la gloire du FLN ...
    Le 19 mars est une honte, un déshonneur, dont la gauche fut la porteuse de valises du FLN. Dont des gens du show Business peuvent aussi se réjouir ... Nous sommes le seul pays au monde à vouloir célébrer les bourreaux en cela une fois de plus c'est cette gauche Française, ringarde qui se singularise en tirant contre leur propre pays. , nous atteignons des sommets de commémoration, le 19 mars 1962 est une date abjecte. Je suis pour que l'on débaptise dans nos villes et villages, toutes les places, les rues qui portent le nom de cette funeste date pour la France...Pieds Noirs 9A ..


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  • « Je suis là pour mourir par Allah. De toutes façons, il va y avoir des morts. »

    Orly, ce 18 mars, a remis une campagne présidentielle, que certains auraient voulu voir exclusivement pilotée par Mme Houlette et son parquet tout neuf, entre les mains de notre cher procureur Molins et de son parquet antiterroriste.

    Bien sûr, la même presse, qui scrute au centime d’euro près les relevés de compte et les tickets de caisse de M. Fillon, est bien plus évasive quand il s’agit de nous parler de la tentative d’attentat à Orly.

    Sud-Ouest peut même titrer : « Attaque à Orly : l’assaillant, un homme sombre, renfermé et solitaire. » Mon Dieu, un grand dépressif, notre Ziyed Ben Belgacem ! C’est fou, comme un titre de la bonne presse peut mentir… Car ledit Zyed, selon l’expression désormais convenue, était « connu des services de police ». Et même bien connu ! « Mais (dixit Le Monde, qui persiste à ne pas voir sur quel terreau poussent nos terroristes islamistes), seulement pour des affaires de droit commun ! » Vol d’une pomme au marché de Garges-lès-Gonesse ? Non : neuf mentions à son casier judiciaire, pour des affaires de stupéfiants et de vols aggravés ! En 2001, il est même condamné à cinq ans de prison pour vol à main armée par la cour d’assises du Val-de-Marne. En 2009, il est à nouveau condamné à trois, puis cinq ans d’emprisonnement pour trafic de stupéfiants. Et la justice était informée que, dès 2011, il manifestait des « signaux de radicalisation ». Surveillé plus étroitement depuis l’état d’urgence (perquisition), notre « homme sombre » (Le Monde) avait été mis en examen en mars 2016 pour un cambriolage.

    Depuis septembre et sa dernière sortie de prison, il était sous contrôle judiciaire. On a assez dit l’inefficacité d’une telle mesure pour ce type d’individus.

    Et son road movie de samedi, si vous vous informez bien, ne se résume pas à certains titres édulcorés : « Un individu tente de dérober une arme à un soldat de l’opération Sentinelle ! » Non, c’était quand même bien plus violent que cela : tir sur un policier qui est blessé à la tête, vol d’une voiture à main armée, attaque d’une patrouille de l’opération Sentinelle pour dérober un FAMAS et le retourner contre cette femme et d’autres…

    Ce que nous montre de nouveau le parcours de cet individu, c’est qu’il y a une porosité extrême entre les affaires de droit commun (trafics de drogue, cambriolages, etc.) et le terrorisme islamiste. Vous voulez savoir ? Dans mon département, les cambriolages explosent, et vous savez ce que l’on vole ? Matériel informatique, argent, bijoux, bien sûr, mais de plus en plus armes, clous et boulons. Pensez-vous que nos petites racailles désœuvrées souhaitent s’organiser elles-mêmes des stages de quincaillerie ?

    Notre justice et notre droit, qui s’obstinent à vouloir ériger des murs entre délinquance et terrorisme islamiste, s’aveuglent et nous mettent en danger.

    Alors, oui, Zyed a vraiment perturbé un tranquille samedi de campagne où la France était priée de se pâmer devant le programme de défense de M. Macron.

    Mais la piqûre de rappel d’Orly, cinq ans jour pour jour après l’équipée de M. Merah, a remis au centre du débat présidentiel LA question que la gauche, la justice et les médias voulaient escamoter.

    Le procureur Molins est le Caton de notre époque, répétant imperturbablement la réalité de la menace. À voir les réactions ou l’absence de réactions de nos dirigeants et de nos candidats à l’honneur samedi – Macron, Hamon et Mélenchon -, notre procureur est malheureusement, aussi, une Cassandre.

    Alors, pour ceux qui ne veulent toujours pas entendre, réécoutons cette phrase, scrupuleusement rapportée par M. Molins : « Je suis là pour mourir par Allah. De toutes façons, il va y avoir des morts. »

    Pascal Célérier

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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