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Par Papa Falco le 23 Juillet 2020 à 16:53
(VIDÉO) – Hassan II : « Les Arabes ne seront jamais intégrés, ce seront de mauvais Français »
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Par Papa Falco le 23 Juillet 2020 à 13:59
La voix de ceux à qui la parole est refusée
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Par Papa Falco le 23 Juillet 2020 à 13:40
Lyon : Axelle, 23 ans, aide-soignante, tuée après avoir été traînée sur 800 mètres
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Par Papa Falco le 23 Juillet 2020 à 11:52
Adama Traoré aurait bien violé son codétenu en prison
C’est une plainte datant de mai 2016, deux mois avant la mort d’Adama Traoré durant son intervention, qui refait surface aujourd’hui.
Sous la menace d’une fourchette
C’est une plainte datant de mai 2016, deux mois avant la mort d’Adama Traoré durant son intervention, qui refait surface aujourd’hui.
Elle provient de son ancien voisin de cellule de la prison d’Osny, âgé de 23 à l’époque, qui accuse son codétenu de viol. Suite au décès de ce dernier, le procureur de la République de Pontoise constatait, en septembre 2016, l’extinction de l’action publique.
Selon l’hebdomadaire Le Point, l’affaire aurait tout de même trouvé une issue.
Non par la voie judiciaire mais par la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (CIVI), qui a rendu sa décision, le 12 mars dernier, dans laquelle il s’avère qu’Adama Traoré aurait forcé plusieurs fois par jour son codétenu à pratiquer des fellations, sous la menace d’une fourchette.
Une expédition punitive
Le plaignant recevra une indemnité de 15.000 euros en préjudice de ces faits commis au sein d’un établissement pénitentiaire.
Il recevra également plusieurs milliers d’euros d’indemnité suite à une expédition punitive organisée par le frère d’Adama, Yacouba Traoré, qui avec l’un de ses amis, Mamadou K., avait tabassé le plaignant à son domicile.
Des faits qui ont valu à Yacouba Traoré une condamnation à 18 mois de prison ferme. Une énième affaire pour le clan Traoré.
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Par Papa Falco le 23 Juillet 2020 à 11:42
Brest : Nicolas, 35 ans, tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence à deux « jeunes ».
La mort d’un chauffeur de bus à Bayonne, après une très violente agression le 5 juillet dernier, a suscité une vague d’émotion à travers la France, jusqu’au déplacement sur place du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.Il y a hélas régulièrement d’autres «Bayonne» à travers la France.Une tendance inquiétante, alors que les chiffres officiels des crimes et délits montraient déjà une explosion des violences sur l’année 2019.Le soir du 19 mai dernier, une agression d’une extrême violence s’est ainsi déroulée au cœur de Brest (Finistère).Des jeunes se sont déchaînés à coups de barre de fer contre Nicolas, jeune papa âgé de 35 ans.Son tort ? Avoir osé demander le silence alors que ces hommes se disputaient bruyamment en bas de son immeuble.
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