• Acte Isolé ou déséquilibré . Posté par:Pieds Noirs 9A..


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  • Alain Juppé inaugure la nouvelle mosquée du Grand Parc

    Lu ici :

    Mosquee-grand-parc"Le vendredi 06 novembre 2015, la mairie de Bordeaux inaugurait la nouvelle mosquée du Grand Parc, dirigée par l’association des Musulmans de Bordeaux-Nord. Plusieurs officiels étaient présents, parmi lesquels Anne-Marie Cazalet, maire adjoint du quartier, Catherine Sirat-Trézéguet, délégué du Préfet des quartiers de Bordeaux, ou encore Marik Fetouh, adjoint en charge de l’égalité et la citoyenneté.

    Lors de cette inauguration, Anne-Marie Cazalet s’est fendu d’une discours enthousiaste insistant sur la coopération en vue de la formation de la jeunesse :

    « Nous savons que vous êtes ancrés dans vos convictions d’ouverture (…) Nous ne sommes pas là pour nous poser en juges ou en censeurs de votre islam, mais nous travaillons avec vous dans une relation de confiance absolue, et avec vous, nous parviendrons à construire les bons citoyens de demain de ce quartier » !

    Bien décidés à former la jeunesse du quartier, l’association organise dans quelques jours sa première conférence. Celle-ci accueillera deux prêcheurs, connus par les autorités comme proches des milieux islamistes.

    Le premier, Hassen Abou Ilyas, faisait partie de l’ancienne équipe de direction de la mosquée de Bègles. C’est cette équipe que Noël Mamère avait dénoncé publiquement suite à l’alerte des renseignements généraux d’une « montée inquiétante et dangereuse du radicalisme dans la salle de prière de Bègles ».

    Le deuxième conférencier est également connu dans la banlieue de Bordeaux. Il s’agit de Mohamed Barry, l’imam de Pessac, qui selon la radio locale Wit Fm aurait des propos « inquiétants ». Dans une vidéo visible sur Internet et intitulée « Khoutba : sois une bonne épouse », Mohamed Barry donnait ses recommandations aux femmes.

    Voici quelques citations que le journal Sud-Ouest avait souligné : « obéir à l’homme, éventuellement se prosterner devant lui, ne pas se plaindre, être pudique en portant le voile, patiente. Si elle sort du domicile conjugal, cela doit être avec le consentement de son mari et en baissant son regard » !"

    Alain Juppé avait reconnu ne jamais avoir lu le Coran mais avait promis de le faire. Il ne semble toujours pas avoir trouvé le temps...


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  • Génocide en Algérie ! Qui peut le croire ?

    Génocide en Algérie ! Qui peut le croire ?Par Manuel GOMEZ..

    Génocide en Algérie ! Qui peut le croire ?

    **Condamner le génocide colonial. Reconnaître le statut de martyr aux victimes et écrire notre histoire.

    Ce sont les recommandations de quelques historiens algériens, des spécialistes, ayant participé ce 1er novembre 2015, à Alger, en marge du salon international du livre d’Alger, à la conférence-débat sur les massacres du 8 mai 1945.

    « Il ne faut plus se contenter de parler des massacres du 8 mai, mais du génocide du colonialisme car les massacres ont eu lieu durant toute la période coloniale. C’est-à-dire à partir du 14 juin 1830 » a clamé d’emblée Youcef Farhi.

    Je me suis dit : « Enfin ! Il ne va plus être question des événements qui se sont déroulés à cette époque, des 102 enfants, femmes et vieillards assassinés ce 8 mai 1945, alors qu’ils fêtaient la fin des hostilités, ni, bien entendu, de la terrible répression qui a suivi ce massacre ».

    Mais Youcef Farhi a poursuivi : « Il y a un document du MTLD (Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques - ne souriez pas svp - créé par Messali Hadj) qui parlait de génocides. Ce terme nous l’avons peu à peu abandonné pour ne garder que les « massacres ». Cette démarche est plus importante que de demander des excuses »

    Tiens donc ! il va sans doute être question des « massacres » d’El Halia (123 morts), ou de Melouza (315 morts) ?

    Mais Farhi n’avait pas terminé son exposé : « Il faut criminaliser la colonisation comme crime contre l’humanité. Beaucoup de pays ont souffert du fait colonial. Si on réussit à la condamner avec tous ces peuples, ce sera le plus grand succès »

    La conclusion de ce débat : Il faut une condamnation internationale du génocide du colonialisme !

    J’ai pensé, un seul instant seulement, qu’il allait être question du génocide de la puissance musulmane colonisatrice. Ce génocide dont se sont rendus coupables les Arabes au XIe siècle, qui fut l’un des plus grands crimes contre l’humanité de tous les temps : réduire à néant les « Berbères », les « Kabyles », la culture Amazigh, et imposer au 14e siècle le despotisme, la barbarie, le liberticide, l’ethnocide et le « culticide » de la colonisation arabo-musulmane du Maghreb.

    (Je cite Salem Ben Ammar et Kabyles.net)

    Ou alors du génocide des Arméniens, ou de celui des Indiens d’Amérique, ou des aborigènes d’Australie, ou que sais-je encore ?

    Mais non. L’universitaire et journaliste algérien Lyazid Dib prenait la parole pour souligner : « Les séquelles indélébiles de la violence du 8 mai 1945 » affirmant que cette date était le prélude au déclenchement de la guerre de libération nationale (ce qui n’est pas faux). Il concluait par : « Mais en dépit de la « barbarie coloniale », de l’absurdité des massacres et le nombre important de victimes, ces évènements risquent d’être oubliés un jour ».

    Pour terminer, il déplorait que cette catégorie de victimes ne bénéficie pas du statut de martyr. (Pourquoi pas, si l’on offre se statut de « martyr » à toutes les victimes !)

    J’ai enfin compris qu’il s’agissait dans cette histoire du génocide commis par la France envers les Arabes, du Maghreb d’abord (pendant la conquête) puis de l’Algérie ensuite (durant les 130 années du colonialisme) et je me suis posé cette question : « Comment un génocide pouvait s’exécuter sur 1.500.000 musulmans (1830) et en laisser 10 millions en 1962 ? »

    Les spécialistes historiens algériens ont sans doute l’explication ?

    **La vérité n’est pas un crime, seul le mensonge l’est !


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  •  Le juge Trévidic : « Le pire est devant nous, Daech prépare des massacres de masse en France »

    TREVIDIC

    Le vice-Président du tribunal de grande instance de Lille, le juge Trévidic, a affirmé mercredi que le pire en matière d’attaques terroristes islamiste est à venir pour la France, la cible prioritaire du groupe État islamique (EI).

    « La menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu’alors. D’abord, nous sommes devenus pour l’EI l’ennemi numéro un. La France est la cible principale d’une armée de terroristes aux moyens illimités. », a déclaré l’ancien patron du Pôle judiciaire antiterroriste dans un entretien accordé à Paris Match.

    « J’ai acquis la conviction que les hommes de Daech [acronyme de l'Etat islamique] ont l’ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d’ampleur, incomparables à celles menées jusqu’ici. Je le dis en tant que technicien : les jours les plus sombres sont devant nous. La vraie guerre que l’EI entend porter sur notre sol n’a pas encore commencé. », a-t-il mis en garde.

    « Nous avons en face de nous un groupe ­terroriste plus puissant que jamais. Bien plus puissant qu’Al-Qaïda à sa grande époque. L’EI, fort d’environ 30 000 “soldats” sur le terrain, a recruté plus de membres que l’organisation fondée par Ben Laden en quinze ans ! Et ce n’est pas fini. La France est, de fait, confrontée à une double menace. Celle du déferlement de ce que j’appelle les “scuds” humains du djihad individuel, ces hommes qui passent à l’action sans grande formation ni préparation, agissant seuls, avec plus ou moins de réussite, comme on a pu le voir ces derniers temps. Et celle, sans commune mesure, que je redoute : des actions d’envergure que prépare sans aucun doute l’EI, comme celles menées par Al-Qaïda, qui se sont soldées parfois par des carnages effroyables. », a poursuivi M. Trévidic.

    « Les hommes de Daech ont les moyens, l’argent et la faculté d’acquérir facilement autant d’armes qu’ils veulent et d’organiser des attaques de masse. Le terrorisme est une surenchère ; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort. Et puis, il reste “le prix ­Goncourt du terrorisme” à atteindre, et je fais là référence aux attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center. Je n’imagine pas un instant qu’un homme tel qu’Abou Bakr ­al-Baghdadi et son armée vont se satisfaire longtemps d’opérations extérieures de peu d’envergure. Ils sont en train de penser à quelque chose de bien plus large, visant en tout premier lieu l’Hexagone. », a expliqué le magistrat.

    Selon M. Trévidic, « les juges, les policiers de la DGSI, les hommes de terrain, sont complètement débordés ». « Nous risquons d’aller dans le mur. », a-t-il conclu.

    Éric Hazan – © Le Monde Juif .info | Photo : DR


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