• Casino suspend son projet d’hypermarché 100 % automatique et sans caissière !

    Casino suspend son projet d’hypermarché avec caisses automatiques uniquement et totalement automatisé.

    Si Casino suspend son terrible projet funeste pour l’emploi c’est officiellement une « suspension provisoire pour continuer le dialogue avec les délégués syndicaux » et cette décision « ne modifie pas l’expérimentation en cours sur les ouvertures en mode tout automatique ».

    Comme vous le savez, il n’est pas autorisé légalement d’appeler au boycott d’une entreprise ou d’une marque.

    Néanmoins il est autorisé (encore) de rappeler à tous que les entreprises ont également un rôle social. Vous savez le fameux rôle social ou la responsabilité sociale et environnementale avec laquelle on nous « gonfle » tant elle est hypocrite.

    Il suffit donc d’aller faire massivement ses courses tout simplement dans les supermarchés d’à côté qui disposent encore de caissières.


    Il faut poser le sujet de « l’acceptabilité » de l’automatisation !

    Ce sujet est central.

    En l’absence d’alternatives massives de répartition des richesses en dehors du travail et des salaires, le travail n’est pas une option mais une obligation pour gagner de l’argent !

    Nous allons arriver au moment rapidement, où nous devrons tout simplement refuser politiquement la destruction de millions d’emplois tant que nous n’avons pas inventé une nouvelle façon de répartir les richesses.

    En attendant et à titre personnel je ne mettrais pas les pieds dans un magasin ou un supermarché sans caissier ni caissière.

    Charles SANNAT
    Source Le Parisien ici

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  • « 5 ans après le carnage de Charlie Hebdo, le terrorisme islamique est devenu quotidien en France »

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    Thomas Joly, Président du Parti de la France, réagit au sinistre cinquième anniversaire de la tuerie de Charlie Hebdo.

    Thomas Joly@ThomasJoly60

    5 ans après le carnage de , le terrorisme islamique est devenu quotidien dans une France toujours plus envahie par les afro-musulmans. C'est mettant fin à cette colonisation migratoire et en organisant la grande que l'on rétablira la sécurité chez nous


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  • La Hongrie va doubler le nombre de soldats patrouillant à ses frontières pour faire face à une pression migratoire accrue

    Hongrie – Le gouvernement hongrois va doubler le nombre de soldats qui patrouillent à ses frontières « compte tenu de la pression migratoire croissante », a déclaré dimanche le ministre de la Défense.

    M. Nemeth a déclaré que l’année dernière, le nombre d’entrées illégales avait presque décuplé, pour atteindre le nombre de 3.299. Il a ajouté que les autorités s’attendaient à ce que ce nombre augmente encore.

    Nemeth a indiqué que les soldats hongrois patrouillent les frontières avec des policiers depuis 2015.

    (…) The Hungary Journal via fdesouche


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  • Doublement de la croissance, baisse spectaculaire du chômage, du déficit et de la délinquance : Bolsonaro vous salue bien !

    Des responsables Brésiliens avaient mis l'agressivité de Macron contre Bolsonaro sur le compte de la jalousie par rapport au physique de sa femme : aujourd'hui, Macron peut surtout être jaloux des résultats de Bolsonaro. Un an après son arrivée au pouvoir, voici un premier bilan chiffré de sa gouvernance, qu'aucun grand média ne vous dressera :

    - Doublement de la croissance de 0,5 à 0,9 %
    - Déficit public divisé par deux, de 10,5 % à 5,7 %
    - Baisse du chômage, qui passe en dessous des 11 % de la population active
    - Chute de la délinquance de plus de 22 %

    Des résultats spectaculaires, qui démontrent que les politiques populistes sont aujourd'hui les seules en mesure de redresser rapidement la situation de nos pays.

    Ne reste plus qu'à convaincre les Français...

    Olivier Piacentini


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  • Bilan de 30 mois de macronie : analyse d’un désastre annoncé

    Le silence de la classe politique française après l'humiliation de la Serbie le 11 novembre
     
    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples 
    Après de nombreux articles très critiques sur la mandature d’Emmanuel Macron, Michel Geoffroy dresse un bilan sans concession des 30 mois de présidence du roi du « en même temps » et de la répression.
    Polémia


    La super classe mondiale a promu en 2017 Emmanuel Macron pour qu’il conduise les changements qu’elle souhaitait imposer à la France.
    Hélas, sa présidence tourne au mauvais vaudeville.

    Et les oligarques commencent à se demander s’ils n’ont pas fait le mauvais choix.

    Macron n’est pas Thatcher
    Il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a été élu grâce à un coup d’état médiatique et judiciaire qui a éliminé François Fillon du second tour de l’élection présidentielle.
    Cette manœuvre a réussi mais elle a eu cependant deux lourdes conséquences pour l’avenir politique d’Emmanuel Macron :
    – D’abord, son élection de 2017 ne résulte d’aucun mouvement populaire en sa faveur.
    Le premier parti de France ce n’est pas LREM – qui n’a pas dépassé 16 % des inscrits en moyenne – mais… les abstentionnistes et le Rassemblement national !
    – Ensuite, le projet politique porté par Emmanuel Macron ne correspond nullement à l’attente majoritaire des Français, comme le montrent avec constance les différents sondages d’opinion, mais seulement aux demandes des différents lobbies qui l’ont porté au pouvoir
    Cela signifie que la coupure entre le pays légal – la macronie – et le pays réel – la France périphérique – atteint un niveau sans précédent sous la Ve république. Et aucune « grâce d’état » n’est venue la combler, bien au contraire.
    Car, circonstance aggravante, l’homme que l’oligarchie a choisi pour « réformer » – c’est-à-dire déconstruire – la France n’est manifestement pas à la hauteur de son mandat.
    A l’évidence, Macron n’est pas Thatcher.
    Homme de cabinets et de sérails, parachuté à 40 ans au sommet de l’Etat par la magie des médias et l’argent des lobbies, Emmanuel Macron manque cruellement d’expérience et donc de sagesse politique.
    Et l’on n’a pas tardé à s’en rendre compte, tant en France qu’à l’étranger.
    Résultat : après 30 mois de pleins pouvoirs macroniens, la France s’enfonce dans le chaos social et politique.

    La France qui tombe
     
    La propagande gouvernementale omniprésente a bien du mal à cacher, en effet, que l’arrogant Emmanuel Macron se montre incapable de faire mieux que ses prédécesseurs, bien qu’il dispose d’une Assemblée nationale et de médias à sa dévotion.
    Et qu’il bénéficie du soutien du patronat et de toute l’oligarchie française.
    En 30 mois, la France est devenue le premier pays de l’OCDE pour le poids des impôts.
    Les dépenses publiques ne cessent d’augmenter (55,6 % en 2019), comme la dette publique (elle a atteint 100 % du PIB en 2019).
    A l’exception de la Finlande, la France est désormais le seul pays européen à présenter son budget en déficit primaire, c’est-à-dire hors dette.
    La balance commerciale ne s’améliore pas non plus.
    L’insécurité explose et pas seulement à Paris.
    Enfin, le taux de pauvreté a grimpé de 0,2 point à 14,3 % en 2018. 9,1 millions de personnes vivaient ainsi sous le seuil de pauvreté en France.
    L’indice de Gini, qui mesure les inégalités, a connu sa plus forte progression depuis 2010.
    Et les usines continuent de fermer et l’immigration de continuer de plus belle : la France devient en 2019 le premier pays pour l’accueil des « demandeurs d’asile » !
    Mais il est vrai que les profits des entreprises du CAC 40 se portent bien.
     
    La risée du monde entier
     
    A l’étranger, le bilan n’est pas meilleur car tout le monde a fini par se lasser des palinodies françaises.
    Dans le domaine des relations internationales, l’« en-même-temps » macronien et la com ne marchent plus.
    En effet, seuls comptent les rapports de force.
    On se lasse en Europe des déclarations à l’emporte-pièce de ce président français, jamais suivies d’effet concret.
    L’Otan est en état de « mort cérébrale » ?
    Mais pourquoi alors la France continue-t-elle d’y adhérer ?  
    La Russie n’est « pas une ennemie » ?
    Mais alors pourquoi la France s’associe-t-elle aux « sanctions » contre elle ?
    L’Union européenne est en crise ?
    Mais quelles initiatives la France prend-elle ? Aucune !
    Emmanuel Macron aime bien embrasser ou tripoter les chefs d’Etats étrangers sous l’œil attendri des caméras de BFM TV.
    Mais dès qu’il leur tourne le dos, ceux-ci se moquent de lui et il n’obtient jamais rien !
    Sans compter les nombreux dirigeants avec lesquels Emmanuel Macron s’est fâché, là encore sans aucun résultat positif pour notre pays.
    La « start-up » macronienne devient la risée du monde entier et la France l’homme malade de l’Europe.
     
    La macronie sombre dans la crise sociale
     
    Personne n’ignore à l’étranger que la macronie s’enfonce dans la contestation sociale et que la crédibilité politique d’Emmanuel Macron suit une tendance baissière, comme on dit sur les marchés financiers.
    Personne n’ignore dans les chancelleries que ce président donneur de leçons de démocratie… à l’étranger, ne peut plus aller nulle part en France sans susciter des manifestations d’hostilité.
    Personne n’ignore que cela fera… 59 semaines que les Gilets Jaunes manifestent chaque samedi en France contre sa politique et contre sa personne !
    Comme cela fait maintenant 10 mois que le personnel hospitalier manifeste et fait grève, tout en assurant son service d’urgence.
    Les sapeurs-pompiers sont, eux, en grève reconductible depuis le mois de juin 2019.
    Du jamais vu en France !
    En octobre dernier, 27 000 manifestants ont défilé à l’appel des syndicats de policiers, pour une « marche de la colère ».
    Les agriculteurs manifestent aussi.
    En vérité, on ne connaît pas un secteur professionnel qui n’exprime pas en France un mécontentement contre la politique du pouvoir.
    Comme on ne sait plus ce qui marche encore normalement dans notre pays, paralysé par les réformes brouillonnes.
    Désormais en France quand il neige, il n’y a plus d’électricité, les routes sont bloquées et les trains ne circulent plus.
     
    La retraite du macronisme
     
    La réforme des retraites devait être, avec la déconstruction du droit social et les privatisations, le grand œuvre de la macronie, conformément au mandat que lui ont donné la super classe mondiale et la commission européenne.
    Les fonds de pension et les banques se positionnaient déjà pour rafler de juteux profits.
    Las, l’opposition à la réforme des retraites rassemble de nouveau une majorité des Français contre le gouvernement.
    Et plus encore si on ne s’intéresse qu’à ceux que concerne vraiment la réforme : pas les retraités aisés qui répondent aux sondages !
    Avec cette réforme, au surplus mal gérée, la macronie a réussi la performance de redonner vie aux organisations syndicales et de fournir un nouveau souffle à la contestation populaire.
    Déjà plus de 25 jours que la grève contre le projet gouvernemental dure, soit plus qu’en 1995 !
    Le gouvernement escomptait un essoufflement de la contestation avec les fêtes de Noël, mais cette stratégie de la « trêve » a fait long feu.
    En outre, le projet de réforme « universelle » prend l’eau de partout.
    Anxieux d’éteindre une grogne sociale croissante, le gouvernement ne cesse de reculer : au profit des policiers, des militaires, des routiers ou des… sénateurs.
    Et chaque entorse au projet « universel », renforce la détermination de ses opposants.
    Car si la réforme était si avantageuse que le dit le gouvernement, pourquoi donc en préserver certaines professions ?
    Poser la question revient à y répondre.
    Tout le monde a compris en effet qu’il ne s’agissait pas d’un progrès mais d’une nouvelle régression – d’une nouvelle agression – sociale.
     
    Macron s’empêtre dans la contestation
     
    En un mois, De Gaulle avait mis fin aux évènements de mai 1968 et remis la France au travail, avec la dissolution de l’Assemblée Nationale, de nouvelles élections et des accords sociaux.
    En 1984, François Mitterrand, politique avisé, avait eu la sagesse de mettre fin à la guerre scolaire pourtant déclarée par sa propre majorité parlementaire, avec le projet Savary.
    Emmanuel Macron, lui, n’arrive pas à se dépêtrer d’une crise politique et sociale qui dure depuis bientôt 18 mois.
    Pour répondre à une contestation qui prend une ampleur jamais vue dans notre pays, Emmanuel Macron a en effet choisi le mépris, l’enfumage, la censure et la répression.
    C’est-à-dire qu’il a choisi l’affrontement avec la France réelle.
    Mais, alors que le mécontentement enfle, cette stratégie autiste trouve désormais ses limites.
    La répression a certes dans un premier temps brisé l’élan des Gilets Jaunes ; mais au fil du temps, elle a renforcé la conviction des opposants à la macronie en donnant un contenu palpable à la nouvelle lutte des classes qui s’installe dans notre pays.
    Une nouvelle lutte des classes dont Emmanuel Macron apparaît désormais à la fois comme le symbole et l’artisan, honni par une France qui commence à se réveiller de sa torpeur.
     
    Emmanuel Macbeth
     
    Car pour un nombre croissant de Français, Emmanuel Macron incarne l’oligarque xénocrate qui préfère les métropoles boboïsées et les banlieues de l’immigration à la France rurale ou périphérique.
    L’oligarque qui préfère les racailles, les immigrants et les étrangers aux autochtones, « gens qui ne sont rien[1] » que l’on rencontre dans les gares ou qui « boivent de la bière et mangent avec les doigts » comme le dit si bien son ministre de l’action (sic) et des comptes publics[2] et que l’on peut matraquer et gazer en toute impunité.
    Le président qui a toujours une pensée pour les musulmans, mais jamais pour les catholiques, ces fachos qui ne comprennent rien à la révolution arc-en-ciel[3] ni à la laïcité.
    L’homme qui a force de dire tout et son contraire a perdu toute crédibilité.
    Retranché dans son palais de l’Elysée que protègent encore les robocops du ministère de l’intérieur, Emmanuel Macron se croit à l’abri de la révolte qui gronde.
    Mais pour les prochaines municipales, on conseille déjà aux candidats LREM de mettre leur sigle en veilleuse.
    Mauvais présage.
    Emmanuel Macron fait de plus en plus penser à l’usurpateur Macbeth de la tragédie de Shakespeare. Lui qui aime tant parler anglais, devrait pourtant méditer cette prédiction que les sorcières avaient fait à Macbeth : « Birnamwood shall come to Dunsinane ».
    Sa forteresse finira par être prise et il perdra tout.
     
    Mais comme Macbeth, Emmanuel Macron ne semble pas avoir compris l’avertissement.
    Brigitte, qui fut professeur de lettres, pourrait-t-elle lui en expliquer le sens ?
    Michel Geoffroy
    06/01/2020
     
    [1] Allocution lors de l’inauguration de la station F ; Le figaro.fr du 3 juillet 2017
    [2]Interview de Gérald Darmanin à Paris Match du 19 décembre 2019
    [3] On se rapportera avec profit au livre de Martin Peltier « la Révolution Arc-En-Ciel en Marche » , DIE éditeur, 2019

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