• Régionales : Effarant ! Marine Le Pen avoue n’avoir aucune solution à proposer pour la Région Nord-Pas de Calais-Picardie !

     Publié par: Françoise Guardia ..
     
     
    La candidate aux Régionales tient un meeting au bowling de Calais ce vendredi soir, sur un territoire qui devrait lui permettre de parler de l’État, très peu de la Région...
    Pourquoi Marine Le Pen vient-elle à Calais ? Une ville dans laquelle elle se produit si peu souvent, contrairement à ce qu’elle déclarait lors de sa dernière visite le 24 octobre 2014 : « Je suis la responsable politique qui est le plus venue à Calais depuis cinq ans ». Personne ne l’a vue depuis, ni avant d’ailleurs, et pour cause, Calais ne l’intéresse pas, pas plus que la Région.
    Sauf que Marine Le Pen ne peut faire l’impasse sur le territoire qui lui offre un magnifique tremplin pour la présidentielle de 2017, sa seule obsession. Les migrants, c’est probablement la meilleure chose qui lui soit arrivée. Elle devrait même aller en embrasser quelques-uns si elle daignait seulement les voir...
    Marine Le Pen avoue n’avoir aucune solution pour la Région
    Les migrants lui permettent de masquer son impuissance régionale...
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  • Les 40 dernière années d’attentats par des musulmans sur le sol français..

    vu sur : DREUZ

    9 janvier 1973: bombe à l’Agence juive à Paris.

    5 septembre 1973: prise d’otages à l’ambassade d’Arabie saoudite par un commando palestinien.

    15 septembre 1974: Attentat à la grenade au drugstore Saint-Germain-des-Prés à Paris, 2 morts et 34 blessés.

    13 janvier 1975: A l’aéroport d’Orly, des Palestiniens du FPLP (dont un des membres sera décoré de la médaille des droits de l’homme par Christiane Taubira) avec Carlos à leur tête, tirent au lance-roquettes et manquent un Boeing 707 de El Al, atteignent un DC-9 yougoslave. Trois blessés. L’attentat est revendiqué à Beyrouth par l’organisation palestinienne « Septembre noir ».

    19 janvier 1975: Carlos réattaque l’aéroport d’Orly et obtient un avion pour s’enfuir à Bagdad. Il y aura 21 blessés.

    10 mars 1975: Attentat de la gare de l’Est à Paris, 1 mort et 7 blessés.

    20 mai 1975: des Palestiniens tirent contre le comptoir d’El Al d’Orly, et tuent une personne.

    22 février 1976: attentat à l’Office de tourisme algérien (revendiqué par le Front de libération unifié de la nouvelle Algérie).

    2 novembre 1976: tentative d’assassinat contre Homayoun Keykavoussi, attaché culturel de l’ambassade iranienne (revendiqué par les Brigades internationales Reza Rezayi, groupe maoïste issu de la Gauche prolétarienne.)

    7 juillet 1977: tentative d’assassinat contre l’ambassadeur de Mauritanie (revendiqué par les Brigades internationales Mustapha El Wali Sayed).

    20 mai 1978: A l’aéroport d’Orly, un commando de trois hommes ouvre le feu dans la salle d’embarquement d’El Al, faisant 4 morts et 5 blessés. L’attentat est revendiqué par une organisation libanaise inconnue, « les Fils du Liban ».

    31 juillet 1978: Prise d’otages à l’ambassade d’Irak à Paris exécuté par un militant de l’Organisation de libération de la Palestine et commandité par Yasser Arafat, son président (qui recevra des obsèques nationales en France). 1 policier trouve la mort.

    3 août 1978: Assassinat à Paris du représentant de l’OLP Izz al-Din al-Kalak et un de ses assistants, par l’organisation Abu Nidal.

    2 décembre 1978: Attentat du BHV. Huit blessés dont un grave, revendiqué par

    31 août 1978: attentat au domicile d’Yves Mourousi, revendiqué par la section franco-arabe du front du Refus (10 blessés).

    27 mars 1979: Une explosion fait 33 blessés dans un foyer israélite, rue Médicis, à Paris VIe, au lendemain de la signature du traité de paix israélo-égyptien, revendiqué par une organisation antisioniste, le Collectif autonome d’intervention contre la présence sioniste en France et la paix israëlo-égyptienne.

    17 janvier 1980: Assassinat du directeur de la librairie palestinienne à Paris, Yusef Mubarak, par l’organisation Abu Nidal.

    18 Juillet 1980: L’ancien Premier ministre iranien Chapour Bakthiar échappe à une tentative d’assassinat menée par un commando iranien. 2 personnes sont tuées et 6 sont blessées durant l’attaque.

    3 octobre 1980: Une bombe dissimulée dans la sacoche d’une moto explose devant la synagogue de la rue Copernic, à Paris XVIe. 4 morts et une vingtaine de blessés. Trente-quatre ans après, en novembre 2014, un suspect libano-canadien, Hassan Diab, est extradé du Canada et écroué en France. Considéré comme proche du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), il est accusé d’avoir confectionné et posé la bombe.

    29 août 1981: attentat par un groupe terroriste palestinien à l’hôtel Intercontinental à Paris. 15 blessés.

    18 janvier 1982: assassinat de Charles Robert Ray, attaché militaire américain, à Paris. Revendiqué par les FARL, fractions armées révolutionnaires libanaises.

    3 avril 1982: Le diplomate israélien Yacov Barsimantov est assassiné à Boulogne-Billancourt. Le Libanais Georges Ibrahim Abdallah, chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), condamné à perpétuité à Paris en 1987, notamment pour complicité de ce crime, est détenu depuis octobre 1984.

    22 avril 1982: une voiture piégée explose au siège du magazine Al Watan Al Arabi rue Marbeuf à Paris. Un mort, 63 blessés (attentat revendiqué par Carlos et semblant être commandité par la Syrie)

    9 août 1982: Un commando de 5 arabes appartenant au Fatah et au Conseil révolutionnaire d’Abou Nidal – un groupe palestinien dissident de l’OLP, ouvre le feu rue des Rosiers, à Paris, et jette des grenades à l’intérieur du restaurant juif Goldenberg, faisant 6 morts et 22 blessés.

    17 septembre 1982: Le diplomate israélien Amos Manel est gravement blessé à Paris par l’explosion de sa voiture piégée, rue Cardinet. Une cinquantaine de personnes sont blessées, en majorité des élèves du lycée Carnot. L’attentat est revendiqué par les FARL libanaises.

    30 septembre 1983: Une bombe explose au Palais des congrès de Marseille, près des pavillons américain, soviétique et algérien lors d’une foire internationale. 1 mort, 26 blessés. Revendiqué par les FARL.

    7 février 1984: Assassinat de Gholam Ali Oveisi, ex gouverneur militaire de Téhéran, et de son frère, en exil à Paris. L’attentat est revendiqué par le Jihad islamique.

    8 février 1984: Assassinat de l’ambassadeur des Etats arabes unis en France, Khalifa Abdel Aziz al-Mubarak dans une rue de Paris, attribué à l’organisation Abu Nidal.

    23 février 1985: Explosion d’une bombe au magasin Marks & Spencer du boulevard Haussmann, revendiquée par l’Organisation Arabe du 15-Mai faisant partie du Hezbollah, fait un mort et 14 blessés.

    29 mars 1985: A Paris, une explosion fait 18 blessés au cinéma « Le Rivoli Beaubourg », lors du 4e festival international du cinéma juif. L’attentat est attribué au Hezbollah.

    7 décembre 1985: Double attentat au Printemps Haussmann et aux Galeries Lafayette, 43 blessés. Revendiqués par le CSPPA, Comité de Solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient, organisation marxiste liée au Hezbollah et au Djihad islamique animé par des Musulmans chiites inspirés et financés par Téhéran.

    3 février 1986: Une explosion au rez-de-chaussée de la galerie du Claridge, avenue des Champs-Elysées, également attribuée au Hezbollah, fait un mort et huit blessés.

    3 février 1986: Le même jour, un engin explosif est désamorcé au troisième étage de la Tour Eiffel.

    4 février 1986: Une explosion suivie d’un incendie au sous-sol de la librairie Gibert-Jeune, place Saint-Michel, fait cinq blessés. L’acte s’inscrit également dans la liste des attentats commis par le Hezbollah.

    5 février 1986: Explosion à la FNAC-Sports au Forum des Halles. 22 blessés, dont un très grave. Revendiqué par le CSPPA à Paris.

    17 mars 1986: Explosion dans le TGV Paris-Lyon à la hauteur de Brunoy. Neuf blessés légers. Revendiqué par le CSPPA à Paris.

    20 mars 1986: Attentat Galerie «Point Show», avenue des Champs-Elysées. Deux morts et 29 blessés, dont neuf graves. Revendiqué par le CSPPA à Beyrouth.

    8 septembre 1986: Attentat au bureau de poste de l’Hôtel de Ville de Paris. Un mort et 21 blessés. Revendiqué par le CSPPA à Beyrouth et à Paris et le PDL affilié au Hezbollah à Beyrouth.

    12 septembre 1986: Explosion à la cafétéria de l’hypermarché Casino du centre commercial des «Quatre-Temps» à la Défense. 54 blessés. Revendiquée par le CSPPA à Paris et le PDL à Beyrouth.

    14 septembre 1986: Attentat au sous-sol du «Pub-Renault» sur les Champs-Elysées. Deux policiers morts, un blessé grave. Revendiqué par le CSPPA et le PDL à Beyrouth.

    15 septembre 1986: Attentat dans la salle de délivrance des permis de conduire de la préfecture de police de Paris. Un mort, 56 blessés. L’attentat est revendiqué par le Hezbollah (CSPPA et PDL à Beyrouth).

    16 septembre 1986: Une bombe explose dans un restaurant au nord de Paris.

    17 septembre 1986: A Paris, attentat rue de Rennes, dans le magasin Tati, sept personnes trouvent la mort et 55 autres sont blessées lors de l’explosion revendiquée par le CSPPA, Comité de Solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient.

    7 avril 1987 : Assassinat d’Ali André Mécili, avocat et politique algérien, à Paris. Le principal suspect, Mohamed Ziane Hasseni, bénéficie d’un non lieu dans des conditions floues qui ressemblent à une collusion entre l’Etat français et algérien.

    24 décembre 1994 – 26 décembre 1994: détournement du vol AF 8969 par le GIA, Groupe islamique armé. Après deux jours de prise d’otage du vol Alger-Paris par des membres du GIA algérien, l’assaut du GIGN à l’aéroport de Marignane fait 3 morts (plus les 4 preneurs d’otages).

    11 juillet 1995: assassinat de l’imam Abdelbaki Sahraoui, cofondateur du Front islamique du salut (organisation concurrente du GIA), et son secrétaire, abattus dans la mosquée de la rue Myrha à Paris par deux musulmans armés d’un fusil à pompe et d’un pistolet.

    15 juillet 1995: Fusillade à Bron entre les policiers et Khaled Kelkal, du GIA qui tente de forcer un barrage de police. Kelkal sera abattu le 29 septembre 1995.

    25 juillet 1995: Gare Saint-Michel une bombe explose dans un train du RER B. Revendiqué par le Groupe islamique armé algérien. L’attentat a coûté la vie à 8 personnes et a fait 117 blessés.

    17 août 1995: Une bonbonne de gaz avec des clous, signature du GIA, explose à Paris près de la place Charles-de-Gaulle. 16 blessés.

    26 août 1995: une bombe est découverte sur la ligne TGV Sud-Est près de Lyon avant d’exploser au passage du TGV. Les empreintes de Khaled Kelkal et de Boualem Bensaïd sont retrouvées sur la bombe.

    3 septembre 1995: une cocotte-minute remplie de clous et d’écrous explose sur le marché du boulevard Richard-Lenoir dans le 11e. Quatre blessés légers. C’est toujours la signature du GIA.

    7 septembre 1995: L’explosion d’une voiture piégée devant l’Ecole juive de Lyon à Villeurbanne (Rhône) fait 14 blessés. Elle est attribuée aux extrémistes islamistes dirigés par Khaled Kelkal, directement lié à l’attaque.

    27-29 septembre 1995: Fusillade dans les monts du Lyonnais. Karim Koussa, Abdelkader Bouhadjar et Abdelkader Mameri sont interpelés. Khaled Kelkal est abattu.

    6 octobre 1995: Le jour de l’enterrement de Khaled Kelkal, une bombe du GIA (bouteille de gaz avec des clous et boulons) explose près de la station de métro Maison-Blanche. 12 blessés légers. On retrouve sur la bombe les empreintes de Boualem Bensaïd.

    7 octobre 1995: Le leader du GIA, Djamel Zitouni annonce qu’il lance le « jihad », des « frappes militaires au cœur même de la France » pour la punir de son soutien au régime d’Alger. Il exige que le président Jacques Chirac se convertisse à l’islam.

    17 octobre 1995: Attentat du RER C, une rame est perforée par l’explosion d’une bombe à la station Musée d’Orsay. Smaïn Aït Ali Belkacem, du GIA, est responsable de l’attentat.

    (En 2010, Amedy Coulibaly (auteur de l’attentat de la supérette casher en 2015), Djamel Beghal (maître à penser des frères Kouachi qui ont commis l’attentat contre Charlie Hebdo) et une quinzaine de musulmans projettent de faire évader Smaïn Aït Ali Belkacem. Ils sont arrêtés, font un peu de prison, et sont relâchés)

    27 mai 1996: Reza Mazlouman, ancien vice-ministre iranien de l’éducation à l’époque du Chah d’Iran est assassiné à Créteil.

    3 décembre 1996: Paris, attentat du RER B à Port-Royal. Une bonbonne de gaz remplie d’explosif éclate dans une rame de train. Une lettre du groupe islamique armé (GIA) envoyée à Jacques Chirac signe implicitement la revendication qui fera 4 morts et 91 blessés.

    3 décembre 1996: attentat contre le journal Tribune juive. L’attentat est revendiqué dans une lettre anonyme, qui explique que les terroristes «font partie de la grande nation arabe comme certains font partie de la grande nation juive». Le texte poursuit: «A ce titre nous nous sentons solidaire du sort qui est fait à nos frères palestiniens, en particulier à Hébron ».

    31 décembre 2001: Une classe de l’école Ozar-Hatorah de Créteil est détruite par un incendie criminel.

    1er avril 2002: La synagogue Or Aviv, à Marseille, est détruite par un incendie criminel et terroriste, alors qu’une vague d’attentats aux cocktails Molotov vise des synagogues.

    10 avril 2002: Un autocar scolaire est la cible de jets de pierre, rue Piat, à Paris. Une élève est légèrement blessée.

    22 mars 2003: En marge du défilé contre la guerre en Irak, deux membres du mouvement juif Hachomer Hatzaïr sont agressés près de leurs locaux.

    8 juillet 2003: Des élèves de l’école Jeunesse Beth Loubavitch à Paris sont attaqués à coups de barres de fer.

    17 octobre 2003: Le rabbin Michel Serfaty, reconnu par ses vêtements, est frappé au visage à Ris-Orangis (Essonne). Son agresseur, Abdelrahim criait « Palestine, Palestine, on vous casse la gueule, Youd! » pendant l’agression.

    17 octobre 2003: L’agression du rabbin Michel Serfaty à Ris-Orangis (Essonne) provoque un intense émoi. L’agresseur est condamné en décembre 2004 à 6 mois de prison dont 2 mois avec sursis.

    15 novembre 2003: Un établissement scolaire juif fréquentée par 200 élèves est dévasté par un incendie criminel à Gagny (Seine-Saint-Denis). Le président Jacques Chirac préside le lendemain une réunion interministérielle sur l’antisémitisme qu’il déclare « intolérable » – et offrira des obsèques nationales au terroriste et tueur de juifs Yasser Arafat.

    20 novembre 2003: Dans le garage du 5 rue Louis Blanc, à Paris Xe, Adel Amastaibou prend un long couteau et poignarde Sébastien Salem de plusieurs coups de couteau à la poitrine, jusqu’à la mort. Puis il rejoint l’appartement de sa mère et déclare : « J’ai tué un Juif. J’irai au paradis. Allah m’a guidé ! »

    8 octobre 2004: attentat contre l’ambassade d’Indonésie à Paris, revendiqué par le Front islamique français armé. 10 blessés.

    25 mai 2005: deux jeunes musulmans lancent trois bouteilles d’acide chlorhydrique sur une école juive du XVIIIe, à Paris.

    20 janvier 2006: Un jeune juif, Ilan Halimi, 23 ans, est enlevé par le gang des barbares, un gang musulman dirigé par Youssouf Fofana, qui espère faire payer les juifs. Il est torturé pendant trois semaines dans une cité HLM de Bagneux et retrouvé agonisant au bord d’une voie ferrée le 13 février 2006, et meurt lors de son transfert à l’hôpital.

    19 avril 2007: le rabbin de la communauté du Nord-Pas-de-Calais, Elie Dahan, reconnaissable par ses vêtements, est violemment frappé par un jeune musulman, gare du Nord à Paris.

    6 décembre 2007: À 12h50, l’explosion d’un colis piégé au un cabinet d’avocats du 52 boulevard de Malesherbes à Paris où est domiciliée la Fondation pour la mémoire de la Shoah fait 1 mort et 5 blessés. Le coursier, une jeune femme « brune, d’un mètre cinquante-cinq, la vingtaine et portant un casque », et de type « nord-africain » est activement recherchée.

    16 décembre 2008: Le Front révolutionnaire afghan informe les autorités après avoir déposé des bâtons de dynamite (sans détonateurs) au Printemps à Paris.

    20 décembre 2008: Arrestation à Paris de Rany Arnaud, 29 ans, un islamiste isolé soupçonné d’avoir voulu faire sauter le bâtiment de la DCRI.

    5 janvier 2009: Une voiture bélier est lancée contre la grille d’une synagogue à Toulouse, qui est incendiée.

    8 septembre 2009: Des engins explosifs sont lancés depuis l’extérieur et explosent dans une école juive du Xe arrondissement de Marseille dans le but de la faire brûler avec tous les élèves. «Un riverain aurait aperçu quelqu’un de jeune» au moment du drame.

    11 et 15 mars 2012: Mohamed Merah assassine trois militaires à Toulouse et Montauban.

    19 mars 2012: Trois enfants et l’un de leurs parents sont sauvagement assassinés dans une école juive de Toulouse par Mohamed Merah, un musulman français.

    25 mai 2013: La Défense. Un islamiste arrive par derrière et poignarde Cédric Cordier, un militaire français au cou, dans l’intention de le décapiter. L’agresseur portait une barbe et une djellaba de couleur claire.

    20 décembre 2014: Joué-lès-Tours. Un homme armé d’un couteau hurle « Allahu Akbar » en entrant dans un commissariat, et se jette sur un officier de police pour le tuer. 3 policiers sont blessés, dont deux gravement. Le musulman est tué.

    21 décembre 2014: Dijon. Un homme hurlant « Allahu Akbar » écrase 13 piétons avec sa voiture.

    22 décembre 2014: Nantes. Un homme  écrase des piétons avec sa voiture sur un marché de Noël. 1 mort et 9 blessés dont 3 graves. (EI).http://www.ladepeche.fr/article/2014/12/22/2016651-nantes-camionnette-fonce-marche-noel-moins-6-blesses.html

    7 janvier 2015: Les frères Kouachi commettent un attentat contre le siège de Charlie Hebdo qui fait 12 morts et 11 blessés.

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    8 janvier 2015 : Amedy Coulibaly abat une jeune policière de 25 ans, Clarissa Jean-Philippe, à Montrouge (Hauts-de-Seine), et blesse un policier.

    9 janvier 2015: Yoav Hattab, Yohan Cohen, Philippe Braham et Michel Saada, des clients de la supérette casher HyperCasher de Vincennes sont tués, et cinq autres sont pris en otages par Amedy Coulibaly, membre de l’Etat islamique.

    9 janvier 2015 : prise d’otages à Dammartin-en-Goële par les frères Kouachi. Les 2 terroristes sont abattus. Un membre du GIGN est blessé, l’otage est sain et sauf.

    3 février 2015: 3 militaires qui protègent un centre communautaire de Nice, sont attaqués par Moussa Coulibaly (sans relation avec Amédy Coulibaly).

    19 avril 2015: Un djihadiste algérien tue une jeune femme accidentellement en voulant voler sa voiture, se tire une balle dans la jambe, ce qui l’obligera à renoncer à son attentat terroriste contre deux églises de Villejuif pendant la messe du dimanche.

    26 juin 2015: Attentat terroriste dans l’Isère à Saint-Quentin-Fallavier contre une usine de gaz de la société Air Products dans l’intention de la faire exploser. Un cadavre sera retrouvé, décapité, avec des inscriptions en arabe et un drapeau de l’Etat islamique.

    21 août 2015: Attentat du Thalys. Un islamiste qui venait de déclencher un attentat terroriste est terrassé par des héros américains. Les employés à la sécurité du train s’étaient enfuis. Quatre blessés, y compris le terroriste.

    Eric Denécé évalue à 102 le nombre de victimes françaises du terrorisme islamiste entre 2001 et 2015.

    J’ai compté 91 attentats terroristes commis par des musulmans. Imaginez le tableau, si l’islam n’était pas une religion de paix et d’amour !

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.


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  • A lire

    BOMBARDE PAR ERREUR ?

    Le centre de soins de Kunduz, ville en proie à des combats entre militaires afghans et talibans depuis lundi, a été touché par une frappe aérienne de l'OTAN dans la nuit…
    Par lefigaro.fr
     

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  • Dîner annuel de la Grande Loge de France avec Jacques Toubon, Abdennour Bidar et Najat Vallaud-Belkacem·

    Diner Grande Loge France Jacques Toubon Abdennour Bidar Vallaud-Belkacem
     
    Samedi soir, devant 200 frères et profanes, la Grande Loge de France tenait son dîner annuel dans les sous-sols voûtés de son hôtel parisien, rue Puteaux. Moins connu que celui du CRIF, sa réputation, néanmoins, s’accentue. Initié en 2011, il a fait se succéder des personnalités, telles que Jacques Attali, Jean-Louis Debré, Alain Juppé ou encore Christiane Taubira… Cette année, la plus ancienne obédience maçonnique française s’est offert la présence d’un trio remarquable au sens littéral du terme : le Défenseur des droits Jacques Toubon, le philosophe Abdennour Bidar et la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem.

      Jacques Toubon : oui à l’immigration

    Tout d’abord, encore une couche sur les migrants… ces réfugiés de guerre auxquels on ne peut laisser que notre porte ouverte. Jacques Toubon a redit le « principe d’égalité » que lequel est fondé le droit d’asile. Nous avons « le devoir d’accueillir les autres lorsqu’ils sont rejetés (…) parce que les droits de d’homme sont pour tous ». « Ce n’est pas une crise, c’est une situation durable que l’Europe ferait mieux d’affronter plutôt que de dresser des murs inutiles et inhumains ».
     
    Il n’a fait, en cela, que répéter le message diffusé, début septembre, par vingt-huit obédiences maçonniques européennes, dont huit françaises, dans une lettre commune. « Alarmées par la tragédie vécue par les migrants qui fuient des pays en guerre et en proie à la misère », elles en ont appelé « aux gouvernements européens pour qu’ils mettent en œuvre les politiques communes indispensables à un accueil digne et humain de populations en détresse et en péril »…
    L’initiative était sans précédent, ce qui prouve bien l’importance de l’acceptation sans réserve de ces flux étrangers. La franc-maçonnerie, depuis des décennies, ne fait que favoriser ces vagues d’immigration, essentielles pour affaiblir et diluer le catholicisme et l’identité nationale. Un article de la revue du G.O.F. Humanisme le confirmait, dès 1982 : « Les notions de races, de frontières, de classes sociales doivent être abolies pour faire place à une intégration globale de l’homme dans un cadre universel ». La lettre des loges l’a réécrit : « la tragédie présente doit être le creuset d’une renaissance et d’un renouveau du rêve européen ».

    Abdennour Bidar : une réévaluation de l’islam… et de la religion tout court
     Abdennour Bidar… Si le nom ne vous dit rien, vous le subissez sans le savoir. La « charte de la laïcité à l’école », c’est lui, et la nouvelle heure hebdomadaire d’« enseignement civique et moral », c’est encore lui. Luc Chatel l’avait chargé en 2011 d’une mission sur « la pédagogie de la laïcité et la transmission des valeurs de la République »…
     
    De mère catholique convertie à l’islam, héritier du soufisme et de la pensée occidentale, gnostique « théophage », il se revendique « fils éloigné de l’islam » et veut se battre « avec les outils de la raison et de la foi ensemble, sans contradiction », pour imaginer une vie spirituelle adaptée à notre monde moderne. Sa Lettre au monde musulman, parue en version résumée dans Marianne en octobre 2014, avait connu un réel succès sur les réseaux sociaux, après l’attentat de Charlie Hebdo.
     
    Il faut « régénérer » la religion. Revisiter, harmoniser, diluer. « Dans nos sociétés multiculturelles, nous cherchons à nous rassembler… sans se ressembler, sans sacrifier la diversité. C’est le sens de la fraternité » a-t-il déclaré au parterre de frères de la GLFD. On est parfaitement dans la Babel cosmopolite et maçonnique où toutes les religions, les spiritualités doivent se fondre, aspérités adoucies ; une nouvelle « mondialisation » des consciences qui ne concernera pas que l’islam. Abdennour Bidar y croit concluant que « des hommes visent à rassembler les lumières éparses »… On est rassuré.
    Najat Vallaud-Belkacem : priorité à la jeunesse et surtout à son éducation
     On imagine sans peine son discours – il fut à la hauteur : « Je sais ce que la République et l’École doivent à la Franc-Maçonnerie depuis deux siècles, comme le droit à la contraception doit beaucoup à la GLDF ». Pour une fois qu’elle parle vrai… « Une École faible sur ses valeurs fait reculer la République et progresser le communautarisme ». Sus, donc, à ces charmantes têtes blondes.
     
    Elle a même annoncé qu’elle parrainerait, en personne, le grand colloque sur la Jeunesse organisé en avril prochain par la GLDF et la GLFF (version femme). Un colloque où « les jeunes en quête de sens pourront construire ensemble un paysage pour un avenir commun où l’humanisme et la spiritualité seront mis en valeur »…
     
    Et n’a surtout pas oublié sa touche finale : « Merci de m’avoir réchauffée au contact de votre spiritualité ». La spiritualité globale de demain, véhiculée par l’école laïque et obligatoire, et qui est avant tout l’anti-religion de Rome.
      Clémentine Jallais

    http://reinformation.tv


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  • Islam : Les Chrétiens qui refusent de se convertir à l’islam sont torturés, leurs membres sont coupés

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    Selon CFI, ce serait ainsi plus de 200 millions de fidèles qui sont actuellement confrontés à la persécution dans 105 pays.

    La torture est une des méthodes utilisées pour obliger les chrétiens à renier leur foi en Jésus-Christ comme l’explique Jim Jacobson, le responsable du Christian Freedom International :

    « En Irak, les militants de l’État islamique utilisent des églises chrétiennes comme chambres de torture où ils obligent les chrétiens à se convertir à l’islam ou à mourir ».

    Autre moyen d’intimidation et de pression, la destruction et la vandalisation des lieux de cultes. Les églises historiques  sont littéralement dépouillées de leurs reliques anciennes pour être  revendues à des collectionneurs occidentaux. L’argent récolté est utilisé pour soutenir le financement des activités terroristes, explique encore Jim Jacobson.

    Des églises sont attaquées, des chrétiens capturés ou déplacés par des années de combats dans les zones de conflit, par la peur de la mort. Pourtant, même dans certaines situations extrêmes, certains chrétiens refusent de renier leur foi, comme c’est le cas de Monica, la fille aînée du pasteur nigérian Enoch Mark, qui a été assassinée par Boko Haram au cours de l’enlèvement de 276 lycéennes de Chibok en avril dernier.

    Ses parents ont en effet été informés que Monica avait été lapidée à mort  par ses ravisseurs parce qu’elle avait refusé de se convertir à l’islam.

    Source


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