• La vérité sur l'affaire du gentil petit Théo...

    Parole d' un médecin "Ce qui est bizarre, dans l'affaire Théo, c'est que le dossier médical dans son entier est scellé, et que l'équipe qui a eu des informations médicales concernant l'intervention chirurgicale est tenue au secret absolu, avec de sérieuses menaces si fuites à la presse.
    L’opération, suture de 10 cm de rectum, ce qui signifie coupure par objet tranchant et non contondant comme une matraque, n'est pas en faveur de l'intromission d'un objet mais bien d'une blessure par objet contenu ...dans le rectum. Que contenait le rectum de Théo ? Probablement un contenant (tube de verre contenant coke, cachets d'ecstasie, etc..) qui s'est brisé pendant la lutte avec la police. Aucune des vidéos des caméras de vidéosurveillance (auxquelles le public n'a pas eu accès) ne montre un policier enfonçant une matraque dans le fondement de Théo (en fait les médias et le gouvernement l'appelle affectueusement Théo mais on peut parler de racaille car c'est lui qui est venu se battre avec les policiers). Donc on est fondé de penser que le dénommé Théo cachait dans son rectum un genre de tube à essai en verre, contenant de la drogue, et qu'il a été blessé durant la lutte avec la police. Et souvenez vous du début de l'affaire, il a bien été dit sur toutes les chaines qu'il avait refusé l'examen médical que lui proposaient les policiers.

    Conclusion:
    Nous aimerions que le compte rendu opératoire de cette racaille soit divulgué (étant médecin je sais que la loi le protège), alors nous ne saurons jamais la vérité sauf que Hollande offrait à Léornarda de venir le rejoindre à L’Élysée et qu'il souhaite que Théo le livre en produit de qualité."

    Un médecin.


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  • Le commissariat  des « 3000 » d'Aulnay-sous-Bois définitivement fermé après la fausse « Affaire Théo »

    Suite aux violentes émeutes raciales survenues après la fausse affaire du « viol » de Théo Luhaka, la police française a décidé d’accélérer son désengagement de l’enclave afro-musulmane d’Aulnay-sous-Bois.

    La réaction ne s’est pas fait attendre. Un mois après l’affaire Théo, la direction territoriale de la sécurité de proximité (DTSP) a annoncé la fermeture définitive du poste de police du Galion, à l’entrée de la cité des 3000, indiqué ce vendredi Le Parisien. Le poste était fermé depuis le 2 février, date du viol présumé du jeune Aulnaysien de 22 ans lors d’un contrôle d’identité mouvementé. Le bâtiment avait été la cible de nombreuses dégradations et tags à l’instar de « Police Violeur » ou « Nique la police ».

    Source : http://breizatao.com


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  • Marseille : au Camas, après les murs, des tags directement sur les voitures

    Mais que se passe-t-il au Camas ? Les tags, à caractère politique avec parfois quelques insultes explicites sont de plus en plus fréquents.

     

    Mais que se passe-t-il au Camas ? Les tags, à caractère politique avec parfois quelques insultes explicites sont de plus en plus fréquents. Certes, les façades ont une nouvelle fois été ciblées. Mais un phénomène nouveau a fait son apparition et pour certains habitants, "on passe un palier symbolique". Plusieurs véhicules ont en effet essuyé les assauts de graffitis à la peinture rouge. "Marseille ingouvernable" ou encore "Les élections n'auront pas lieu" sont inscrits sur les murs. Aussi, les forces de l'ordre sont souvent ciblées dans ces inscriptions.

    "Nous avons renforcé les patrouilles dans le secteur"

    "C'est malheureux, ils n'ont sans doute rien d'autre à faire, suppose Jacques, riverain qui se demande où patrouille la police ?". "Ils n'ont aucun respect. C'est navrant" renchérit une habitante de la rue Jaubert où les véhicules ont été dégradés. Anselme Dugain, adjoint à la sécurité et à la prévention de la délinquance dans les 4-5 l'assure : "Des voitures prises pour cible, c'est un fait rarissime. Lorsque l'on nous signale des faits insultants nous agissons rapidement et aussi quand ce sont les forces de l'ordre qui sont visées. Le maire de secteur Bruno Gilles y tient".

    C'est d'ailleurs ce qui s'est passé la semaine dernière. Et les inscriptions ont désormais disparu. En parallèle la lutte contre cette délinquance se poursuit : "Il y a quelques semaines, deux tagueurs ont été attrapés" dans le secteur, affirme l'élu. Néanmoins, il n'est jamais aisé de les appréhender : "Ils font souvent des actions de nuit. C'est donc le jeu du chat et de la souris". Au gré de l'actualité, les messages reprennent sur les murs : "Pendant les manifestations contre la loi travail, les inscriptions se sont multipliées sur les façades", notamment dans la rue du Progrès, explique Aline, riveraine qui constate que "l'on retrouve même des pages sur les réseaux sociaux avec ces inscriptions". Concernant les véhicules dégradés dans le 5e arrondissement, "nous avons renforcé les patrouilles dans le secteur", explique une source policière.

    S.C.

     http://www.laprovence.com/article/papier/4345701/apres-les-murs-des-tags-directement-sur-les-voitures.html

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  • Justice : lourde condamnation pour Enrico Macias

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    Le Tribunal de Luxembourg a condamné mercredi le chanteur français Enrico Macias à payer 30 millions d’euros à la filiale luxembourgeoise de la banque islandaise Landsbanki, aujourd’hui en liquidation, qui lui avait accordé en 2007 un prêt d’un montant de 35 millions d’euros.

    La justice luxembourgeoise a également autorisé une saisie-arrêt sur les contrats d’assurance-vie de l’artiste afin de s’assurer du recouvrement des 30 millions d’euros au liquidateur de la banque.

    En juillet 2007, Enrico Macias et son épouse, aujourd’hui décédée, avaient contracté un prêt auprès de Landsbanki, garanti par deux biens immobiliers, dont la villa du chanteur à Saint-Tropez. En 2008, la banque islandaise est déclarée en cessation de paiement puis en liquidation et la valeur du portefeuille d’assurance-vie s’écroule.

    En 2009, le liquidateur de la banque réclame à l’artiste le remboursement intégral du prêt qui s’y oppose et attaque en justice la banque pour « faute  » et « mensonge « , réclamant à l’institution bancaire près de 43,513 millions d’euros de dommages et intérêts.

    Les avocats d’Enrico Macias devraient très probablement faire […]

    Éric Hazan – © Le Monde Juif 


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