• Camélia Jordana intervient et perturbe un contrôle de police en plein Paris

    un contrôle de police, image d'Illustration
     © AFP 2020 GUILLAUME SOUVANT
    France
    La chanteuse désormais connue pour ses propos à l’encontre de la police est intervenue dimanche 31 mai à Paris lors du contrôle de deux femmes pour usage et possession de stupéfiants, rapporte Valeurs actuelles. 
    Face à l’afflux de personnes, la police a dû appeler des renforts.
    Dimanche 31 mai, la chanteuse Camélia Jordana s’en est prise à des policiers qui procédaient à un contrôle, selon les informations de Valeurs actuelles.
    La scène s’est déroulée sur les quais de Seine, à Paris, et a provoqué un attroupement autour de celle qui est maintenant connue pour ses propos sur les violences policières en banlieue à l’égard des personnes de couleur.
    «Elle se croit investie d’une mission divine, c’est consternant!», s’est indigné un policier, cité par le magazine.
    Trois agents de la police nationale ont pris en flagrant délit deux jeunes femmes en train de consommer des stupéfiants.
    L’une d’elles s’est rebellée, refusant que son sachet de cannabis soit saisi, ce qui a mené à son interpellation.
    D’autres personnes, dont Camélia Jordana, sont alors intervenues pour demander aux policiers de les laisser tranquilles.

     
    Munie de son smartphone qu’elle utilisait pour filmer, l’artiste a fait savoir aux policiers que leur intervention était violente, avant d’échanger ses coordonnées avec la femme arrêtée.
    L’interpellation a engendré un vaste rassemblement, au point que des agents ont dû être appelés en renfort pour disperser les gens.

    Pas de poursuite judiciaire
     Samedi 23 mai, Camélia Jordana s’est illustrée pour ses propos polémiques sur les policiers, sur le plateau de On n’est pas couché sur France 2.
    Elle les a accusés de «massacrer» des hommes et des femmes en banlieue pour leur couleur de peau, et a affirmé elle-même ne pas se sentir en sécurité face aux forces de l’ordre.
    Invité par un syndicat policier à saisir la justice à l’encontre de la chanteuse, le ministre de l’Intérieur a refusé de le faire et s’est contenté de dénoncer cette intervention sur Twitter.
     «Je suis très attaché au débat public donc je n’entends pas poursuivre ces propos», a-t-il affirmé, ajoutant que cette liberté ne permettait toutefois pas de «dire tout et n’importe quoi».

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  • De Georges Floyd à Adama Traoré, même manipulation, même instrumentalisation, mêmes émeutes

    Malgré l'interdiction de la préfecture de police, plusieurs milliers de personnes — 20.000 peut être — ont manifesté à Paris ce mardi pour réclamer « la vérité sur les conditions de la mort en 2016 d'Adama Traoré », d'origine malienne, quelques heures après une tentative de fuite lors de son interpellation à Beaumont-sur-Oise (95) aux côtés de son frère dans le cadre d'une affaire d'extorsion avec violence. En cause un soi-disant placage ventral opéré par la gendarmerie tout comme celui qui à Minneapolis aurait entraîné la mort de Georges Floyd. Rappelons qu'une récente expertise médicale disculpait totalement les forces de l'ordre de toute responsabilité tandis que les médias, eux, ne retiennent que les conclusions de celles qui accablent les gendarmes.

    Les organisations gauchistes et les professionnels de l'antiracisme n'ont certes pas attendu les émeutes américaines suite à l'affaire Georges Floyd pour instrumentaliser la mort de Traoré et en faire un élément-levier de leur stratégie de tension. Mais dans le contexte actuel, la manifestation de ce mardi, relayée par un autre rassemblement à Lille, prend une signification particulière.

    En laissant ces manifestations interdites se dérouler avec pour objectif avoué de tenter de « préserver la paix civile », les préfets concernés envoient un signal fort à ceux qui rêvent d'importer en France la situation insurrectionnelle que connaissent les villes américaine.

    Toute faiblesse initiale est un encouragement. Les actions de guérilla urbaine (voir ici) menées par la racaille incendiaire et destructrice survenues en fin de manifestation le prouvent amplement.

    Dans un État digne de ce nom, 500, 1.500, 15.000 ou 20.000 participants à une manifestation interdite, ce doit être 500 personnes, 1.500, 15.000 ou 20.000, mises en garde-à-vue puis déférées.

    Pour ne pas avoir suivi ce principe, les pouvoirs publics ont pris un très gros risque. Celui d'un embrasement général.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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  • Vous avez voulus du "vivre ensemble".

    Maintenant faudra payer la facture !


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  • Une internationale anti-Blancs pilotée par Soros

    La suite sur ;
    http://papa-falco.eklablog.com/une-internationale-anti-blancs-pilotee-par-soros-a188169964

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  • Do it yourself : fabrique toi-même ton agression policière raciste !

    DIY. Do it yourself. Compte tenu, du contexte, l’acronyme anglo-saxon s’impose. Tricote toi-même ton agression policière raciste car, comme dit le dicton, on n’est jamais mieux servi que par soi-même. C’est le site actu17.fr qui le relate. La BAC a arrêté, dans le XVe arrondissement, trois hommes déguisés en faux policiers, le scénario était très élaboré et d’une grande complexité psychologique, digne d’une des meilleures séries télévisées françaises de l’été : intervenant pour un larcin commis par un Blanc dans un magasin, les policiers auraient laissé partir le voleur de type européen sans y prêter attention – sifflotant le nez en l’air ou se limant les ongles pour feindre de ne pas le voir – puis interpellé abruptement un homme noir parfaitement innocent quittant le magasin au même moment, l’idée étant évidemment de mettre cette fable flicophobe en ligne pour susciter le buzz que l’on imagine sur les réseaux sociaux. Que ce ne soit pas vrai n’est qu’un détail, puisque cela aurait pu l’être, n’est-ce pas ? All Cops Are Bastards, encore un acronyme venu d’outre-Atlantique. 

    Actu17@Actu17
     
     

     

    Si ce vrai-faux fait divers bricolé avait fonctionné, en délayant et en brodant un peu, France 2, quelques mois plus tard, aurait pu s’en inspirer pour une très belle histoire : on aurait introduit un personnage féminin – par exemple, une caissière, « racisée » de préférence et mère célibataire qui, faisant rempart de son corps, se serait interposée entre les policiers et leur victime. Elle-même, dans un épisode précédent, aurait fait l’objet d’un harcèlement éhonté de la part de son patron, petit bourgeois franchouillard, furieux d’être éconduit par ladite employée. Il aurait aussi refusé d’installer, parce que très radin et très méchant, une plaque en Plexiglas™ devant le tapis roulant – il faut bien faire rentrer au chausse-pied, actualité oblige, un peu de Covid-19 là-dedans -, provoquant par sa ladrerie sadique la contamination et le décès d’une collègue sexagénaire à deux mois de la retraite. Faisant irruption du rayon légumes, cet affreux bonhomme aurait intimé l’ordre à la courageuse jeune femme de reprendre son poste, tandis qu’il aurait enjoint les policiers à embarquer le brave Africain promis, dans la voiture, au même tragique sort qu’Adama Traoré. Deux épisodes plus tard, un médecin – du genre grand bourgeois grisonnant à tropisme Manif pour tous – aurait signé un faux certificat médical concluant à l’innocence des affreux poulets – pour les remercier d’avoir fermé les yeux, par le passé, sur une turpitude sexuelle cachée -, avant de filer en week-end à l’île de Ré. Et pour le rôle principal, on aurait (soyons fous) osé solliciter l’immense Omar Sy qui, pour une cause aussi noble et lui tenant tant à cœur, aurait sans doute consenti une ristourne sur son faramineux cachet. On pourrait trouver cela comique si ce n’était pas si tragique. Cette tentative irresponsable d’utiliser cyniquement le meurtre de George Floyd pour susciter, en France, le même embrasement qu’aux États-Unis est criminelle. Mais, au moins, cette entreprise maladroite et voyante d’antifas pieds nickelés a-t-elle pu, par son amateurisme, être démontée et dénoncée… quand tant d’analogies, discrètes, sournoises, distillées par les people à l’instar d’Omar Sy ou par les politiques comme Jean-Luc Mélenchon, avancent dans les esprits, à pas feutrés.
     
    Gabrielle Cluzel
    Source : http://bvoltaire.fr

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