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  •  C’est le syndrome du « Vent et de la Girouette » .Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6496 du vendredi 18mars 2022..

    C’est le syndrome du « Vent et de la Girouette »

    Menard prépare l’avenir, surtout le sien.

    Et ce type va nous demander d'aller voter Macron , quelle girouette ! Il est clair que depuis que MENARD fréquente MACRON en privé , celui-ci a changé de camp , MACRON aurait-il proposé une place dans son gouvernement s’il est réélu ? .Bonne question ?.

    Le personnage s’inscrit aujourd’hui comme l’une des girouettes du paysage politique Français.

    Ménard est à vomir Après avoir déblatérer sur Marine Le Pen pendant des mois, le voilà qui reçoit et serre chaleureusement la pogne de Macron. Aujourd’hui il crache sur Zemmour  et Marion qu’il trouve trop extrémiste …

    Ménard est pragmatique comme Renaud Muselier, Eric Ciotti, qui se rapprochent du pouvoir pour toucher les subventions.
    La situation est trop grave pour que les Français accordent leurs suffrages à des « pragmatiques », des opportunistes, en fait de simples gestionnaires interchangeables. On a besoin de politiques de conviction sincères engagés prêts à prendre des risques, patriotes avant tout, capables d’une analyse intelligente et documentée de la situation dans sa complexité.

    Je me suis aperçu d’un virage macroniste de Robert Ménard, à la suite d’ailleurs de son passage à l’Élysée à l’occasion ,pour le président, « d’acheter » les voix des pieds noirs. dès ce jour son avis critique envers ce dernier et le gouvernement a changé. Je le considère comme traitre aux siens . Cela se nomme un faux C...!.

    Depuis quelques semaines, vous êtes nombreux à vous étonner des prises de position du Pied Noir gauchiste Robert Ménard. Dont certain se sont rendu compte d'être un traître vis a vis de son entourage . Pauvre menard qui ne cesse de retourner sa veste pour être du bon côté ! .Ce n’est juste qu’un pied-rouge trotskiste un jour trotskiste toujours, si Bedos était encore en vie il pourrait s’accoupler avec .

    Cela devait être bien difficile de continuer à faire le grand écart avec ses électeurs en permanence. Par ailleurs, n’a-t-il pas eu une dose de trop de « vaccins », cet acharné défenseur de la « vaccination » ? Les revirements de son épouse sur le sujet du passe vaccinal sont également incompréhensibles .

    Je ne suis pas extrêmement déçu par Robert Ménard , car cet homme que je n'ai jamais aimer sachant bien qu'il était faut ,de l'avoir considéré comme un homme de gauche ,voir même de couleur rouge communiste ,dont cette année les Français découvrirons son vrai visage de traitre aux siens patriotes tricolores .Alors pour son revirement à 180° que je qualifierais de Macronien. Mais cela n’engage que moi. Je peux le comprendre compte tenu de l’acharnement permanent de la sphère Gaucho-Wokiste qui arrive à terrasser les plus courageux patriotes. Chaque jour nous assistons au délabrement de nos valeurs historiques en perditions et leur remplacement par celles véhiculées actuellement nauséabondes. Est il encore possible d’espérer un arrêt de cette décadence ? .

    Pieds Noirs 9A..


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  • 19 mars, jour de deuil national

    Demain ce sera l’anniversaire de la signature des accords d’Évian, censés mettre fin à la guerre d’Algérie. M. Macron commémorera l’événement. Soixante ans déjà ! Ce président qui a tant fait en cinq ans pour abaisser le pays dont il est le chef, finira « en beauté », flattant sans doute au passage une bonne partie des électeurs musulmans à 20 jours du premier tour de l’élection présidentielle ?

    Rappelons qu’il y a eu plus de victimes après cette date que dans toute la durée du conflit. Rappelons aussi que nous avons laissé massacrer sous nos yeux ceux qui avaient été nos camarades de combat. Nous avions pourtant encore là-bas une armée de près de 400 000 hommes qui sont restés l’arme au pied, empêchés d’agir par les ordres indignes reçus du plus illustre de ses membres, le général de Gaulle, dont la responsabilité dans cette horreur et cette honte est écrasante.

    Savez-vous que les jeunes officiers et sous-officiers qui encadraient les harkis, qu’ils regardaient dans les yeux tous les jours, qui courraient tous les risques avec eux, ont été contraints de les désarmer et de les laisser sur place, abandonnés aux représailles ? Et cela après avoir été exhortés à « s’engager au nom de la France », toujours par le même. Savez-vous que la minorité de harkis, et leurs familles, qui a finalement pu être rapatriée l’a été grâce à la désobéissance d’officiers français qui, dans le désordre ambiant, ont réussi à les faire embarquer plus ou moins clandestinement ? Savez-vous qu’un grand nombre, à peine posé le pied sur le sol métropolitain, a été renvoyé en Algérie par le gouvernement français, les renvoyant ainsi aux bourreaux ? Ceux que l’on a finalement tolérés ont été parqués, parfois pendant des dizaines d’années, dans des camps insalubres qu’on n’oserait pas proposer aux fichés « S » actuels. Et il ne faut pas oublier que dans cet immobilisme criminel, on a aussi regardé ailleurs quand c’était des civils, pieds-noirs et musulmans, qui étaient massacrés. La faute est inexpiable. Il faut dire que nous avions déjà « fait le coup », à une moindre échelle, en Indochine. Mais là au moins nous avions l’excuse de la défaite.

    J’étais là-bas comme beaucoup ; mais je n’ai pas été impliqué directement. Je vis cependant encore, si longtemps après, dans mon cœur et mon esprit, les affres de ceux qui ont dû subir ou assister à ça. Malgré les années, je ne peux m’empêcher d’y penser avec émotion. Nous avons abandonné les seuls envers qui nous avions une ardente obligation de secours. Quand les survivants, ou leurs descendants, assistent à l’invasion que nous subissons maintenant sans combat, ils doivent se demander s’ils ont alors fait le bon choix.

    Une certaine amertume me vient quand j’entends parler de l’honneur de la France ; parfois je me dis qu’il est heureux que ce soit un honneur qui repousse.

    Le 19 mars est fêté comme une victoire en Algérie. Depuis quand commémore-t-on la victoire de l’ennemi ?

    Général Roland Dubois


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  • Il y a 44 ans, on assassinait le numéro deux du Front nationalPar: Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6495 du vendredi 18 mars2022..

    François Duprat l’inventeur du FN

    Il y a 44 ans, on assassinait le numéro deux du Front national

     

    Le jeune professeur du collège de Caudebec, 38 ans, n’était alors que l’obscur candidat d’un tout petit parti d’extrême droite. Pourtant, l’habitant du Trait était l’un des hommes forts du mouvement. Le théoricien qui multipliait les allers-retours entre la Normandie et Paris avait assez d’influence pour susciter contre lui un attentat à l’explosif.

    Il y a 44 ans, on assassinait le numéro deux du Front national

    Retour sur la vie, ou plutôt les vies (et la mort trouble) de ce personnage oublié qui a tant compté dans l'extrême droite française.

    N’oublions jamais notre camarade de combat François DUPRAT assassiné il y a aujourd’hui 44 années, le 18 mars 1978.
    Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

     26 octobre 1940 : naissance de François Duprat.

    Nicolas Lebourg, historien : François Duprat, « un personnage complexe »

    L’auteur du violent attentat n’a jamais été découvert .

    Numéro deux du FN, il est aussi celui qui a théorisé le passage d'une propagande anti-communiste à une nouvelle ligne, basée sur la dénonciation du coût social de l'immigration en période de chômage. 44 ans après sa mort, survenue dans sa voiture après l'explosion d'une bombe, Duprat est devenu un signe, un mot de passe. Son assassinat jamais élucidé a provoqué d'autant plus de fantasmes et théories que sa vie fut particulière.

    Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie LE PEN, militant exemplaire, François DUPRAT était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

    François DUPRAT était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé. François DUPRAT gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout .

    Au congrès (2011) de Tours, Jean Marie Le Pen en 2011, au moment où il passait la présidence à sa fille, il avait déjà rappelé cette figure, héros fondateur du renouveau de l'extrême droite pour les uns, démon originel pour les autres. Duprat avait été un stratège et un théoricien des extrêmes droites: responsable de la propagande du mouvement Occident, cerveau du mouvement Ordre nouveau, il est celui qui a proposé et imposé la stratégie de création du Front national.

    Pieds Noirs 9A..


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