•  De nos politiques à la presse .Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6502du lundi 04 avril 2022..

    De nos politiques à la presse .

    Crétins et tous coupables .

    « Sur le chemin de la trahison, il n’y a que le fleuve de la honte à traverser. »

    Après l’ère des idiots utiles de Hollande des sans dents , nous avons  la suite avec une nouvelle catégorie "jupitérienne" qui ne sont que des poussifs, qui nous jouent les utilités : les crétins. Entre tous ces dégénérés donneurs de leçons, les nuances ne sont pas mécaniquement perceptibles.

    Si elles ne sont pas négligeables, elles sont parfaitement inutiles en politique.
    Il s’agit, la plupart du temps, des mêmes personnes qui, de maladresse en niaiserie chronique, finissent par être atteintes de crétinisme aigu.
    Car, après les attentats meurtriers que nous avons connus, dont tous les paramètres nous indiquent l’origine et les causes, il faut être un parfait imbécile pour ne pas comprendre ou un criminel pour feindre de ne pas comprendre.
    Le résultat est le même !

    Comme toujours, en tête du peloton, la gauche, au gouvernement ou proche du pouvoir, continue à nous produire son lot d’inepties.
    Quelle que soit la situation, même la plus dramatique, elle ne veut pas voir, elle ne veut pas entendre. Comme Jupiter qui ne veut pas entendre son peuple .

    Tétanisée par sa foi en un monde dans lequel, « tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil », cette république nous tire vers le bas, toujours plus bas, jusqu’aux limites de l'insupportable.

    Pour nous façonner le pire « non-assistance à un peuple en danger » que l’on puisse redouter, en ne prenant toujours pas pleinement les vraies bonnes mesures – certes, en paroles, elle fait quelques efforts – et surtout en niant encore une fois une réalité criante : le terrorisme auquel nous sommes confrontés est islamiste ! Et de cela ne pas l'oublier .

    Tous les terroristes, avant d'agressé, hurlent « Allahu Akbar », pour bien signifier leur appartenance religieuse. 

    Ces illuminés ont déjà tué, dans des attentats, 147 personnes au nom de l’islam, en France, en 2015… 

    N’oublions pas que si les islamistes ne sont pas tous terroristes, tous les terroristes sont islamistes, donc principalement des musulmans…
    Au nom de (ce vivre ensemble) et de ne pas faire d’amalgame , les crétins du pouvoir ont peur de nommer l’ennemi. En faisant cela, ils ne rendent même pas service à ces musulmans qu’ils croient protéger : ceux qui ne revendiquent rien et qui veulent vraiment s’insérer dans la société.

    Comme l’écrit très justement, Abdennour Bidar, philosophe, spécialiste de l’islam : « il ne suffit plus de dire « ne faisons pas l’amalgame entre islam et islamisme », les musulmans du monde entier doivent passer du réflexe de l’autodéfense à la responsabilité de l’autocritique ».

    Il n’est pas trop tard, mais tout de même que de temps perdu pour cette introspection générale indispensable.
    Si elle persiste dans son inaction et sa passivité, la communauté musulmane pourrait, bientôt, ne plus contrôler l’inévitable amalgame et prendrait le risque d’une confrontation violente ,et comme devient le cas aujourd'hui en 2022 ainsi avec tous les dommages collatéraux que cela entraînera. d'ailleurs c’est ce que souhaitent les islamistes.

    Entre les crétins gauchistes ,les verts et les pas mûres ,et les islamistes, il n’y a aucune différence et le diagnostic est le même : dégénérescence idéologique avancée.
    En poussant leurs croyances jusqu’au paroxysme, comme les étoiles, après avoir brillé longtemps, ils meurent en explosant.

    Pour la gauche, c’est réglé : elle est en phase terminale !
    Sa pensée est épuisée, elle n’a plus rien à dire ou, comme la droite molle, elle ne dit plus que des fadaises qui n’intéressent plus personne.
    Pour l’islamisme, c’est plus délicat.
     

    Nous sommes en pleine période d’expansion, mais le dénouement sera le même : avec notre détermination, il périra consumé par tout son arsenal de bêtises.
    En faisant au passage, inévitablement et malheureusement, beaucoup de dégâts…

    Après l’émotion, la colère monte, tout doucement.
    Les citoyens les mieux avertis ne sont plus dupes de tout ce désordre.
     

    Certains s’organisent. Ils savent, malgré tout, garder leur sang-froid et leur bon sens ; les crétins de tous bords n’ont plus beaucoup d’emprise sur eux.
    Quelques abrutis peuvent encore faire diversion et se bercer d’illusions, mais pour combien de temps ?.
     

    Peut-être le temps qu’il faudra pour éradiquer complètement le mal qui nous envahis.
    Avec la gauche au pouvoir, cela peut durer longtemps, voir une France musulmane Islamique comme le fut l'Algérie Française sa propre fille .

    Il vaudrait mieux changer d’équipe au plus vite sinon nos souffrances risquent de se prolonger inutilement, si Macron revient ,la France et ses enfants chrétiens succombera dans son destin .

    On a assez attendu ses donneurs de leçons depuis plus de 50 ans au profit du peuple de France .La seule solution et de choisir le bon candidat .Et il y en a qu'un seul pour sauver la France .

    Je vous remercie 

    Pieds Noirs 9A..

    France. La politique de plus en plus corrompue


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  • Explosion du prix de l’énergie : la grosse colère des petites communes contre Macron

     

    Cela fait partie de ces signes qui font douter d'une réélection de maréchal pour Emmanuel Macron : comment la flambée des prix de l'énergie qui se traduit douloureusement sur les pleins d'essence et les factures de chauffage pour des millions de Français n'aurait-elle aucune conséquence sur le score du candidat Macron ? 

    Certes, il n'est pas responsable de tout (version lucide des hyperboles macronistes : « Toutes ces crises qu'il a traversées... Quel héros ! »), mais c'est la loi du genre : le Président en exercice est là pour encaisser les colères du moment. Voyez Louis XVI : au mauvais endroit au mauvais moment, comme disent certains quand vous êtes agressé par des racailles.

    Mais cette colère « énergétique » contre Macron atteint aussi un autre cercle, relais indispensable entre tout Président et tout candidat et la France profonde, celui des élus locaux des petites et moyennes communes, et pourrait peser dans les urnes le 10 avril.

    Le symbole de ce choc énergétique sur les finances des communes est symbolisée par la fermeture de la piscine municipale d'Oissel-sur-Seine, en Seine-Maritime, depuis le 20 mars. Stéphane Barré, le maire communiste de cette commune de 12.000 habitants, a justifié sa décision à  : « En 2021, pour les deux premiers mois de l’année, nous avions dû payer 40.000 euros de chauffage pour tous les bâtiments de la ville. Cette année, sur la même période, la facture s’élève à 165.000 euros. »

    Et pour les communes comme pour les particuliers, c'est la double ou triple peine : hausse du gaz, de l'électricité et du carburant. Or, elles doivent boucler leur budget pour le 15 avril. Une enquête de l’Association des petites villes de France (APVF) citée par Libé indiquait que 90 % des petites villes étaient concernées. Inutile de dire ce qu'auront en tête ces dizaines de milliers d'élus locaux au moment de préparer l'élection et de glisser leur bulletin dans l'urne.

    D'ores et déjà, ces communes ont réagi. Dans l'urgence et de façon spectaculaire. Elles disposent de quatre leviers qui vont démultiplier le mécontentement des administrés. D'abord, des économies de bon sens : extinction de l'éclairage public, baisse de la température de 1 degré. Ensuite, la réduction des services proposés à la population, comme l'illustre la fermeture de la piscine.

    Certaines communes ont même suspendu les ramassages scolaires. Et puis il y a les coupes plus nettes dans les budgets municipaux : report d'investissements, non-renouvellement des départs à la retraite. Enfin, la hausse des impôts.

    Or, avec la suppression de la taxe d'habitation, qui avait privé les communes de leur principale source de financement, Emmanuel Macron avait déjà mécontenté les élus locaux. Ce nouveau choc financier ne va pas resserrer les liens. Certains, interrogés par Libé, ne mâchent pas leurs mots. Pour Christophe Bouillon, président ex-PS de l’APVF et maire de Barentin (Seine-Maritime), « c’est une course sans fin, les  sont au bord de la  de nerfs ». Pour Philippe Ginoux, maire LR de Sénas en Provence, « le  était bien content de nous trouver quand il fallait ouvrir des centres de vaccination du jour au lendemain. Mais lorsqu’on demande de l’aide, plus personne ne nous répond. Quand on est dans la merde et qu’on crie au secours, on nous laisse crever la bouche ouverte. »

    « Avec vous » ? Ce n'est pas vraiment ce que ressentent les élus locaux en passant devant l'affiche du Président sortant. Et leurs administrés - « nous tous » , comme dit aussi la propagande électorale du candidat Macron - vont donc être impactés financièrement par de multiples canaux, y compris local.


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  • « La Russie vient de nous déclarer la guerre monétaire ! » L’édito de Charles SANNAT

     Par : ..

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    La guerre continue. La Russie vient de terminer de replier ses troupes autour de Kiev.

    Les combats semblent continuer dans la partie est de l’Ukraine, mais également le long de la côte sur la mer noire.

    Certains présentent ce retrait somme une défaite russe et une victoire ukrainienne. Nous verrons bien avec le temps ce qui en est.

    De même les troupes russes sont accusées d’avoir laissé de bien trop nombreux cadavres de civils derrière leur passage.

    Nous sommes en plein nuage et les choses sont rarement claires avant que la poussière ne retombe.

    Tout cela sera exploité par les uns et les autres, et cela aura des conséquences. Peu importe ce que l’on pense, que les Russes sont totalement méchants, ou que les Ukrainiens ne soient pas blancs comme neige.

    Parfois, certains évènements créent des dynamiques particulières qui peuvent entraîner les belligérants au-delà même de ce qu’ils souhaitaient.

    Rien ne dit que nous, les Européens, ne suspendrons pas sine-die les achats de gaz russe si l’armée russe est accusée de massacres de civils innocents.

    La Russie dément, demande une réunion de l’ONU et accuse les Ukrainiens de provocation.

    D’après cette dépêche Reuters, « la Russie a demandé à l’Organisation des nations unies de réunir dès lundi son Conseil de sécurité pour débattre ce qu’elle présente comme une « provocation de radicaux ukrainiens » dans la ville de Boutcha, après les accusations de crimes de guerre portées par Kyiv contre Moscou.

    « À la lumière de la provocation flagrante de radicaux ukrainiens à Boutcha, la Russie a demandé qu’une réunion du Conseil de sécurité de l’Onu soit convoquée », a déclaré Dmitri Polanski, premier vice-représentant permanent russe à l’Onu, sur la messagerie Telegram. »

    Alors qui ment ? Je n’en sais rien, mais encore une fois, ce n’est presque plus le sujet, parce que le mensonge dans un sens ou dans l’autre peut durer suffisamment longtemps pour créer cette dynamique particulière qui peut entraîner les belligérants au-delà même de ce qu’ils souhaitaient comme je vous le disais un peu plus haut.

    Une guerre protéiforme.

    Vous voyez également que cette guerre se déroule sur de multiplies fronts. La communication y joue une rôle crucial.

    Il y a un aspect de cette confrontation de titans qu’il ne faut pas oublier ni éluder.

    C’est pour cette raison que cette semaine je vous propose d’évoquer le volet monétaire de cette guerre, avec évidemment la négociation en roubles du gaz dont Poutine exige désormais le paiement dans sa propre monnaie et refuse aussi bien l’euro que le dollar.

    Nous entrons donc dans le volet monétaire de la guerre pour le Nouvel Ordre Mondial.

    Certains diront que ce n’est pas la Russie qui nous déclare la guerre monétaire mais nous puisque nous avons bloqué ses réserves de change. C’est vrai. Les réserves de change sont bloquées, mais la Russie n’a pas cherché à les débloquer contre du gaz. La Russie a voulu en finir avec l’utilisation de l’euro et du dollar et envoyer un signale très fort au monde partagé avec l’Inde et la Chine. Ce n’est pas rien, et c’est très différent.

    C’est dans cette différence que réside la « déclaration de guerre monétaire de la Russie ».

    Si depuis plusieurs semaines je développe une analyse autour du scénario d’une démondialisation brutale et violente, le pendant « monétaire » d’une telle démondialisation est une dédollarisation de l’économie mondiale et du système monétaire international dans lequel nous aurons moins de dollars et de manière connexe, moins d’euros.

    Restons humbles face à la grande histoire qui s’écrit sous nos yeux. Restons sages, nuancés, et pondérés dans un monde qui sombre dans la folie.


    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    Charles SANNAT


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    Bonne fin de ce dimanche ..


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