Tir à boulet rouge-brun sur la triple bouse Bourdin : destruction d'un « mite »
Déverser sa bile sur les journalistes, c’est un peu comme écrire un pamphlet à l’adresse d’un bébé trisomique qui bave sur votre épaule dans le bus, provoquer en duel le cafard noir qui dévore votre soupe chinoise décongelée, ou encore attaquer en justice un étron canin semi-liquide qui vous a fait glisser sur le trottoir : c’est dérisoire tant l’objet de votre colère est insignifiant, comme sub-existant.
C’est vrai, dans l’histoire de France, il suffit de secouer une chaîne de radio ou de TV et là, il tombe un nombre incalculable de glands définitifs que l’Histoire avec ses crocs blancs et justes, a dévoré, digéré et pété dans l’atmosphère qui ne s’en souvient plus.
Pas une trace.
Rien.
Pas même une odeur.
Certaines flatulences de lapin ont plus de postérité.
Toute personne qui prétend parler du monde est de parti pris par essence, et ce pour deux raisons : – La première est d’ordre quantitative : le réel se manifeste chaque seconde par une infinité d’événements. Il est donc impossible d’être exhaustif sur le compte rendu fait au sujet de l’actualité de la planète terre. Il faut, ô blasphème, choisir, hiérarchiser et en fin de compte, discriminer parmi tous les phénomènes humains ou non, ce qui doit devenir « information ». – La seconde est d’ordre qualitative : une fois l’information choisie, elle n’est rien si on ne la qualifie pas. Plus l’information concerne la vie des hommes et des sociétés et plus il est difficile d’être factuel. On peut dire : demain il fera beau à Marseille. En revanche, dites le plus objectivement possible : « Des centaines d’hommes de couleur noir sans papiers français campent sur le boulevard Stalingrad à Paris » et vous trouverez toujours une larve Apathique ou un caca Bourdin pour vous tancer républic-haine-ment : « Comment noirs ? Ce sont des hommes. Papiers ou pas on s’en fout, ils fuient la guerre, et caete prout. »
Si vous m’avez bien suivi, l’objectivité en cette matière consiste en fait à assumer sa subjectivité, c’est-à-dire sa vision du monde, ses idées politiques et ses goûts. Et là, ô miracle tout devient clair : on comprend tout de suite pourquoi Jean-Francis Journalope préfère parler des « migrants » que des patrons de PME, des pompiers, des paysans qui se suicident et pourquoi une Léa Salamescouilles appelle « jeunes » des envahisseurs barbares qui balancent des cocktails Molotov sur la police.
Il n’y a pas plus « idéologique » aujourd’hui au sens de Marx que de nier les idéologies (au sens d’idées politiques) et de se faire l’apôtre virginal de la neutralité.
Des idéologies, depuis la chute du mur c’est terminé ces enfantillages !
L’Histoire ? Elle est morte l’Histoire non ? C’est Fukubidulle qui le dit !
Des complots, où ça des complots, ou ça ? Fasciste ! Nazi !
Au sein d’une dictature totalitaire, il y a deux sortes d’hommes qui se sentent libres :
– Les crétins au sens clinique du terme qui, incapables de comprendre ce que je vous ai magistralement expliqué plus haut, réduisent l’immensité et la complexité du monde à la petitesse et la simplicité d’un torche cul comme Libération ou d’un vide ordure acoustique comme RTL. Pour eux le logo « vu à la télé » est un gage de qualité et tant qu’à 20 heures, le diablotin Pujacrasse n’a pas dit « il pleut », ils ne sentent pas les gouttes d’eau tomber sur eux. Noyés, ils se sentent secs. – Les gamelards, ceux qui en croquent, ceux qui valident le pouvoir soit par conviction soit par intérêt, soit les deux. Pour eux, le monde va comme sur des roulettes, leurs placements rapportent, leurs putes gorgeprofondisent et avalent : tout va pour le mieux. Les clodos peuvent crever, la classe moyenne, cette meute de cochons, peut bien « grogner », ça va pas gâcher leur réveillon.
La France est au dernier stade de nigrescence ?
Que m’importe, mon popotin de catin est confortablement installé à la table dorée des nantis.
J’ai le rond de serviette numéro 666 au dîner du siècle et le numéro 6000000 au dîner du CRIF alors Dupont avec ses problèmes d’insécurité, de chômage, de déculturation, tu comprends, je l’encule en sifflotant l’Internationale.
Bourdin se présente justement comme l’ « homme libre », rien que ça ! Déjà, Jean-Jacques, c’est pas très sympa pour les collègues, car ça voudrait dire que, eux, à l’inverse de toi, ne sont pas « libres », en gros, qu’ils font le tapin et qu’ils taillent de gouleyantes pipes avec leur langue de bois, à longueur de journée, aux maîtres incontestés de ce monde. C’est pas très sport ça ! Carton rouge ! Bourdarin de Baracon ! Matamore de mes deux !
Vieil eunuque radiophonique qui a l’outrecuidance de dire qu’il n’est pas autre chose qu’un pantin au service de l’oligarchie. Tu es le prototype même du gigolo pecnocrate à la solde des blattes technocrates qui n’osent pas montrer leur affreux visage, le parfait faussaire, Monsieur le meilleur ami du peuple parce que (merci maître) tu daignes bien leur « donner » la parole alors que toutes tes orientations politiques (Immigration, Europe…) sont autant de poignards qui chaque jour assassinent des Français.
Liberté d’expression ? Non, c’est plutôt cause toujours comme disait Coluche.
Ton émission est à proprement parler un chiotte pour les cœurs et les cerveaux gaulois qui déversent leurs excréments passionnels et verbaux pour ne pas exploser et risquer de salir les vitres de ta Porsche, joujou qui fait vrouvroum, hochet à essence que la camarilla mondialiste te concède pour tes zélés services. Alors Bourdin, idiot ou collabo ? Il y a peut-être une autre réponse, plus psychologique. Peut-être que Mister PAF a mauvaise conscience. Bichette.
Il n’arrive pas à accepter qu’enfant alors innocent, il collait avec papounet des affiches pour Tixier-Vignancour, le Le Pen de l’époque. Alors, il croit peut-être enterrer ses souvenirs sous le crottin dégoulinant de sa bonne conscience qu’il déverse tous les matins aux oreilles du peuple souffrant. « Bonne » au sens de bonniche. Cela va sans dire.
Romain Guérin
Source : http://suavelos.eu