Usman Khan, c’est le nom du terroriste qui a tué deux personnes et blessé cinq autres vendredi vers 13 h 30, sur le pont de Londres qui traverse la Tamise, exactement au même endroit où s'était déroulé l’attentat qui avait comptabilisé 8 morts et une cinquantaine de blessés, lorsqu’un véhicule avait fauché les passants.
Il s’agit d’un islamiste radicalisé, déjà condamné pour avoir préparé des attentats à l’explosif contre notamment la Bourse de Londres, Big Ben, et l’abbaye de Westminster, en 2010.
Alors que son domicile avait été perquisitionné par les services de police, à Londres, en 2008, il avait déclaré, au journaliste de la BBC qui l’interrogeait : "Je ne suis pas un terroriste" .
Condamné à 16 années de prison, en 2013, il a été remis en liberté à la moitié de sa peine et libéré fin 2018, mais pas expulsé alors qu’il n’avait jamais dissimulé sa haine de l’Occident.
Est-ce que les magistrats anglais ne se sentent pas, si non complices, tout au moins responsables, de ces victimes ?
Le maire de Londres, Sadiq Khan, d’origine pakistanaise, s’est empressé de déclarer que « l’immigration n’avait rien à voir avec cette attentat ».
Il est vrai que, tout comme le maire, ce terroriste est né et a grandi en Angleterre.
Il vient de la remercier mais, fort heureusement, il en a payé le prix !
Ce même jour, à quelques heures prés, c’est à La Haye, aux Pays-Bas, qu’un individu, âgé de 35, cheveux bouclés et vêtu d’un jogging de couleur grise, a profité du « Black Friday » pour agresser et blessés trois adolescents, un jeune garçon de 13 ans et deux filles âgées de 15 ans, devant un magasin de mode, dans le Centre commercial, situé dans la Grote Markstraat, en plein centre ville.
Il s’agirait d’un SDF, hébergé dans un foyer dans le centre de La Haye, dont on ignore, pour le moment, l’identité et les origines,
Si ces exemples étaient nécessaires, ils apporteraient la preuve des dangers que nous courrons quand sont remis en liberté quelques centaines d’islamistes radicalisés et que nous accueillons également quelques centaines de djihadistes de retour des zones de combat d’Irak, de Syrie et d’ailleurs ainsi que des prisons kurdes et turques.
Je maintiens que tous ces terroristes devraient être relégués hors des frontières métropolitaines de la France afin que notre sécurité soit, au moins, pour une partie assurée.
Dans la plupart des pays d’Europe sont appréhendés des djihadistes qui pénètrent et s’installent sous le couvert des arrivages de migrants clandestins, encore l’un d’eux tout récemment en Suisse.
Si les médias internationaux ont reçu l’ordre de mettre un « bémol » sur l’actualité des pénétrations de migrants illégaux, afin de ne pas perturber les ONG dans leur fructueux commerce, il n’empêche que plus de 240 migrants clandestins sont arrivés en Espagne, vendredi dernier, dans la région d’Alméria, en provenance directe des cotes algériennes, pays où opèrent actuellement les mafias migratoires de « passeurs ».
En effet, le chantage du Maroc porte momentanément ses fruits et les dizaines de millions d’euros versés au Roi Mohamed VI, par le président socialiste Pedro Sanchez, rendent plus difficile les passages forcés par les enclaves marocaines de Ceuta et Melilla.
C’est donc l’Algérie, et plus précisément les cotes oraniennes, qui ne sont que très passablement surveillées, qui devient leur « terre de profit ».
D’autres migrants parviennent clandestinement en Espagne depuis quelques semaines également en débarquant sur les plages des Iles Canaries.
Si cela n’est pas très inquiétant pour l’Europe, et plus particulièrement pour la France, car il n’y a pas de chemin de terre pour y accéder, en revanche ce sont les « Canariens » qui se posent des questions car ils sont obligés de rester
sur place et cette mini invasion ne va pas résoudre le problème du chômage dans les Iles.
Mais si cela ne résout pas le problème du chômage, dans les pays d’importation de migrants, cela devrait résoudre, paraît-il, le problème de « nos retraites » car, selon nos experts, ce sont « ces travailleurs » qui les paieront dans quelques décennies.
Vous y croyez, vous ?
Notre « Monsieur retraite », Jean-Paul Delevoye, lui y croit « dur comme fer », tout comme les syndicats, la gauche et l’extrême gauche et même les « Verts », et ce n’est pas leur nouveau patron, l’inquiétant Julien Bayou, qui s’y opposera, n’ont-ils pas été les « Alliés » de sa maman, qu’il vient de remercier en tout premier lieu car elle lui a donné le goût de l'engagement et de la désobéissance : "Ma mère a été porteuse de valises pour le FLN algérien."
Comment peut-on être fier, et surtout de l'avouer, d'une mère qui a été "porteuse de valises" pour aider et financer le FLN algérien et lui permettre d'acheter des armes qui ont servi à assassiner nos enfants, des écoliers, des jeunes appelés qui effectuaient leur service militaire, des femmes, des civils innocents, aussi bien en France qu'en Algérie.
C'est une honte de prétendre représenter des Français que les "alliés" de sa mère ont massacrés !
J'espère que les "écolos" ne s'en remettront pas et que nous le constaterons dès les prochaines élections.