•  Pour Attali, le socialisme, C'est à 62 ans que le gouvernement socialiste doit "détruire" les vieux.

    Jacques Attali, à l’époque conseiller particulier de Mitterrand, écrivait en 1981 dans son ouvrage L’avenir de la vie (Seghers 1981) les considérations suivantes: « …l’allongement de la durée de la vie n’est plus l’objectif souhaité par la logique du pouvoir. Dès qu’il atteint 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. En effet du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement… L’euthanasie sera dans tous les cas un des instruments essentiels de nos sociétés futures, dans tout les cas de figure…Des machines à tuer permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera insupportable et économiquement coûteuse. Je pense donc que l’euthanasie sera la règle de la société future. »”

    Que dit-t'il maintenant ce clown  ,bien content d'être vie ...

     

    Ecoutons-le, le chantre du « socialisme »:

    Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie (des gens du peuple - ndlr). L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures.
    "
    
Jacques Attali, L’avenir de la vie, 1981

    Cette idée géniale, il la reprend en 2005 et, notez-le, dans les mêmes termes :

    "Dès qu’il dépasse 60 - 65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement".
    Jacques Attali, L'Homme nomade, 2005.


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  •  Les porteurs de valises au service des Islamistes  

     Les porteurs de valises au service des djihadistes  !!!

    Une association humanitaire française soupçonnée de financer des Djihadistes ..

    Une association humanitaire française est dans le collimateur de la justice française. Deux dirigeants de «Perle d’espoir» ont été mis en examen pour «financement du terrorisme et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste», selon une information dévoilée par «Le Monde». L’association profiterait de convois humanitaires  pour envoyer de l’argent à des combattants syriens.

    L’association «Perle d’espoir» serait en fait en contact régulier avec des membres de la Brigade des faucons du Cham, un groupe affilié au Front islamique, une nébuleuse de rebelles salafistes qui combat Bachar al-Assad, raconte le site du quotidien. A l’international, ce groupe est un allié de l’Occident, mais sur le plan local, il est proche d’Al-Nosra, un mouvement qui prête allégeance à Al-Qaïda.

    «Perle d’espoir» s’est rendue à deux reprises en Syrie : en août et octobre Les porteurs de valises au service des djihadistes  !!! 2013. Lors du deuxième voyage, trois membres de l’association sont contrôlés à l’aéroport de Lyon en possession de sommes d’argent (inférieures à 10 000 euros). Et les autorités françaises auraient établi qu’une partie de ces sommes était destinée à des groupes de combattants.

    En janvier 2014, les comptes de l’association sont gelés par un arrêté ministériel. Un troisième convoi vers la Syrie est alors avorté. Nabil O., le responsable opérationnel, prend la décision de se rendre seul en Syrie. De retour en France en juillet, il est finalement incarcéré pour une condamnation de droit commun, rapporte toujours Le Monde.

    Mais mardi dernier, en compagnie de la présidente de l’association, Yasmine Z., et de trois autres membres, il est placé en garde à vue. Nabil O. a alors, selon Le Monde, affirmé qu’il avait rejoint la Syrie en tant qu’ambulancier d’un groupe proche de la Brigade des faucons du Cham. Sur son profil Facebook, des photos montrant des armes et des images de décapitations existeraient pourtant et viennent «relativiser sa vocation humanitaire», explique le quotidien. Au vu des charges qui pèsent contre lui, Nabil O. a été placé en détention provisoire. Sa présidente est, elle, sous contrôle judiciaire. Les trois autres gardés à vue ont été relâchés.

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/une-association-humanitaire-francaise-soupconnee-de-financer-des-jihadistes-22-11-2014-4313875.php

    © Gaïa pour www.Dreuz.info


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  • Ceux qui osent qualifier l’islam de religion sont des collabos ..René Marchand : ceux qui osent qualifier l’islam de religion sont des collabos ..

    Au sommet de sa forme, notre ami René Marchand s’est livré, pendant 22 minutes, lors des Assises sur la Remigration, à un magistral exposé sur les enjeux de la guerre quotidienne qui se déroule sur notre sol. L’ovation qu’il a reçue à la fin de son intervention montre qu’il a été compris…


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  • 18 novembre 1928

    Naissance de Mickey

    Mickey et son "père" (montage photo de Science et vie découvertes)Le 18 novembre 1928, les spectateurs New Yorkais du Colony Theater applaudissent Mickey Mouse dans le film Steamboat Willie. Il s'agit de la parodie parlante d'un succès de Buster Keaton, un comique du cinéma muet rival de Charlie Chaplin.

    La petite souris, qui devait initialement s'appelerMortimer, a été rebaptisée Mickey sur les instances de Mme Disney, la femme de son créateur.

    Ce dernier, Walt Disney, prête sa voix à Mickey mais le résultat est si affligeant que dans le filmFantasia, la souris deviendra muette !

    Richard Fremder raconte... Walt Disney

    Richard Fremder et son interlocuteur reviennent sur Mickey, Blanche-Neige, leur créateur... et leurs sources d'inspiration européennes :
    Écouter (50 minutes) :


        

    Naissance d'un art

    Le dessin animé a été inventé en 1892 par un Français, Émile Raynaud, pour le compte du musée Grévin, à Paris, quelques années avant la naissance du cinémalui-même ! Émile Raynaud invente aussi la pellicule perforée qui sera reprise par le cinéma avec le succès que l'on sait.

    Le dessin animé connaît un bref essor avec un autre Français, Émile Cohl, mais c'est seulement au début des années 1920 qu'il entre dans l'ère moderne avec la mise en oeuvre de la taylorisation et de la fragmentation des tâches.

    Ces techniques empruntées à l'industrie permettent d'abaisser considérablement le coût des productions. Il faut dire qu'un dessin animé réclame beaucoup plus de travail et d'investissement qu'un film classique pour obtenir les 24 images par seconde indispensables à une bonne animation.

    Les premiers dessins animés, souvent à vocation publicitaire, sont des courts métrages de quelques minutes («cartoons» en anglais). Ils mettent en scène des personnages de fantaisie tel que Félix le chat.

    Un conteur sans pareille

    La statuaire de la cathédrale de Naumburg (1260) a inspiré les personnages de Blanche-NeigeNé à Chicago le 5 décembre 1901, Walter Elias Disney passe son enfance à la ferme, auprès d'un père violent. Il s'engage à 16 ans, pendant la Grande Guerre, comme ambulancier de la Croix-Rouge. Puis il entre dans la vie active comme dessinateur publicitaire.

    Avec son frère Roy et son ami Ubi Werks, dessinateur beaucoup plus talentueux que lui, il monte à Chicago un studio, Hollywood Walt Disney Studio, et crée un nouveau personnage,Oswald le lapin. Mais celui-ci lui est volé par son distributeur, la société Universal...

    Et c'est dans le train qui le ramène de New York, où il a discuté avec ce distributeur, qu'il aurait eu l'idée d'un nouveau héros, Mickey la souris. Celle-ci s'acquiert un très rapide succès grâce au talent de conteur et de scénariste de Walt Disney et de nouveaux personnages viennent lui tenir compagnie (Donald le canard, Minnie...).

    Le studio devient une fructueuse affaire commerciale. Mais Walt Disney n'en reste pas là. En 1937, il lance un incroyable pari en investissant toute sa fortune dans la fabrication d'un premier dessin animé long métrage.

    Image de Blanche-NeigeIl choisit de mettre en images un conte des frères Grimm. Ce sera Blanche-Neige et les sept nains. Pour sa réalisation (un million d'images colorisées), le studio mobilise pas moins de 700 personnes !

    Pour plus de véracité, ses scénaristes et dessinateurs se plongent dans les livres d'art et d'histoire européens. Ils vont puiser leur inspiration dans l'architecture et la sculpture gothique.

    Jusqu'à la première représentation, Walt Disney se demande si le public acceptera de regarder le dessin animé pendant pas moins d'une heure et demie... On connaît la réponse !

    Blanche-Neige fait un triomphe, suivi de plusieurs autres, Pinocchio, Fantasia, Peter Pan... et dès lors, la compagnie Disney se transforme en une fabuleuse fabrique de rêves, sans doute l'un des principaux apports des États-Unis à la culture universelle du XXe siècle.

    Patron exigeant et parfois brutal, tout entier dévoué à son art, soucieux de perfection, Walt Disney supervise lui-même toutes les créations et crée des classes d'art pour former ses propres animateurs.

    Les affaires avant tout

    Avec le semi-échec de Fantasia en 1940, la magie s'affadit. 

    Après la Seconde Guerre mondiale, Walt Disney délaisse la création et se préoccupe par-dessus tout de valoriser les produits dérivés de ses films. Il ouvre en Californie,en 1955, le premier parc d'attractions, Disneyland

    L'homme d'affaires ternit quelque peu son image dans les années 1950 en participant à la «chasse aux sorcières» du sénateur anticommuniste Joseph Mccarthy.

    Après sa mort, le 15 décembre 1966 à Los Angeles, le dessin animé va rester le domaine réservé des Américains jusqu'à l'irruption des productions japonaises au début des années 80.

    Les productions Disney vont elles-mêmes suivre la tendance générale en délaissantl'Europe, ses princes charmants et ses contes, au profit d'histoires empruntées à l'Orient (Aladin), à l'Amérique (Pocahontas) ou à l'Afrique (Le Roi-Lion). 

    Richard Fremder          http://www.herodote.net/

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  • Piqure de rappel ou le blog "Ma France" en porte les couleurs sur le travail de vérité que nous lui remercions ...

      http://by-jipp.blogspot.fr/

    El Alia et le massacre du 20 août 1955

    philippeville
    Le 10 novembre 2014
     
    Par notre ami Manuel Gomez Ecrivain
     
     
    Y avait-il quelqu’un, même un simple anonyme, ce samedi matin, 1er novembre, pour se recueillir sur les tombes de ces 123 victimes du FLN ?
     M. Bouteflika, Président de la République Algérienne, entouré de nombreux membres de son gouvernement, du Président du Conseil et du ministre de la Défense, s’est recueilli samedi matin 1er novembre, devant le carré des martyrs au cimetière d’El Alia, à Alger.

    El Alia (à l’époque El Halia) est un nom hautement symbolique : celui d’une victoire écrasante du FLN vers la conquête de l’indépendance de l’Algérie.

    C’est dans ce petit village minier près de Philippeville, où les Arabes et les Français cohabitaient en parfaite osmose, que le 20 août 1955 à 12h, une katiba (bande de terroristes-égorgeurs du FLN), armée jusqu’aux dents, a massacré 123 habitants (71 européens, 52 musulmans et 120 disparus).

    Mais je laisse la parole à Marie-Jeanne Pusceddu, qui était sur place ce jour-là (Marie-Jeanne a été recueillie par les sœurs de Saint Vincent de Paul à Lacanau-les-Bains (Gironde) :

    « Il était 12h lorsque nous avons entendu des coups de feu et les youyous des mauresques. Tous les hommes travaillaient à la mine. Ma belle-sœur, Rosé, sa petite dernière, Bernadette (3 mois) dans les bras, et ses enfants, Geneviève, 8 ans, Jean-Paul, 5 ans, Anne-Marie, 4 ans et Nicole, 14 ans, sont venus se réfugier chez nous. Il y avait ma mère, mon frère Roland, 8 ans, mes sœurs Suzanne, 10 ans, et Olga, 14 ans, et mon mari qui venait de rentrer pour déjeuner avec nous. Mon autre fils, Roger, 17 ans, travaillait à la mine.

    Les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coups de hache. C’était Chérif qui le dirigeait. Chérif, le chauffeur de taxi, notre ami, lui qui avait assisté à notre mariage et était venu nous chercher à la gare à notre retour du voyage de noces. Il commandait les fellaghas qui hurlaient : ‘Nous voulons les hommes’.

    Chérif a tiré en pleine poitrine sur ma pauvre mère avec son fusil de chasse. Elle est morte sur le coup, avec Roland dans ses bras, grièvement blessé.

    Rosé a été tuée d’un tir dans le dos et son bébé écrasé contre le mur.

    Ensuite, Chérif a tiré sur moi et j’ai reçu la balle à la hauteur de ma hanche. Olga, ma sœur, a été violée puis assassinée et mon autre sœur, Suzanne, blessée à la tête (elle en porte encore aujourd’hui la marque).

    Toute la famille Azaï a également été massacrée à coups de couteau, la sœur de ma mère, son mari, ses deux filles, dont l’une était paralysée, et son autre fille, qui arrivait de France en vacances, déchiquetée à coups de couteau avec son bébé.

    A la mine, le massacre s’est poursuivi. Mon frère assassiné, mon cousin Julien également, au restaurant. Pierrot Scarfoto à coups de fourchette et les testicules coupées et enfoncées dans la bouche, tout comme mon neveu, René.

    Mon père sourd de naissance, blessé, s’est réfugié dans une galerie abandonnée où on ne l’a retrouvé mort que quinze jours plus tard.

    Treize membres de ma famille ont été abattus ce même jour. »

    L’armée française est arrivée à 17h.

    Y avait-il quelqu’un, même un simple anonyme, ce samedi matin, 1er novembre, pour se recueillir sur les tombes de ces 123 victimes du FLN ?

    Encore faudrait-il que ces tombes soient toujours présentes et qu’elles n’aient pas été profanées, pour tenter d’en effacer même le souvenir…


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