• Tabassée dans un parc car elle porte un maillot de bain : « Pas de mobile religieux » pour le Parquet !

    Un groupe de cinq racailles  (dont une certaine Zougatta) a agressé une jeune femme qui prenait un bain de soleil en maillot mercredi à Reims.

    Pendant que le maire gaucho de Reims déclarait : « il est intolérable de stigmatiser une communauté ou une autre pour un acte commis par quelques-uns et sans connaître le fond de cette affaire », le Parquet aux ordres de Madame Taubira osait prétendre que « ni la victime ni les auteures des coups n’ont fait état, lors des auditions, d’un mobile religieux ou d’un mobile moral qui aurait déclenché l’altercation. »

    Bienvenue en République Socialiste...


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  • LA CHASSE AUX SORCIÈRES: SPECIALITE DE LA GAUCHE ..


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  • Au Havre, la section du Front national est sous tension

    Publié le 28 juillet 2015 par Dominique CHALARD ..

    Pierre-Élie Pheulpin, 21 ans, ici au centre, lors de la présentation des candidats FN aux départementales. Damien Lenoir, à gauche (photo archive)

    Pierre-Élie Pheulpin, 21 ans, ici au centre, lors de la présentation des candidats FN aux départementales. Damien Lenoir, à gauche (photo archive)

    La tourmente qui agite le Front National en son sommet a des répercussions au Havre. Pierre-Élie Pheulpin, jeune militant havrais de 21 ans, vient de claquer la porte de la section havraise.

    « J’ai déchiré ma carte du parti et envoyé ma lettre de démission la semaine passée avec un goût amer», lance le jeune homme. Il soutient Jean-Marie Le Pen. « Pas ses propos qui sont scandaleux mais l’homme qui a fondé le parti. Aujourd’hui, le Front National est un parti dictatorial où l’on n’a pas le droit à la parole. Au niveau local ou cantonal, il nous est interdit de communiquer. Tout doit passer par le national », explique Pierre-Élie Pheulpin.

    Différend humain

    Depuis quelque temps, il se sentait mal venu à la section du Havre. « On m’a dit : vous représentez l’ancienne ligne politique. Et j’ai compris qu’on me suggérait de ne plus venir », dit-il encore. L’étudiant qui s’était présenté aux dernières élections départementales dans le canton 16 Le Havre 3 s’est rapproché du Parti de la France.

    Un départ qui n’émeut pas plus que cela Damien Lenoir, responsable de la section FN du Havre et membre du bureau exécutif départemental. Ce dernier estime que le différend est plus prosaïque et humain que politique. « Ce jeune homme se donne beaucoup d’importance. Il nous a quittés... Et alors ? Ce n’est pas comme si les 300 adhérents du Havre avaient fait de même. Le problème c’est qu’il était responsable des activités militantes mais qu’il a passé un mois à la plage. Cela n’a rien à voir avec le fait de soutenir ou non Jean-Marie Le Pen », s’étonne Damien Lenoir.

    « Tous derrière Marine »

    On peut donc soutenir le patriarche en étant à la section du Havre ? « Moi, je suis la ligne du parti. Je suis d’accord avec elle. Nous sommes tous derrière Marine Le Pen, répond le responsable local. Ceux qui sont partis l’ont fait en comprenant qu’ils n’auraient pas la main sur la section ».

    S’il avoue beaucoup de respect pour « le sérieux remarquable » de Philippe Fouché-Saillenfest et Christine Dubois, tous deux conseillers municipaux, Pierre-Élie Pheulpin lâche tout de même qu’« en général, le FN n’est pas très regardant sur le choix de ses candidats ».

    Damien Lenoir, lui aussi conseiller municipal FN, estime « que les querelles n’ont pas leur place quand il y a tant à faire pour les habitants du Havre ».

    Le jeune dissident répond : « Marine le Pen ne se bat pas pour le peuple mais uniquement pour elle-même ».

    Au Front National comme ailleurs, les coups bas sont permis, du sommet à la base.

    MARIE-ANGE MARAINE

    source Paris normandie.fr


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  •   Par :Pieds Noirs 9A..

    Pour celui qui n'est pas au courant du jugement de Zemmour..

    Billet spécial à lire et a faire suivre de notre belle France et de celle de nos élus ...

    TEXTE INTÉGRAL DE L’INTERVENTION D' ERIC  ZEMMOUR AU TRIBUNAL

    MERCREDI 24 JUIN 2015

     Je vous avoue que j’ai longuement hésité à venir à l’audience. Mon avocat me déconseillait plutôt de me déplacer, pour conserver, disait il, aux débats leur caractère technique. J’ai décidé pourtant d’assister à cette audience. D’abord par respect des magistrats, de la cour, et au delà des institutions de la République. Mais aussi par curiosité. Je voulais comprendre ce qu’on me reprochait. Comprendre quelle loi ou quelle partie de la loi j’avais enfreint. Après tout, nul n’est censé ignorer la loi. Je voulais comprendre pourquoi le procureur, le représentant de l’Etat, m’attaquait pour des propos qui ne faisaient pourtant que décrire des faits, une réalité, amplement retranscrite: «des bandes étrangères venues d’Europe de l’Est écument notre pays», ça passe; mais quand on dit: «des bandes de tchétchènes, Kosovars, Roms dépècent, dévalisent, violentent, ou dépouillent», ça ne passe pas. Lui n’est pas déféré, moi, je le suis.

     Je comprends bien le point de vue du procureur : il favorise la concision. L’ellipse est préférée à la description clinique. Madame le procureur préfère la pudeur des impressions à l’impudeur du réalisme. Mais cette querelle littéraire est-elle de la compétence de ce tribunal ? Il faut alors qu’elle aille au bout de cette logique littéraire. Qu’elle m’indique les bons mots et les mauvais mots, les mots autorisés et les mots interdits. Qu’elle redéfinisse les canons de la profession de journaliste. Que celui-ci ne soit plus tenu d’informer de ce qu’il voit, mais d’abord d’informer ce qu’il ne voit pas, mais qu’il est bon de voir.

     J’avoue ma perplexité. Je n’ose penser que ce ne sont pas les mots qui comptent, mais ma personne. Il y a quatre ans, le procureur m’avait expliqué que ma notoriété fort grande avait pour corolaire une responsabilité aussi grande. Je constate qu’en quatre ans, j’ai encore pris du galon, puisque je suis davantage responsable, et donc davantage condamnable, qu’un ministre de l’intérieur lui-même.

     Mais j’ai compris en écoutant avec soin ces débats, que ce ne sont ni mes mots ni ma personne qui importaient, mais mes pensées. Même pas mes pensées, mais mes arrière-pensées. Dans le passé, nous avions ainsi le tribunal de l’Inquisition qui dénichait la persistance des pensées hérétiques chez des marranes convertis au catholicisme. Nous avons eu plus récemment les grands procès staliniens qui traquaient les intentions contre-révolutionnaires.

     A la suite de la parution de mon livre, le Suicide français, le premier secrétaire du parti au pouvoir avait dénoncé la zemmourisation de la société. Le premier ministre avait expliqué que mon livre n’était pas digne d’être lu, le ministre de l’Intérieur avait appelé à manifester contre moi, et le président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale avait sollicité de mes employeurs qu’ils mettent fin à mes collaborations à leurs médias.

     Marie-Anne Chapdelaine, Une députée d’Ille-et-Vilaine, me chassait carrément de France : «Monsieur Zemmour, la République, on l’aime ou on la quitte ». Aujourd’hui, je vis la version judiciaire de cette offensive médiatico-politique. On prétend faire du droit, mais derrière les arguties, ce n’est qu’une bataille politique pour me faire taire.

     Il y a six mois, des millions de Français défilaient dans la rue pour défendre la liberté d’expression. Les malheureuses victimes de Charlie Hebdo avaient subi aussi une condamnation judiciaire venue d’un tribunal islamique qui les avait condamnés à mort pour blasphème. Si je comprends bien ce qui m’est reproché, la liberté d’expression, c’est bon pour les dessinateurs de Charlie, mais ce n’est pas bon pour moi. Parce qu’eux sont gentils, et moi, je suis méchant. Eux ont des bonnes arrière-pensées, et moi j’en ai de mauvaises. Si je comprends bien, nous vivons toujours sous le règne de la phrase de Saint-Just : «pas de liberté pour les ennemis de la liberté». Cela s’appelait la Terreur.

     Eric ZEMMOUR

    Le CRAN appelle RTL à "exclure de son antenne Eric Zemmour après sa chronique qui a déplu à certain (il a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas !!!).  De plus ce qu'il a dit est juste :  " Seules les sociétés homogènes comme le Japon, ayant refusé de longues dates l'immigration de masse, échappent à cette violence de rue".  " Privée de ses frontières, la France renoue dans les villes, mais aussi dans les campagnes, avec les grandes razzias, les pillages d'autrefois, les grandes invasion d'après la chute de Rome sont désormais remplacées par des bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d'Africains  qui dévalisent, violentent dépouillent et pillent. . E.Z. 

    DROIT DE RÉPONSE D'ÉRIC ZEMMOUR, SUITE A SA CONDAMNATION.

     "J'aurais, selon les magistrats, dépassé les  limites autorisées du droit à la liberté d'expression. Je crois savoir ce qu'est la liberté d'expression, a poursuivi le journaliste, citant : Montaigne, Voltaire et Zola. Mais je ne sais pas ce que sont les limites de la liberté d'expression à l'heure actuelle en FRANCE ;où se situent elles ? Qui les détermine ? Comment et au nom de quoi les fixe-t-on ? Comme il vaut mieux parfois une poignée de chiffres plutôt que de longs discours, tout ce qui suit est vrai,mais à vous de juger !!!

    ALLEMAGNE

    - Plus de la moitié des actes violents des moins de 21 ans sont commis par des Arabes. Nous ne pouvons pas nous taire dit Angela Merkel, Chancelière allemande.

    NORVÈGE

    - 100% des viols qui ont donné lieu à une plainte en 2008 à Oslo l’ont été par des immigrés « non occidentaux », en majorité musulmans et africains noirs.

    «Ils viennent de pays qui ont un regard sur la femme totalement différent de celui qui règne en Norvège". Ces viols s'accompagnent d'une violence très importante. (statistiques de la police.). *Peut-être faut-il chercher là un des motifs de la tuerie ?

    SUISSE

    - Plus de 96% des détenus sont des étrangers, en grande majorité musulmans (statistiques fédérales Suisses).

    ESPAGNE

    - 89% des détenus sont musulmans.

    ITALIE

    - les chiffres et les faits sont incontestables, nous avons aujourd'hui en Italie plus de 55 000 détenus parmi lesquels plus de 52 000 étrangers, arabes et africains noirs.

    65 % d'entre eux sont mis en examens, mais seuls 35 % sont condamnés." Il faut donc accroître la mise en œuvre des mesures d'expulsion pour les étrangers condamnés à des peines inférieures à deux ans» (Syndicat autonome de la police pénitentiaire).

    FRANCE

    - 88% des détenus sont de religion musulmane. Rappelons que pour avoir osé dire que la majorité des trafiquants est noire ou arabe, une réalité connue de tous, Eric Zemmour, journaliste, s'est fait condamner pénalement.

    La FRANCE, ce beau pays d'accueil où les Français n'ont même plus le droit de dire de tristes vérités qui dérangent le gouvernement actuel ...... !!!

     

    Si vous êtes d'accord : transmettez ! Sinon .......

    continuez à dormir avec votre porte fermée à double tour !!!

    Et priez pour qu'il ne vous arrive rien !!!

    Finalement, il ne fait pas bon dire la vérité en FRANCE,

    pour être à l'abri de la Justice, il faut être Homme Politique et mentir. ........... Pieds Noirs 9A..

     


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  • Frédéric Mitterrand se lâche sur Marine Le Pen :

    "elle est un peu Madone à pédés" Dans une interview pour le "Petit journal" de Canal + en janvier , l'ancien ministre a décrit à sa façon la patronne du FN.


    Frédéric Mitterrand : "Marine Le Pen, elle est... par LeLab_E1


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