•     NOS HARKIS EN FRANCEPosté par:Pieds Noirs 9A..
     
    NOS HARKIS EN FRANCE
     
    Un billet de Jean-Louis Martinez
     
    le Président Emmanuel MACRON, comme à son habitude, vous a passé la brosse à reluire le 25 septembre 2020… En faisant étalage des petites mesurettes qu’il a prises en faveur d’une infime partie d’entre-vous !!!
    Personne n’est dupe et vous encore moins.
    Vous lirez, ci-après, le texte sorti de l’Élysée, employant des termes inadmissibles comme :
    -Ils furent persécutés et tués au sud de la Méditerranée : OU et PAR QUI ? En Algérie et par le FLN et l’ALN AVEC L’AIDE DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS DE L’ÉPOQUE ;
    - reclus et discriminés au NORD : OU ? EN France QUI LES A ODIEUSEMENT PARQUES COMME DES PRISONNIERS DANS DES CAMPS DE CONCENTRATION…
    VOICI le “BEAU“ texte pondu par l’Elysée :
    La France, aujourd’hui, honore les harkis qui l’ont servie avec fidélité : elle s’incline devant leurs sacrifices et leurs souffrances, comme devant leur courage et leurs combats.
    Emmanuel Macron, Elysée le 25 septembre 2020
    Journée nationale d’hommage aux Harkis et autres membres des formations supplétives de l’armée française en Algérie.
    Près de soixante ans après la fin du conflit franco-algérien, la France rend hommage aux Harkis qui ont combattu à ses côtés.
    Si nombre d’entre eux avec le temps disparaissent, le terme, lui, ne s’éteint pas et échoit aux générations suivantes, comme si ce mot de « harki » qui n’était à l’origine qu’un statut administratif et militaire devenait une identité que l’on porte, que l’on transmet et que l’on hérite.
    C’est que ce statut est solidaire d’une histoire douloureuse, marquée par la guerre, la déchirure intestine d’un peuple, l’arrachement à une terre, l’exil et la relégation.
    La tragédie des harkis ne prit pas fin avec la guerre d’Algérie :
    ils furent persécutés et tués au sud de la Méditerranée (ndlr : par les algériens devenus indépendants),
    reclus et discriminés au nord (ndlr : en France qui les a odieusement parqués comme des prisonniers dans des camps de concentration) ;
    leurs familles vivent ces blessures dans leur chair.
    Ces parcours personnels, ces histoires familiales sont aujourd’hui pleinement intégrés à la mémoire de la République, qui leur dédie tous les ans une journée nationale d’hommage.
    En ce 25 septembre, la France honore la valeur de ceux qui se sont battus pour elle. Elle reconnaît la souffrance de ceux qui ont payé cet engagement de leur sang, parfois de leur vie, par dizaines de milliers.
    Elle (ndlr : La France) reconnaît l’angoisse et les difficultés de ceux qui se sont réfugiés en France pour échapper à la mort, leur peine de n’y avoir pas trouvé un accueil à la hauteur de leur sacrifice et les préjudices qu’ils ont subis en n’ayant pas eu les mêmes chances de réussite que les autres citoyens de la République française.
    La France, depuis de nombreuses années, a porté assistance aux harkis, par plusieurs dispositifs successifs. L’an dernier, de nouvelles mesures ont été prises pour eux, mais aussi pour leurs enfants qui ont séjourné dans des camps ou des hameaux de forestage, et qui ont besoin de la solidarité de la nation dans le domaine de la santé, du logement, de la formation ou de l'insertion professionnelle. Depuis la mise en place de ce fonds de solidarité, plus de 1 100 personnes ont ainsi pu bénéficier d’aides d’un montant moyen de 6 000 euros pour réaliser des projets très concrets comme l’ouverture d’un commerce ou l’aménagement d’un logement. Et le décret du 4 mai 2020, qui a élargi les possibilités de recours à ce fonds, va permettre d’aider plus de demandeurs.
    Quant aux lieux de leur histoire, Rivesaltes, Ongles, Bourg-Lastic, Saint-Maurice-l’Ardoise, Bias, ils doivent devenir les lieux de notre mémoire.
    Grâce au travail mené de concert par les pouvoirs publics et les associations, nous inscrivons sur des stèles de pierre les drames et les deuils de leurs vies, leurs larmes et leurs luttes.
    Grâce au travail de nos enseignants, aux témoignages dans les classes, à une exposition qui a sillonné la France, la République française transmet aussi cette mémoire auprès de toutes les générations et sur tout notre territoire.
    Car la connaissance est, plus que jamais, le levier de notre résilience et de notre démocratie (ndlr : mais aussi la reconnaissance ce que la France n’a pas encore fait).
    C’est pourquoi la France, aujourd’hui, honore les harkis qui l’ont servie avec fidélité : elle s’incline devant leurs sacrifices et leurs souffrances, comme devant leur courage et leurs combats.
     Jean-Louis Martinez

    votre commentaire
  • Il faut arrêter de dire que la France est un grand pays !.Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N°6329 du vendredi 01Janvier 2021..

    Il faut arrêter de dire que la France est un grand pays !.
    Non ce n'est plus un grand pays que cela vous plaises ou pas !

    La France a perdu son premier rôle sur la scène internationale. Sa faiblesse viendrait de ce qu'elle ne s'est jamais remise de la défaite de 1940, et peinerait, depuis, à accepter la fin de sa grandeur ,d'avoir perdu son empire par la faute de tout les gaullistes et socialo communiste qui ont détruit toutes ses valeurs ,aujourd'hui envahi par une armée par la conquête d'immigrants ...

    La France a connu quantité de défaites. Mais, en 1940, il y a un phénomène nouveau : à la faute militaire dénoncée par de Gaulle, le 18 juin, s’ajoute la honte politique d’avoir vu des élus républicains voter majoritairement la fin de la République en sachant bien ce qui allait suivre, ou du moins en n’en écartant pas la possibilité : les lois raciales, l’abandon des principes sur lesquels la III e République avait été fondée. Si cette honte fait césure dans l’histoire de la nation, c’est parce qu’elle n’a jamais pu être regardée en face. D’un certain point de vue, c’est par un tour de prestidigitateur que De Gaulle a plaqué son honorable figure sur cette honte.

    Cela dit, il est tout à fait clair que nous assistons aujourd’hui à la fin de la séquence gaulliste qui a commencé avec la sécession de 1940, s’est constituée politiquement en 1945-1946, a été mise sous le boisseau sous la IV e République, a repris en 1958, s’est arrêtée sous sa forme militante avec l’arrivée de Giscard au pouvoir mais a continué avec les partis qui s’en réclamaient. Mais avec la défaite et l’éclatement récent des Républicains, c’est la fin ultime. Il est d’ailleurs possible que les significations du raz-de-marée macronien soient à rechercher du côté d’une volonté de tourner définitivement cette page de l’histoire de France.
    Voyez-vous un grand pays, pour moi, ce n’est pas un pays qui détient une force de frappe et se targue de disposer d’assez de mégatonnes pour exterminer en une seconde des millions d’êtres humains... C’est un pays qui fait ce qu’il doit pour ses vieillards, pour ses infirmes, pour ses malades, pour ses enfants. C’est un pays qui a des hôpitaux décents, des logements pour tous, des écoles spacieuses, des professeurs en nombre suffisant, des laboratoires correctement outillés. C’est un pays qui a une recherche scientifique dont la puissance répond au nombre de ses habitants. C’est un pays qui ne prétend pas guider le monde, mais qui (...) ne compte pas sur la charité publique ni sur l’aide des hebdomadaires féminins pour améliorer ses services de cardiologie. C’est un pays qui ouvre toutes grandes les portes de ses Facultés à tous ceux qui sont capables d’y accéder ; c’est un pays qui découvre, qui invente, qui innove (...).
    Un grand pays, pour moi, c’est un pays qui vise à se placer parmi les pionniers , non parmi les suiveurs, un pays qui ose prendre conscience de ses faiblesses, de ses lacunes, de ses erreurs, de ses retards ; un pays où les grands buts qu’on se propose sont de faire baisser la mortalité infantile et le taux de la délinquance, où on lutte courageusement, loyalement, contre l’alcoolisme et la misère; voir ses propre SDF Français ,un pays où les étudiants sont satisfaits, où les paysans ne murmurent pas, où les prisons ne sont pas trop pleines ...

    C’est un pays sans tribunaux d’exception, où la Justice est respectable et la Constitution respectée ; un pays fier, digne mais modeste, sans jactance ni rodomontade, un pays qui a le sens du possible et la juste notion de ses limites, un pays qui ne se figure pas que tous les problèmes se résolvent à coup de discours, (...), un pays que sa radio, sa télévision, ne soumettent pas au martelage de poudre de perlimpinpin continu ,d’une propagande sournoise ; où l’opposition peut se faire entendre, et autrement que par des bribes de discours habilement choisies pour faire valoir les répliques de la majorité ; un pays dont le destin ne dépend pas d’un seul homme, fût-il de haute taille, un pays qui n’a pas renié le vieil idéal républicain, un pays pour qui la démocratie n’est ni désuète ni suspecte, et pour qui le mot de liberté a encore le sens plénier que nous lui avons connu.

    Pieds Noirs 9A..


    votre commentaire
  • L’image contient peut-être : 1 personne, texte qui dit ’Robert Hossein Page: Toi, tu es tout ce que j'aime R.I.P. Page: Toi, tu es tout ce que j'aime Le réalisateur, acteur, șcénariste et metteur en scène français, Robert Hossein est décédé ce 00000’


    votre commentaire
  • Saint-Sylvestre 2020 : combien de voitures incendiées ?

    Ce 31 décembre 2020 sera donc très spécial,  oblige. 

    À partir de 20 heures, plus personne dehors. « Tolérance zéro » pour ceux qui ne respecteront pas le couvre-feu, lit-on ici et là. C’est, notamment, ce que vient de déclarer la patronne de la police nationale des Alpes-Maritimes dans Nice-Matin.

    La préfète de Nouvelle-Aquitaine, de son côté, déclarait, le 14 décembre dernier, sur le plateau d’une télévision locale, que « le couvre-feu sera[it] appliqué fermement », qu’« il y aura[it] des contrôles de police et de gendarmerie » et qu’« il [fallait] marquer les esprits dès le début ». « Marquer les esprits », un truc vieux comme l’État. Qui marche bien avec les honnêtes gens, un peu moins avec les voyous. Lorsqu’on pendait les bandits de grand chemin par paquets de dix au gibet de Montfaucon, c’était déjà pour marquer les esprits.

    En cela, ces hauts fonctionnaires ne font que reprendre – et c’est normal – les déclarations gouvernementales.  n’a-t-il pas affirmé qu’« il n’y aura[it] pas de consignes d’indulgence », durant cette période de couvre-feu ?

    Et nous voici à la veille de la Saint-Sylvestre. Comme qui dirait au pied du mur. La fameuse nuit de la Saint-Sylvestre. Avec son lot de voitures cramées. En quelque sorte, une coutume installée depuis des décennies dans notre pays festif. À la veille de la Saint-Sylvestre 2018, , plus matamore que jamais, déclarait que « l’ordre républicain sera[it] assuré sans complaisance ».

    Cette absence totale de complaisance avait payé puisqu’on n’avait compté que 1.290 voitures brûlées, soit que 259 voitures de plus par rapport à 2017. Pour la Saint-Sylvestre 2019, 1.457 véhicules avaient flambé. Une augmentation en valeur absolue mais un ralentissement de la progression : +25 % entre 2017 et 2018, + 13 % entre 2018 et 2019. Donc, quand c’est moins pire, c’est mieux.

    Et 2020 ? Comme nous sommes passés d’un ordre républicain sans complaisance à une ère de tolérance zéro, nous ne pouvons qu’espérer un effondrement historique du nombre de voitures incendiées. Personne dans la rue, donc pas de voitures vandalisées. Logique. Espérons. Car un responsable du syndicat policier Alliance en Nouvelle-Aquitaine déclarait récemment, à Sud-Ouest, que cette nuit de la Saint-Sylvestre est devenue une véritable « fête nationale » durant laquelle il est de coutume de « défier la police ». Il ajoutait : « On sait que dans certains quartiers, des gens vont sortir et commettre des exactions. » On ne parle pas, évidemment, du petit monsieur qui va sortir de chez lui sans son masque et en robe de chambre pour prendre l’air cinq minutes, en attendant les douze coups de minuit, et qui en sera pour ses 135 euros.


    votre commentaire
  • Internet a une mémoire, mais ça n'a pas l'air de gêner cette belle brochette d'abrutis


    votre commentaire