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  • Véran toujours opposé à la réintégration des soignants non-vaccinés

    Suite à l’application de la loi sur l’obligation vaccinale, de nombreux soignants ont décidé de quitter leur travail. Véran reste toujours opposé à la réintégration des soignants non-vaccinés. Le ministre des solidarités et de la santé, Olivier Véran, a évoqué la saisine de la Haute Autorité de santé (HAS) pour la levée de cette obligation lors d’une conférence de presse.

     

    La loi du 5 août 2021 a enjoint l’ensemble des soignants à se faire vacciner. Depuis le 15 septembre 2021, date d’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale pour les soignants, nombreux soignants non-vaccinés sont interdits, non seulement d’exercer, mais aussi de gagner leur vie. Une obligation vaccinale qui joue un rôle déterminant dans le niveau actuel de pénurie en personnel soignant. Pourtant, cette vaccination n’empêche ni les hospitalisations ni les cas graves. Aujourd’hui, même si le pass vaccinal est suspendu, néanmoins les soignants pour exercer, doivent justifier d’une preuve de schéma vaccinal complet.

    Une possibilité de levée de l’obligation vaccinale des soignants

    Alors le masque ne sera plus obligatoire dans les transports en commun ce lundi 16 mai, Olivier Véran a indiqué vouloir saisir la Haute Autorité de santé (HAS) sur la levée de l’obligation vaccinale et la réintégration des soignants non vaccinés contre le Covid-19.

    Notons que cette loi est encore en vigueur en France, a-t-il rappelé. Cependant, M. Véran a annoncé, que le nombre de salariés des hôpitaux et des Ehpad qui ont décidé de ne pas se faire vacciner et abandonner leurs postes, sera connu avec précision d’ici à la fin du mois de mai. A noter qu’environ 15.000 soignants auraient été suspendus faute de preuve de vaccination depuis l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale en automne dernier.

    Saisine de la HAS pour la réintégration des soignants non vaccinés

    Sur BFM TV jeudi 12 mai,  le ministre Olivier Véran a annoncé que le nombre de contaminations est de 40.000 cas par jour. Pour lui, le niveau de circulation du coronavirus en France est encore élevé.

    Véran estime que “le virus circule trop pour que nous levions l’obligation vaccinale des soignants”. Selon lui, le risque que les soignants non vaccinés transmettent le virus aux personnes déjà fragiles dans les hôpitaux ou les séniors vulnérables dans les Ehpad existe.

    Quant au maintien de l’obligation vaccinale des soignants et la réintégration des soignants non-vaccinés, Veran indique qu’il allait saisir la Haute autorité de Santé (HAS), selon lui, elle est la seule à pouvoir trancher entre l’abandon ou le maintien de cette mesure sanitaire, en tenant compte de « la situation sanitaire et de l’éthique ».

    Actuellement, avec ces soignants suspendus, nombreuses structures sont en manque de personnel malgré l’appel à des agences d’intérims qui sont débordées et le plan blanc activé dans certains hôpitaux.

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  • Zemmour candidat aux législatives dans le Var : un baroud d'honneur ?

    Éric Zemmour aurait pu rester à la tête de Reconquête et jouer les invités vedettes pour soutenir ses 550 candidats dans les circonscriptions et galvaniser ses militants partout, comme il sait le faire. Il aurait pu rester au-dessus de la mêlée, comme Jean-Luc Mélenchon, par exemple, qui ne se présentera pas. L’ancien journaliste a décidé, au contraire, d’entrer dans la bagarre. Il sera candidat dans la quatrième circonscription du Var. Il a peu de chances de l’emporter.

    Zemmour a obtenu dans cette circonscription 13,25 % des voix au premier tour de la présidentielle, il est arrivé en quatrième position. Il affrontera une députée sortante macroniste et un candidat RN bien implanté. Le vote utile va à nouveau jouer contre lui, au niveau local cette fois. La marche est vraiment très haute.

    Le président de Reconquête a longuement hésité. Son entourage était partagé. Certains le poussaient. D'autres estimaient qu'il avait d'autres moyens de montrer son engagement en mettant sur pied, par exemple, un laboratoire de réflexion et de formation des jeunes, en se ménageant pour les élections européennes. Et qu'il courait le risque de se carboniser. Zemmour avait, en réalité, toutes les raisons de ne pas y aller… C’est un Parisien pur sucre : il a parlé de son enfance en banlieue et de ses attaches dans la capitale mille fois pendant la campagne. Il a fait, du reste, son meilleur score à la présidentielle non pas dans le Sud mais à Paris, dans le 16e arrondissement. Il bascule à 878 kilomètres de Paris : impossible de trouver plus loin ! Zemmour n'a pas l’accent du Midi et n’a aucune expérience politique locale. Il sera guidé par le maire de Cogolin, mais il n’a pas la connaissance directe des réseaux d’influence locaux, des baronnies et il retrouvera son adversaire principal : le vote utile en faveur du candidat RN.

    Le RN ne lui fera aucun cadeau. Mercredi, son président Jordan Bardella, devant la presse réunie pour la publication des listes des candidats, a eu ce petit mot d’accueil : « S’il essuie un nouvel échec, il sera obligé d’en tirer les conclusions. » Bardella a insisté sur la marginalisation de Reconquête, comme de la NUPES de Mélenchon, dans le jeu politique : « Il n’y a que nous pour nous opposer à Emanuel Macron. » Bardella ne voit toujours « aucun intérêt » à tout accord d’appareils et pense que « beaucoup d’électeurs de Zemmour se pencheront dès le premier tour sur le RN ». Bref, il a beaucoup de coups à prendre.

    Mais l’ancien polémiste aime cette région. Il y passe ses vacances depuis vint ans. Surtout, « il veut montrer que le général peut monter au front, se battre sur le terrain », explique, à Boulevard Voltaire, Stanislas Rigault, le président de Génération Z, lui-même candidat aux élections législatives dans le Vaucluse. « Il veut encourager les jeunes candidats de Reconquête par l’exemple. » C'est une nouvelle bataille qu'il veut mener de face.

    Zemmour l’a dit, sur place, avec ses mots. « Je ne me voyais pas mener le combat de l'arrière, je le mènerai à la tête de mes cinq cent cinquante candidats Reconquête, et il faudra, ici comme partout, répandre nos idées qui sont celles de l'avenir », a lancé le candidat à la députation. « On m'a beaucoup dit que la présidentielle était dure. C'est vrai, c'était un combat redoutable, cruel, parfois injuste. Mais j'aime aussi ce combat et je reviens ici pour le mener. »

    Zemmour n’a jamais été élu : la défaite dans ce fief indéboulonnable pendant cinq mandats du maire de Saint-Tropez Jean-Michel Couve, un RPR devenu LR qui a régné 24 ans avant de laisser son fauteuil à la députée En marche ! en 2017, est logique, attendue. L’ancien journaliste ne peut donc avoir que de bonnes surprises. « Je suis venu dans le Var parce que j'aime le Var et les Varois, et mon petit doigt me dit qu'ils me le rendent bien », a-t-il encore lancé à ses partisans.

    Il aurait peut-être perdu davantage en image, s’il avait filé à l’anglaise. Il y a, dans cette démarche, un baroud d’honneur, pour l’exemple, qui ne manque pas d’un certain panache. Il va tenter de montrer qu’on peut être perdant mais courageux. Il sculpte son personnage, son image, sa stature de chef de parti politique. Une démarche d’avenir. Un premier pas.

    Marc Baudriller

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • HONTE A LA FRANCE !

    Associations humanitaires

    Les douaniers Français ont confisqué l'argent collecté pour les enfants de Donbass auprès des volontaires
    — Emmanuel Leroy, politologue, Président de l'association humanitaire Urgence Enfants du Donbass

    Les douaniers ont arrêté les trois volontaires à l'aéroport Charles de Gaulle le 1er mai et les ont retenus pendant 10 heures

    Ils ont été accusés de soutenir le terrorisme et les milieux criminels. L'argent que les volontaires apportaient au Donbass a été confisqué

    Pieds Noirs 9A..


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