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  • AYMERIC CHAUPRADE QUITTE LE FN SUR UN FRACASSANT RÉQUISITOIRE

    CHAUPRADE

    AFP 09-11-2015 – 22:55

    L’eurodéputé Aymeric Chauprade, figure montante du FN pendant les européennes, a refermé lundi avec fracas sa parenthèse frontiste, dénonçant sur iTELE la « trahison » morale et idéologique de Marine Le Pen, trop inféodée selon lui à Florian Philippot.

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    cliquez sur l’image ci-dessus pour visionner l’interview intégrale

    Chauprade a reconnu la « dynamique très forte (du FN), des résultats sans doute excellents », et écarté à l’avance tout « opportunisme », avant d’invoquer les raisons « morales » et « de fond, idéologiques » de sa décision.

    Il a d’abord critiqué Mme Le Pen pour l’avoir « éliminé […] sur des faux prétextes, comme celui de la vidéo sur l’islam. […] C’est une faute morale sur un enjeu crucial, un enjeu de civilisation. […] Jouer de ce prétexte (de la place de l’islam, NDLR)pour éliminer des collaborateurs qui font de l’ombre à Florian Philippot, c’est grave », a accusé M. Chauprade, qualifiant la vie du parti d’« étouffoir ».

    L’eurodéputé a aussi reproché au parti d’avoir « écarté celui auquel on doit tout parce qu’il est devenu inutile », à savoir Jean-Marie Le Pen, exclu en août.

    Chauprade, nettement plus libéral en économie, a longuement tiré sur le programme frontiste en la matière et le « marketing électoral » de M. Philippot, excluant que le « vieux modèle suranné socialiste et étatiste des Trente Glorieuses (puisse) impulser le redressement ».

    D’une manière générale, il a dépeint un FN rivé sur la prise du pouvoir mais dont le projet n’est « pas crédible » pour la gestion de celui-ci,pronostiquant demain une « trahison » des Français.

    Chauprade a de facto repris à son compte toute une série de critiques régulièrement émises au sein du FN, notamment chez certains proches de Marion Maréchal-Le Pen mais aussi jusqu’au sein d’une partie de la direction, contre « l’emprise » idéologique et tactique prêtée à Florian Philippot sur la patronne du FN.

    L’eurodéputé s’est peu à peu retrouvé isolé au sein d’un parti dont il avait pourtant été l’une des têtes d’affiche pendant les européennes de 2014 : le géopoliticien a été un temps chef de la délégation européenne FN au Parlement européen, et conseiller de Marine Le Pen aux relations internationales à partir de 2010, malgré ses « doutes » sur la version “officielle” des attentats du 11 septembre 2001.

    Mais sa déclaration de politique internationale diffusée à l’été 2014, sa dénonciation en interne d’un “lobby gay”, une vidéo sur l’islam (qui ferait planer une « menace très grave sur l’avenir » de la France), et récemment sa participation à l’exfiltration de République Dominicaine de pilotes français impliqués dans l’affaire “Air Cocaïne” lui ont progressivement fait perdre toutes ses responsabilités internes, après un dernier voyage en Égypte avec Mme Le Pen en mai.

    « Surtout après l’affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A. Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible », a simplement réagi sur Twitter Marine Le Pen.

    « Il fallait que je sois le premier à tirer » dans cette guerre « asymétrique » a commenté M. Chauprade à l’AFP, qui avait préparé son annonce dans le plus grand secret : plusieurs cadres ou proches FN interrogés dans l’après-midi n’étaient pas au courant.

    Chauprade compte conserver son mandat d’eurodéputé, mais Edouard Ferrand, qui lui a succédé à la tête de la délégation des députés du FN au Parlement européen, lui a demandé lundi soir « solennellement […] de renoncer à son mandat de député français au Parlement européen », arguant dans un communiqué que ce mandat « lui a été conféré par l’exclusive volonté des électeurs du Front National ».

    Aymeric Chauprade affirme vouloir « rentrer dans une logique de Droite indépendante, de recomposition d’une grande droite crédible et assumée », plaçant au centre de celle-ci Philippe de Villiers dont il « souhaite fermement le retour », mais évoquant aussi les noms d’Henri Guaino, Nadine Morano, Jean-Frédéric Poisson (PCD), Nicolas Dupont-Aignan, etc.

    Il a aussi jeté un pavé dans la mare en invitant celle dont il a été l’un des plus fervents partisans, Marion Maréchal-Le Pen, à y participer, jugeant qu’elle y aurait « toute sa place ».

    En complément d’information, lire l’article La France est en guerre.

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  •  Un ancien général condamné à 1 euro de dommages et intérêts et du sursis pour …. pédophilie
    Un ancien général condamné à 1 euro de dommages et intérêts et du sursis pour …. pédophilie

    Le général Raymond Germanos, qui s’était fait connaître du grand public pendant la première guerre du Golfe en 1990-1991, a été condamné  à Paris, à dix mois de prison avec sursis pour avoir téléchargé des milliers d’images pédopornographiques entre 2004 et 2008. Le tribunal correctionnel n’a pas suivi le parquet, qui demandait un an de prison avec sursis avec une obligation de soins psychiatriques et une « mise à l’épreuve », sorte de contrôle judiciaire, pour deux ans.

    Ce général cinq étoiles – plus haut grade dans l’armée française – de 69 ans, qui fut chef du cabinet militaire des ministres Charles Millon et Alain Richard, était accusé d’avoir détenu des photos et vidéos mettant en scène des enfants âgés de 6 mois à 12 ans. « Suite à une perquisition à votre domicile, les policiers ont découvert plus de 3.000 images pédopornographiques sur le disque dur de votre ordinateur et sur une clé USB », a rappelé la présidente, Marie-Françoise Guidolin. Ces images, « parmi les plus hard que le tribunal ait eu à connaître », mettent en scène « des enfants extrêmement jeunes » subissant « des actes inqualifiables », a-t-elle dit.

    Or le général Germanos  est franc-maçon. C’est le le Nouvel Obs qui l’écrivait en 2000. Extraits :« La filière nucléaire française civile, via le Commissariat à l’Energie atomique et EDF, et plus encore la bombe atomique, en revanche, reste très liée aux maçons.  » La bombe française était un vrai projet d’indépendance nationale, affirme un de ceux qui a connu cette épopée : c’était une affaire d’hommes et de conscience.  » Tout s’est joué au sein d’une fraternelle, à la direction des affaires militaires du CEA. Dont le président est aujourd’hui Emmanuel Duval. Beaucoup d’industriels de la Défense sont maçons – dont Pierre Faurre, patron de la Sagem, membre de la GL, ou Serge Dassault (GO, actuellement sous le coup d’une mesure de suspension)… Et beaucoup de militaires aussi, à commencer par un des plus hauts gradés, le général cinq étoiles Raymond Germanos (GLNF), inspecteur général des armées. Via la Grande Loge nationale française (GLNF), des passerelles sont jetées vers l’industrie de défense des Etats-Unis, où l’implantation maçonne est très forte, comme dans tout l’establishment américain… »

    Ceci expliquerait-il la légèreté de sa peine ?

     Le retraité de 69 ans, par ailleurs Grand officier de l'Ordre national du Mérite et commandeur de la Légion d'Honneur, devra également verser un euro de dommage-intérêts aux trois associations parties civiles.

    Une peine relativement clémente, quand on sait qu’il encourait deux ans d’emprisonnement, et une amende pouvant aller jusqu’à trente mille euros. En outre, le ministère public avait requis moins d’une heure auparavant un an d'emprisonnement avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve avec obligation de soins à son égard. Le procureur de la République, Sophie Havard, avait également préconisé un dédommagement plus que symbolique des parties civiles, qui demandaient au total 25 000 de dommage-intérêts. Elle a justifié le sursis par l’«absence d’antécédent» du général G., et la condamnation par le fait que «celui qui se cache derrière son ordinateur est aussi coupable» que les auteurs d'actes pédophiles.

    R. G., qui comparaissait libre devant le tribunal, n'a pas fait de commentaires à sa sortie du tribunal, ni ses avocats. Cet ancien sous-chef des opérations à l’Etat-major des armées, qui fut par ailleurs membre des cabinets de Jean-Pierre Chevènement, Charles Millon, Alain Richard et André Giraud au ministère de la Défense, mais aussi directeur du Sirpa (Service d’information et de relations publiques de l’armée) et de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), et qui a également commandé le 2e régiment étranger de parachutistes, n’a jamais nié les faits qui lui sont reprochés.

    Pour sa défense, il a toujours expliqué avoir été opéré à deux reprises, en 1981 puis 2006, d'une tumeur au cerveau. Une maladie et des interventions qui auraient altéré son jugement et perturbé son comportement. «J'avais perdu ce sens de la logique, de la critique pendant un court moment», a-t-il fait valoir. Pour prouver la véracité de cette thèse, son avocat, Me Olivier Schnerb, a fait citer un neurochirurgien de l'hôpital militaire du Val-de-Grâce, Michel Desgeorges, qui a confirmé qu’une tumeur pouvait «faire sauter les freins» qui retiennent habituellement nos «pulsions» et «fantasmes» naturels. L’avocat voulait même aller plus loin dans cette démarche, en démontrant que la «pédophilie lésionnelle» était une «pathologie vérifiée», mais la contre-expertise qu’il avait sollicitée lui a été refusée.

    «Des images insoutenables»

    En outre, si le général cinq étoiles a reconnu la «consultation» de ces images, il dément la «détention» de celles-ci. «Dès que je les avais regardées, je les effaçais», a-t-il souligné avant de se dire «désolé» d’avoir agi de la sorte. «Je regrette. C'était une période perturbée par des problèmes médicaux, a-t-il insisté, avant d’assurer qu’il a désormais «tourné la page, une page douloureuse.»

    R. G., militaire respecté à la carrière que beaucoup envieraient, est à la retraite depuis 2002. Il a été mis en examen en juin 2008, près de deux ans après qu’Interpol eut alerté les autorités de ses agissements. En septembre 2006, la branche autrichienne de l’organisation policière internationale avait transmis à la justice française une liste d'internautes français ayant téléchargé des photographies pédophiles sur un site autrichien. Une perquisition avait été menée chez G. en 2008. Quelque 3400 photos à caractère pédophile avaient été trouvées sur le disque dur de l’ordinateur et des clés USB du général. Ces images, «parmi les plus hard que le tribunal ait eu à connaître», montrent «des enfants extrêmement jeunes» subissant «des actes inqualifiables», a commenté la présidente du tribunal, Marie-Françoise Guidolin. «Certaines de ces images sont insoutenables», a-t-elle ajouté. P.M.

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    Source(s) : peuples-observateurs / Relayé par MetaTV(metatv.org)


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  • Acte Isolé ou déséquilibré . Posté par:Pieds Noirs 9A..

     

     LES DJIADISTES   UTILISE LES MIGRANTS/TERRORISTES COMME CHEVAUX DE TROIE.ILS AURONT BIENTÔT DES MILLIONS DE COMBATTANTS A PIEDS D’ŒUVRE SUR LE SOL EUROPÉEN. 

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  •  
    Le candidat du parti Républicain à la présidentielle américaine Donald Trump

    Trump appelle à suivre l'exemple de Poutine

    © AP Photo/ Seth Perlman
     

    Le candidat du parti Républicain à la présidentielle américaine Donald Trump approuve entièrement l'opération russe en Syrie menée contre le groupe djihadiste Etat islamique.

    Lors des débats télévisés des candidats républicains aux Etats-Unis, le milliardaire Donald Trump a déclaré soutenir la Russie dans son opération militaire entamée en Syrie contre l'Etat islamique.

    "Si M.Poutine (président russe, ndlr) veut aller en Syrie y chasser l'Etat islamique, je suis à 100% pour cela, et je ne comprends pas qu'on puisse s'y opposer", a affirmé M.Trump.

    M.Trump a également appelé d'autres Etats à s'engager de manière plus active dans la lutte internationale contre le terrorisme, représenté par l'organisation djihadiste Etat islamique. 

    "Il (le président russe, ndlr) peut intervenir, nous devrions intervenir, tout le monde devrait intervenir", a lancé Donald Trump en incitant à suivre l'exemple de Vladimir Poutine.

    "Tous les pays devraient être là", a-t-il ajouté.

    Donald Trump a notamment souligné qu'entre deux maux il fallait choisir le moindre: quoiqu'il n'éprouve pas de sympathie envers le président syrien actuel Bachar el-Assad, l'homme politique américain n'exclue pas la possibilité que les représentants de l'opposition syrienne puissent s'avérer encore pires:

    "Nous ne savons pas qui sont ces gens et de quelle façon ils se comporteront. Ils peuvent être pires que Bachar el-Assad. Regardez la Lybie et l'Irak. Nous avons dépensé 2 trillions de dollars et jetez un coup d'œil au bordel qu'il y a là-bas maintenant", a conclu l'homme politique.

    D'après un sondage récent de CNN, Donald Trump est le mieux placé par rapport aux autres candidats aux primaires du parti républicain, avec 24% d'opinions favorables de la part des électeurs.

    Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

    Le 7 octobre, des missiles russes ont également été tirés sur les sites de l'EI depuis des navires en mer Caspienne.

    Les navires de la Flottille russe ont en outre tiré des missiles de croisière Kalibr de la Caspienne, détruisant des cibles à une distance de 1.500 km.

    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151111/1019429094/trump-syrie-poutine-russie.html#ixzz3rCK2b0VI


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