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  • Écologisme : un chercheur au CNRS payé pour s’en prendre à… l’Occident blanc

    Un parmi d’autres direz-vous.

    C’est vrai, mais le cas de Malcom Ferdinand est exemplaire : ce métis – qui, comme beaucoup, semble avoir un certain ressentiment contre les Blancs – est payé par leurs impôts pour leur cracher dessus sous le prétexte de l’écologisme et il est, pour cette raison, invité largement ces temps-ci dans les merdias pour étaler ses élucubrations à l’encontre de l’Occident (alors que la colonisation française fut une bénédiction pour les populations concernées).

    Résumons : ces gens instrument le légitime souci écologique (mais en mêlant vérités et bobards) afin de, en présentant une version mensongère de l’histoire, faire avancer un agenda politique qui inclut la mort de l’Occident blanc.

    PS : pour rappel, Greta Thunberg elle-même fait de plus en plus ouvertement la même chose.

    Source : contre-info


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  • Deux djihadistes « revenants » remis en liberté en France

    par 

     Nicole Belloubet, ministre de la Justice, déclarait samedi 11 janvier, à propos des Français de retour du Djihad, ne plus voir « d’autre solution que de les rapatrier en France ».
    Cette affirmation, en contradiction avec la position du ministère des Affaires étrangères, s’explique par le risque de dispersion de ces individus en Syrie et en Irak.
    Les prisons irakiennes ou kurdes seraient en effet trop peu sécurisées pour garantir la détention des djihadistes.
    Une centaine d’entre eux seraient déjà parvenus à s’échapper de ces geôles.

    Si la décision politique de les rapatrier est prise, qu’est-ce qui attend les combattants de l’État islamique à leur retour sur le sol national ?

    Dès l’atterrissage des ressortissants, les autorités françaises doivent normalement se saisir du dossier en les menant directement en garde à vue pour 96 heures dans les locaux de la DGSI.
    Toutefois, la judiciarisation des djihadistes semble inadaptée en France.
    La peine moyenne est en effet de seulement six ans et huit mois pour « association de malfaiteurs terroristes ».

    Si les peines sont si courtes, alors ces individus menaçant la sécurité des Français courront les rues dans les années à venir ?

    En réalité, le premier revenant djihadiste à avoir été jugé par la justice française, Flavien Moreau, a déjà été libéré lundi 13 janvier.
    Il avait rejoint la Syrie en 2012, quand l’Etat islamique n’était pas encore un califat autoproclamé.
    Mercredi 15 janvier, c’était au tour de Mohamed Achamlane, fondateur du groupuscule islamiste radical Forsane Alizza, « les cavaliers de la fierté », d’être remis en liberté.

    Mais alors quelles réponses sont apportée par les pouvoirs publics pour faire face aux dangers que représente la libération de tels individus ?

    Les mesures qui seront appliquées à ces individus dont la dangerosité, bien qu’évaluée au cours de la détention, demeure difficile à déterminer, ne sont pas précisément connues.
    Cependant, on sait qu’un dispositif de surveillance post-carcéral coordonné par la DGSI a été mis en œuvre.
    Seulement, ces mesures seront-elles véritablement efficientes ?
    On se souvient que de nombreux individus fichés S n’ont eu aucun mal à passer à l’acte.
    Le risque de récidive est ainsi loin d’être écarté.
    Il appartient donc aux services de l’État d’apporter les réponses nécessaires au plus vite afin d’éviter d’autres drames.

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  • Emmanuel Macron évacué d’un théâtre parisien vendredi soir, sous les huées après l’arrivée de manifestants ..

     Mais où était Benalla ?

     


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