• Insultes et menaces de mort : panique au standard de la CGT 

    Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT. © AFP PHOTO/ DAMIEN MEYER 

    Depuis une semaine, les standardistes du siège de la CGT à Montreuil sont débordés par les appels douteux. Le ras-le-bol du conflit social se fait sentir.

    Il ne fait pas bon être standardiste à la CGT en ce moment.
     Dans les colonnes du JDD, Nickye et Marie racontent leur quotidien : insultes, menaces, blagues potaches… 
    Une recrudescence d'appels qui fait écho au durcissement du mouvement social mené par Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT. 
    Nombreux sont les exemples donnés par les deux femmes qui disent avoir « arrêté de compter les menaces de mort ». 
    Depuis une semaine, les messages vulgaires font partie de leur quotidien : « Bonjour, je suis monsieur Connard, je viens m'inscrire à la CGT, je pense que j'y ai ma place », « Bonjour, je suis barbier, je viens raser la moustache de Martinez », « Salut les cons, passez-moi Staline-Martinez »…
    Le langage est fleuri.a Vendredi dernier, au moment fort de la pénurie de carburant, plus de 2 000 appels ont été enregistrés, explique Rafik Mansouria, responsable de l'accueil du siège de la centrale, au JDD. 
    « Je n'ai jamais connu ça », explique Nickye. Mercredi dernier, raconte Marie, à la suite d'un appel, le personnel de sécurité a été mobilisé et placé à l'entrée : une bande arrivait pour « tout casser ». 
    Sans suite.

    CGT, l'impopulaire
     
    La multiplication des actions menées depuis plusieurs semaines contre la loi travail, à l'appel de la CGT, a provoqué la colère de bon nombre de Français, « pris en otage » par les différents corps de métiers en grève : moins de trains en circulation, blocage des raffineries, centrales nucléaires à l'arrêt… 
    La liste est longue et la patience de certains Français déjà bien écornée. 
    Le 26 mai dernier, Julien Leclercq, patron de PME, publiait dans Le Figaro une lettre ouverte « d'unsalaud de patron à Philippe Martinez ».

    Une ligne dure choisie par Philippe Martinez, qui ne réconcilie pas la CGT avec les Français : dans un sondage publié par Le Parisien le 29 mai dernier, 63 % des personnes interrogées estimaient avoir une mauvaise opinion de la CGT. 
    Le chiffre montait à 67 % pour son secrétaire général, Philippe Martinez. 
    En attendant l'accalmie, Nickye et Marie devront continuer à répondre aux appels parfois complètement délirants, comme ceux d'un homme qui les a contactées plusieurs fois pour chanter L'Internationale.

    Source :Le Point


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  • Posté par : LA LIGUE PATRIOTIQUE 36

    INDRE 36
    Un braqueur de l'Indre devant les jurés du Cher

    Le Palais de justice de Bourges, où se tient le procès.
    Accusé de 24 braquages dont 5 à Saint-Maur, Issoudun et au Blanc un habitant de Montierchaume est devant ses juges....
    Cour d'assises du Cher
    Sur les vingt-quatre braquages qui lui sont imputés dans toute la région Centre (Indre-et-Loire, Vienne, Creuse, Eure-et-Loire, Cher et Indre), un habitant de Montierchaume n'en reconnaît que dix. Une position qu'il défend avec son conseil depuis lundi, devant la cour d'assises du Cher. Des braquages souvent violents dont le butin – selon les versions – va de 65.000 € à 130.000 €. Quarante victimes se sont constitué parties civiles et, parmi elles, « des personnes toujours autant traumatisées », constatent leurs conseils.
    Sur le département de l'Indre, cet homme est poursuivi pour les braquages du Babou de Saint-Maur, en juin 2010 ; du Gifi de Saint-Maur, en juillet 2010 ; du Gifi d'Issoudun, en novembre 2011 ; du Mac'Do de Saint-Maur, en juillet 2012 et enfin, du Lidl du Blanc, en janvier 2014.

    Quinze ans de prison requis par l'avocat général
    Quelques heures après cet ultime braquage, cet Indrien très recherché, était interpellé par les GIGN.
    Vendredi, à Bourges, au terme de son réquisitoire, l'avocat général a requis 15 ans de réclusion criminelle.
    Dernière journée de ce procès, demain lundi, avec la plaidoirie de la défense, puis l'énoncé du verdict.
    La .NR


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  •  Verdun : je viens de porter plainte contre Hollande pour violation de sépultures 

    Par:  ..

     Plainte contre Hollande pour violation de sépultures a "Verdun"

    Dans mon article du 30 mai dernier, je faisais part de ma volonté d’organiser une action pour protester contre cet acte odieux consistant à profaner des tombes en les piétinant (puisque l’espace entre chaque correspond à l’emplacement précis où repose horizontalement le défunt), a fortiori des tombes d’hommes morts au combat pour sauver notre patrie, laquelle est devenue un encombrant fardeau dont il serait urgent de se débarrasser au bénéfice d’un mondialisme consumériste assassin imposé par l’UE et les oligarchies étrangères désireuses de mettre nos peuples sous tutelle.

     

    Manuel Valls, dont probablement aucun des aïeux n’est venu défendre la France, a estimé que la cérémonie était… « belle ».
     Des jeunes en t-shirts colorés courant au milieu de croix et mimant des postures grotesques… nous n’avons manifestement pas le même sens de l’esthétique. 
    Il s’agissait, selon lui, de « rendre hommage à ceux qui ont versé leur sang pour notre patrie et pour la liberté », a t-il osé proférer, alors même que ce régime n’a de cesse de conchier la patrie, de restreindre nos libertés, de faire des procès d’intention, d’interdire la diffusion de photos des victimes d’islamistes au nom de « l’atteinte à l’intégrité de cadavres », mais qui n’hésite pas, cependant, à user de la photo du petit Aylan tué avec son frère par la seule faute de leur père, à seules fins de faire pleurer dans les chaumières et de culpabiliser les Français qui n’y sont pour rien.
    Décidément, pour les socialistes tous les morts ne se valent pas, et toutes les lois les concernant non plus !
     Au pays du tout égalitaire, il y a de quoi s’interroger.
    Un internaute taquinait : « Un petit jogging sur la tombe de Mitterrand et Jaurès ? ». 
    Et pourquoi, pas du coup, puisque apparemment on peut le faire. 
    Mais non, personne ne le fera, tout simplement parce que quand on est un humain civilisé et éduqué on ne piétine pas une tombe, quel que soit celui qui repose dessous.
    Après avoir contacté plusieurs associations d’anciens combattants susceptibles, normalement, de s’indigner assez pour réagir, je n’ai reçu qu’une seule réponse en retour.
     Et le moins que l’on puisse dire c’est que la « commémoration » est restée en travers de la gorge de l’expéditeur, qui m’a fait savoir qu’il avait de son côté contacté des associations « patriotiques et d’anciens combattants » afin de déterminer d’actions à venir après, dit-il, avoir bu « le calice jusqu’à la lie ! ». 
    Il m’a précisé que le sujet serait traité dans le prochain numéro du magazine La Voix du Combattant.
    Par ailleurs, sur le site de l’ASAF (Association de Soutien de l’Armée Française), laquelle avait adressé un courrier de protestation à l’Elysée, suite à la programmation du bouffeur de kouffars Black M, j’ai trouvé ces quelques lignes rédigées le 16 mai par l’Officier Général Pierre Zammit : « vous avez perdu tout bon sens en imaginant que l’on pouvait commémorer le souvenir des 300.000 de morts français et allemands de Verdun, du sacrifice des Poilus, en chantant et en dansant à proximité de cet ‘immense champ de morts’. Alors, je n’accepte pas d’être traité de facho, réac et raciste parce que j’ai envie que la mémoire de mon grand-oncle soit respectée. 
Je n’accepte pas d’être traité de facho, réac et raciste parce que j’estime que l’histoire de notre pays mérite mieux que la sarabande que vous projetiez. 
Je n’accepte pas d’être traité de facho, réac et raciste parce que je souhaite que l’on commémore dans la dignité les héros qui ont fait l’Histoire de France, ceux qui sont célèbres comme les anonymes de Verdun ».
     
    Deux jours plus tôt, le colonel Michel Goya écrivait sur ce même site au sujet de son grand-père soldat rescapé de la der des ders : « Je ne suis pas sûr que cet homme-là, qui parlait pourtant de tout cela avec la légèreté de l’évidence, ait apprécié pour autant que l’on décida de s’amuser pour célébrer le courage et le sacrifice de ses camarades. (…) 
Je ne pense pas qu’en écoutant les quelques textes de cet artiste et de ses camarades, il ait pu retrouver les valeurs qui l’animait à l’époque, des choses futiles comme la défense de la nation ou la fraternité entre ceux qui la constituent. (…) Il y a en revanche une chose dont je suis sûr, c’est qu’il eut été furieux que l’on qualifia son « étonnement » de réaction « rance », raciste voire fascisante, comme si s’insurger contre l’indigne était un monopole du Front national ».
     
    Et en cette mi-mai, personne n’avait encore couru au son des tam-tams sur les tombes des camarades de ce soldat.
    Comme il n’était pas question d’accepter que cette profanation du 29 mai 2016 reste impunie, j’ai donc décidé de porter plainte contre le président de la République, donneur d’ordre de cette infamie au sujet de laquelle mon correspondant de l’Union Nationale des Combattants écrit « Nous nous attendions à une ‘’commémoration’’, nous avons eu un ‘’spectacle’’ ! ».
     
    Visiblement très remonté, celui-ci poursuit : « Il y a eu d’autres ‘’couacs’’ dont la presse n’a pas fait l’écho mais qui sont tout aussi condamnables. Notamment, le fait religieux a totalement été exclu de ces journées. L’évêque de Verdun a célébré tout de même une messe le samedi soir en hommage aux poilus morts à Verdun. Aucun membre du gouvernement n’était présent, pas même le sous – préfet !! ». (…) L’UNC « regrette que les organisateurs aient  gâché une magnifique occasion de faire réfléchir notre jeunesse sur ces fameuses ‘’valeurs de la République’’ impliquant engagement, sacrifice, sens de l’intérêt collectif, réflexion sur des valeurs qui méritent que des vies humaines leur soient consacrées. Une fois de plus, le ‘’spectacle’’ l’a emporté, en cohérence avec la valeur suprême que deviennent, dans l’air du temps, le loisir et le sens  

     Plainte contre Hollande pour violation de sépultures a "Verdun"

    Je viens donc, ce jour, d’adresser par courrier recommandé au procureur de la République une plainte contre François Hollande pour contravention à l’article 225-17 modifié par la loi du 19 décembre 2008 qui stipule que « toute atteinte à l’intégrité du cadavre, par quelque moyen que ce soit, est punie par un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
     
    La violation ou la profanation, par quelque moyen que ce soit, de tombeaux, de sépultures, d’urnes cinéraires ou de monuments édifiés à la mémoire des morts est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ».
     

     Plainte contre Hollande pour violation de sépultures a "Verdun"


    Car il faut que soient enfin respectés notre pays et notre peuple, les morts comme les vivants.
     Le régime en place doit entendre qu’il n’a aucune légitimité à profaner nos morts tombés pour avoir défendu bravement les frontières de la France, il doit entendre que nous ne sommes pas à vendre ni à brader à des instances étrangères hostiles, il doit entendre que la défense de nos frontières et de nos intérêts fait partie de leur devoir et que le peuple est et demeure souverain.
    On ne peut plus continuer à attendre indéfiniment que quelque chose d’hypothétique se passe. 
    Il ne faut plus hésiter à intenter des actions quand nos droits sont bafoués, quand les nôtres sont touchés.

     Nous avons la loi pour nous, nous avons la constitution pour nous.
     
    A travers cette plainte, dont j’espère qu’elle sera instruite, c’est aussi ce message-là que je voudrais faire entendre : debout !
     
    Caroline Alamachère 

    ripostelaique.com

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  • Rocade portuaire de Calais: des bonbonnes de gaz sur les barrages

     

    Les migrants qui tentent de bloquer la rocade utilisent des moyens « de plus en plus dangereux » selon les syndicats de police. 

         «On est monté d’un cran au niveau des risques sur la rocade. »


     L’inquiétude de Frédéric Baland, représentant Alliance Police nationale, la majorité des syndicats la partagent. Et ils sont amers.

    Inquiétudes sur le terrain
     
    En cause, les « nouvelles pratiques » de certains migrants lors des blocages incessants la nuit, sur la rocade portuaire.
     Le syndicaliste parle de « matelas enflammés, avec des bouteilles de gaz à proximité. » 
    Des faits graves, confirmés par Gilles Debove, représentant syndical SGP-FO Police. 
    « Il arrive que les migrants mettent le feu » à des bouts de bois ou des troncs d’arbre avant de placer « des bouteilles de gaz », juste à côté. 
    Le sentiment d’impuissance face aux méthodes des exilés ne fait qu’augmenter : « On n’a pas envie de perdre un collègue. » 
    Le phénomène perdure depuis dix ou 15 jours selon les fonctionnaires interrogés. 
    Qui en a eu l’idée ?
     Pourquoi agir de la sorte ? 
    « On ne sait pas, répond Frédéric Baland. On a franchi une étape, il n’y a pas de mots pour expliquer ça. Si un véhicule percute un barrage avec une bonbonne, les conséquences peuvent être dramatiques. » 
    Sur les terrains, les consignes ont été données pour « intervenir avec prudence ». 
    Le constat est le même du côté de SGP-FO : « Les collègues ont beaucoup de craintes, ils sont à bout et prennent de plus en plus de risques. » 
    Les sapeurs-pompiers qui sont aussi régulièrement sur la rocade ont également eu des consignes pour prendre toutes les mesures nécessaires afin d’intervenir sans risque.

    Thomas DAGBERT

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