•  Montpellier : un joggeur de 60 ans roué de coups et poignardé « gratuitement » par 2 jeunes


    L’agression à l’arme blanche avait eu lieu en pleine rue, à La Mosson, dimanche 5 janvier, vers 9h30, alors que le sexagénaire faisait son jogging.

    Cet homme de 60 ans est en train de faire son jogging matinal rue Heidelberg près du stade de La Mosson, à Montpellier, quand il croise deux individus. Une bousculade puis un conflit éclatent. Les deux hommes s’en prennent alors physiquement au joggeur qui est roué de coups. Il tombe au sol. Les coups pleuvent encore et l’un des deux assaillants lui plante un couteau dans la jambe, perforant l’artère fémorale.

    (…) Une planque permet d’identifier et de loger l’un des suspects. Il s’agit d’un jeune de 20 ans. (…) En garde à vue, le jeune suspect reconnaît sa participation aux faits, une agression « gratuite » et évoque une bagarre avec le joggeur mais nie le coup de couteau. Il met les enquêteurs sur la piste d’un complice. Un homme de 28 ans qui se trouve en prison.

    En effet, ce dernier a été incarcéré quelques jours plus tôt, après que son contrôle judiciaire a été annulé dans une autre affaire judiciaire. Il est donc extrait de la maison d’arrêt pour être entendu en garde à vue. (…)

    Midi Libre   Vu ici

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  • Nogent-sur-Oise : une femme de 70 ans violée chez elle par un migrant clandestin venu la cambrioler

    […]
    Vers 3 heures du matin, cette nuit-là, une femme âgée d’environ 70 ans est réveillée à son domicile par d’étranges bruits. Elle surprend alors un cambrioleur en train de fouiller ses affaires. Au lieu de s’enfuir, ce dernier la menace et la viole.
    […]
    Les investigations de la police scientifique et des enquêteurs ont rapidement permis d’identifier et de mettre un visage sur un suspect.
    […]
    L’homme, âgé de 33 ans, est en situation irrégulière sur le territoire. Dans un premier temps, il avait tenté de dissimuler son identité aux enquêteurs en se faisant passer pour un réfugié libyen.

    Le Parisien
    Vu ici

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  •  ENCORE UN QUI TOMBE ,QUI SERA LE SUIVANT !

    Le prête pédophile de plus de 1000 agressions a son palmarès ...Cela pouvait être quatre ou cinq enfants chaque semaine dans le camps »

    Pédophilie dans l'Église: au procès de Bernard Preynat, la douleur des victimes

    mediaL'ancien prêtre Bernard Preynat au tribunal de Lyon, le 13 janvier 2019.REUTERS/Emmanuel Foudrot

    Le procès de l'ancien prêtre Bernard Preynat pour des agressions pédophiles commises entre 1971 et 1991 s'est ouvert ce mardi 14 janvier à Lyon.

    Ils sont sept pour l'instant. Tous sont d'anciens scouts de la paroisse du père Preynat, à Sainte-Foy-Lès-Lyon. Ils sont venus avec leur histoire personnelle face au tribunal. Des vies d'adulte amputées de leur jeunesse. Preuve de la difficulté à raconter ce qu'ils ont subi, l'une des victimes a demandé à témoigner à huis clos, rapporte notre envoyé spécial à Lyon, Pierre Olivier.

    « J'arrive à un moment où je ne peux plus fuir. Il me faut étaler ma souffrance et mon préjudice. Je suis très mal à l'aise avec ça, c'est un exercice qui est très difficile pour moi. Et encore une fois, je suis un garçon qui a eu beaucoup de chance », expliquera à la sortie de l'audience François Devaux, victime de l'ancien prêtre et fondateur de l'association La Parole libérée.

    D'autres racontent leurs pensées suicidaires, leurs insomnies, leurs troubles mentaux après les agressions sexuelles du père Preynat. Aujourd'hui âgé de 74 ans, celui-ci comparaît pour des faits commis entre 1971 et 1991 quand les victimes étaient âgées de 7 à 15 ans.

    Alors vicaire-aumônier scout, Bernard Preynat faisait à l'époque l'admiration des parents du diocèse qui lui confiaient leurs enfants, dans sa paroisse ou lors de camps à l'étranger. Ce n'est qu'en 2015 que plusieurs anciens scouts ont brisé l'omerta et accusé Preynat devant la justice d'attouchements, baisers sur la bouche et caresses réciproques contraintes, notamment sur le sexe.

    Face à ses victimes qui se succèdent ce mardi à la barre, Bernard Preynat admet ses erreurs et demande même pardon. Mais il dément aussi souvent, notamment la fréquence de ses attouchements. Une des victimes assure que le prêtre les aurait renouvelé une cinquantaine de fois, ce qu'il refuse d'admettre. « Je veux bien aller jusqu'à dix, mais pas cinquante. » La procureure se lève et lui rappelle qu'une seule fois peut l'envoyer dix ans en prison.

    Bernard Preynat affirme qu'il ne se rendait pas compte à l'époque de la gravité de ses actes. « J'avais le sentiment que les enfants étaient presque complices », avance-t-il. « Comme tous les pédophiles », lui rétorque la procureure.

    L'une des victimes s'est présentée devant le tribunal avec son foulard de scout. En l'enlevant de son cou, il lance : « Aujourd'hui, je me libère de ça ». Avant de demander à l'ancien prêtre d'avoir la décence de ne pas faire appel de la décision du tribunal quand le procès sera terminé. Ce mercredi, trois ancien scouts seront à leur tour entendus.


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  • Ultra-gauche terroriste

    Auteur : Michel Janva

    Ultra-gauche terroriste

    Depuis 2 ans, une dizaine d’incendies criminels ont eu lieu à Grenoble. Notamment l’incendie de l’église Saint-Jacques qui a été détruite.

    Mais, comme les auteurs font partie d’un groupe d’ultra-gauche, le procureur n’avait rien fait jusqu’à présent.

    Depuis deux ans une dizaine de bâtiments, publics et privés, ont été victimes de départs de feux, tous d’origines criminelles.

    Une qualification terroriste permettrait d’avoir « des moyens différents » pour les enquêtes, a fait valoir lundi 13 janvier le procureur de la République au sujet des dégradations et incendies criminels revendiqués par « l’ultra-gauche libertaire » et qui ont eu lieu depuis le printemps 2017. Le procureur de la République de Grenoble a annoncé avoir demandé au parquet national anti-terroriste de se saisir des dossiers de la vague d’incendies criminels de la région grenobloise revendiqués par « l’ultra-gauche libertaire », après le sinistre qui a détruit des véhicules d’Enedis dans la nuit.

    « Nous avons saisi le parquet national anti-terroriste d’une demande (de saisine) des dossiers. L’ensemble de ces destructions concernant aussi bien des sociétés que des biens publics revendiquées par l’ultra-gauche libertaire peuvent être considéré comme des attentats terroristes ». « Nous soumettons chaque fois les dossiers au parquet national et celui-ci , dans cette affaire comme dans les précédentes, les évalue et donnera sa décision. Pour l’instant, il ne l’a jamais fait et nous espérons que cette fois-ci il le fera ». « Il y a une augmentation permanente du nombre de faits attribués à cette mouvance, il y a un mouvement national et il y a beaucoup de faits sur le ressort de Grenoble : cela justifierait cette qualification terroriste ». « Ce sont des enquêtes difficiles, les auteurs des faits sont particulièrement prudents et vigilants (…) Nous avons à faire à un groupe très organisé »

    Près d’une quinzaine de dégradations ou d’incendies ont eu lieu dans l’agglomération grenobloise depuis le printemps 2017, dont des incendies de casernes de gendarmerie, de la salle du conseil municipal de Grenoble ou d’une église, ainsi que des locaux de France Bleu Isère, sans que des suspects soient appréhendés.

    Source : lesalonbeige


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