• Exemplarité: Canteleu. L'élue Mélanie Boulanger en garde à vue après une opération anti-stupéfiants[Actualisé] Canteleu. L'élue Mélanie Boulanger en garde à vue après une opération anti-stupéfiants

    Faits Divers, Justice. Un coup de filet dans une affaire de stupéfiants a conduit, vendredi 8 octobre, à l'interpellation de onze personnes à Canteleu, dont la maire socialiste de la ville, Mélanie Boulanger, selon les informations de l'AFP. 

    La maire de Canteleu Mélanie Boulanger fait partie des 11 personnes interpellées vendredi 8 octobre dans le cadre d'un coup de filet anti-stupéfiants.

    Un coup de filet dans une affaire de trafic de drogue a conduit vendredi 8 octobre au matin à l'interpellation de onze personnes dans la Métropole de Rouen et en région parisienne, a appris ce matin l'AFP de source judiciaire. 

    Parmi elles, la maire socialiste de Canteleu, Mélanie Boulanger. L'élue, ex-tête de liste PS aux régionales en Normandie, a été placée en garde à vue dans le cadre de cette enquête pour trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs.

    Contacté par l'AFP, le procureur de la République de Rouen, Frédéric Teillet, a confirmé cette vague d'interpellations, précisant que "cette opération s'est déroulée sur commission rogatoire d'un magistrat instructeur du tribunal judiciaire de Bobigny", en Seine-Saint-Denis.

    Des perquisitions ont aussi permis de saisir "12 kg d'héroïne, 1 à 2 kg de cannabis, 300 000 euros en espèces, des armes de poing et des armes de guerre (des mini pistolets mitrailleurs Uzi)", a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.

    Une enquête au long cours

    Plusieurs sources policières ont également été en mesure de confirmer l'information à Tendance Ouest, sans en révéler davantage pour l'heure sur le trafic en question. "Un élu interpellé, ce n'est jamais au hasard", confiait tout de même l'une de ces sources, indiquant que c'est bien une enquête au long cours qui a conduit à des interpellations ciblées.

    Contactée, la Métropole Rouen Normandie, ne souhaite pas commenter pour l'heure.

    La maire de Canteleu, ville d'environ 15 000 habitants dans la métropole de Rouen, Mélanie Boulanger, 44 ans, a été tête de la liste PS-EELV aux dernières élections régionales, remportées par Hervé Morin. Elle est également vice-présidente de la Métropole Rouen Normandie, en charge de la jeunesse, de la vie étudiante, de l'enseignement supérieur et de la recherche.

    Avec AFP


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  • Pour la présidentielle de 2012, ce mec était crédité de 33% dans les sondages


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  • Ces affiches ont ainsi été affublées d’une moustache à la Adolf – pas celui de Benjamin Constant, l’autre ! – et le Z suivi des lettres « ob », pour faire « Zob ». Ce petit jeu s’appelle d’ailleurs « #Pose ton zob », tout un programme ! On voit là, en plus du caractère bien dégueulasse de la chose – Zemmour est de confession juive, faut-il le rappeler ? –, le niveau abyssal de bêtise de la dinde en question qui s’est offert ainsi, et à peu de frais, son quart d’heure warholien de gloire. À force de creuser comme ça dans la connerie, elle va finir par trouver du pétrole, ce qui ne plaira pas à ses auditeurs écolos !

    Donc, Charline Vanhoenacker n’aime pas Zemmour et le fait savoir avec l’intelligence d’une moule marinière sous Prozac ! Et déjà la gauche bien-pensante de se livrer sûrement à une partouze de rires, exaltant certainement l’impertinence audacieuse de la Vanhoenacker. Imaginez un instant Gabrielle Cluzel ou Ivan Rioufol grimer une affiche d’Anne Hidalgo en Eva Braun. Mais on aurait déjà une marche multicolore contre la bébette immonde qui monte ; Arte ressortirait toutes ses émissions sur le IIIe Reich et j’en passe !

    Comme disait Arletty, « certains ne sont jamais seuls, ils sont toujours accompagnés de leur connerie. » Certaines aussi !

     


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  • L’histoire oubliée des Pieds Noirs d’Algérie.Par :Pieds Noirs 9A..

    Billet N° 6425 du vendredi 08octobre 2021..

    L’histoire oubliée des Pieds Noirs d’Algérie.

    Les bernés de l'Histoire 

    Il y a pas beaucoup d'émission télévisée  qui offrent la parole aux Pieds Noirs d’Algérie.

    Devant tous ses journalistes de loin ou par blog de vérité qui nous écoutes sans un mot, le silence complet en eux , comme s’il craignait rompre le fil des témoignages, des hommes, des femmes d’une soixantaine d’années, revenus en métropole chez eux en mère patrie au moment des évènements de fin d'abandon par la France en1962 nos départements Français ,avec émotion et sincérité, les heures douloureuses d’un passé aujourd’hui mal connu.

    A écouter les propos des anciens Français d'Algérie, dont beaucoup furent victimes des exactions du FLN, tous le rappelaient, il était difficile de ne pas songer aux articles parus dans la presse Française après la fusillade meurtrière de la rue d’Isly à Alger, le 26 Mars 1962 (Ce jour là, un rassemblement de Français hostiles aux accords d’Evian est dispersé dans le sang). « Fascistes », « Colonisateurs », « Exploiteurs », les mêmes mots revenaient sous la plume des journalistes  de gauches quand ils décrivaient les manifestants du défilé. cinquante plus tard, les survivants de la tragédie expliquaient ne pas se reconnaître dans le portrait dressé d’eux à l’époque. Nul n’avait, selon eux, fait davantage que d’exprimer le désir sincère de vivre en paix sur la terre de son enfance. 

    La retransmission des reportages, où les Pieds Noirs ont l’occasion de livrer le récit de leur vécu, est révélatrice d’une attitude nouvelle quant au passé de la présence Française en Afrique du Nord. Les brutalités commises par les maquisards ou les militaires pendant la guerre d’Algérie sont aujourd’hui bien connues. Des livres sans cesse de haine, des rapports alimentent régulièrement la question que l'armée Française c'est mal comporter , évoquent précisément mal les attentats sanglants perpétrés par les organisations du FLN.

    Néanmoins, les souffrances endurées par les Français d'Algérie à l’époque de l’indépendance ou après le rapatriement en métropole sont toujours ignorées.DE DIRE QU'UIL VENAIENT EN VACANCES!. Comme si renonçant à l’Algérie, la République souhaitait ne plus se souvenir de ces citoyens (Alsaciens, Corses, Méridionaux…) partis un jour vivre au delà de la Méditerranée.

    A cela, plusieurs explications. 

    D’abord, depuis la conquête de 1830, une évidente coupure géographique (Des centaines de kilomètres séparent l’hexagone de sa colonie) isole les Français installés au Maghreb. L’éloignement, que les liaisons maritimes ne peuvent pas compenser, complique le dialogue et entretient un sentiment ancien d’indifférence (Puis une profonde incompréhension quand se produisent les les attentats de 1954). Assurément, en Europe, l’opinion publique, d’ailleurs confortée dans ses certitudes par les propos d’une partie de la presse, n’approuve plus, la plus par des journalistes fermes les yeux , à l’instant où la perte des départements Français apparaît inévitable, l’attitude de Pieds Noirs résolus à défendre le principe d’une Algérie Française (terre ou ils sont nées) . L’utilisation habituelle de sobriquets pour désigner l’une ou l’autre des deux communautés (« Pieds Noirs », « Algériens ») témoigne qu’effectivement, une méfiance tenace s’est installée entre les rivages de la Méditerranée.

    Les réticences, voire le refus catégorique de la société Française lorsque certains parlementaires envisagent prudemment la mise en œuvre d’une égalité politique au Maghreb, dégradent indiscutablement les représentations que la métropole construit de ses lointains compatriotes. Les articles violents des journaux quand ils évoquent les victimes de la fusillade rue d’Isly sont le reflet de cette image véhiculée à Paris, à Bordeaux ou ailleurs. Si on ne les qualifie pas de « fascistes », ou d’ « exploiteurs », les Pieds Noirs sont alors vus comme des citoyens de seconde zone. Il faut a tout prix réduire les Français d’Algérie à une minorité vivant des souffrances de la population FLN est bien évidemment fournir une vision très caricaturée de la réalité (Même si l’on ne peut contester les dérapages de quelques uns). Beaucoup appartiennent à des groupes sociaux relativement modestes : petits fonctionnaires, employés, ouvriers, artisans. Ce constat posé, l’image du Français propriétaire de vastes domaines agricoles sur lesquels s’épuiseraient des salariés arabes mal payés perd de son crédit. Pour les Français d'Algérie ,pour les métropolitains ,ils étaient tous pris pour des colons ,dont ils méritaient d'être aplaties . 

    Parce qu’ils sont méconnus des métropolitains, les rapatriés d’Algérie en Europe pose problème. Débarqués sur le port de Marseille ou à Orly, encombrés des seuls bagages qu’ils ont pu emporter avec eux, les exilés se heurtent à l’indifférence, à la méfiance ou au ressentiment de la population.

    Toujours encore soixante ans après les Accords d’Evian, il faut bien le dire, la parole des colons d’autrefois trouve toujours peu d’écho. Ceux que l’on appelait par dérision ou mépris « les Algériens » rappellent l’humiliation d’une nation confrontée au passé douloureux de la décolonisation. Eprouvés par les difficultés de leurs exils, les Pieds Noirs se sont longtemps réfugiés dans le silence : personne ne souhaitait entendre la parole d’hommes et de femmes qui, tout autant, avaient cruellement ressenti les violences de la guerre.

    Deux évènements, oubliés de l’histoire officielle, mériteraient pourtant une plus large étude car ils soulignent le sentiment de désarroi des Européens d’Alger après l’indépendance.

    Vécue comme un soulagement légitime en métropole, la signature des Accords d’Evian retentit aux oreilles des  Algériens comme un sinistre glas : celui de la présence Française au Maghreb. Pour les Pieds Noirs, la question est d’une effrayante simplicité : rester sur place si c'était possible, dans le pays de son enfance ? Quitter la terre familiale ? Abandonner tout ce que l’on a bâti ? Le GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne) garantit en principe la sécurité aux Occidentaux qui souhaitent demeurer sur place.

    Le 26 mars 1962 rue d'Isly a Alger .

    A entendre les rescapés du massacre, il est clair que les articles de la presse correspondent mal à la réalité des faits. Une femme interrogée sur sa présence dans les défilés expliquait avoir voulu gagner Bab El Oued pour soutenir et apaiser les habitants bloqués dans le quartier.
    D’autres survivants de la tragédie évoquent quant à eux une machination pour briser les dernières résistances de la communauté coloniale et accélérer le processus de rapatriement.

    La fusillade de la rue d’Isly est le produit d’un dérapage incontestable.  la journée du 26 Mars 1962 reste à explorer. Il est donc, en l’état des travaux actuels, assez difficile d’obtenir une vision exacte des circonstances du drame. Les historiens devront établir les responsabilités de chacun. Il est à peu près sûr que cet épisode sanglant de la guerre d’Algérie n’a pas fini de susciter d’actives polémiques. 

    Le 5 juillet a Oran 

    Autre moment fort de la tragédie vécue par les Pieds Noirs, les violences survenues dans la région d’Oran, le 5 Juillet 1962. Quelques jours après l’indépendance, des centaines d’Algériens défilent dans les rues de la ville, drapeaux en tête. L’ambiance semble plutôt pacifique. Mais un coup de feu inattendu précipite brutalement les évènements. Une panique inexplicable, incontrôlée s’empare des manifestants. Les célébrations de la victoire tournent en chasse à l’homme. Les cibles : les Pieds Noirs que l’on rencontre au hasard des rues. Les tueries se prolongent jusqu’aux environs de 17 heures. Dans leurs casernes, les 18000 soldats Français présents sur place assistent aux massacres sans s’interposer. Le général responsable des troupes a reçu l’ordre de ne pas intervenir par ordre de De Gaulle. En fin d’après midi, quelques militaires se risquent à sortir et porter les premiers secours. Mais il est bien trop tard : les bilans officiels font état de 400 morts. Sans doute les chiffres ne prennent-ils pas en compte les dizaines de disparus recensées. Certains témoins avancent un nombre de 3000 victimes.

    Les massacres d’Oran, une manifestation pacifique qui aurait mal tourné. Les survivants de la tragédie n’y croient pas : des récits soulignent que des armes circulaient entre manifestants le matin des célébrations de l’indépendance.
    Toute la lumière n’a pas encore été faite : les évènements restent toujours un épisode obscur de la guerre d’Algérie...
    Egalement méconnus et peu médiatisés en métropole, les enlèvements d’Européens ce même mois de Juillet 1962. Des dizaines de personnes, issues de la communauté occidentale, disparaissent sans laisser de trace. Peu nombreux seront ceux que l’on retrouvera vivants. Des autres, moins chanceux, personne n’aura jamais plus de nouvelles.

    Les tueries d’Oran sont le dernier acte de la fin pour les Français en Algérie . Les opérations de rapatriement s’accélèrent. A la fin de l’été, il ne reste plus en Algérie que 100000 Français (Sur un total d’un million 500). Les exilés débarquent à Marseille, Port Vendres ,à Paris sur un sol qu’ils ne connaissent pas, dans un pays peu disposé à les accueillir. Les arrivants ne possèdent plus rien, ils ont tout laissé de l’autre côté de la Méditerranée.
    Dans les premiers temps, il faut se contenter d’un logement de fortune, parfois dormir dans les rues. L’intégration sera difficile, les Pieds Noirs auront à affronter l’indifférence et le ressentiment de leurs compatriotes.

    Reconstruire l’histoire douloureuse des Européens d’Algérie au moment de la fin de l'Algérie Française, n’est pas nier les souffrances et les brimades de la communauté arabe. Comme le président Macron avec toute la gauche complice ignore ou fait semblant d'ignoré le passé .

    De ne pas oublier ;

    Nombreux sont les articles de presse, les évocations radiophoniques ou télévisuelles et aujourd'hui les œuvres cinématographiques qui relatent l'engagement des combattants venus d'Afrique du Nord dans le dernier conflit. On n'oubliera pas que, dans l'Armée d'Afrique de plus de 300000 hommes, des dizaines de milliers de combattants de cette armée d'Afrique composée de toute religions , payèrent le prix de leur bravoure légendaire. Il est bon que la chose soit dite et répétée. Mais ce qu'on ne dit jamais et qui reste ignoré, c'est que cette armée comptait un nombre important de jeunes Français aujourd'hui dénommés «Pieds Noirs.» Si 400000 d'entre eux participèrent au conflit 1939-40, dont 14 à 16% du million d'habitants d'origine européenne que comptait l'Algérie furent mobilisés de 18 à 42 ans en 1944. L'Armée d'Afrique comptait en conséquence près de 100000 «Pieds Noirs.» Ces derniers espèrent seulement ne pas être oubliés par l'Histoire. Dont aujourd'hui beaucoup nous crachent dessus voir comme exemple :monsieur Michel Aphatie ce gaucho-communiste avec sa haine de la rage au cœur , comme beaucoup d'autres d'ailleurs ...

    "Je ne mourrai pas pour la patrie algérienne,
    parce que cette patrie n'existe pas"

    Pieds Noirs 9A..


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