• La victoire d’un homme seul

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    Le billet de Patrick Parment

    Voici une belle claque pour nos média français, mais aussi européens, qui avaient pris fait et cause pour Hillary Clinton et fascisés Donald Trump. A cela une raison, la plupart des média sont inféodés au Système et pour être plus précis encore à ce capitalisme financier dont leurs propriétaires sont les dignes représentants. Cette financiarisation d’un monde réduit aux acquêts de sa seule et unique dimension : l’économie.

    L’élection de Donald Trump, c’est la revanche d’une Amérique blanche et des classes moyennes contre une minorité richissime et mondialisée qui s’engraisse sur leur dos mais surtout fait fi de leurs revendications, à savoir le recentrage de son économie sur leur bien-être et la remise en cause de son statut de "gendarme du monde". Cette classe moyenne, a compris que la politique étrangères américaine était une catastrophe, qu’elle coûtait fort cher et surtout qu’elle était un échec que concrétise sa politique au Moyen Orient et ailleurs. Ils ne veulent pas d’une nouvelle guerre froide avec la Russie comme le leur annonçait la mère Clinton. Enfin, faire passer Donald Trump pour un imbécile, c’est oublier que Ronald Reagan n’était pas une lumière et moins encore G.W Bush, génétiquement à bout de souffle. Ce sont en général les entourages qui veillent au grain avec des bonheurs divers.

    Espérons simplement que Donald Trump sera à la hauteur des propos qu’il a tenus à défaut d’avoir un programme précis. Espérons aussi que ça secouera les imbéciles heureux qui trônent à Bruxelles.


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  • ET Hollande doit être ravi d'envoyer ses félicitations à Trump, il doit avoir bonne mine ... encore une honte pour la France.

    Vladimir POUTINE donne une bone leçon à tous les journalistes réunis !!! Une déclaration riche de vérités et de cohérences. 

    Ajoutée le 18 juin 2016 En intervenant lors du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, le président russe s'est exprimé à propos de Donald Trump et au sujet de la présidentielle américaine. «J’ai dit que Donald Trump était une personne haute en couleur, je n’ai rien dit d’autre sur lui, et ne l’est-il pas ? Pourquoi vous déformez mes propos ?», s’est exclamé Vladimir Poutine.


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  • L’ambassadeur de France à Washington n’aime pas Trump et le fait savoir…

    Mais qu’est-ce qui peut bien lui délier ainsi la langue ? À 6h02, heure française, alors que les résultats de la présidentielle américaine n’étaient pas encore définitifs, et avant toute réaction officielle de notre gouvernement, l’ambassadeur de France aux États-Unis, un nommé Gérard Araud, a lâché une pestilence tweetesque : « Un monde s’effondre devant nos yeux. Un vertige. » Informé aussitôt, le nouveau président américain a réagi : « La France n’est pas contente ? Tant mieux. »

    Ainsi, grâce à ce fonctionnaire, les relations franco-américaines prennent un départ boiteux.

    Le gugusse n’en est pas à son coup d’essai. Il s’est déjà mis à dos le Maroc en déclarant, il y a deux ans : « Le Maroc est une maîtresse avec laquelle on dort toutes les nuits, dont on n’est pas particulièrement amoureux, mais qu’on doit défendre. » Fureur à Rabat. Évidemment, Paris a démenti qu’Araud ait tenu ces propos, mais une telle saillie ne s’invente pas. On lui trouve, également, des relents antisémites, exprimés dans une lettre aux expatriés français installés aux USA, lettre postée après les attentats du 13 novembre, et dans laquelle il parle des victimes ainsi : « Hier, des journalistes et des juifs. Aujourd’hui, des citoyens ordinaires. » Le distinguo a, évidemment, fait bondir la communauté juive de France. On rapporte, également, qu’avant de prendre ses fonctions d’ambassadeur aux États-Unis, il aurait déclaré : « À Washington, je serai condamné à dire combien j’adore les États-Unis et combien les Américains doivent faire un tour en Bourgogne. » Condamné ! Rien que cela ! Quelle condescendance ! Quelle classe !

    Mais, mon p’tit gars, si tu n’aimes pas la soupe, tu n’es obligé ni de cracher dedans, ni de la boire.

    Tes préférences, tes petites idées personnelles, tes amours ou désamours, on s’en fiche complètement. Tu n’es pas payé pour nous raconter ce que tu penses, mais pour porter la voix de la France et représenter ton pays. Tu n’es qu’un haut-parleur, pas un penseur !

    Monsieur l’Ambassadeur, lorsque vous tweetez (6 novembre 2019, 14h09) : « Le nationalisme, la passion de ceux qui ignorent l’Histoire », vous rendez-vous compte de l’idiotie de votre propos ? Ne réalisez-vous pas que vous vous faites l’ambassadeur de la bêtise humaine la plus sectaire, la plus crasse ? Vous vous érigez en maître à penser envers des millions de gens qui n’ont pas la chance, la bonne fortune, l’honneur de partager vos vues. Mais, Monsieur l’Ambassadeur, c’est du totalitarisme pur jus, ça ! Du fascisme intégral. Si vous aviez des « guts » – ces trucs que vous haïssez par tweet (15 juillet 2014), demandant à vos interlocuteurs de faire plutôt marcher leur « brain » – si vous en aviez, Monsieur l’Ambassadeur, vous feriez un très acceptable dictateur.

    En attendant, vous abîmez la France, mon pays.

    Donald Trump est élu. Vous n’aimez pas l’idée ? C’est votre droit ! Alors, partez, fichez le camp, videz les lieux. Mais prenez l’initiative, car je n’imagine pas vos patrons, les Ayraud, Valls ou Hollande, vous sacquer publiquement pour grossièreté. Sinon, ils l’auraient déjà fait depuis belle lurette.

    Yannik Chauvin

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • Après le Brexit, le "Brexit plus plus plus", la Révolution Trump! 

    Publié le 9 novembre 2016 par Dominique MOREL


    A bien des égards, Trump n'est pas ce que nous voulons. Mais Clinton est ce que nous ne voulons plus. Elle est ce que nous détestons, nous maudissons, nous exécrons: Elle, son mari, ses amis, tous ce ramassis de coquins, de malins, de détrousseurs de Nations, tous corrompus jusqu'à la moelle; tous ces vendus, ces mercenaires au service de l'hyperclasse mondialisée dont la tête est à New York et le cœur à Jérusalem, représentent ce que nous combattons et ce que nous voulons détruire. Ces financiers apatrides tels Goldman Sachs voleurs de richesses; ces oligarques tournés vers Wall Street comme d'autres vers La Mecque; cette classe politique occidentale corrompue jusqu'à la moëlle, vile et lâche, soumise au politiquement correct ; ces journalistes médiocres qui bégayent de conformisme et nous servent leur brouet subversif, matin, midi et soir ; ces faiseurs d'opinion publique que sont les sondeurs incompétents par idéologie; ces baudruches et larbins du showbiz qui dégueulent leur catéchisme caritatif de faux bons sentiments ; ces malades mentaux du lobbie LGBT pourris par le vice… 
    Trump n'est pas ce que nous voulons et aura-t-il le temps et les moyens de sa politique !?! Mais sa victoire le dépasse très largement. Aujourd'hui c'est la victoire et la revanche des petits-blancs, des "sans-dents", des "ploucs", des "vieux au sang pourri" que nous sommes. Ce grand mouvement de révolte des peuples est en marche. Ce n'est pas le petit esprit boutiquier des nantis et parasites du Système qui pourra l'arrêter. Les sans-chemise crient leur colère, les peuples se réveillent car ils en ont assez qu'on leur mente. La vieille croyance cosmopolite est en train de mourir, à nous de faire vivre et triompher la nouvelle. Oeuvrons pour que cette révolte se transforme en véritable révolution. 
    Trump n'est pas ce que nous voulons mais sa victoire annonce l'effondrement d'un monde et le réveil des peuples enracinés en quête de tradition et d'identité. C'est le retour des Nations ! 
    Trump n'est pas ce que nous voulons, mais sa victoire, la Revolution Trump, nous la fêtons car elle est annonciatrice de la Révolution nationale qui est en marche, de la Révolution nationale que nous incarnons, de la Révolution nationale que nous ferons vivre et triompher !


    Yvan Benedetti


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  • Hollande : le président qui n’existait pas

    Hollande : le président qui n’existait pas

    Tant de choses n’existent pas sous François Hollande qu’on finit par être pris par le désir d’en dresser une liste, autant pour servir la mémoire nationale, que s’étonner au détour d’un quinquennat qui aurait mieux fait de ne pas exister.

    La théorie qui n’existe pas aura fait la joie des Français, et qui existe d’autant moins qu’elle propose un genre qui n’existe pas, le genre neutre. Mais c’était le temps de la chasse aux stéréotypes au tout début du quinquennat. Car il existe désormais une campagne électorale, qui n’existe pas, le candidat faisant campagne sans s’être déclaré et sans comptabiliser son temps de parole, dont le décompte n’existera d’ailleurs plus dès qu’elle aura été officiellement lancée. François Hollande avait également tenté le scooter qui n’existe pas, mais il fut grillé par le goût du spectacle de la garce qui n’existait pas avant d’être dévoilée, voire dépoilée, après avoir brulé quelques bougies, et surtout un feu rouge qui lui valut la photographie casquée, qui n’existe plus.

    Mais il y eut aussi l’inversion de la courbe du chômage qui n’existe que dans l’imagination fertile de François Rebsamen, serviteur dévoué d’une cause qui n’existe pas, vous savez, celle de la secte qui n’existe pas, la fameuse religion de la République. Que de francs limaçons ! Mais il y eut aussi le soutien armé de la France aux groupes terroristes en Syrie, qui n’exista pas, la déconstruction de la filiation et du mariage, qui n’existèrent pas, puisqu’au contraire il s’agissait de construire une filiation sociale à l’exclusion de toute autre, la déconstruction de l’école, qui n’exista pas, sauf pour les malheureux enfants interdits d’apprendre correctement la langue Française, l’histoire de France, la géographie de la France, le calcul mental, autant de disciplines qui n’existent plus.

    Et puis, il y a aussi la France chrétienne, qui n’existe pas, puisque de tout temps la France fut musulmane, la preuve en est dans le Coran a dit Tariq Ramadan, le chef de la propagande qui n’existe pas. N’oublions pas les cages au phobes, qui n’existent pas. Quel bonheur retrouvé pour les bons sauvages que nous sommes devenus, Il n’y a plus de pédérastes en France ! En effet ils n’existent plus, car ils ont été remplacés par les LGBT, dont le féminin qui n’existe pas. Par contre on cherche encore des homophes, des islamophobes, des socialophobes, des vallsophobes et autres racistes, qui d’après SOS raclette existent bien, mais on les cherche encore, sauf à la télévision française qui parvient à en faire un reportage quotidien.

    Dans quel monde vivons nous ? Probablement un monde qui n’existe pas, mais n’oublions pas pour autant la joie de vivre avec les yeux ouverts au milieu des faux derches, qui n’existent pas.

    source 24heuresactu.com ( 28 octobre 2016)


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