• Morte 2 heures après la vaccination, "rien ne permet de conclure que ce décès est en lien avec la vaccination." Circulez, il n'y a rien a voir !

     

    Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19


    Le deuxième comité de suivi dédié à la surveillance des effets indésirables rapportés avec les vaccins COVID-19 s’est tenu le 14 janvier 2021 avec le réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV).

    Six effets indésirables graves avec une évolution favorable ont été observés en France avec le vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech lors de cette troisième semaine de vaccination : 4 cas de réactions allergiques et 2 cas de tachycardie.

    L’ANSM a également été informée du décès d’une personne résidant en EHPAD et vaccinée contre la Covid-19 le 13 janvier avec le vaccin Comirnaty. 

    Aucun effet indésirable immédiat n’a été constaté suite à la vaccination. 

    Le décès est intervenu environ deux heures après la vaccination. 

    Le patient ne présentait pas de signes physiques de réactions allergiques. Au regard de ces éléments, des antécédents médicaux et du traitement lourd de la personne, rien ne permet de conclure que ce décès est en lien avec la vaccination. 

     

    Une trentaine de cas d’effets indésirables non graves en lien avec le vaccin Comirnaty ont par ailleurs été enregistrés dans la base nationale de pharmacovigilance.

    Suite à la survenue de cas de paralysies faciales dans d’autres pays avec le vaccin Comirnaty, une expertise a été demandée à un centre de pharmacovigilance. L’analyse de ces cas étrangers confirme que ces troubles surviennent de façon extrêmement rare avec une incidence qui ne dépasse pas celle observée chaque année en période hivernale dans la population générale.

    Le premier rapport hebdomadaire sur l’ensemble des cas rapportés en France sera publié la semaine prochaine à l’issue du troisième comité de suivi. Un rapport sera ensuite publié toutes les semaines.

    L’ANSM, en lien avec le réseau des CRPV, pourra communiquer à tout moment si un signal de sécurité est identifié

    Pour en savoir plus sur le suivi de pharmacovigilance, les objectifs et le périmètre de l’enquête disponibles sur notre site internet .


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  • Allemagne . Un homme de 89 ans décède environ une heure après la vaccination corona

     Rund eine Stunde nach einer Impfung gegen das Coronavirus ist es im Landkreis Diepholz zu einem Todesfall gekommen (Symbolbild).

    Sarah Essing 

     weser-kurier

    Un résident de Weyhe âgé de 89 ans est décédé environ une heure après avoir été vacciné contre le virus corona. 

    Il est actuellement difficile de savoir s'il existe un lien avec la vaccination ou non. 

     Dans le district de Diepholz, il y a eu un décès mercredi peu de temps après une vaccination corona. Un homme de 89 ans de la maison de retraite «Haus am Richtweg» de Weyhe est décédé environ une heure après avoir reçu la première vaccination. La question de savoir s'il existe un lien entre la vaccination et le décès de l'homme âgé est actuellement en cours d'examen, a déclaré l'administrateur du district Cord Bockhop. L'homme de 89 ans faisait partie d'un total de 315 personnes qui ont été vaccinées avec le vaccin de Biontech / Pfizer mercredi dans un total de trois établissements pour personnes âgées du district. 

    Bockhop a rapporté que la vaccination avait eu lieu vers midi. Les personnes vaccinées restent alors sous observation médicale pendant 15 minutes. Il a été signalé qu'il n'avait "aucun symptôme visible typique des allergies". "Vers 12h45, la situation s'est présentée: l'homme de 89 ans devait être réanimé", a poursuivi Bockhop. Deux ambulanciers et deux médecins étaient sur place pour accompagner l'équipe de vaccination. 

    De plus, une ambulance et le médecin urgentiste ont été alertés immédiatement. Néanmoins, l'homme de 89 ans est décédé environ une demi-heure plus tard.  Des vaccinations contre le virus corona ont lieu en Allemagne depuis environ trois semaines. 

     Décès après la vaccination corona: l'Institut Paul Ehrlich vérifie la connexion 

      Le district a été immédiatement informé, de sorte que le Centre de compétence pour les dommages majeurs de l'État de Basse-Saxe à Celle et l'Institut Paul Ehrlich (tel que prescrit dans de tels cas) ont été informés. L'Institut Paul Ehrlich examinera maintenant s'il existe un lien entre la vaccination et le décès. "Pour le moment, la seule connexion qui nous est visible est la connexion temporelle", a souligné Bockhop. La personne de 89 ans était «généralement en forme» et «bien orientée» au moment de la vaccination.

    Elle avait été informée à l'avance et avait également téléphoné à un parent après la vaccination et avait déclaré qu'elle avait maintenant également été vaccinée. En raison de la protection des données, le district ne peut fournir aucune information sur des maladies antérieures ou d'autres problèmes de santé, a poursuivi Bockhop. Une autopsie a été ordonnée, a ajouté le conseiller du premier district Jens-Hermann Kleine. Dès que les résultats seront disponibles, ils seront annoncés, a annoncé Bockhop. Cependant, il ne pouvait pas dire quand cela se produirait. "Cela dépasse notre sphère d'influence." 

     Pratiquement aucun lien: l'Institut Paul Ehrlich examine dix décès après la vaccination corona 

    Jusqu'à présent, l'Institut Paul Ehrlich a enquêté sur dix décès survenus après une vaccination corona ... suite » Les vaccinations dans le district se poursuivront jeudi, a également annoncé l'administrateur du district. «Rien n'a changé concernant la nécessité de se faire vacciner», a-t-il déclaré. Ni dans la qualité du vaccin ou de l'équipe de vaccination. Il a exprimé ses condoléances aux proches.

    "Nous ne devons pas oublier qu'il s'agit de personnes, pas seulement de chiffres."

    Traduction Franco-Politico


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  • L'État-Moloch choisit le couvre-feu en attendant de reconfiner

    Après avoir joué à la courte-paille entre les différentes options possibles ce que serait la décision sanitaire de la semaine (en attendant celles de la semaine prochaine ou de la suivante), Macron, Castex et leurs portes-cotons ont hérité du sort la décision de mettre l'ensemble du territoire sous couvre-feu à partir de 18 heures, condamnant ainsi les Français à de dangereuses et invivables acrobaties horaires entre métros bondés, voies de circulation saturées et magasins surchargés en journée et le weekend tandis que la mesure ne sera évidemment pas respectée dans les cités. Un couvre-feu qui, comme ce fut le cas en novembre, n'est sans doute qu'une étape avant une nouvelle chape de plomb version reconfinement chapitre 3.

    On l'aura compris, les contrôles renforcés aux frontières que le laxisme gouvernemental rendra impossibles ne sont là qu'en habillage et effets d'annonces, tout comme le très léger, très progressif et très hypothétique assouplissement des restrictions dans les facs.

    Sans stratégie face à une épidémie dont personne ne peut dire la portée réelle mais dont on sait que la nocivité tient d'abord et avant tout à l'impéritie criminelle des gouvernements du Système qui n'ont cessé depuis des décennies de détruire les services de soins, d'abandonner l'industrie pharmaceutique aux grands groupes internationaux et de les rendre dépendants à la fois de la finance et de l'étranger, tout en fermant par milliers des lits d'hôpitaux, le régime joue au poker menteur avec les Français. Par ailleurs incapables d'assumer les choix que leur dicte le hasard bien plus que la nécessité, les pouvoirs publics lestés par le poids d'une administration aussi obèse qu'impotente, n'exerce sur les évènements aucun rôle réel mais se venge de son impuissance en brimant les Français, en enchaînant les libertés publiques et individuelles, en détruisant toute vie sociale, en condamnant à mort des dizaines, voire des centaines de milliers de commerces et de petites entreprises.

    L’État progressiste est décidément bien le dieu Moloch de la Bible, celui qui terrorise les siens et sacrifie par le feu son propre peuple.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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  • L’image contient peut-être : 1 personne, texte qui dit ’"AU LIEU DE RÉPARTIR LES MIGRANTS PAR TRAIN ET BUS EN FRANCE, IL FAUT LES RÉPARTIR PAR AVION POUR LES RENVOYER CHEZ EUX.' ERIC ZEMMOUR @PHILIPPETORRE’


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  • « La mairie bat en retraite contre les racailles » : une crèche fermée à Grenoble après des menaces de mort par des dealers

     
     

    Après des menaces de mort venant de trafiquants de drogue voisins de l’établissement, la municipalité dirigée par Éric Piolle (EELV) a préféré fermer la crèche, en attendant les suites de l’enquête, relate Le Parisien

    Une décision qui suscite la colère de nombreuses familles.

    Les dealers terrorisent le personnel de la crèche 

    Le 4 janvier dernier, ces dealers, qui s’étaient introduits dans le local d’une chaufferie proche de l’établissement pour se livrer à leur trafic, ont été chassés par la police. Après le départ des policiers, les délinquants, « estimant avoir été dénoncés par les responsables de la crèche », sont allés terroriser le personnel de la crèche « en frappant violemment contre les vitres et en les menaçant de mort ».

    « Ce sont les dealers qui font la loi »

    Avertie, la mairie va alors prendre une décision radicale et fermer la crèche, jusqu’à nouvel ordre, provoquant la colère des parents et des habitants du quartier qui estiment que la mairie cède devant les dealers. « C’est scandaleux ! Ce sont les dealers qui font la loi. Jamais on n’aurait dû fermer la crèche. Ce sont les habitants du quartier qui sont pénalisés », clame une mère de famille.

    Une autre maman s’indigne : « La mairie bat en retraite contre ces racailles… Ce n’est pas au personnel et aux enfants de la crèche de fuir. Ce sont les dealers qui doivent quitter les lieux. Ils ne doivent pas avoir le dernier mot. »

    Du côté de la mairie, on assume cependant cette décision. « Ce n’est pas une capitulation… On attend simplement maintenant un retour à la normale. C’est-à-dire que les auteurs des faits soient identifiés et appréhendés par la police. »

    Le directeur de la crèche, menacé directement par les agresseurs, n’a pas souhaité s’exprimer. Une plainte a été déposée et une enquête est en cours, confirme le procureur de la République de Grenoble.


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