• SYNDICAT DE POLICE FRANCE 

    Communiqué de presse

    Le 03 Mai dernier, Nicolas Gardères, avocat au barreau de Paris, alors invité de l'émission « Bistro Libertés » sur La Chaîne TV libertés, a tenu des propos inacceptables à l'encontre des forces de police.

    Prenant la parole sur le sujet de l'épuisement général des policiers dans le contexte de fortes tensions sociales que nous connaissons actuellement, ce dernier a commencé par juger « sain » dans une société démocratique de détester la police. Pour continuer crescendo, en jugeant évident que les agents de police soient insultés, puisque selon lui, « payés pour ça », et conclure son anathème par ceci : « Vous verriez ces sales flics comment ils se comportent. On les connaît les flics. (...) La jouissance du flic à frapper, la jouissance du flic... N'oubliez jamais : pourquoi devient-t-on flic ? Pourquoi devient-on militaire ? Parce qu'à un moment, et ça il ne faut jamais l'oublier, il y a une jouissance à tuer, il y a une jouissance à tabasser.»

    Le syndicat France Police rappelle à Monsieur Gardères que les agents et officiers de police ne sont pas rémunérés pour se faire agresser verbalement ou physiquement, mais pour faire respecter la loi, émanation de la volonté populaire. Plus encore, nous condamnons ses propos selon lesquelles les motivations premières des policiers dans le cadre de leur service serraient dictées par une pulsion de violence et de mort.

    Ainsi, si nous avons le plus grand respect pour la chaîne TV Libertés, qui a le mérite de laisser s'exprimer toutes les sensibilités politiques, nous ne pouvons accepter que toute une institution soit salie. Une plainte a donc été déposée à l'encontre de Monsieur Nicolas Gardères, qui aura à répondre de ces propos devant la justice.

     

     

    Photo de Syndicat France Police.

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  • François Hollande victime du réchauffement climatique..

     

     

    Le zouave de l’Élysée a maintenant de l’eau jusqu’aux oreilles et la décrue n’est pas annoncée avant au moins neuf mois.


    Dès les premiers débordements de Seine et autres Loing, François Hollande a surgi pour donner l’explication du phénomène. 
    Suspendue à ses lèvres, la communauté scientifique attendait, crayon à la main, de noter les saintes paroles de l’oracle. 
    Pourquoi toute cette pluie, mon bon Président ?
     Vous qui êtes un spécialiste, qui ne manquez aucune averse, qui descendez les Champs-Élysées sous des trombes d’eau… 
    De grâce, délivrez-nous votre savoir. 
    Entre deux éclairs, le Nostradamus de la météo assena la vérité foudroyante : « C’est la faute au dérèglement climatique ! C’est lui, je l’ai reconnu. » 
    « Mais bon sang, mais c’est bien sûr ! » s’exclamèrent les climatologues pâmés devant tant de connaissance.
     Plutôt rabat-joie, Nicolas Hulot ne se montra point aussi catégorique. 
    Il faut voir… 
    Peut-être… 
    Allez savoir… 
    Les crues du XVIIIe siècle étaient-elles dues, elles aussi, au réchauffement ?

     Et le chômage ?
     Ne serait-il pas la conséquence évidente d’un transfert de glaciation du pôle Nord vers Pôle emploi ?
     Et les cotes de popularité qui fondent à vue d’œil ? 
    Pour son « après 2017 », un destin de climatologue se dessine pour François Hollande. 
    Face aux lubies de la météo, l’homme donnera son explication. 
    Trop froid ?
     C’est le réchauffement. 
    Trop chaud ?
     C’est le… Trop sec ?
     Idem. Trop mouillé ? Heu…
     Au risque de me répéter, je pense qu’il s’agit du réchauffement climatique. 
    L’empressement à invoquer ce sacro-saint réchauffage est étrange. 
    L’attitude rappelle le vendeur de voitures d’occasion qui fait feu de tout bois pour tenter de caser sa vieille bagnole au kilométrage trafiqué. 
    Quand il y a des phénomènes climatiques de cette gravité, nous devons être tous conscients que« c’est à l’échelle du monde que nous devons agir », a ajouté le catastrophiste élyséen. 
    Présidents américain, indien, japonais, chinois doivent se réunir d’urgence pour parler des crues dans l’Essonne. 
    Et la Seine-et-Marne ! 
    Et vite, avant que l’eau baisse !
     Qu’ils voient l’ampleur de la catastrophe mondiale !
     Et si jamais la décrue était amorcée, on remettra de l’eau ! 

    En signe de solidarité, François Hollande déborde. 

    Le zouave de l’Élysée a maintenant de l’eau jusqu’aux oreilles et la décrue n’est pas annoncée avant au moins neuf mois. 


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  • L’État incapable d’assurer la sécurité publique


     

    Au grand désespoir de nombreux Français, notre pays s’enfonce chaque jour un peu plus dans le chaos et la violence.

    L’État incapable d’assurer la sécurité publique
     Complètement dépassés par des événements qu’ils ont eux-mêmes initiés, MM. Hollande, Valls et Cazeneuve en sont réduits à être les spectateurs impuissants d’une guérilla urbaine qui, sous prétexte de droit à manifester, ravage, au quotidien, les rues de Paris et de nos villes de province.
    Alors que l’état d’urgence sévit et devrait assurer à tous les citoyens une paix durable, le laxisme et l’incurie de l’État socialiste provoquent exactement le contraire.
    Dernier épisode en date, le jeudi 2 juin, en plein après-midi, en marge d’une (nouvelle) manifestation de la CGT, une « horde sauvage » d’environ une centaine de casseurs cagoulés, armés de barres de fer et de haches, ont fait irruption rue de Vaugirard, dans le 15e arrondissement de la capitale, créant un véritable mouvement de panique chez les commerçants et les habitants.
     Pendant plus d’une heure, ils ont détruit vitrines, véhicules et mobilier urbain sans être inquiétés.
     Sur les 17 individus finalement interpellés, la plupart ont été libérés, faute de preuves ! Ce énième loupé judiciaire, dû à des cadres juridiques complètement inadaptés aux situations que nous vivons, ne peut que faire regretter la loi anti-casseurs édictée en juin 1970 par le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas, suite aux manifestations violentes de mai 1968. 
    Cette loi avait été abrogée en 1981 lors de l’arrivée au pouvoir du gouvernement socialo-communiste de Mitterrand.
    Compte tenu de ces événements, le peuple français est en droit de se demander si les notions d’ordre et de sécurité publics ont encore un sens aujourd’hui dans notre pays. 
    Le droit à la sécurité pour chacun et chacune fait partie de ces droits fondamentaux sans le respect duquel l’exercice d’aucun autre n’est possible. 
    Fonction régalienne de l’État, la sécurité intérieure doit être assurée, et tous les moyens mis en œuvre pour que les personnes et les biens puissent voir leur intégrité garantie. 
    C’est par l’exercice de la violence légitime concédé à l’appareil étatique que cette mission, fondamentale en démocratie, peut être assurée. 
    En laissant se perpétrer dans notre pays de telles agressions, l’État rompt le contrat qu’il a avec le peuple. 
    Dès lors, si ses représentants élus – président de la République, Premier ministre, ministres – sont dans l’incapacité de faire face à leurs missions, ils doivent partir. 

    Or, depuis trop longtemps maintenant, la situation sécuritaire se détériore. 

    Les impacts sont innombrables et touchent tous les secteurs de la vie sociale et économique de notre pays.

     Déjà fragilisée par des politiques publiques approximatives, hasardeuses, inefficaces et mortifères pour notre société, la coupe est pleine. 

    Les responsables de cette situation, dont la France mettra, à n’en pas douter, des décennies à se remettre, doivent enfin prendre leurs responsabilités, cela même avant que le peuple ne les congédie ! 


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  •  Toulouse : Le rappeur Freddie Gibbs interpellé avant son concert

    RAP Freddie Gibbs, figure de la scène rap américaine, est sous le coup d’un mandat d’arrêt pour viol lancé par la justice autrichienne…

    Freddie Gibbs dans le clip de Thuggin' (2014)Freddie Gibbs dans le clip de Thuggin' (2014) - Madlib Invazion / Youtube

    Olivier Aballain

    Freddie Gibbs avait annulé son concert du 26 mai à Vienne, mais il pourrait y aller contraint et forcé : A la demande des autorités autrichiennes, le rappeur américain a été interpellé en pleine ville à Toulouse, jeudi 3 juin au soir. Il s’était produit au Trabendo, à Paris, le 1er juin.

    Selon La Dépêche du Midi, il a été arrêté par le SRPJ de Toulouse, alors même qu’il s’apprêtait à rejoindre la salle du Rex, dans la ville rose, où il devait donner un concert.

    Freddie Gibbs, de son vrai nom Frederick Tipton, fait l’objet d’une enquête ouverte pour viol, par la justice autrichienne. Un mandat d’arrêt européen avait été émis à son encontre, pour des faits datés de 2015. Selon FranceTVinfo, le rappeur a été placé en détention en attendant son extradition vers l’Autriche.

    « Jamais de viol, je ne suis pas comme ça »

    Freddie Gibbs avait annulé son concert à Vienne le 26 mai, en prétextant « un souci de transport ».

    Freddie Gibbs, bientôt âgé de 34 ans, est devenu un acteur majeur de la scène hip-hop américaine en 2014, grâce à l’album Piñata, sorti en collaboration avec le producteur Madlib.

    On ne sait rien pour l’heure des faits reprochés à l’artiste américain.

    Dans un entretien au site Noisey, daté de la fin 2012, il confiait avoir déjà été condamné pour possession de drogue et d’arme à feu, mais s’enorgueillissait alors de n’avoir commis aucun délit autre que ceux liés à sa propre défense. « Aucune agression, jamais de viol, je ne suis pas comme ça », disait-il.

    En 2014, Freddie Gibbs avait été ciblé, sans être touché, par plusieurs coups de feu tirés sur lui alors qu’il sortait d’un concert à Brooklyn, un quartier de New-York.

    http://www.20minutes.fr/toulouse/1858891-20160604-toulouse-rappeur-freddie-gibbs-interpelle-avant-concert


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