• Tout va très bien, Msieur le banquier!

    Tout va très bien, Msieur le banquier!Les compteurs de la décadence de la France s'affolent. On ne trouve plus de jours qui n'affichent pas de preuves de la dégringolade du pays, sur tous les plans.

    Oublions pour un instant la dérive sociétale avec cette délinquance juvénile explosive.

    Oublions les crétineries du psychopathe de l'Elysée qui, dans la même semaine, affirme sentencieusement qu'il faut encourager les jeunes à lire, promet qu'il n'y aura pas d'augmentation d'impôt et émet l'idée d'une nouvelle taxe sur les livres d'occasion.

    Oublions la dérive totalitaire de plus en plus spectaculaire que prend le pays avec une explosion de la censure, la répression de la liberté d'expression, y compris en période pré-électorale, l'arrestation à 6 heures du matin, avec des gendarmes armés et cagoulés en appui, d'un simple citoyen qui a eu l'outrecuidance de laisser un message assez banal sur le répondeur du locataire de l'Elysée.

    Oublions que dans le même temps la Justice politisée extrême-gauche ne cesse de relâcher dans la nature des délinquants multirécidivistes issus de l'immigration.

    Oublions la situation internationale avec cette obsession belliciste de Macreux qui lui sert bien à faire diversion des problèmes qui concernent, eux, directement la France et dont il est à l'origine.

    Oublions l'organisation hasardeuse de ces JO avec des données informatiques relatives à leur sécurité, qui font l'objet de vols répétés.

    Et concentrons-nous aujourd'hui sur la situation financière de la France. (Sans nous appesantir, cependant, sur la commande par l'Elysée pour un demi-million d'euros de bouteilles de champagne, de 50 à 700 euros la bouteille...)

    L'économie va mal. Très mal. La dette a explosé ; elle a augmenté de 50% sous l'ère de notre Mozart de la Finance. Elle s'élève maintenant à 3 000 milliards d'euros. Soit plus de 110% du PIB. Le déficit du budget atteint, lui, 5,5% du PIB, soit 154 milliards d'euros ! Et que cherche à faire le pornographe qui nous sert de ministre des Finances ? A trouver 10 milliards d'économies. 10 milliards sur les plus de 150 milliards de déficit !

    Pour bien se rendre compte de ce que ces sommes pharaoniques représentent concrètement, nous allons les transposer à l'échelle d'une famille moyenne.

    Imaginons la scène d'un chef de famille convoqué par son banquier qui s'alarme de la situation financière de son client. Les pourcentages de dette et de déficit budgétaire seront appliqués à l'identique de ceux rappelés ci-dessus, sur les revenus de cette famille.

    Le banquier : Je vous en prie, asseyez-vous Monsieur Lemairedic. Je vous ai demandé de venir me voir, car je m'inquiète de votre situation, et j'aimerais que vous me donniez quelques détails.

    Le client Lemairedic : Pas de problème, Monsieur le banquier. Je suis parfaitement à l'aise pour en parler !

    Le banquier : Rappelez-moi votre activité professionnelle.

    Lemairedic: Je travaille chez Stellantis.

    Le banquier : Et ça paye bien, chez Stellantis ?

    Lemairedic: Oh oui ! Tenez, son PDG, Monsieur Carlos Tavares, touche 100 000 €.

    Le banquier : 100 000 € par an, c'est effectivement raisonnable.

    Lemairedic: Non, 100 000 € par jour ! Plus de 36 millions d'euros par an. Bon, mais moi, je touche le smic. Chaque mois.

    Le banquier : Et votre épouse travaille ?

    Lemairedic: Oui, vous pensez ! En France, on ne peut pas survivre avec un seul salaire ! Au Portugal, où vit mon PDG, c'est peut-être possible, mais pas en France ! Je ne sais pas si Madame Tavares est obligée de travailler...

    Le banquier : Et votre femme gagne combien ?

    Lemairedic : Le smic, comme moi.

    Le banquier : Bon, pour se résumer, vous avez des revenus mensuels qui sont donc d'à peine 2 800 € nets mensuels.

    Lemairedic: C'est ça.

    Le banquier : Et vous savez combien vous dépensez chaque mois ?

    Lemairedic: Oui. 2 954 €. J'aime bien me faire plaisir. Du champagne, des voyages en jet privé pour faire 50 km, faire voyager mes costumes par avion en première classe, tout ça...

    Le banquier : Vous dépensez donc chaque mois 154 € de plus que ce que vous gagnez.

    Lemairedic: Vous croyez ?

    Le banquier : Je le crains. 2 954 euros de dépenses moins 2 800 euros de revenus, ça doit effectivement faire pas loin de 154 euros...

    Lemairedic: Bon, admettons. J'en sais rien, je n'ai pas fait l'ENA, moi !

    Le banquier : Notez que je ne suis pas surpris, c'est bien le découvert que je constate sur votre compte et qui se cumule chaque mois. Donc, en fin d'année, vous avec un trou dans votre trésorerie de près de 2 000 euros.

    Lemairedic: Tant que ça ?

    Le banquier : J'en ai peur. Plus des deux tiers de vos revenus mensuels !

    Lemairedic: Ben, vous n'avez qu'à me faire un crédit et voilà tout !

    Le banquier : Parlons justement de crédit. Je vois que vous avez déjà une dette de près de 37 000 euros !

    Lemairedic: Ah oui ? Je ne m'en souvenais pas.

    Le banquier : Oui, une dette sur laquelle vous avez à payer des intérêts de 3,15%, soit 1 165 € par mois. Donc, rien que pour payer les intérêts de votre crédit, vous devez y mettre plus de 40% d'un seul mois de revenus. En d'autres termes, votre femme, ou vous, travaillez quasiment un mois complet pour ne payer que les intérêts de votre dette ! Et je ne vous parle même pas d'un remboursement, fût-il minime, de la dette elle-même !

    Lemairedic: Ben vous voyez bien, monsieur le banquier, que vous devez me faire un crédit supplémentaire !!!

    Le banquier : Mais Monsieur Lemairedic, quels efforts êtes-vous prêts à faire pour remédier à votre situation catastrophique ?

    Lemairedic: Ben, je vais essayer de réduire ma consommation. Ça vous irait ?

    Le banquier : Ça me semble effectivement être un bon début. Et de combien allez-vous réduire vos dépenses ?

    Lemairedic: De 11 euros.

    Le banquier : Vous allez réduire vos dépenses de 11 euros par jour ?

    Lemairedic: Non. 11 euros par mois.

    Et là, le banquier éclate de rire. S'il est de nature joyeuse.

    En revanche, les enfants de Lemairedic qui hériteront de cette situation, ne partageront pas forcément cette joie...

    Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 

     En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

     

     


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  • Humour politique

    Pour lancer ma rubrique Humour,voici, un diaporama qui réunit quelques images humoristiques dans le domaine de la politique. Je dois rendre hommage au dessinateur Placide et Kak qui nous régale tous les jours dans les pages du magazine l’Opinion, et à qui j’ai emprunté quelques illustrations.


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  • Depuis Giscard, la France est tombée en socialisme !

    Depuis Giscard, la France est tombée en socialisme !

    C’est le président Giscard D’estaing qui avait déclaré :

    « Au-delà de 40 % de prélèvements obligatoires (en proportion du PIB), nous basculerons dans le socialisme ! »

    Et c’est bien sous son mandat que
    la France est tombée en socialisme !

    La dépense publique : voila la tare qui ruine la France et c’est bien parce que nous sommes un pays socialiste que nous ne parvenons pas à la réduire !

    Le déficit de la France explose à plus de 5,5 % et que propose le Mozart de la finance ? Mettre en place une Taxe Lapin de 5 €  pour punir les patients indélicats qui ne viennent pas à leur consultation et taxer la rente !

    A pleurer ou à mourir de rire, c’est selon !

    D’autant plus quand on entend la France Insoumise et les Communistes dénoncer l’ultralibéralisme qui sévirait en France !

    Voici un article de l’IREF qui dénonce l’omnipotence de l’Etat en France :

    L’Etat potentat

    La machine étatiste veut tout saisir, diriger, surveiller, contraindre. L’argent public contrôle déjà une majorité de la richesse nationale : les dépenses publiques représentent 56% du PIB. Une partie de ces dépenses consiste à payer les agents de la fonction publique ou des investissements publics, mais une autre partie sert à assister des personnes physiques ou subventionner des personnes morales comme les associations, les écoles, les entreprises …

    En échange l’Etat, oublieux que cet argent est en fait celui des contribuables, impose sa façon de penser et de se comporter, il multiplie les obligations et les sujétions comme prix à payer de la manne publique. Il veut ainsi modeler la société selon ses critères idéologiques. C’est un collectivisme pernicieux et beaucoup plus efficace que l’ancien communisme qui nécessitait des comités populaires à chaque coin de rue et des goulags. Il est plus dangereux parce que plus insidieux, sournois.

    Nous sommes conditionnés

    Les Français peuvent se faire payer par l’Etat une partie des réparations de leurs vêtements ou de leurs appareils ménagers, mais ils doivent s’adresser à des entreprises labellisées et… plus chères. Ils peuvent obtenir des aides pour la rénovation de l’habitat, à laquelle on les oblige sauf à ne pouvoir louer leurs logements ou bientôt les vendre, mais ils devront appliquer les normes requises. Ils sont incités par des bonus à acquérir des véhicules électriques qui ne peuvent pas encore parcourir de grandes distances. Dans les messages publicitaires des entreprises privées, l’Etat impose d’insérer, à leurs frais, des slogans en forme de propagande pour faire rentrer dans les têtes la manière dont il faut se nourrir ou se déplacer… Nous sommes conditionnés, infantilisés, abêtis de tant assistance.

    La majeure partie des aides que l’UE accorde aux agriculteurs est liée au respect de l’environnement, de la santé des végétaux, du bien-être des animaux, dans des conditions définies par les technocraties européenne et française. L’agriculture biologique est sur-subventionnée. Les associations ne le sont pas moins, mais il leur est demandé en contrepartie de signer un contrat d’engagement républicain que les dirigeants, salariés, membres et bénévoles seront tenus de respecter, sous leur responsabilité (décret n° 2021-1947 du 31 décembre 2021). Une obligation si excessive qu’elle est rarement appliquée ! Peu à peu, le privé est soumis au secteur public, ou supprimé.

    Les établissements privés en sursis

    Le 2 avril a été publié le rapport parlementaire de deux députés, Paul Vannier (LFI) et Christopher Weissberg (Renaissance) sur l’école privée. Ils s’insurgent contre l’importance des dépenses des établissements privés pris en charge par l’Etat et les collectivités locales à raison de, respectivement, 8,2 et 1,8 Md€. Ils formulent 55 propositions pour contrôler beaucoup plus souvent leur gestion financière, leur pédagogie ou la formation des enseignants, pour assurer la mixité sociale sous peine de sanction financière… Comme la Cour des comptes le demandait déjà dans un rapport de juin 2023, ils veulent soumettre « l’enseignement privé sous contrat aux objectifs poursuivis par l’État ».

    L’enseignement privé sous contrat regroupait à la rentrée 2022 plus de 2 millions d’élèves, soit 17,6 % des effectifs scolarisés, dans un peu plus de 7 500 établissements. Selon le ministère de l’Education nationale, en 2019, la dépense moyenne en France par élève du premier et second degrés était de 8 400 euros. Les élèves du privé ne coûtent que 5 500€ par an à l’Etat. L’école privée lui fait donc économiser 6 Md€ par , et il en a bien besoin. L’acharnement à l’encontre du « privé » n’est donc qu’idéologique.

    C’est pire avec les universités catholiques. Leurs étudiants coûtent 40% moins cher que ceux des universités publiques, et 95% de moins à l’Etat, mais elles n’ont pas le droit de délivrer leurs diplômes. L’université publique aimerait qu’elles disparaissent et milite pour que leurs rares crédits publics (moins de 10% de leurs budgets) soient réduits sinon supprimés.

    De même le ministère de la Santé, dirigé par l’ancien président de l’hospitalisation publique, cherche à fermer les cliniques en leur refusant une augmentation des  tarifs qu’il accorde cette année pour près de 5% aux hôpitaux publics.

    L’Etat jaloux

    L’Etat est jaloux du privé qui fonctionne mieux que lui. Jaloux de l’école privée devant laquelle les parents font la queue, jaloux des cliniques qui parviennent à mieux rémunérer leur personnel et faire du profit malgré des tarifs inférieurs à ceux du public.

    Pourtant, il n’y a aucune raison pour que l’argent public n’aille qu’« à l’école publique » comme le réclament divers syndicats et associations. L’argent public est fait pour tous. L’Etat n’est pas justifié à dicter les conditions d’accès ou d’exclusion des écoles privées. Il ne veut le faire d’ailleurs sans doute que pour affaiblir les succès des écoles privées.

    L’Etat ferait mieux d’assurer une gestion plus efficace et plus économe de ses écoles et de ses hôpitaux avant d’aller critiquer les établissements privés. Il n’a pas à intervenir là où le secteur privé répond aux besoins d’éduction ou de santé. Et sous réserve du respect par tous de la loi, il n’a pas à s’immiscer dans la gestion de ces établissements. La justice serait qu’à égalité de prestation, les services privés ou publics bénéficient des mêmes crédits d’Etat par élève ou par patient. Un bon scolaire attribué aux parents ou éducateurs, qu’ils reverseraient à l’établissement de leur choix, public ou privé, permettrait tout à la fois l’égalité et la liberté. Mais beaucoup ne revendiquent l’égalité que lorsqu’elle leur profite.

    Jean-Philippe Delsol 


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  • Rachida Dati déjà pervertie par le gauchisme culturel

    Rachida Dati déjà pervertie par le gauchisme culturelQuand un ministre venant de la droite rejoint un gouvernement de gauche, il peut tenir deux positions :

    – Soit se rappeler d’où il vient et rester fidèle à ses valeurs de droite … et surtout à ses électeurs,

    – Soit se couler dans le moule de ses collègues ministres de gauche, et afficher clairement la trahison à son camp.

    C’est malheureusement cette deuxième option qu’a choisie Rachida Dati, dernière prise de guerre de la Macronie.

    En rejoignant le ministère de la culture, l’ancienne Garde des sceaux de Nicolas Sarkozy rate ainsi l’occasion de « dégauchir » ce ministère et ce monde de la culture tout acquis aux idées progressistes.

    Dès son arrivée à son poste, Rachida Dati avait lancé un très mauvais signal aux sympathisants de droite en adressant ses voeux au monde de la culture depuis le seul endroit qu’elle aurait dû éviter : la Cité de l’immigration implantée dans l’ancien Palais des Colonies.

    Voeux de Rachida Dati depuis la Cité de l’immigration

    Elle vient d’en donner un nouveau signe en décidant de promouvoir le Hip-hop. Cet art populaire est certes honorable mais il y avait tant de choses plus prioritaires à faire à la Culture, notamment pour la libérer de la lourde emprise que la gauche lui fait subir !

    Voici un extrait d’un long, mais excellent article paru dans Causeur sur cette enclume progressiste qui écrase la culture :

    Nous sommes tous des enfants d’immigrés

    L’entre soi des belles âmes

    Du temps du « réalisme socialiste » de l’ère soviétique, il était exigé de l’artiste :

    Une représentation historiquement concrète de la réalité dans son développement révolutionnaire,

    le but étant d’éduquer les masses en glorifiant les transformations brutales mais nécessaires à l’avénement d’un avenir obligatoirement radieux. Étroitement surveillés par le redoutable Jdanov, les artistes se trouvèrent dans l’obligation d’adapter leurs œuvres aux règles de cet art officiel. Beaucoup s’exilèrent. Les récalcitrants furent emprisonnés ou déportés. Certains moururent dans les goulags. D’autres, tout en faisant des concessions au régime après avoir risqué le pire, travaillèrent dans la terreur – la biographie du compositeur Chostakovitch renseigne parfaitement sur l’enfer qu’ils vécurent.

    Tout autre est le « réalisme progressiste, immigrationniste et diversitaire » actuel, qu’aucun régime politique n’impose à proprement parler. Rien n’oblige les milieux artistiques et médiatico-culturels à ordonner et organiser sa propagation – c’est ce qu’ils font pourtant, avec constance, sans l’ombre d’une hésitation. L’artiste adepte du « réalisme progressiste et immigrationniste » se fait le héraut de la gauche woke et multiculturaliste sans qu’il soit besoin de le menacer.

    Sur l’écran ou la scène de théâtre, le message immigrationniste et diversitaire – optimiste, sans ambiguïté, réjouissant – n’est pas véritablement destiné aux masses, lesquelles sont par ailleurs rebutées par ce militantisme boursouflé et ennuyeux, mais sert essentiellement à la reconnaissance mutuelle des « belles âmes » de la congrégation culturelle.

    La Cérémonie des César ne parle pas d’art cinématographique – elle est le moment de l’entre-soi parfait, la réunion mondaine d’un milieu vivant en circuit fermé, sans autre spectateur que lui-même se regardant le nombril lors de laborieuses scènes de remises en cause du « système patriarcal », de la « domination masculine » ou du « racisme systémique ». Aucun pouvoir ne le contraint à cet abaissement idéologique.

    Rachida Dati n’est pas Andreï Jdanov. Comme ses prédécesseurs, la ministre de la Culture suit le courant progressiste sans rien comprendre, ignorante de l’idéologie qui gangrène les arts et la culture, ravie simplement d’être là, béatement réjouie d’avoir obtenu un poste éminent qui, au contraire de ce que laisse supposer l’intitulé du ministère concerné, ne nécessite plus de posséder de véritables connaissances artistiques et culturelles. D’ailleurs, à quoi serviraient-elles ?

    Qu’a pu faire Roselyne Bachelot, ministre de la Culture de 2020 à 2022, passionnée de musique classique et d’opéra, auteur d’un livre sur Verdi, animatrice d’une émission radiophonique sur l’art lyrique, durant son mandat ? Rien, hormis se colleter avec des « acteurs culturels » se plaignant de ne pas avoir été suffisamment soutenus pendant l’épidémie de Covid.

    Mme Dati, elle, n’a qu’une perception superficielle des domaines de l’art. Pour elle, tout est égal, Skyrock et Radio Classique, Booba et Mozart, les ondulations épileptiques des breakers et les entrechats des danseurs de l’Opéra. Ce qui lui importe avant tout c’est « d’être dans le coup », de valoriser les musiques dites urbaines – parce que « c’est cool » – et de ne pas hiérarchiser les arts – parce que c’est « élitiste ». Forte d’une inculture bien ancrée, Mme Dati a cru devoir annoncer solennellement, à l’Assemblée nationale, son intention de mettre à la tête des 19 centres nationaux de chorégraphie, « au moins six » chorégraphes issus du hip-hop. Pourquoi ? Parce que « le hip-hop inonde toute la culture française », affirme Mme Dati qui prouve ainsi qu’elle se contrefiche de la culture française, dont elle ignore tout, en particulier dans les domaines de la musique et de la danse ; raison pour laquelle elle n’éprouve aucune difficulté à la laisser s’effondrer sous le poids d’une sous-culture musicale et chorégraphique issue des quartiers noirs américains, laquelle n’est pas un problème en soi – mais en devient un lorsqu’il est prévu de lui céder toute la place sur la scène mondialisée, c’est-à-dire américanisée. Ce qui s’est passé avec le rap. Ce qui se passera avec le breakdance, issu du hip-hop : visibilité mondiale aux JO de Paris où cette danse sera considérée pour la première fois comme une discipline sportive olympique – alors que le karaté a été écarté ! Tony Estanguet, président du Comité d’organisation des JO de Paris, a dit vouloir donner la priorité à « des sports [le breakdance et le skateboard (sic)] qui cartonnent sur les réseaux sociaux et que les jeunes regardent énormément ».

    Nous avons échappé de justesse à un autre « sport » qui cartonne sur les réseaux sociaux et qui plaît beaucoup à certains jeunes : le rodéo urbain. Ce sera pour la prochaine fois.

    Didier Desrimais pour Causeur.


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  • Notre Poulain ! Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N° 6709 du lundi 22 avril 2024 ..

    Notre Poulain ! 

    Le temps tourne pour notre poulain et l'heure du bilan catastrophique de ses deux quinquennats de misère ce termine bientôt.

    L'histoire retiendra qu'il a été le plus mauvais président de la 5e république. Il se croyait au théâtre, il faisait des discours avec des tremolos dans la voix au Panthéon, les mâchoires serrées aux invalides. Il n'en a pas loupé une. Jusqu'à la fin, il nous aura fait honte. Pauvre petit président. Un copier-coller de notre avant-dernier mollasson.

    Incapable d'avoir amélioré notre pays malgré près de 1000 milliards supplémentaires de dettes (les futures générations apprécieront.), face à de multiples grognes sociales et une pression migratoire croissante, lui et sa clique de bras branlants en sont réduits à détourner l'attention constamment pour s'accrocher au pouvoir. Les propos diffamatoires et infantiles d'Attal contre Marine Le Pen et la proposition d'envoi de troupes en Ukraine de Macron heureusement immédiatement désavouée par nos alliés en sont le pitoyable révélateur.

    Les manifestants comme les gilets jaunes , ils se sont engagés dans l’inconnue, ne se souciant guère a qui ils avaient a faire, dans un mouvement avec seulement un objectif.(le carburant) Dont le résultat fut fatal avec de nombreuses victimes brisées à vie dont certains ont perdu un œil. Et sans avoir aucun résultat , et le pire, ses manifestants ont voté pour celui qui a donné ordre de les matraquer.

    Ils n'avaient pas mesuré leurs succès au départ et c’est normal. Devant cette ampleur, ils devaient faire une pause pour requalifier s'il fallait continuer leurs revendications, elles sont nombreuses et elles doivent être surtout fondées sur la réalité pour faire non pas l’unanimité, mais une large majorité, nous avons vue que le peuple fut a leurs côtés au départ.

    Il faut créer un forum pour recueillir le plus grand nombre d’avis possible. Le gouvernement l’organise.

    A voir comment ;

    La 5e République sous la régence du "macroniste" et l’Europe sont à bout de souffle. Mais alors quelle Europe ,a part leur immigration pour leurs donner encore plus de pouvoir et surtout de se gonfler les poches encore de plus en plus sur notre dos .

    Il faut redistribuer les cartes, faire un état des lieux, pour pouvoir se remettre en marche vers un avenir serein !. Le constat que l’on peut faire aujourd’hui, au vue de l’attitude des uns et des autres se présente comme un ressentie et non comme un constat, le politiquement correct montre son efficacité, cette efficacité ne peut durer qu’un temps, comme pour la manifestation des agriculteur ,dont beaucoup de souffrance ,d'un déplacement sur Paris , mort d'une agricultrice et sa fille ne fut qu'un malheur . L'Etat nous a déjà oublier ,comme fut le reste avec les gilets jaunes .  

    Nous sommes conduit au bord du gouffre, nous y sommes ! L’état est obèse, il a besoin d’une cure d’amaigrissement, il doit colmater les fuites du tonneau des Danaïdes de Bercy, il pousse les citoyens à la course aux revenus pour compenser la gourmandise de Bercy, il détruit l’initiative populaire ! Qui ose prendre des risques ? Qui gère le mieux le capital ? l’Etat ou le particulier ? Certainement pas l’état vu l’état des finances, ne pas rétablir l’ISF prouve que l’état en est conscient.

    Pour un Banquier ,mais alors quel banquier ?!. "Le Zavatta de la finance ". 

    Est il conscient qu’il est en train de conduire le pays au collectivisme. A qui attribuer la faute ? En premier aux érudits économistes qui ne font pas clignoter les feux rouges où il faut, enfin de dire STOP a la dépense ,ou l'argent s'envol par les fenêtres de l'Etat . Ainsi aux observateurs de tout poils, à tous ceux qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez ! c’est à dire aux parties politiques, qui ne voient que midi à leurs portes. De ce point de vue le poudré n’a pas tous les tords ! Il ne pourra rien faire tout seul, c’est le peuple tout entier qui doit s’amender, abandonner la critique virulente, et se retrousser les manches, dans un large consensus.

    Selon cette vision des choses, nous pouvons proposer un débat discutable en 5 points ! .

    1 – Nos gouvernants :

    Nous devons changer le logiciel de la représentation nationale, ce gouvernement est géré par un cartel issu de l’ENA. Personne n’est satisfait. Il faut réduire le nombre de Députés, de Sénateurs, d’élus et de fonctionnaires, qu’ils ne soient pas issus en majorité de la fonction publique.
    Il faut dégraisser le mammouth comme disait un certain Ministre de l’éducation !.

    Les étudiants de l’ENA deviennent copains coquins et satellites des pouvoirs de l’argent, l’exemple est donné par notre Président. Oubliant le bien du peuple, la manipulation des électeurs devient d’une simplicité enfantine. La réaction des électeurs qui sont aujourd’hui loin d’être idiot se retrouve dans l’abstentionnisme. Pour faire revenir les électeurs devant les urnes il faut leurs présenter un projet juste et équilibré, c’est beaucoup de travail, pour parler simple le jeu en vaut la chandelle ! Il faut rechercher des alliés, il n’en manque pas.

    Réclamer la démission du Président est aventureux, il est préférable de dissoudre l’Assemblée Nationale, le peuple doit retrouver son pouvoir, le faire valoir sans casser.
    Brimer les dérapages, OK, mais les gilets jaunes, c’est brimer le peuple, c’est un acte de gauche totalitaire !.

    2 – L’économie :

    Ce gouvernement nous a ouvert les yeux sur les anciens clivages : “Droite, gauche”. Aujourd’hui le clivage est entre “public, privé” : Les premiers consomment la richesse les seconds la crée, L’équilibre est rompue, la rapidité des évolutions des techniques explosent, les délais pour se former sont long, le chômage s’installe durablement, les déficits se creusent !
    Pour ne pas laisser trop de gens sur le bord du chemin, les élus ont recrutés à tour de bras à tous les niveaux de l’administration. La France s’appauvrit !.

    Cette situation, générale en Europe, ne peut perdurer sans faire marcher la planche à billets, créant les déséquilibres de l’économie en augmentant la dette de la France, qu’il ne faut pas laisser à nos enfants ! Les pays les plus réactifs comme l’Allemagne s’en sortent mieux ! Nous devons faire preuve d’imagination pour créer de nouvelles activités. Par exemple : La fin de l’obsolescence des produits est une bonne chose, il y a de nombreuses activités à créer, les industriels doivent abandonner le jetable. L’état la pénalisation des efforts des citoyens, il doit analyser et reconnaître le mérite à sa juste valeur !.

    Il y a là des opportunités pour créer de nombreux emplois et réduire les gaspillages.
    La France devient un enfer fiscal ! Pas de Paradis fiscal sans enfer fiscal.

    3 – L’immigration :

    Pour être les gardiens de notre culture chrétienne en France, pour la paix civile, il est impératif de ne pas la laisser brouiller par l’apport de populations incompatibles avec la notre. Voila des siècles que nous le constatons, durant 132 ans la France en Algérie et ailleurs ,à fait l’impossible pour faire évoluer ces populations en faisant du social et l'avancement de l'éducation ,qui ont finit par se retourner contre nous et nous a expulsé de ces territoires que nous avons grandement fait évolués, aujourd’hui avec l’immigration le problème se déplace sur notre territoire, mais nos dirigeants actuel n’anticipent pas sur les problèmes à venir, qui tôt ou tard nous conduiras inévitablement à des confrontations, animés par une poignée de gens ambitieux et sans scrupules.

    Personnes n’osent dénoncer la racine de ce problème qui pourtant doit sauter aux yeux. Il existe dans le Coran plus de 390 versets et Hadith qui ne peuvent être inspirés par un Dieu d’amour et de paix, ils concernent le mensonge, la haine du non Musulman, la ruse, la terreur et même le crime que cette pseudo religion récompense. Ces commandements suivit par une frange d’adeptes est comme le virus qui détruit le corps entier à petit feu.

    Pour comprendre, il faut lire le compte rendue du congrès Musulman du 09-12-2018 tenu à l’Institut du monde Arabe où il est dit que le Coran ne sera pas modifié d’une virgule, Il se désigne notre adversaire. c’est la preuve que l’Islam, l’Islamisme et les Musulmans sont de même nature, que nous devons en faire l’amalgame pour combattre ce racisme et cette xénophobie. Sans adversaire désigné la lutte est impossible !.

    L’Arabie Saoudite est les seul pays où Daech à réussit !
    Les adeptes de ces écritures doivent être solennellement combattus et sévèrement punis par la loi et la perte de leur nationalité d’adoption et expulsés de gré ou de force dans le pays Islamique de leur choix. Ne pas confondre racisme et principe de précaution. Nous sommes encore maître chez nous ! Il en va de notre image ! Le monde entier nous regarde et nous juge !
    Depuis des siècles, nous voyons les pays Islamiques en conflits permanents s’entretuer avec allégresse. Ne tombons pas dans ce piège ! Nous constatons qu’au fil des siècles ils ne renoncent jamais. Les premiers gagnants seront les immigrés sincères, intégrés et convertis.

    4 – L’Europe : Union des citoyens Européens Francophones.

    La diversité des langues pratiquées en Europe est une frontière virtuelle qu’il faut abolir.
    L’union de l’Europe, sans la participation des citoyens fonctionne mal. Certains membres souhaitent la quitter ! Comment des citoyens qui ne se comprennent pas et qui n’ont pas la même culture peuvent ils s’unir ?. Pour s’unir, il faut se comprendre, il est impératif d’avoir une langue commune officielle.

    L’Union pour commencer doit se faire parmi les 84 000 000 de citoyens volontaires des 5 pays Francophones Européens. Ils doivent aider les autres populations à apprendre le Français pour rejoindre la nouvelle union !
    Il faut savoir que le coût des traductions de tous les documents dans les langues de chaque pays est de 2 milliards d’Euros par an, c’est impressionnant ! Avec cet argent nous pouvons faire beaucoup plus utile.

    C’est un frein à son unité, à sa réactivité, à la communication et à la compréhension.
    En l’état actuel une armée européenne serait une belle cacophonie ! Les citoyens ne se sentent pas concernés par les décisions prisent à leur dépend. L’Union des citoyens est une priorité. Les premiers instigateurs de l’Europe n’ont pas mis à l’ordre du jour le choix d’une langue commune, car pour régner il faut diviser !
    Les États Unis, comme le monde Arabe se sont unis autour d’une langue commune officielle.
    L’Anglais est la langue mondiale, le Français, la plus riche devra être celle des Européens.

    5 – Liberté, Égalité, Fraternité.

    L’égalité ne peut se faire que par le bas, c’est de la régression, (c’est l’Exception Française).
    La femme est le complément de l’homme et non son égale. Comment prôner l’égalité entre un grand et un petit, un gros et un maigre, un intelligent et un ignare, un courageux et un fainéant, un riche et un pauvre, un malade et un bien portant ? Quand les riches sont malades les pauvres meurent !
    La science aujourd’hui tente de se passer des hommes pour assurer notre descendance, c’est contre nature, il est impossible d’en mesurer les conséquences à long terme !
    A jouer avec le feu on finit par se brûler !
    L’égalité est l’utopie qui perdure depuis la révolution Française, elle ne peut se faire que par un acte volontaire ou par un acte de justice.

    Pieds Noirs 9A..


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