• Élections partielles aux États-Unis : les candidats de Trump mettent les Démocrates KO !

     

    Le parti de Trump vient de remporter 4 élections partielles (Géorgie, Montana, Kansas, Caroline du Sud).

    Les Démocrates, soutenus par les vedettes d’Hollywood, avaient voulu faire de ce scrutin du 20 juin dans la 6e circonscription de l’État de Géorgie un enjeu national. Le siège avait été laissé vacant à la Chambre des Représentants par le Républicain Tom Price, nommé par le président Donald Trump secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des Etats-Unis. Conformément à la loi de Géorgie, l’élection s’est déroulée en deux tours et le deuxième tour qui a eu lieu le mardi 20 juin opposait les deux vainqueurs du premier tour. Malgré les sommes d’argent monstrueuses dont a bénéficié le candidat démocrate et les appels désespérés de plusieurs célébrités, c’est la Républicaine Karen Handel qui a remporté le siège avec 51,9 % des voix contre 48,1 % pour le Démocrate Jon Ossoff. Certes, cette circonscription est républicaine de longue date, mais Donald Trump n’y avait gagné la présidentielle qu’avec de 1,5 % de voix de plus que Hillary Clinton.

    Les électeurs du Montana devaient voter, le 25 mai, pour choisir entre le républicain Gianforte et son rival démocrate, Rob Quist. Greg Gianforte remporte cette élection qui était considérée comme un test de popularité pour la jeune administration de Donald Trump.

    En Caroline du Sud, le candidat républicain a remporté son duel avec 51% des voix.

    Source : http://lesalonbeige.blogs.com


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  • Tableau récapitulatif des « sanctions » dans un collège envahi de Seine-Saint-Denis

    On attend avec impatience le tableau du 3e trimestre sanctionnant, pourquoi pas, une décapitation à la machette ou un tir de kalachnikov dans la salle des profs...

    Source : http://www.fdesouche.com


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  • S'il n'y avait que ça....Un peu le jeu des 7 familles que voulez-vous ? Le feuilleton n'est pas encore terminé ! 

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    Front national: Pour le successeur de Marion Maréchal Le Pen, l'électorat s'est «démobilisé»

    Mathilde Ceilles

    Marion Maréchal Le Pen, Marine Le Pen et Hervé de Lépinau

    Marion Maréchal Le Pen, Marine Le Pen et Hervé de Lépinau — Bertrand Langlois

    Interrogé par 20 Minutes, Hervé de Lépinau, candidat frontiste dans la circonscription deMarion Maréchal-Le Pen, a affirmé que certains sympathisants du Front national avaient trouvé « la prestation lamentable » de Marine Le Pen lors du débat d’entre-deux-tours, ce qui avait « démobilisé [son] électorat » et conduit en partie à sa défaite face à la candidate LREM Brune Poirson, aujourd’hui secrétaire d’Etat auprès de Nicolas Hulot.

    Pour Hervé de Lépinau, qui a obtenu 49,33 % des voix, certains électeurs, « très remontés », ont eu « le sentiment d’être abandonnés par Marion Maréchal-Le Pen mais aussi par Marine Le Pen, car ils n’ont pas compris qu’elle rate son débat. Mais, moi, je sais la journée qu'elle a eu, elle est arrivée épuisée. Quant à moi, je n’ai pas réussi à remobiliser cet électorat. » Hervé de Lépinau était le suppléant de Marion Maréchal-Le Pen lors de la précédente mandature.

    http://www.20minutes.fr


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  • Macron ne peut rien contre les attentats !

    Et voilà. L’intermède est terminé. Les élections sont passées. En Marche a fait un carton, mais il faut se rendre à l’évidence, les terroristes, eux, ne sont pas tombés sous le charme de Macron. La Macronmania, hélas, ne peut rien contre les attentats.

    Retour à la vraie vie : sur les Champs-Élysées, une voiture contenant deux bonbonnes de gaz, deux pistolets automatiques ainsi qu’une kalachnikov a foncé sur un fourgon de gendarme mobiles, sans faire de blessés. Seul le terroriste de 31 ans qui était au volant a été tué : lors du choc, son véhicule s’est embrasé. Ouf, l’attentat est raté. Qu’il n’ait pas fait de victime masque sa gravité.

    Et pourtant il y a de quoi légèrement s’inquiéter : Le site du Point révèle que l’homme en question, fiché S depuis 2015 était titulaire d’un « permis de détention et de transport en tant que tireur sportif »… que la préfecture de l’Essonne avait renouvelé en février 2017 sans moufter. No stress, l’État surveille les fichés S. Comme la nounou surveille le bébé en lui confiant les couteaux de cuisine.

    Le symbole est fort mais au fond quelle importance ? Chacun sait bien que port d’arme ou pas, un islamiste saura comment opérer. Celui de Notre-Dame n’avait qu’un marteau. Nul n’a besoin d’une autorisation de la préfecture pour faire ses emplettes chez Castorama.

    Chacun sait bien que l’on peut multiplier les fouilles, les ouvertures de sac, les points de contrôle, les bornes anti-intrusion, les chicanes en béton, les barrières de sécurité, les recommandations de ne pas s’attarder devant les portes d’accès ou de signaler les colis abandonnés, sans réussir à rien régler… le terrorisme du pauvre – de celui qui n’a pas peur de mourir et qui est déterminé – n’est jamais à court d’idée.

    Le problème n’est pas tant d’empêcher le terroriste d’agir là où il est, que de l’empêcher de s’y trouver. Et comment le pourrait-on sans – véritablement – filtrer les allées et venues, les entrées et les sorties, aux frontières notre pays ? Macron en a-t-il la volonté ? La réponse est non. Quand bien même il le voudrait, ceux qui l’ont soutenu, aidé, hissé là où il est ne pourraient pas le supporter.

    Et c’est pourquoi tôt ou tard la macronmania tournera à la Bérézina.

    Gabrielle Cluzel

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • La nouvelle Assemblée comptera une quinzaine d’élus issus de l’immigration dite «arabo-musulmane»

    Ils s’appellent Mounir Mahjoubi, Fadila Khattabi, Saïd Ahamada, Brahim Hammouche ou Mostapha Laabid et sont, depuis ce dimanche 18 juin, députés de la République à Paris, en Côte d’Or, dans les Bouches-du-Rhône, en Moselle, en Ille-et-Vilaine. Selon notre pointage, la nouvelle Assemblée devrait compter une petite quinzaine d’élus dits «issus de l’immigration arabo-musulmane». Un reflet d’une diversité globale inédite dans l’hémicycle puisque, hors Outre-mer, ont par exemple été aussi élus pour la première fois, à Paris, la jeune avocate Laëtitia Avia, d’origine togolaise, la bibliothécaire Danièle Obono, d’origine gabonaise, ou l’entrepreneur d’origine sino-cambodgienne Buon Tan. En 2012, on comptait huit députés originaires de pays étrangers, tous élus du PS, dont aucun n’a retrouvé son siège cette année.

    Le sujet est complexe car il renvoie rapidement à un risque d’assignation identitaire, dans un pays où les statistiques ethniques sont illégales, contrairement à l’approche beaucoup plus décomplexée qu’ont le Royaume-Uni ou les États-Unis du sujet. La chaire Moyen-Orient Méditerranée de l’École normale supérieure et l’institut de sondage Ifop viennent de s’en emparer lors d’une enquête dont les résultats préliminaires ont été dévoilés à la veille du second tour. Avec notamment pour objectif, selon l’islamologue Gilles Kepel, d’interroger à l’occasion de ces législatives «ce qui se passe dans les quartiers populaires et parmi les populations d’origine ou de culture musulmane en particulier», sachant que «ces termes posent eux-mêmes question»: un prénom, un nom de famille ou une origine ne définissent pas en eux-mêmes une appartenance ou une pratique religieuse souvent bien plus complexes et nuancées. Cela est illustré par le cas de quelques dirigeants emblématiques du précédent quinquennat comme Najat Vallaud-Belkacem, qui se définit comme «musulmane par héritage» mais pas pratiquante régulière, ou Myriam El Khomri, héritière d’une double culture catholique et musulmane. De manière plus globale, l’enquête dite «Rapfi» menée par le Cevipof en 2005 montrait que 60% des Français originaires d’Afrique et de Turquie se déclaraient musulmans.

    6,5% des candidats
    Selon Jérôme Fourquet, directeur du département opinion et stratégies d’entreprises de l’Ifop, l’objectif de cette enquête est d’«essayer de déminer un sujet et un terrain hautement sensible avec des données objectives et neutres». L’institut est parti de la liste des 7.882 candidats pour essayer, pour l’essentiel à partir de leur prénom, d’identifier ceux appartenant à la diversité. Conclusion: 6,5% des candidats du premier tour affichaient un prénom appartenant à la culture arabo-musulmane. «Cette population a été représentée à due proportion dans les candidats qui ont sollicité les suffrages», explique Jérôme Fourquet, qui rappelle que 6,2% de la population française a au moins un parent musulman.

    (…) Slate.Fr

    http://www.fdesouche.com


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