• Tous pourris jusqu'a la moelle

      Raymond Barre a dirigé le gouvernement entre 1976 et 1981. Battu à la présidentielle de 1988, il s'était replié sur Lyon. Photo Jean-Loup GAUTREAU / AFP
    Photo HD Raymond Barre a dirigé le gouvernement entre 1976 et 1981. Battu à la présidentielle de 1988, il s'était replié sur Lyon. Photo Jean-Loup GATREAU / AFP 


    Raymond Barre avait caché de l'argent en Suisse
    Selon Le Canard enchaîné, Raymond-Barre, ex-Premier ministre et ex-député-maire de Lyon aurait caché l'équivalent de 6,78 millions d'euros au fisc français.
    Valery Giscard d'Estaing avait dit de lui qu'il était le "meilleur économiste de France".
    Selon Le Canard enchaîné, Raymond Barre, ex-Premier ministre et ex-député-maire de Lyon, était aussi quelque peu cachottier : l'homme politique aurait caché 11 millions de francs suisses dans une banque helvétique. 
    Soit, à sa mort en 2007, l'équivalent de 6,78 millions d'euros non divulgués au fisc français.

    Information judiciaire ouverte

    Un anonyme aurait, en 2013, informé les services français des impôts, copie d'écran d'un Intranet du Crédit suisse en copie.  
    Les demandes d'éclaircissements du fisc auprès de la famille seraient restées sans réponse. 
    Jusqu'à ce qu'en 2013, l'avocat d'un des fils contacte Bercy pour tenter de trouver un arrangement.
     "Il y a une personne toujours en vie qui pourrait être éclaboussée..."
    Finalement, une information judiciaire aurait été ouverte en 2016. 
    L'origine des fonds demeure inconnue.

    "À côté, Jérôme Cahuzac fait presque figure de petit joueur", ironise l'hebdomadaire satirique.

    Contacté, son fils Nicolas Barre a seulement déclaré : "Tout a été régularisé. Le passé est passé".

    estrepublicain

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  • Don du sang : Marlène Schiappa porte les couleurs LGBT 

      


    Est-il compatible de jouir sans entraves et, en même temps, toujours sans entraves, faire don de son sang ?
    Nul doute, selon le ministre à l’Égalité femmes-hommes et attaché au ministère de la Vérité. 

    Marlène Schiappa, habituée au mélange des genres, sous couvert de mettre fin à une discrimination qui sévit depuis la Genèse, remet le couvert et se mêle, cette fois-ci, de santé publique. 

    Amis hémophiles, planquez-vous !
    « Le gouvernement veut mettre fin aux discriminations des homosexuels en matière de don du sang. » En effet, eu égard au danger de transmission du VIH, ce groupe à risque en était totalement exclu depuis 1983 et, depuis la réforme du don du sang en 2016, les homosexuels ne peuvent donner leur sang qu’après douze mois consécutifs d’abstinence. 
    Trois ans plus tard, la Marche des fiertés aidant, à défaut d’éradiquer le virus d’immunodéficience humaine, juguler cette véritable injustice homophobe est devenu une priorité, suite à l’instance de plusieurs associations LGBT qui ont annoncé avoir porté plainte contre la France devant la Commission européenne pour discrimination. 
    Foi d’Agnès Thill, les lobbies : ça n’existe pas.
    Selon l’OMS et le site de l’ONUSIDA (programme de l’ONU destiné à coordonner l’action des différentes agences spécialisées de l’ONU pour lutter contre la pandémie de VIH), parmi les populations clés à risque élevé d’infection et de transmission du VIH, on retrouve, entres autres, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), les personnes transgenres, les personnes originaires d’une zone de haute prévalence, notamment d’Afrique subsaharienne, et les utilisateurs de drogues injectables. 
    A l’échelle mondiale, les hommes homosexuels sont environ 28 fois plus susceptibles de contracter le VIH que la population en général. 
    En 2017, toujours selon  les mêmes sources, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes représentaient 18 % des nouvelles infections à VIH dans le monde. 
    Et enfin, les femmes transgenres, qui constituent moins de 1 % de la population, ont 13 fois plus de risques de contracter le VIH, et 16,5 % de « celles-ci » vivent avec le virus. 
    Ces chiffres en tête (sic !), Marlène Schiappa a donc estimé qu’il était grand temps pour plus de justice, d’égalité et de don de sang pour tous.
    Sans rentrer dans les détails techniques, et contrairement au raisonnement de notre ministre, les tests de dépistage actuellement disponibles ne sont pas parfaits. 
    Pour faire bref, il existe une période-fenêtre, en début d’infection, où le virus demeure indétectable en dépit des méthodes d’analyse récentes. 
    Cette période, la plus contagieuse et synonyme de faux négatif, peut s’étendre, selon les individus et le test appliqué, sur une période d’une semaine à trois mois.
    Mais au-delà de l’efficacité des méthodes biologiques, au-delà de l’altruisme affiché à faire don de son sang et à la lumière des différentes affaires et scandales sanitaires que l’on a connus dans le passé, ne faut-il pas faire preuve de plus de pondération, de circonspection, avant d’imposer à une majorité une menace sanitaire potentielle ? 
    Graver des mesures dans la loi pour contenter une minorité, n’est-ce pas aller à l’encontre de tout principe de précaution ?

    Mon corps m’appartient. 
    Mon corps, mon choix, mon droit. 
    Peut-être serait-il souhaitable, dans ce cas précis, que les bénéficiaires d’un don de sang se l’approprient également. 

    Pierre Mylestin

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  • Burkini : la question n’est pas « égalité, liberté, laïcité » mais « identité » !


     Les opérations coup de poing montées à Grenoble par une association qui se pare du nom d’Alliance citoyenne ont atteint leur objectif : faire parler d’elles et montrer la force de la communauté et la faiblesse de l’État-nation décadent que quelques « burkinis » dans une piscine grenobloise parviennent à inquiéter.
    Ce non-événement ne mérite guère de discours : il s’agit d’un acte provocateur, qui crée du désordre et le fait d’une façon perverse, puisque le but poursuivi par un groupe qui se prétend « citoyen » est, justement, de casser l’unité de la Cité, de séparer ses membres et peut-être de préparer son remplacement. 

    Il ne faut donc pas s’interroger longuement sur les valeurs qui empêchent d’accepter la présence, dans les piscines, de maillots couvrant des pieds à la tête qui ont moins pour but de voiler les appas féminins que d’afficher une différence communautaire. 
    Il faut d’abord faire respecter l’ordre public, réfléchir sur les causes du phénomène et les supprimer si l’on veut éviter leurs effets.
    Le Premier ministre, celui de la Justice et celui chargé de l’Égalité entre les sexes ont cru devoir évoquer ce clapotis dans un bassin. 
    C’est abaisser l’État, c’est montrer combien la République est devenue fragile. 
    Les règlements intérieurs des piscines interdisent les vêtements inappropriés pour des raisons d’hygiène, comme les bermudas pour les garçons, ou par pudeur comme les monokinis pour les filles. L’argument brandi de l’égalité homme-femme est particulièrement stupide.
     D’abord, parce que les corps affichent des différences qui justifient des vêtements inégaux, le slip masculin ou le maillot une pièce féminin. 
    Ensuite, parce que, face à l’égalité, l’on pourra afficher la liberté de se vêtir comme on le souhaite. De même, la laïcité prouve une fois de plus sa nocivité : en prétendant lutter contre les débordements d’une religion conquérante, elle en vient à s’en prendre aux symboles de la religion qui, depuis bien plus d’un millénaire, a contribué à façonner notre culture. 
    C’est ainsi qu’un philosophe, Raphaël Enthoven, reprochait à la députée Valérie Boyer de regretter l’abandon, par les parlementaires, de l’amendement interdisant le port du voile par les mères accompagnatrices d’élèves tout en portant elle-même une croix en pendentif.
    La laïcité, en imposant la neutralité, conduit au renoncement à son identité. 
    Or, une nation qui gomme son identité culturelle, qui offre une page blanche à des identités envahissantes, devient une proie trop facile pour celles-ci. 
    Les Suisses, en refusant l’érection de minarets, ont préservé l’identité de leurs paysages. 
    Ils n’ont pas brandi les notions faciles à retourner d’égalité ou de liberté. 
    Ils n’ont pas prétendu qu’il fallait raser les clochers puisqu’on ne voulait pas de minarets. 
    La croix s’inscrit dans notre culture, comme nos clochers, comme nos vêtements, comme notre alimentation, etc. 
    L’évolution des modes et des goûts ne doit pas conduire à la confusion entre liberté et laisser-aller. Chacun devrait se convaincre qu’un effort pour être plus rigoureux et digne dans une tenue et un comportement qui correspondent à notre culture sera une barrière plus solide face aux provocations communautaires qu’un relâchement généralisé. 
    C’est ainsi que le retour à l’uniforme à l’école est la meilleure parade aux vêtements confessionnels. Comment faire accepter à des parents musulmans un peu rigoureux que l’on puisse aller en classe avec des jeans troués de partout, mais que les fichus sur la tête y soient interdits ?
    Le problème posé à Grenoble, et ailleurs depuis bien longtemps, n’est donc ni celui de l’égalité entre les sexes, ni celui de la liberté, ni celui de la laïcité, mais celui de l’identité. 
    Il n’y a pas de société stable sans une conscience collective, sans une pensée commune. 
    Plus on préservera celle-ci, plus on s’attachera à la restaurer et à la transmettre, plus la résistance aux empiétements communautaires sera forte, plus les désagréments de ne pas s’y soumettre seront insupportables, et plus l’assimilation des immigrés qui voudront devenir français sera facilitée. 

    À condition, bien sûr, que le flot n’en soit pas trop considérable, ce qui est le vrai fond de la question.

    Christian Vanneste

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  • Propos politiquement incorrects : Facebook donnera désormais à la « justice » française les adresses IP des utilisateurs

    Le secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O (oui, c’est son nom : cet apparatchik socialiste puis macronien est métis asiatique), est très content.

    Il est content car le géant Facebook, manifestement acculé par des pressions dont nous ne connaitrons pas le détail sonnant et trébuchant, a annoncé qu’il allait collaborer avec la « justice » rouge française et lui fournir tel un bon petit soldat les adresses IP des « auteurs de propos haineux ».

    Cédric O est vraiment content car cette décision ahurissante est, croit-il bon de préciser, spécifique à la France. Magnifique ! Comprenez : il n’y a que la République française qui, parmi les démocraties occidentales, soit désormais suffisamment liberticide et hostile à la liberté d’expression pour avoir osé exercer pareille pression.

    Évidemment le mot flou « haineux » sert à qualifier (et donc à criminaliser) les propos (et bientôt les pensées) qui ne collent pas avec l’idéologie gauchiste et cosmopolite qui domine actuellement le monde médiatico-politique.

    Si vous exprimez votre scepticisme vis-à-vis des joies du remplacement de population en Occident, de la criminalité étrangère, de la propagande LGBT vers les enfants, de l’islamisation, etc : soyez prudents dans le choix des mots !

    Autrement, le Régime cosmopolite cherchera à vous pourrir la vie. Il est temps de se révolter, non ?

    Ceux qui veulent rester anonymes sur internet peuvent se doter d’un VPN (Virtual Private Network – réseau privé virtuel), qui masque votre IP. Assurez-vous que le VPN que vous choisissez ne soit pas situé dans l’UE et qu’il pratique une politique « no logs ». « No logs » signifie que le VPN ne conserve pas vos données de connexion et qu’il est donc incapable de répondre positivement aux demandes de la police politique. NordVPNest un tel VPN par exemple.

    Source : http://contre-info.com


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  • Allemagne : une musulmane voilée de l’Office des réfugiés refuse la demande d’asile de chrétiens irakiens !

    Dans certains pays musulmans, les chrétiens sont réellement persécutés en tant que minorité religieuse, comme en Irak. C’est pourquoi une famille chrétienne s’est enfuie et a demandé l’asile en Allemagne. Mais la demande a été rejetée.

    La famille a intenté un procès contre la décision. Elle doute de l’objectivité du refus, car l’employée de l’Office fédéral des migrations et des réfugiés (Bamf), qui avait travaillé sur la demande, portait un foulard et était musulmane, rapporte désormais le « Welt ».

    Source : http://tvlibertes.com


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