•  La France colonisée 

    Assa Traoré intervient dans les lycées… Jean-Michel Blanquer est-il au courant ?

    Dans un article récent du Monde, Emmanuel Macron a pointé du doigt « le monde universitaire [qui] a été coupable. Il a encouragé l’ethnicisation de la question sociale en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. »

    Certes. Mais que dire de l’enseignement secondaire, sous le contrôle du ministère de l’Éducation nationale garant de son contenu, et qui ne peut se réfugier, comme l’université, derrière une tradition (qui parfois a du bon) de liberté intellectuelle (univoque… ) de ses mandarins ?

    Ce n’est pas officiel, mais tout parent le sait : l’antiracisme, au lycée, est devenu, sinon un cours à part entière, du moins un enseignement savamment distillé dans toutes les matières littéraires, y compris les langues étrangères ; or, aucun enfant ne peut couper à la leçon d’antiracisme.

    On sait déjà depuis longtemps que Lilian Thuram – selon lequel « il y a du racisme dans la culture blanche » – fait le tour des écoles dans le cadre de sa fondation (lycée Thierry-Maulnier de Nice, lycée La tourelle de Sarcelles, collège Olivier-de-Serres à Viry-Châtillon, lycée Ampère de Morsang-sur-Orge, lycées de l’académie de Limoges, lycée Marie-Curie à Strasbourg, école Saint-Joseph à Sion-les-Mines…) et que sa très mesurée comparse, Rokhaya Diallo, intervient aussi régulièrement (devant les jeunes du lycée Blaise-Pascal de Charbonnières-les-Bains, par exemple, ou encore à Lorient, au lycée… Colbert).

    Proclamés éducateurs – dans la présentation qui est faite par la presse de leur conférence, on accole parfois pudiquement le qualificatif « engagé » -, ils vont donc assener leur doxa explosive dans une société prodigieusement inflammable et communautarisée comme s’il s’agissait d’un cours magistral, avec l’ascendant conféré à un intervenant agréé, introduit par le corps professoral. Les parents n’en savent la plupart du temps rien, et s’ils sont au courant, ne sont pas intellectuellement armés pour riposter à un tel matraquage : un regard étonné du prof principal assorti d’un « vous ne souhaitez pas que votre enfant soit sensibilisé à la question du racisme ? » suffit à les liquéfier sur place. Au moins, au temps des frères des écoles chrétiennes, les gamins qui n’avaient pas la foi n’étaient-ils pas forcés de recevoir les sacrements. Ici, non seulement on doit assister au catéchisme, mais en sus, obligation de communier ! À deux genoux et tête baissée.

    Mais avec le comité de soutien à Adama Traoré, on franchit encore une (immense) marche.

    Le site Fdesouche vient d’exhumer un post paru il y a tout juste un an sur la page Facebook « La vérité pour Adama ». Entre une rencontre de quartier et une inauguration de match de foot, on lit qu’Assa Traoré « poursuit sa tournée dans les lycées de banlieue, cette fois au lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois. Merci à toute l’équipe pédagogique et aux lycéens, encore un moment d’échange sur le livre lettre à Adama. À Aulnay-sous-Bois, on n’oublie pas #JusticePourThéo. »

    Et en continuant d’explorer la page, sous une belle photo de la famille Traoré flanquée de Monsieur et Madame Sy et un post enthousiaste de soutien à Antonin Bernanos « incarcéré depuis 6 mois suite à une plainte de militants fascistes » (sic), on découvre en effet un joli inventaire d’établissements publics dans lesquels Assa Traoré est venue prêcher la bonne parole avec l’onction de la direction : lycée Angela-Davis (Saint-Denis), lycée Romain-Rolland (Ivry), lycée Jean-Jacques Rousseau (Sarcelles).

    Et de quoi vient donc les entretenir la pasionaria du comité Traoré ? Sûrement de maths, de français, de latin ! Et qu’en retiendront-ils ? Sans doute qu’il faut accueillir les forces de l’ordre avec l’aménité et le respect qu’elles méritent. Et dire que lorsque, dans le même temps, une petite dame intervient pour le compte d’Alliance VITA dans une école catholique, on assiste à un tsunami d’indignation dans les médias…

    Gabrielle Cluzel

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N°6199 du lundi 22 juin 2020..

    Le bled comme là-bas mon frère !

    A Sevran, en Seine-Saint-Denis,comme d'autres grandes villes ce n'est plus la France .Et avec la gauche et le gouvernement qui rampe ,dans quelques années tous les Français chrétiens seront comblés ...

    Une mère en colère s'est révoltée contre l'indifférence et l'incurie. Son témoignage est un pavé dans le marigot des politiques.

    brigadedesmeres/blognews

    Nadia Remadna est née en France ! Elle a connu l’Algérie des années 90 par la faute d’une famille qui l’a cloîtrée au bled lors des vacances d’été ! Elle a connu la guerre civile, celle de la folie islamique, les privations de liberté en tant que femme, et par un coup de chance, a pu prendre la fuite, et retourner en France.
    Dans un pays qui meurt faute de dignité, de souveraineté, la place laissée libre se trouve occupée par toute la politique islamique que même les pays d’origine ne veulent plus ! Et ces pleutres qui prétendent gouverner se sentent dépassés, pétris de trouille devant le désastre dont ils sont responsables. Incapables même de défendre celles qui ont le courage de relever la tête et dire : « nous sommes là, nous voulons simplement exister aussi »
    Avant, on craignait que nos enfants ne soient délinquants. Maintenant, on a peur qu'ils deviennent terroristes.» Ces lignes écrites en noir sur la couverture du livre-SOS de Nadia Remadna résument toute la douleur d'un continent ignoré : celui des «femmes de banlieue», comme elle se définit elle-même, essorant le cliché pour mieux le rendre à sa vérité. Une vérité qui fera très mal aux belles consciences. Politiques cyniques, chargés de mission démissionnaires, délégués fantômes aux villes de la mal-vie, accrochez-vous ! Avec Nadia la révoltée, ça tangue pour vous aussi fort que sa galère à elle. Elle feule, griffe et crache au visage de ces messieurs et souvent mesdames pour qui la banlieue et ses gosses ne sont pas un sacerdoce mais un fromage : «Qu'avez-vous fait de nous ? Au lieu de nous instruire, au lieu de faire de nos enfants des citoyens, vous nous avez ramenés à notre soi-disant culture d'origine pour nous enfermer. Vous manipulez nos souvenirs, notre héritage et nos croyances, bref, tout ce qui est sacré pour nous. Vous nous aimez en nous faisant des mosquées. Vous nous achetez deux ou trois tapis pour prier. Vous subventionnez telle association Couscous pour tous. Tout ça pour nous endormir...» La théorie des origines, Nadia Remadna connaît par cœur, triste cœur. Française, née à Champigny-sur-Marne dans une famille d'origine algérienne, elle est emmenée de force à 13 ans dans le village de Kabylie où était né son père. Un père violent qui la garde sous clé jusqu'à sa fuite rocambolesque à 25 ans vers Alger, Marseille, puis Paris. Nadia retrouve sa France bien-aimée, qui sent la baguette tiède, les meringues et la liberté. Pas pour tous, hélas...

    Vidéo ;Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics

    Nicolas Dupont-Aignan soutient totalement Nadia Remadna, fondatrice de la Brigade des Mères, menacée de mort parce qu'elle combat l'islamisme.

    Pieds Noirs 9A..


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  • « #BlackLivesMatter : tous les jours, des vidéos insoutenables d'agressions de Blancs par des Noirs enragés »

    Publié par: Thomas Joly ..

     

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    L'effet , ce sont, tous les jours, des vidéos insoutenables d'agressions de par des enragés. Nous sommes passés de l' institutionnel au décomplexé et génocidaire. La fracture raciale n'a jamais été aussi flagrante

     
     

    Cliquez ici pour découvrir un florilège d'agressions racistes plus violentes les unes que les autres.


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  • Mais où est passée la gerbe que Marine le Pen a déposé hier en hommage au général de Gaulle ?

    Comme on déteste un homme ,on ne va pas s'allonger devant lui !

    Il ne fallait pas qu'elle y aille .Elle le savait ,elle en a était avertie .qu'elle ne pleure pas aujourd'hui ,même le maire de l’île de Sein n'a même pas protesté et faire des excuses ,Marine veut jouer Hollande et Macron pour bien se faire voir ,dont la balle se retourne contre eux le lendemain ...Et elle a eu de la chance de quitter l’île sans des insultes et du poissons pourrit sur le visage ...

    Cliquez sur l'image ;

     
    Vidéo intégrée
     

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  • Si j’étais Président, après Dijon : la détention, le trafic et l’usage d’une arme de guerre seront punis des peines les plus lourdes…



    Allocution du président de la République, incidents de Dijon : on en parle au bistrot de Campagnol…

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