• L'urgence n'est pas de déterminer si les policiers sont « racistes »

    Publié par Thomas Joly

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     

    L'urgence n'est pas de déterminer si les policiers sont « racistes », mais de tirer les conséquences de la défiance légitime des forces de l'ordre à l'égard de certaines communautés surreprésentées dans la criminalité et la délinquance

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    A peine terminé le confinement imbécile et criminel que les Français, déjà agressés par la loi Avia, subissent, avec la complicité de Macron, Belloubet et Castaner, une incroyable agression avec des manifestations interdites, mais tolérées, de Noirs et de gauchistes qui nous qualifient de racistes et nous somment de faire repentance. Agressés dans leur quotidien, la plupart du temps par des nouveaux venus africains, rackettés par l’Etat pour payer une immigration qui tue le pays à petit feu, insultés quotidiennement par les médias, et trahis par des dirigeants qui accélèrent la mort du pays et le changement de peuple, les Français ont-ils une chance de survivre à la violence exercée par Macron et sa clique à leur encontre ?

     


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  • Un week-end de violences dans toute l'Europe autour du mouvement « Black lives matter »

    Le scénario qui s’écrit jour après jour prend une tournure monstrueuse : partout, la Police recule, fuit, court, pourchassée par des manifestants de plus en plus haineux et dangereux.

    Partout, les symboles de notre civilisation sont menacés ; on veut abattre les statues de Churchill, de Colbert, de Louis XVI, de Napoléon, etc.

    La tension est de plus en plus intenable. Voici une revue vidéo du week-end :

    Cliquer avec votre souris ci-dessous ;

     https://lalettrepatriote.com/dimanche-de-violences-gravissimes-autour-du-mouvement-blacklivesmatter/


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  • Un policier britannique frappé lors d’une manifestation #blacklivesmatter>

    DANIEL LEAL-OLIVAS | AFP via Getty Images

    Robin de La Roche
    Les organisateurs transnationaux qui mettent en musique les manifestations #blacklivesmatter savent ce qu’ils font : ils tentent de déstabiliser nos démocraties, de préférence par la violence, en utilisant pour ce faire la juste indignation de chacun devant un meurtre odieux filmé par une passante.
    La synchronisation internationale est visible jusque dans les slogans, qui ne sont de part et d’autre de l’Atlantique que des traductions les uns des autres.
    La soeur Traore porte un tee-shirt sur lequel est écrit “sans justice, vous n’aurez jamais la paix”, pendant que les Américains scandent “no justice, no peace”. C’est un peu comme avec les tubes de Claude François : l’original sonne mieux.
    Bref, ce mouvement révolutionnaire (on a vu une “chanteuse” en France aujourd’hui appeler au soulèvement armé – rien que ça – mais comme elle est de gauche, ça n’intéressera pas la justice) “prend” dans les pays à forte immigration africaine, mais curieusement, aucun bruit en Serbie, en Hongrie ou en Pologne. Étonnant, non ?
    C’est à Londres que ça a un chouïa dégénéré ce soir. À tel point qu’un policier s’est pris un poing noir sur le visage. Gageons que son arrière-arrière-grand-père, probablement trop occupé à cultiver son lopin de terre, ne s’était pas opposé avec force suffisante à l’esclavagisme britannique !
    Le rêve des fabricants d’indignation contrôlée, c’est le conflit racial. Mais nous savons tous que c’est bien heureusement impossible, puisque, comme chacun le sait, les races n’existent pas.


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  • 9 juin 721 : Quand Eudes d’Aquitaine arrêtait la conquête musulmane à Toulouse

    Représentation de la Bataille de Toulouse, le 9 juin 721.

    Le 9 juin est une date méconnue bien que victorieuse pour la ville de Toulouse. En effet, c’est à cette date qu’en 721, les troupes d’Eudes d’Aquitaine stoppèrent l’invasion arabo-musulmane dans le sud-ouest de la France.

    Suite à la conquête de l’Espagne et du Portugal, formant le califat d’Al-Andalus, les Sarrasins prennent le parti de remonter dans le Sud de la France. Ainsi, Narbonne est conquise en 718, de même qu’Agde, Béziers et Nîmes, mais Eudes d’Aquitaine se mettra en travers de leur chemin à Toulouse…

    Lire aussi : L’occupation musulmane en Languedoc au VIIIe siècle

    Le cas de Toulouse est très particulier dans cette période : une fois ces villes tombées, Toulouse demeurait le dernier rempart contre l’invasion de l’Aquitaine et, au delà, du royaume franc. L’année 721 sera décisive : le siège de Toulouse et la défaite de l’Émir Al-Samh ibn Malik devant ses remparts vont entraîner la chute de l’occupation sarrasine sur notre sol.

    Lire aussi : Eudes d’Aquitaine, celui qui sauva Toulouse de la conquête musulmane

    Le rôle décisif d’Eudes d’Aquitaine

    La bataille de Toulouse n’aurait jamais été remportée sans Eudes d’Aquitaine : fils du duc de Gascogne Bodogisel et de Sainte Ode de Francie, son autorité s’étend de la Loire aux Pyrénées, jusqu’au Rhône à l’est. Alors que l’armée de l’Al-Andalus entame sa conquête, les royaumes francs d’Austrasie, dirigé par Charles Martel, et de Neustrie, dont le maire du palais est Rainfroi, se livrent une guerre sans merci dans laquelle intervient Eudes en 717. Cette lutte de pouvoir facilite grandement l’avancée musulmane sur les terres franques.

    Eudes d'Aquitaine

    Lorsque débute le siège de Toulouse par 5 000 musulmans en novembre 720, la cité s’épuise rapidement. Eudes planifie une sortie héroïque le 9 juin 721 : en sous-nombre mais profitant d’un effet de surprise absolu, il met en fuite l’armée de l’émir Al-Samh ibn Malik par une charge de 2 000 hommes sur ces paroles légendaire : « Sur mon honneur, je vous le dis, jamais on ne parlera l’arabe ici ! ». L’émir, bien qu’il ait rapidement fui devant le courage des Francs, est rattrapé et tué. Inspirés par cette victoire, les Wisigoths d’Espagne se soulèvent à leur tour, appuyés par Eudes qui poursuit le général maure Ambiza. En 726, il parvient à massacrer entièrement cette armée entre Toulouse et Narbonne.

    Lire aussi : Boisson Divine : ils ont chanté la bataille de Toulouse
    « Longue est la plainte des arabes car leur cœur est bien lourd. Les Francs chantent leur petite victoire à Poitiers, mais nous, nous pleurons notre immense défaite devant Toulouse. Et nous implorons Allah d’accueillir au paradis, nos morts restés sur la chaussée des martyrs. »

    Ibn Hayyan ben Abou Djebbala (fakys du khalife Omar au VIIIe siècle), cité par l’historien El Maqqari El Tlemcani (1591-1632)

    Malgré leurs rivalités politiques, Charles Martel et Eudes s’allient en 731, pour consolider leur pouvoir et bâtir une armée afin de vaincre et déjouer les prochaines invasions. Devant l’avancée des armées de Charles Martel et d’Eudes de Gascogne réunies, Abd el-Rahmann, émir de Cordoue arrête sa progression entre Poitiers et Tours le 17 octobre 732. C’est à Moussais, sur la commune de Vouneuil-sur-Vienne, que se font face les ennemis. Le 25 octobre 732, qui est aussi le premier jour du mois de Ramadan, les musulmans se décident à engager la bataille. Abd-er-Rahman meurt au combat et la nuit suivante, ses hommes se retirent. L’armée musulmane est ainsi définitivement stoppée.

    Eudes d'Aquitaine

     

    Source : infos-toulouse


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